Et voilà ! Après 40 années d’accumulation de politiques socialistes, de collectivisation, de capitalisme de connivence (qui est au capitalisme tout court ce qu’une tournante est à l’amour), l’État français récolte enfin ce qu’il a semé : des pauvres, par millions.
Bien évidemment, les signes, pourtant nombreux, qui s’accumulent de toute part ne sont pas présentés ainsi par les médias qui préfèrent brosser un tableau tout en nuées fumeuses et de brouillards en clairs obscurs, ce qui, avec les capacités naturelles de nos journalistes actuels, revient à faire peindre un Turner par un gamin de 5 ans.
Le résultat est… intéressant.
Bien évidemment, les signes, pourtant nombreux, qui s’accumulent de toute part ne sont pas présentés ainsi par les médias qui préfèrent brosser un tableau tout en nuées fumeuses et de brouillards en clairs obscurs, ce qui, avec les capacités naturelles de nos journalistes actuels, revient à faire peindre un Turner par un gamin de 5 ans.
Le résultat est… intéressant.
On découvre, pas du tout effaré si ce n’est par l’absence de battage pourtant nécessaire d’une telle nouvelle, que – conformément à ce que les libéraux expliquent depuis un moment – la fiscalité dite verte n’est qu’une nouvelle façon d’étriller d’abord et avant tout les masses laborieuses et accroît donc les inégalités.
En bons hypocrites, on ne sera donc qu’assez peu surpris de trouver dans les plus fervents promoteurs de ces imbécillités fiscales tous les bancs de la gauche et de l’arrière-gauche, les turbocommunistes et autres écolos conscientisés qui n’ont de cesse de punir les pauvres. On ne sera pas plus surpris des propositions des Shadoks du Conseil d’analyse économique qui, pour atténuer les effets catastrophiques de cette fiscalité, envisagent de redistribuer une partie des recettes sous forme de prime : en bons petits Sapeur Camember, ils veulent tabasser d’un côté et distribuer des pansements de l’autre, plutôt qu’arrêter de faire pleuvoir les coups.
Le fait est que l’écologie politique de combat en général, et en particulier celle actuellement appliquée par nos abrutis de politiciens, provoque un appauvrissement général des Français, à commencer par les plus pauvres d’entre eux.
Le dernier exemple flagrant en date est celui de la centrale nucléaire de Fessenheim dont la fermeture est directement responsable d’un retour au charbon pour une partie de l’électricité française : non seulement, il s’est trouvé des politiciens suffisamment stupides pour réclamer la fermeture de tranches nucléaires dans le pays alors que cette énergie est la plus propre actuellement (et de loin), mais en plus s’est-il trouvé des politiciens pour obtenir cette fermeture, et encore d’autres – au premier rang desquels on trouvera Emmanuel Macron – pour l’acter en bonne et due forme.
Toute cette brochette de sinistres crétins est maintenant directement responsable d’un accroissement des pollutions régionales (premier échec), d’une augmentation des émissions de CO2 (deuxième échec), d’un renchérissement de la production électrique française (troisième échec) et d’un appauvrissement consécutif des Français les plus précaires puisque c’est pour eux que le prix de l’énergie est le plus pénible à supporter (quatrième échec).
Eh oui : l’aveuglement idéologique et, pour tout dire, la crétinerie compacte qui gouvernent les décisions écologiques et la prétendue transition vers une énergie intermittente et plus chère rendent les Français plus pauvres.
Et même lorsqu’il ne s’agit pas d’écologisme bêlant, c’est la même idéologie malthusienne, de pénurie et de restrictions quasi-soviétiques qui semble s’imposer dans les esprits, produisant les mêmes décisions débiles qui aboutissent au même appauvrissement général : l’état lamentable de l’économie française ne doit rien au hasard et n’est que la conséquence directe des décisions politiques aberrantes prises, notamment ces derniers mois.
Le bilan, à savoir un million de nouveaux pauvres et probablement plus encore dans les mois qui viennent, est parfaitement aligné avec le désir pas toujours inconscient de nos dirigeants de s’assurer une base électorale captive.
S’il y a bien une chose en marche dans cette République confinée, c’est l’appauvrissement d’une part croissante de la population.
Et c’est logique, du reste : l’occupant intérieur s’est largement servi sur la population qui travaille, produit et crée des richesses. En procédant ainsi, à force de taxes, de contraintes et de ponctions, cet occupant intérieur a pu accroître sa propre marge opérationnelle, c’est-à-dire diminuer les services rendus (soit en quantité, soit en qualité, soit les deux) et en faisant du gras, c’est-à-dire en embauchant toujours plus de petites mains pour ses œuvres.
Parallèlement, l’occupant a tout fait pour augmenter le nombre d’individus directement dépendant de ses largesses, garantissant qu’il serait sinon adulé, au moins choyé par une masse maintenant majoritaire de dépendants.
Malheureusement, l’abaissement de la qualité et de la quantité des services fournis aboutit à des pénuries et des manquements graves. L’augmentation des contraintes finit par enlever toute souplesse nécessaire à l’adaptation aux imprévus. Et lorsque pénuries et fossilisations se combinent, on aboutit à un emballement des problèmes. Ce qui était gênant devient problématique, ce qui était problématique devient catastrophique.
Dans ce contexte, l’arrivée du coronavirus a été le coup d’estoc dans un « système français » à bout de souffle, massivement collectivisé et surtout boursouflé de son universalisme et de son arrogante certitude d’être le meilleur.
