30 décembre 2020

D'une pandémie affolante à une syndémie raisonnable

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J'ai la grande joie de partager aujourd'hui deux nouveaux textes de Michel Rosenzweig, que je remercie de son accord à ce qu'ils soient re-publiés ici.

Cette crise insensée aura au moins eu comme mérite de faire apparaître des voix proposant des perspectives riches et essentielles. Peu dans les médias établis, évidemment, qui sont eux-mêmes non seulement en plein naufrage professionnel et déontologique, mais encore dans ce qu'il faut bien appeler une véritable dérive pathogène.

Cultivant l'entre-soi dans un mouvement d'auto-satisfaction assez sidérant, certains rédacteurs en chef romands pontifient à tout va et sans scrupules une justification assez lamentable de leur dérive.

Stéphane Benoît-Godet (rédacteur en chef sur le départ du Temps) relevait qu'étant passé complètement à côté du phénomène des gilets jaunes, les rédactions étaient assez inquiètes de rater les motifs intéressants du Covid. C'est bon, ils peuvent arrêter de stresser : le ratage a été accompli dans des proportions qui fascinera les écoles de journalisme pour les siècles à venir !

Dans le style on n'a rien vu, rien compris, participé en rien aux vrais débats qu'auraient dû soulever la gestion catastrophique de cette syndémie, ils auront réussi un acmé de ratage qui en deviendrait presque glorieux d'égarement.

Comme la manipulation en cours finira bien par s'effondrer, restera la tache d'une presse démissionnaire et de pure connivence, inapte à poser les bonnes questions et encore moins de mener les bonnes enquêtes. Les acteurs en question n'auront pas bonne mine face à l'histoire.

Dans le concert des voix intéressantes (qui se sont exprimées, donc, hors des canaux de désinformation et de propagande des médias) figure celle, délicate, acérée et tendre de Michel Rosenzweig. Ce philosophe et psychanalyste belge promène depuis des mois un regard lucide et désabusé (et pour cause !) sur le désastre en cours.

Figurant au nombre des intervenants de Hold-Up, Rosenzweig y apporte la perspective de l’inconscient, aussi dans une dimension historique. Il rappelle ainsi souvent qu'il est difficile de ne pas être pessimiste quand on est de confession israélite et qu'on ne connaît que trop bien les ressorts de lâcheté et de malveillance tapis dans les méandres de l'âme humaine. Qui sont toujours à risque de ressortir comme des diables hors de leur boîte quand les conditions socio-historique y invitent. Une autre pierre dans le jardin des médias : depuis qu'ils ne savent plus guère que coller des étiquettes (procédé bien commode pour éviter de réfléchir), ils encouragent fortement et participent au premier chef à la violence mimétique.

Je partage ici deux textes magnifiques : le premier porte un regard tendre et cru sur la victoire en cours des forces de la barbarie totalitaire. Elle n'est peut-être pas définitive, mais elle est à ce stade bien engagée. Si aucune des forfaitures qui se sont déroulées n'a soulevé d'opposition massive dans la population, c'est au fond que notre société est mûre pour un nouveau fascisme : renoncer à la démocratie, à ses principes, ses processus et ses valeurs -comme c'est le cas actuellement- est tout sauf anodin.

Dans le second, il résume sa position (forcément complexe et nuancée donc incompréhensible pour certains directeurs de rédaction) sur la situation sanitaire et sur les hypothèses qu'on peut proposer pour l'éclairer.

C'est donc sur une touche douce-amère -mais de toute beauté- que je publie ici l'avant-dernier billet de l'année écoulée. P... d'année en vérité !


