GENÈVE (Reuters) - L'Organisation mondiale de la santé déconseille l'idée d'exiger des passeports de vaccination pour les voyages, en raison de l'incertitude quant à savoir si l'inoculation empêche la transmission du virus, ainsi que des problèmes d'équité, a déclaré une porte-parole mardi.
"En tant qu'OMS, à ce stade, nous ne voulons pas que le passeport vaccinal soit une condition d'entrée ou de sortie des États, parce que nous ne sommes pas certains à ce stade que le vaccin empêche la transmission", a déclaré Margaret Harris, porte-parole de l'OMS.
"Il y a beaucoup questions, en dehors de la question de la discrimination à l'égard des personnes, il y a ceux qui ne sont pas en mesure de se faire vacciner pour une raison ou une autre", a-t-elle déclaré lors d'un point de presse de l'ONU.
L'OMS prévoit maintenant d'examiner les vaccins chinois Sinopharm et Sinovac, en vue d'une éventuelle inscription sur la liste des utilisations d'urgence, vers la fin du mois d'avril, a déclaré Mme Harris.
"Ce n'est pas aussi rapide que nous l'espérions car nous avons besoin de plus de données", a-t-elle ajouté, refusant de fournir plus d'informations, invoquant la confidentialité.
Le mois dernier, le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a lancé un appel aux pays disposant d'un excédent de vaccins pour qu'ils fassent don d'urgence de 10 millions de doses à l'association COVAX qu'elle gère avec l'alliance vaccinale GAVI. En raison des restrictions à l'exportation imposées par l'Inde, le programme de partage des vaccins n'a pas pu se procurer de vaccin AstraZeneca, fabriqué par le Serum Institute of India.
Mme Harris a déclaré qu'elle n'avait aucune information sur les pays qui s'étaient portés volontaires, ajoutant : "Nous sommes très désireux de trouver d'autres pays : "Nous sommes vraiment à la recherche de plus de vaccins".
"Il y a beaucoup questions, en dehors de la question de la discrimination à l'égard des personnes, il y a ceux qui ne sont pas en mesure de se faire vacciner pour une raison ou une autre", a-t-elle déclaré lors d'un point de presse de l'ONU.
L'OMS prévoit maintenant d'examiner les vaccins chinois Sinopharm et Sinovac, en vue d'une éventuelle inscription sur la liste des utilisations d'urgence, vers la fin du mois d'avril, a déclaré Mme Harris.
"Ce n'est pas aussi rapide que nous l'espérions car nous avons besoin de plus de données", a-t-elle ajouté, refusant de fournir plus d'informations, invoquant la confidentialité.
Le mois dernier, le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a lancé un appel aux pays disposant d'un excédent de vaccins pour qu'ils fassent don d'urgence de 10 millions de doses à l'association COVAX qu'elle gère avec l'alliance vaccinale GAVI. En raison des restrictions à l'exportation imposées par l'Inde, le programme de partage des vaccins n'a pas pu se procurer de vaccin AstraZeneca, fabriqué par le Serum Institute of India.
Mme Harris a déclaré qu'elle n'avait aucune information sur les pays qui s'étaient portés volontaires, ajoutant : "Nous sommes très désireux de trouver d'autres pays : "Nous sommes vraiment à la recherche de plus de vaccins".
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