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Les résultats complets de la phase deux sur trois des tests cliniques pour le « vaccin » Covid-19 de Pfizer-BioNTech ont été publiés jeudi dernier dans le New England Journal of Medicine. Un éditorial lié à l'article scientifique décrit les résultats des essais comme « suffisamment impressionnants pour tenir la route dans n'importe quelle analyse imaginable. C'est un triomphe. ».
Rentrons un peu dans le détail de ces résultats présentés comme triomphants...

Selon le même éditorial publié dans le New England Journal of medicine qui annonce un « triomphe », voici ce que les auteurs de l'étude, dans un euphémisme flagrant, écrivent par ailleurs :
« Le nombre de cas graves de Covid-19 — un dans le groupe du vaccin et neuf dans le groupe placebo — est trop faible pour que l'on puisse tirer des conclusions quant à savoir si les rares cas qui surviennent chez les personnes vaccinées sont réellement plus graves.

D'autres questions se posent, notamment celle de savoir si des problèmes inattendus d'innocuité peuvent survenir lorsque le nombre de personnes vaccinées atteint des millions, voire des milliards.

On ignore également si les effets secondaires seront plus nombreux avec un suivi plus long [dans le temps - NdT], combien de temps le vaccin reste efficace, s'il limitera la transmission et comment il fonctionnera chez les enfants, les femmes enceintes et les patients immunodéprimés. »
Donc, en gros, ils ne savent pas grand chose et les essais cliniques menés par Pfizer qui ont conduit aux approbations de la FDA et à des milliards de ventes ne permettent en rien de déterminer :
  • Si les cas graves sont plus graves ou non chez les personnes vaccinées ;
  • Quel sera l'ampleur des effets secondaires une fois le vaccin administré à des millions de personnes ;
  • Quels seront les effets secondaires à long terme ;
  • Quelle est la durée de son efficacité.
Cela signifie qu'il est tout à fait possible que le vaccin Pfizer aggrave les symptômes du Covid-19, qu'il produise un certain nombre d'effets secondaires à long terme, qu'il engendre de graves effets à court terme et qu'il soit inefficace peu après son administration — et totalement inefficace contre d'autres variantes du Sras-CoV-2 qui n'ont pas été testées.

Et ce sombre tableau n'est basé que sur les données collectées et publiées par Pfizer ! Ne doutez pas un instant qu'ils n'ont publié que ce qu'ils voulaient bien publier.

Afin d'illustrer le fait que le Sras-CoV-2 mute énormément — et qu'il est donc très probable que les vaccins ne seront, au mieux, efficaces que contre une seule souche — voici deux graphiques du sous-échantillonnage mondial de l'épidémiologie génomique de ces nouveaux coronavirus, qui montre 3.527 des 3.527 génomes échantillonnés entre décembre 2019 et décembre 2020. Le premier concerne la phylogénie — étude de parenté entre les souches du Sras-CoV-2 — et le second la répartition mondiale de ces souches.

© Nexttrain
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© Nexttrain
Selon le site Nexttrain qui suit en temps réel l'évolution des agents pathogènes, voici ce qu'il en est pour ce qui concerne le Sras-CoV2 :
« Cette phylogénie montre les relations évolutives des virus hCoV-19 (ou Sras-CoV-2) de la pandémie actuelle du nouveau coronavirus Covid-19. Cette phylogénie montre une émergence initiale à Wuhan, en Chine, en novembre-décembre 2019, suivie d'une transmission interhumaine soutenue conduisant à des infections échantillonnées. Bien que les relations génétiques entre les virus échantillonnés soient assez claires, il existe une grande incertitude quant aux estimations des dates de transmission spécifiques et à la reconstruction de la propagation géographique. Il faut savoir que les modes de transmission spécifiques déduits ne sont qu'une hypothèse.

Il existe aujourd'hui des milliers de génomes complets disponibles et ce nombre augmente par centaines chaque jour. Pour des raisons de performance et de lisibilité, cette visualisation ne peut traiter qu'environ 3.000 génomes en une seule vue. C'est la raison pour laquelle, et afin de distinguer ces analyses, nous devons sous-échantillonner les données disponibles sur les génomes. Notre analyse globale primaire sous-échantillonne 120 génomes par division administrative et par mois. Cela perme
t une distribution plus équitable des séquences globales, mais cela cache des échantillons disponibles dans des régions qui font beaucoup de séquençage. »
Selon ces données mondiales, la diffusion des variantes du Sras-CoV-2 est spécifique au temps et au pays. On peut se demander si la fermeture des frontières nationales a favorisé le développement de variantes spécifiques à un pays, rendant le profil du Sras-CoV-2 encore plus hétérogène à l'échelle mondiale. Une hétérogénéité qui rendrait tout à fait illusoire l'efficacité pour le monde entier d'un « vaccin » élaboré sur la base d'une seule souche.