D'une pandémie affolante à une syndémie raisonnable

par Michel Rosenzweig, philosophe et psychanalyste

Le Pr. Perronne démis de ses fonctions de chef de service de l'AP-HP de Garches, le Pr. Fourtillon embastillé en asile psychiatrique à Uzès, le Pr. Raoult menacé de mort et attaqué en justice par ses pairs, disqualifié, discrédité et traité de charlatan, le Pr. Toubiana subissant le même sort, le Dr. Pascal Sacré convoqué à la commandantur sanitaire de l'état covidien belge occupé par une clique de scientifiques malhonnêtes et mentalement atteints, des policiers transformés en auxiliaires de police sanitaire, un régime techno-sanitaire tyrannique régnant par la peur, la répression et même par une certaine forme de terreur hygiéniste, un climat malsain et suffoquant règne en cette fin d'année en France comme en Belgique, sans que personne ne puisse en apercevoir le bout du tunnel.

Des délateurs et des chiens de garde à tous les coins de rue pour vous rappeler à l'Ordre sanitaire, même dans les régions les plus reculées, des amendes dissuasives aux montants astronomiques qui s'abattent comme des fléaux antiques sur les contrevenants, les libertés individuelles réduites aux fonctions biologiques "essentielles" par les autorités publiques ayant basculé dans une pensée totalitaire décomplexée, car la situation est grave nous répètent-elles, se justifiant de déployer des mesures contraignantes et coercitives de plus en plus nombreuses au nom de notre santé et donc au nom de notre bien.

Et cette hystérie collective des vaccins qui vient maintenant s'ajouter aux bouffées délirantes thanatophobiques aigües et à la psychose collective virophobe. Un vrai millefeuille dont on ne voit pas pourquoi il s'arrêterait d'enfler.

Après des mois de travail et quelques dizaines de textes dont certains ont été publiés dans des médias courageux, je dois bien le reconnaître, les jeux sont faits et rien ne va plus, nous ne sortirons pas de cette dystopie qui a définitivement bouleversé les normes sociales et politiques de nos vies, comme je l'annonçais déjà il y a quelques mois, fidèle à la réputation de Cassandre dont certains aiment m'affubler, bien que mes prévisions se soient avérées malheureusement exactes.

Je ne me répéterai donc plus sur les sujets principaux que j'ai tenté de traiter ici à plusieurs reprises, car il s'agit en fait d'une déclinaison infinie et répétitive lassante d'un même thème, le Covid, et qui tourne finalement en boucle dans un entre-soi sans aucun effet sur la réalité insupportable qu'une toute petite minorité de personnes perçoit mais qu'une immense majorité approuve, se vautrant dans une servitude volontaire à leurs maîtres sans se poser trop de questions probablement très dérangeantes, toutes étant encore convaincues du bien fondé et de la nécessité de ce régime dont elles sont persuadées qu'il n'est que transitoire, certaines en redemandant même une louche supplémentaire.

Errare humanum est, perseverare diabolicum.

La covidie virocratique hygiéniste, ce régime sanitaire abject, obscène, inique et selon moi totalement injustifié et bien plus préjudiciable que le virus lui-même, s'est emparé de toute l'Europe sans aucune opposition et avec la complicité de tous : classe politique, académique, universitaire, administrative, société civile, monde associatif, institutionnel, syndicats, etc....

Tous complices actifs ou passifs dans un silence généralisé, hormis quelques voix dissidentes isolées que les autorités s'efforcent de faire taire lorsqu'elles parlent un peu trop fort.

Pas parce qu'il tuerait en masse, pas du tout, il est d'ailleurs très peu performant en terme d'ADM (Arme de Destruction Massive), il a gagné parce que des forces que je qualifierais d'obscures se sont emparé de ce brin d'ARN pour réaliser des objectifs très clairement et publiquement énoncés : le basculement de cette planète dans une nouvelle ère qui verra la généralisation de ce que l'on nomme l'identité numérique et ses corolaires, une nouvelle économie assistée par les robots et l'informatique et qui ne s'embarrassera plus d'une main d'œuvre devenue encombrante, trop chère et donc inutile ainsi que le conditionnement de vos vies à la détention d'un passeport covid vert assorti d'un certificat de vaccination dont le port sur ou à l'intérieur du corps nous permettra l'accès aux services, aux déplacements, au travail, aux soins de santé, aux loisirs, etc...

