On dirait que nous sommes repartis pour un tour, ou deux ou trois ou quatre ou cinq puisque nos "autorités" annoncent d'ores et déjà une "troisième" puis "quatrième" vague !
Bien sûr, la résurgence des hospitalisations est une mauvaise surprise. Qu'il faudrait (à nouveau !) être capable de mettre en perspectives.
En rappelant que l'hôpital ayant évolué vers un fonctionnement à flux tendu -y compris des services de soins intensifs et réanimation- il s'engorge structurellement année après année.
Que l'augmentation (très importante en effet) des admissions ne s'accompagne pas (dieu merci !) d'une augmentation comparable des réanimations et encore moins des décès.
Que l'âge médian des décès est actuellement en Suisse de 86 ans !
Bien sûr, la résurgence des hospitalisations est une mauvaise surprise. Qu'il faudrait (à nouveau !) être capable de mettre en perspectives.
En rappelant que l'hôpital ayant évolué vers un fonctionnement à flux tendu -y compris des services de soins intensifs et réanimation- il s'engorge structurellement année après année.
Que l'augmentation (très importante en effet) des admissions ne s'accompagne pas (dieu merci !) d'une augmentation comparable des réanimations et encore moins des décès.
Que l'âge médian des décès est actuellement en Suisse de 86 ans !
Que les autorités n'ont jamais communiqué sur les moyens simples et avérés de se protéger contre la Covid-19 (comme la supplémentation en vitamine D3 et en zinc, susceptibles d'après les meilleures études de réduire de manière importante le risque de développer une forme grave ou de décéder de la maladie).
Que les chiffres avancés par le président Macron et les "conseils politico-lucratifs d'experts" sont à nouveau complètement bidon et constituent rien moins qu'une abjecte manipulation.
Qu'on nous annonce -en France- 6'000 patients possibles en réanimation à la mi-novembre pour moins de 5'000 lits disponibles... sans tenir compte des 5'000 lits de réanimation disponibles en cliniques privées !
Et que même dans le pire des cas de figure possible donc (avec 6'000 patients en soins intensifs pour une population de 67 millions d'habitants) cela représenterait 1 personne sur 10'000, avec un pronostic de survie grandement amélioré par rapport au printemps.
Sérieux assurément, justifiant la panique répétée aucunement.
Ce d'autant moins que le principal problème apparaît politique et constitutionnel : dans la violation répétée et injustifiée des droits fondamentaux et la destruction de notre vie sociale ainsi que des moyens d'existence de millions et millions de personne. Du fait de mesures hasardeuses, sans efficacité avérée et que l'OMS recommande d'éviter.
C'est dire si au fond nous sommes piégés dans un vrai piège à cons. Où nous nous voyons imposer des mesures destructrices de notre santé et de notre immunité - soi-disant pour nous protéger !
Un exemple parmi d'innombrables autres : au Brésil, l'isolement social (confinement) a empiré la pandémie en provoquant plus de morts ! Ceci alors qu'il s'agit d'une réalité connue depuis 10 ans en santé publique que la distanciation sociale et l’isolement font exploser le risque de mortalité toutes causes confondues - jusqu’à le doubler !
Nous marchons désormais sur la tête sous les acclamations des imbéciles - s’imaginant que ce qui nous conduit à notre perte nous sauve.
Je partage dans cet article l'analyse du Pr Christophe de Brouwer qui suggère fortement, données à l'appui, que les mesures absurdes qui sont prises en Belgique (et en France) ne font qu'aggraver les choses.
Suivie par une prise de position de M. Alain Sachs, comédien, dramaturge et metteur en scène, qui revient sur l'hallucinante (et à vrai dire obscène) allocation d'Emmanuel Macron du 28 octobre.
Suivie d'un très beau texte de cette médecin-psychiatre, qui s'est déjà exprimé sur cette page, nous invitant à nous réveiller de toute urgence. Ce qui, à voir le déni et la passivité collectifs, n'est pas gagné d'avance !
Bonne lecture, mais aussi bon courage !
Qu'on nous annonce -en France- 6'000 patients possibles en réanimation à la mi-novembre pour moins de 5'000 lits disponibles... sans tenir compte des 5'000 lits de réanimation disponibles en cliniques privées !
Et que même dans le pire des cas de figure possible donc (avec 6'000 patients en soins intensifs pour une population de 67 millions d'habitants) cela représenterait 1 personne sur 10'000, avec un pronostic de survie grandement amélioré par rapport au printemps.