Miné par des années de gabegies, d’incurie, de pilotage par expédients, à la petite semaine, il s’est effondré très vite obligeant le gouvernement à chercher, une fois encore, à camoufler le problème au lieu de le résoudre.
Manque de bol : le camouflage par confinement ne peut pas durer dans le temps. Pour faire tenir le système, il faut des gens qui payent, d’une façon ou d’une autre. Ce second confinement sera celui de trop et on arrive maintenant au bout de ce système d’occupation du pays par sa propre administration.
En bons hypocrites, on ne sera donc qu’assez peu surpris de trouver dans les plus fervents promoteurs de ces imbécillités fiscales tous les bancs de la gauche et de l’arrière-gauche, les turbocommunistes et autres écolos conscientisés qui n’ont de cesse de punir les pauvres. On ne sera pas plus surpris des propositions des Shadoks du Conseil d’analyse économique qui, pour atténuer les effets catastrophiques de cette fiscalité, envisagent de redistribuer une partie des recettes sous forme de prime : en bons petits Sapeur Camember, ils veulent tabasser d’un côté et distribuer des pansements de l’autre, plutôt qu’arrêter de faire pleuvoir les coups.
Le fait est que l’écologie politique de combat en général, et en particulier celle actuellement appliquée par nos abrutis de politiciens, provoque un appauvrissement général des Français, à commencer par les plus pauvres d’entre eux.
Le dernier exemple flagrant en date est celui de la centrale nucléaire de Fessenheim dont la fermeture est directement responsable d’un retour au charbon pour une partie de l’électricité française : non seulement, il s’est trouvé des politiciens suffisamment stupides pour réclamer la fermeture de tranches nucléaires dans le pays alors que cette énergie est la plus propre actuellement (et de loin), mais en plus s’est-il trouvé des politiciens pour obtenir cette fermeture, et encore d’autres – au premier rang desquels on trouvera Emmanuel Macron – pour l’acter en bonne et due forme.
Toute cette brochette de sinistres crétins est maintenant directement responsable d’un accroissement des pollutions régionales (premier échec), d’une augmentation des émissions de CO2 (deuxième échec), d’un renchérissement de la production électrique française (troisième échec) et d’un appauvrissement consécutif des Français les plus précaires puisque c’est pour eux que le prix de l’énergie est le plus pénible à supporter (quatrième échec).
Eh oui : l’aveuglement idéologique et, pour tout dire, la crétinerie compacte qui gouvernent les décisions écologiques et la prétendue transition vers une énergie intermittente et plus chère rendent les Français plus pauvres.
Et même lorsqu’il ne s’agit pas d’écologisme bêlant, c’est la même idéologie malthusienne, de pénurie et de restrictions quasi-soviétiques qui semble s’imposer dans les esprits, produisant les mêmes décisions débiles qui aboutissent au même appauvrissement général : l’état lamentable de l’économie française ne doit rien au hasard et n’est que la conséquence directe des décisions politiques aberrantes prises, notamment ces derniers mois.
Le bilan, à savoir un million de nouveaux pauvres et probablement plus encore dans les mois qui viennent, est parfaitement aligné avec le désir pas toujours inconscient de nos dirigeants de s’assurer une base électorale captive.
S’il y a bien une chose en marche dans cette République confinée, c’est l’appauvrissement d’une part croissante de la population.
Et c’est logique, du reste : l’occupant intérieur s’est largement servi sur la population qui travaille, produit et crée des richesses. En procédant ainsi, à force de taxes, de contraintes et de ponctions, cet occupant intérieur a pu accroître sa propre marge opérationnelle, c’est-à-dire diminuer les services rendus (soit en quantité, soit en qualité, soit les deux) et en faisant du gras, c’est-à-dire en embauchant toujours plus de petites mains pour ses œuvres.
Parallèlement, l’occupant a tout fait pour augmenter le nombre d’individus directement dépendant de ses largesses, garantissant qu’il serait sinon adulé, au moins choyé par une masse maintenant majoritaire de dépendants.
Malheureusement, l’abaissement de la qualité et de la quantité des services fournis aboutit à des pénuries et des manquements graves. L’augmentation des contraintes finit par enlever toute souplesse nécessaire à l’adaptation aux imprévus. Et lorsque pénuries et fossilisations se combinent, on aboutit à un emballement des problèmes. Ce qui était gênant devient problématique, ce qui était problématique devient catastrophique.
Dans ce contexte, l’arrivée du coronavirus a été le coup d’estoc dans un « système français » à bout de souffle, massivement collectivisé et surtout boursouflé de son universalisme et de son arrogante certitude d’être le meilleur.
Miné par des années de gabegies, d’incurie, de pilotage par expédients, à la petite semaine, il s’est effondré très vite obligeant le gouvernement à chercher, une fois encore, à camoufler le problème au lieu de le résoudre.
Manque de bol : le camouflage par confinement ne peut pas durer dans le temps. Pour faire tenir le système, il faut des gens qui payent, d’une façon ou d’une autre. Ce second confinement sera celui de trop et on arrive maintenant au bout de ce système d’occupation du pays par sa propre administration.
La création de richesses, seul mécanisme qui permet au socialisme de perdurer, est en train de s’effondrer. Oh, bien sûr, il faudra encore un peu de temps pour que l’argent gratuit des autres s’épuise totalement ou que la valeur des billets imprimés à rythme soutenu s’évapore intégralement.
Néanmoins, c’est garanti : à cause d’une classe politique lamentable qu’ils ont élue par paresse et par jalousie, les Français s’appauvrissent et vont continuer à s’appauvrir.
Français, tenez-vous prêts.
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