Il faut vraiment être sourd et aveugle pour ne pas prendre conscience de cette mutation anthropologique, technique et ontologique irréversible et inéluctable qui s'opère sous nos yeux jour après jour.

Or Il existe un lien avéré, reconnu et revendiqué par ses auteurs, entre la grande réinitialisation économique numérique, techno-scientifique (Great Reset du WEF et son mentor Klaus Schwab) et la syndémie du coronavirus terme plus approprié et reconnu par le Lancet ce 17 ,octobre pour décrire "la" Covid-19 (https://www.thelancet.com/.../PIIS0140-6736(20.../fulltext, une syndémie étant l’agrégation d’au moins deux maladies ou problèmes de santé dans une population pour laquelle il existe un certain niveau d’interface biologique ou comportementale délétère qui exacerbe les effets négatifs de chacune des maladies impliquées. (Singer M, Bulled N, Ostrach B, Mendenhall E. Syndemics and the biosocial conception of Heath. The Lancet. 2017 ;389:941–50.)

Eh oui, il n'y a jamais eu de "pandémie" au sens ou la science épidémiologique l'entend, mais bien plus une syndémie, une rencontre de plusieurs facteurs aggravants les effets d'un virus fondamentalement pas plus dangereux qu'un autre virus respiratoire de type grippal, mais qui fonctionne comme un accélérateur, un catalyseur d'effets toxiques chez certaines catégories de personnes à risques pour des raisons multifactorielles sur lesquelles il faudrait sérieusement se pencher au lieu de condamner certains traitements et de croire à l'univocité de la solution vaccinale désormais élevée au rang de totem ainsi qu'aux vertus supposées du confinement à répétition.

Après les mensonges et les affabulations du Lancet gate, voici la prestigieuse revue britannique qui revient enfin à ses fondements.

Le lien entre le vaste programme du Great Reset et la "p(l)andémie" devenue "syndémie" existe donc, seule la nature de ce lien demeurant questionnable.

Est-il opportuniste ou structurel? Le virus est-il un opérateur naturel et occasionnel ou a-t-il été conçu dans un cerveau malade pour mettre en œuvre la grande réinitialisation ?

Est-il encore autorisé de poser la question sans risquer d'être brûlé sur le bûcher médiatique et numérique ? Penser ce qui semble impensable me semble une nécessité, ce d'autant qu'un impensable d'un autre ordre a déjà eu lieu à une autre époque.

La question restera encore très longtemps et probablement à jamais sans réponse.

Mais elle mérite d'être rationnellement et raisonnablement posée à l'aune de ce bouleversement sociopolitique dont on ne mesure pas encore les conséquences.

Quoi qu'il en soit, les faits sont là pour qui voudra bien les regarder en conscience sans se mettre la tête dans le sable et il appartient à chacun naturellement de se soumettre ou de se démettre.

L'identité numérique du biopouvoir est en marche et rien ni personne ne pourra l'arrêter.

Il n'y aura aucune insurrection, aucun soulèvement, aucune révolte du Co-vide à l'ère du Great Reset planétaire.

A moins d'un vrai cygne noir par essence imprévisible.

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Joyeux Noël

par Michel Rosenzweig

Fin de l'an 1 de l'ère covidienne, l'occasion d'un bilan et d'une mise au point.

Entre les lecteurs qui adhèrent à mes propos et qui les apprécient et les autres qui les réprouvent et les critiquent parfois sans aucun recul ni aucune nuance en se bornant à me disqualifier et à me discréditer par des accusations et des invectives ad personam ou/et ad hominem, je pense nécessaire et utile de clarifier ma position à l'égard de quelques points essentiels et fondamentaux relatifs au Co-vid.