Sérieux assurément, justifiant la panique répétée aucunement.
Ce d'autant moins que le principal problème apparaît politique et constitutionnel : dans la violation répétée et injustifiée des droits fondamentaux et la destruction de notre vie sociale ainsi que des moyens d'existence de millions et millions de personne. Du fait de mesures hasardeuses, sans efficacité avérée et que l'OMS recommande d'éviter.
C'est dire si au fond nous sommes piégés dans un vrai piège à cons. Où nous nous voyons imposer des mesures destructrices de notre santé et de notre immunité - soi-disant pour nous protéger !
Un exemple parmi d'innombrables autres : au Brésil, l'isolement social (confinement) a empiré la pandémie en provoquant plus de morts ! Ceci alors qu'il s'agit d'une réalité connue depuis 10 ans en santé publique que la distanciation sociale et l’isolement font exploser le risque de mortalité toutes causes confondues - jusqu’à le doubler !
Nous marchons désormais sur la tête sous les acclamations des imbéciles - s’imaginant que ce qui nous conduit à notre perte nous sauve.
Je partage dans cet article l'analyse du Pr Christophe de Brouwer qui suggère fortement, données à l'appui, que les mesures absurdes qui sont prises en Belgique (et en France) ne font qu'aggraver les choses.
Suivie par une prise de position de M. Alain Sachs, comédien, dramaturge et metteur en scène, qui revient sur l'hallucinante (et à vrai dire obscène) allocation d'Emmanuel Macron du 28 octobre.
Suivie d'un très beau texte de cette médecin-psychiatre, qui s'est déjà exprimé sur cette page, nous invitant à nous réveiller de toute urgence. Ce qui, à voir le déni et la passivité collectifs, n'est pas gagné d'avance !
Bonne lecture, mais aussi bon courage !
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Covid : Belgique, Suède et autres pays
par Christophe de Brouwer, professeur et président émérite de l'École de Santé publique à l'Université libre de Bruxelles
Et voilà, nos gouvernements ont pris des décisions qui, j'en ai la conviction, mèneront notre (nos) pays de catastrophe en catastrophe, pas seulement sur le plan socio-économique et individuel, mais aussi sur le plan sanitaire.
À force de vouloir contrarier la marche naturelle d’une épidémie, on en a, en quelque sorte, créé une. Ne nous voilons pas la face, cette poussée épidémique-ci est, à mon sens, beaucoup trop précoce dans la marche naturelle d’un virus saisonnier (ce qu’est le sars-cov-2).
Je m’explique. Les pays qui ont pris peu de mesures de coercition des libertés publiques pour entraver la marche du virus, mais au contraire, on investit dans l’accompagnement, la prise en charge médicale précoce des patients, ont subi une épidémie de petite ampleur chez eux, non visible sur les courbes de mortalité générale. Ce qui se passe aujourd'hui chez eux est vraiment peu important.
L’exemple en est l’Allemagne.
Des pays qui ont pris peu de mesures de coercition des libertés publiques, laissant l’épidémie se dérouler normalement et peu mis en place la prise en charge thérapeutique précoce, ont eu une épidémie importante en mars-avril en termes de mortalité, mais rien aujourd’hui. L’exemple est la Suède.
Des pays qui ont pris d’importantes mesures de coercition des libertés publiques pour entraver l’histoire naturelle du virus et peu de mesures de prises en charge thérapeutique précoce (court-circuit de la ligne primaire de soins de santé au profit des hôpitaux et des laboratoires) vont de catastrophe en catastrophe. L’exemple est la France ou la Belgique.
Des pays qui ont pris peu de mesures de coercition des libertés publiques, laissant l’épidémie se dérouler normalement et peu mis en place la prise en charge thérapeutique précoce, ont eu une épidémie importante en mars-avril en termes de mortalité, mais rien aujourd’hui. L’exemple est la Suède.
Des pays qui ont pris d’importantes mesures de coercition des libertés publiques pour entraver l’histoire naturelle du virus et peu de mesures de prises en charge thérapeutique précoce (court-circuit de la ligne primaire de soins de santé au profit des hôpitaux et des laboratoires) vont de catastrophe en catastrophe. L’exemple est la France ou la Belgique.
Graphique 1 : je juxtapose trois pays : la Suède et la Belgique, de population comparable. Et l’Allemagne, de décès comparables à la Belgique. Vous noterez qu’on prédit au 6 octobre une remontée de la mortalité en Suède … on attend.