Pour rappel, le « vaccin » à ARN messager BNT162b2 de Pfizer BioNTech est un « vaccin » lipidique à base d'ARN modifié par des nucléosides et formulé sous forme de nanoparticules, qui code pour la protéine Spike du Sras-CoV-2. Par ailleurs, les vaccins qui par définition stimulent l'immunité naturelle contre le Sras-CoV-2 seront probablement inefficaces car cette même immunité naturelle ne réussit pas à empêcher une réinfection. Selon un article publié le 12 octobre dernier dans The Lancet :
« Le degré d'immunité protectrice conféré par l'infection par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (Sras-CoV-2) est actuellement inconnu. La possibilité d'une réinfection par le Sras-CoV-2 n'est donc pas bien comprise. »
Les scientifiques de l'étude ont donc souhaité trouver des réponses et ont orienté leurs recherches vers l'étude d'un cas de réinfection au Sras-CoV-2 chez un patient qui
« a subi deux tests positifs pour le Sras-CoV-2, le premier le 18 avril 2020, et le second le 5 juin 2020, séparés par deux tests négatifs effectués lors du suivi en mai 2020. »
« L'analyse génomique du Sras-CoV-2 a montré des différences génétiquement significatives entre chaque variante associée à chaque cas d'infection. La deuxième infection était symptomatiquement plus grave que la première. »
Voici leur conclusion :
« La discordance génétique des deux spécimens de Sras-CoV-2 était plus importante que ce que l'évolution in vivo à court terme pouvait expliquer. Ces résultats suggèrent que le patient a été infecté par le Sras-CoV-2 à deux reprises par un virus génétiquement distinct. Ainsi, une exposition antérieure au Sras-CoV-2 pourrait ne pas garantir une immunité totale dans tous les cas. Toutes les personnes, qu'elles aient ou non reçu un diagnostic positif au Covid-19, doivent prendre des précautions identiques pour éviter l'infection par le Sras-CoV-2. Les implications des réinfections pourraient s'avérer pertinentes dans le cadre du développement et de l'application des vaccins. »
Quelles conclusions pouvons-nous tirer, pour l'heure, de ce qui précède ?

Le Professeur Perronne explique que toutes les mesures dictato-gouvernementales
« [...] sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l'intérêt d'un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05 % ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices. [...] La science, l'éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus. »
La science, l'éthique médicale et le bon sens semblent avoir depuis longtemps été remisés au placard... Avec l'aide de « techniques de manipulation mentale dignes des régimes totalitaires » servies par une technologie diaboliquement efficace, nous sommes entrés dans l'ère du Covid et de la vaccination obligatoire tant voulue par Bill Gates

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Faisons le point sur ce que nous savons.

Ce que les « vaccins » anti-Covid ne feront pas :
  • Ils ne guériront pas le Covid ;
  • Ils n'empêcheront pas les gens de contracter le Covid ;
  • Ils n'empêcheront pas les hospitalisations liées au Covid ;
  • Ils n'empêcheront pas les décès dus au Covid.
Et puisque, selon les résultats publiés de Pfizer-BioNTech, nous ne savons rien sur la transmission du virus par des personnes vaccinées et néanmoins atteintes de formes asymptomatiques, le respect des gestes barrières et autres port du masque obligatoire, sans oublier les confinements, devront persister en dépit de la vaccination, tant que la pandémie ne sera pas éradiquée. Mais elle ne le sera pas, puisqu'elle est « contrôlée » pour servir les intérêts — parmi ceux dont nous avons connaissance — listés ci-après.

Ce que les « vaccins » anti-Covid feront :
Tout cela avec l'aide d'un virus d'origine humaine et d'une propagande anti-hydroxychloroquine qui prive les populations — au nom du tout-« vaccin » — de l'accès à des remèdes efficaces. Concernant l'hydroxychloroquine, voici le lien de la méta-analyse la plus rigoureuse et approfondie jamais conduite sur les publications scientifiques sur cette molécule : https://hcqmeta.com [en anglais]. Leurs conclusions :
« L'hydroxychloroquine est un traitement efficace contre le Covid-19. La probabilité qu'un traitement inefficace produise des résultats aussi positifs que les 166 études réalisées à ce jour est estimée à 1 sur 1 quadrillion (p = 0,00000000000000099). »
Tous ces éléments traduisent de la part des Pouvoirs en place un désir de domination totale sur des populations généralement prêtes à accepter le « retour de leurs libertés » en échange de « la marque de la Bête » matérialisée par l'obligation d'une vaccination « qui modifie les gènes », et de populations tout aussi généralement ignorantes de la menace que pose les changements terrestres de plus en plus extrêmes, accompagnés par une activité volcanique et sismique accrue et l'augmentation croissante d'objets géocroiseurs qui « effleurent » notre planète, et des comètes qui visitent à une fréquence plus élevée notre Système solaire intérieur.

Toutefois, et comme stipulé dans un de nos derniers Focus,
« Aussi horrifiant que cela puisse paraître à quiconque a un tant soit peu conscience de ce qui est inclus dans ces vaccins, le niveau de concrétisation de leurs plans de « Grande réinitialisation » [ou « Great Reset » - NdT] dépend de la charge de tyrannie que la société est prête à endurer avant qu'un certain nombre de facteurs que les dieux autoproclamés de la santé publique ne peuvent pas contrôler ne commencent à se manifester.
[...]
Aussi puissants que les psychopathes au pouvoir semblent être actuellement, ils ont très probablement déjà creusé leurs propres tombes. La catastrophe guette ceux qui les suivent passivement, mais si vous percevez la réalité des événements et que vous renforcez activement votre système immunitaire contre les attaques physiques et votre psyché contre les mensonges, alors l'avenir n'est pas pour vous gravé dans le marbre. La connaissance est la clé sur les deux plans. »