1. Je n'ai jamais nié l'existence du virus incriminé et ses conséquences réelles dont la maladie qu'il engendre dans certains cas, chez certaines personnes et dans certaines circonstances et je pense qu'il ne s'agit pas d'une réelle pandémie mais bien d'une syndémie dont les causes sont encore à approfondir. Mais je récuse totalement la version officielle qui déforme la réalité en écrivant une autre histoire et en fabriquant une autre représentation de l'épidémie.

2. Je n'adhère pas à l'idée d'un plan à visée exterminatrice par l'entremise d'un vaccin. Cette idée relève selon moi d'un fantasme paranoïde qui ne résiste pas un instant à l'analyse lorsqu'on s'y attarde. Ce qui ne signifie pas que la pulsion génocidaire soit désormais inenvisageable, cette pulsion existe encore au sein de l'espèce humaine et a déjà été mise en oeuvre de manière systématique et industrielle comme chacun le sait dans le projet d'extermination des juifs d'Europe mis au point par le régime nazi et élaboré la 20 janvier 1942 lors de la conférence de Wannsee sous le nom de "solution finale".

L'idée pourrait donc bien entendu regermer chez quelques individus au cerveau malade détenant du pouvoir et de la puissance. Dire le contraire serait nier un des aspects les plus obscurs de l'espèce humaine, mais il n'en est rien aujourd'hui, non pas que l'idée soit saugrenue en elle-même comme je viens de le dire, mais tout simplement parce que cette idée d'exterminer des milliards d'individus pour réduire drastiquement la population ne pourrait aboutir de cette manière, nous ne sommes pas en 1942, nous sommes en 2020 à l'ère de l'internet.

Aucun angélisme ici, pur pragmatisme.

De plus cette hypothèse qui est une conviction pour de très nombreuses personnes est systématiquement teintée de références relevant de la grande tradition conspirationniste du complot mondial judéo-maçonnique. Je ne fais bien entendu pas partie de cette nébuleuse, ni de près ni de loin et ceux qui voient du "complotisme" dans mes textes se trompent et me salissent en manquant cruellement de discernement, leur but étant simplement de nuire à ma réputation. Ceux que l'on appelle "complotistes" ne sont en général que des personnes dissidentes du dogme officiel et du narratif imposé et qui tentent de penser en dehors de la boîte et de sa notice en réalisant des recherches, des analyses et en tentant de restituer une réalité confisquée et dérobée qui leur semble déformée tout en formulant des hypothèses interprétatives.

3. Je ne suis pas un opposant au principe de la vaccination, je ne suis ni pour ni contre les vaccins, certains ayant été très utiles pour vaincre et même éradiquer une maladie (la variole, la polio et le tétanos entre autres). Etre pour ou contre les vaccins me semble par conséquent absurde autant que stupide et obscurantiste, c'est au cas par cas qu'il faut évaluer la pertinence d'une vaccination pour une maladie donnée qui constituerait un réel danger pour la population et c'est à chacun qu'il appartient de décider si un vaccin est utile ou non.

4. J'assume totalement ma participation au film Hold-Up, bien que n'ayant malheureusement pas eu l'occasion de visionner la version bêta, même si je conserve des critiques envers ce film et certains passages, je ne renie rien, je suis qui je suis, je ne m'appelle pas Hold-Up, je suis un être libre et autonome, je pense par moi-même et personne ne m'apprendra qui je suis.

5. Je pense que ce que j'appelle le "covidisme" est un objet sociopolitique constructiviste aux confins de la religion, du scientisme et de l'idéologie et que cet objet a été érigé en système de gouvernance par la plupart des états en Occident et que son pilotage et ses opérateurs sont identifiés et connus: fabrication du consentement et de l'opinion par les média, détournement des données sanitaires ayant pour objet l'amplification et la persistance de la peur dans le but d'imposer un vaccin non par obligation légale mais par défaut un peu comme un "windows par défaut" qui serait la base minimale nécessaire pour pouvoir vivre sans trop de contraintes en ayant à nouveau accès aux services, travail, déplacement, loisirs, alimentation, etc, et avec pour corollaire la création d'un apartheid sanitaire instituant une classe de citoyens de seconde zone non marqués, non identifiés. Le covidisme s'apparente à un totalitarisme sanitaire sous bien des aspects et son caractère numérique ne fait plus aucun doute. Ce sont des faits, rien que des faits. Certaines raisons qui sous tendent ce régime sont identifiées, assez claires et connues, d'autres le sont moins et demeurent opaque et obscures. Seul l'avenir nous montrera ce qu'il en est.

6. Je pense sincèrement que cette affection respiratoire contagieuse est apparentée à la grippe (c'est tellement vrai que la grippe a disparu car elle est remplacée par le Co vid, volontairement ou pas), non seulement par la similarité des symptômes ainsi que par la biodynamique saisonnière, mais aussi et surtout par la nature des groupes cibles qui en souffrent le plus et qui en payent le plus lourd tribu. Il n'en reste pas moins, quoi qu'en disent et qu'en pensent encore certains qui ne veulent toujours pas l'accepter et qui nient les données officielles, hypnotisés par la propagande médiatique et politique, que cette grosse grippe 2019 ne tue majoritairement que des personnes à risques avec comorbidités et dont la moyenne d'âge est paradoxalement légèrement supérieure à l'espérance de vie, soit entre 83 et 84 ans, que son taux de mortalité dans la population générale est de 0.05% avec un taux de létalité médian mondial de 0.23%, entre 0.5 et 1% en Europe occidentale.

Je ne répondrai plus aux personnes qui viendraient à la suite de ce point me traiter de menteur, je les renvoie à leurs propres investigations, je n'ai aucune vocation prosélyte, chacun pense ce qu'il veut et entretient des croyances personnelles qui ne me regardent pas.

Les chiffres que je publie sont toujours sourcés et ont fait l'objet de recherches et de vérifications (mes réseaux d'informations scientifiques sont sérieux et crédibles), mais les aveugles persistent à se mettre la tête dans le sable et à dénier la réalité qui leur est trop insupportable, lui préférant certaines croyances plus confortables et conformes à leurs angoisses et à leur valeurs.

7. Je ne nie pas la réalité des services hospitaliers, en revanche je suis convaincu que cette réalité est amplifiée volontairement par les autorités pour entretenir la peur et justifier les mesures sanitaires de confinement et de distance sociale et je suis convaincu qu'une grande partie des patients déclarés "covid" ne sont pas malades du virus mais seulement porteurs de l'ARN viral entier ou fragmentaire et que la saturation des services est en partie due au climat malsain de peur et d'affolement fabriqué par les autorités et les médias tous pilotés par des scientifiques paniqués et thanatophobiques ayant probablement des liens et des conflits d'intérêts économiques, politiques et idéologiques dont ils ne sont peut-être même pas conscients, précipitant des milliers de personnes dans les hôpitaux.

8. Enfin, je pense qu'au lieu de monopoliser tant d'énergie et tant de moyens financiers pour une immunité collective artificielle qui n'assure même pas la non contamination des personnes protégées, il serait plus urgent de développer, d'encourager et surtout d'autoriser les traitements préventifs et curatifs connus qui ont fait leurs preuves, quoi qu'en pensent les détracteurs de ces traitements qui persistent dans leur déni et leur ignorance: la bithérapie HCQ/ AZT (et d'autres antibiotiques), l'Ivermectine, l'Artémisia, les vitamine D et C à haute dose et le zinc ainsi que l'entretien d'une vie saine, aérée, déstressée, conviviale, sportive, bref autant de conditions que ce régime sanitaire délétère ne permet pas et qui contribue énormément à ajouter plusieurs couches toxiques, autant de facteurs syndémiques aggravants pour les personnes susceptibles de contracter le virus et peut-être la maladie.

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