Graphique 2 : trois moments de projection de l’épidémie en Suède : du 4 mai, puis du 3 juillet, et enfin du 5 septembre.
Les prédictions pour la Suède au cours du temps sont très parlantes.
On voit les courbes prédictives catastrophiques pour ce pays, validant faussement les mesures de coercition de nos libertés prises par les ‘autres’ … et rien ne se passe comme le prédisait nos « experts » du malheur.
Ce qui est intéressant, c’est que ces mêmes grands « experts » leur prédisaient une épidémie qui allait durer, durer jusqu’à la fin de l’année (cf courbe du 4 mai). Et c’est exactement le contraire qui s’est passé. Elle a pris fin comme chez nous, mais en plus elle n’a pas repris.
Quand donc apprendrons-nous des autres ?
Ce qui est intéressant, c’est que ces mêmes grands « experts » leur prédisaient une épidémie qui allait durer, durer jusqu’à la fin de l’année (cf courbe du 4 mai). Et c’est exactement le contraire qui s’est passé. Elle a pris fin comme chez nous, mais en plus elle n’a pas repris.
Quand donc apprendrons-nous des autres ?
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Cet homme...
par Alain Sachs, comédien, dramaturge et metteur en scène
Cet homme est tout simplement un grand malade. Un handicapé de l’autre. Totalement dénué de tout sentiment. Incapable de la moindre compassion pour quiconque. Ne parlons pas de ses décisions, qui constitutionnellement lui appartiennent pleinement, auxquelles nous nous attendions tous, et que chacun appréciera à sa façon. Bien évidemment des mesures s’imposaient pour venir au secours du monde médical totalement exsangue.
Mais n’avoir pas le moindre mot pour son peuple et ses terribles souffrances, est une insulte absolue. N’avoir pas compris que c’est d’un discours historique dont nous avions tous besoin. À la hauteur de la situation dont la dimension elle-même historique n’échappe à personne. Jusqu’à feindre d’ignorer que nombreux ne s’en relèveront jamais. Que des drames effroyables vont très vite advenir.
Quant au mépris total pour la culture, bien plus qu’à nous autres, valeureux combattants mis à terre parmi d’autres combattants tout aussi valeureux, il est d’abord et avant tout une offense impardonnable à chacun des habitants de ce pays. Qui heureusement lui a compris depuis longtemps qu’un récit, une image, une musique, une pensée, une vision, un rire, une larme étaient essentiels, car tout simplement le seul moyen pour l’homme de traverser les épreuves.
Mais lui dire avec émotion et sincérité qu’il pouvait ressentir cela et partager avec lui ce manque qui allait être quelque temps le nôtre a nous tous, était hors de sa portée. Et si c’était précisément ça être hors sol ? Courage à tous.
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Réveillons-nous !
par la Dre G. F., médecin-psychiatre
Je ne suis ni experte, ni professeur, ni spécialiste de quoi que ce soit. Je suis un simple psychiatre, une clinicienne qui réfléchit et qui souhaite continuer à réfléchir et à penser. Je pense que le débat d’idées est sain et que c’est de la confrontation des idées que naissent les progrès.
Et je suis terriblement triste du spectacle du monde en ce moment.
Que nous arrive-t-il pour que nous laissions le politique diriger nos vies jusque dans nos foyers ?
par Alain Sachs, comédien, dramaturge et metteur en scène
Cet homme est tout simplement un grand malade. Un handicapé de l’autre. Totalement dénué de tout sentiment. Incapable de la moindre compassion pour quiconque. Ne parlons pas de ses décisions, qui constitutionnellement lui appartiennent pleinement, auxquelles nous nous attendions tous, et que chacun appréciera à sa façon. Bien évidemment des mesures s’imposaient pour venir au secours du monde médical totalement exsangue.
Mais n’avoir pas le moindre mot pour son peuple et ses terribles souffrances, est une insulte absolue. N’avoir pas compris que c’est d’un discours historique dont nous avions tous besoin. À la hauteur de la situation dont la dimension elle-même historique n’échappe à personne. Jusqu’à feindre d’ignorer que nombreux ne s’en relèveront jamais. Que des drames effroyables vont très vite advenir.
Quant au mépris total pour la culture, bien plus qu’à nous autres, valeureux combattants mis à terre parmi d’autres combattants tout aussi valeureux, il est d’abord et avant tout une offense impardonnable à chacun des habitants de ce pays. Qui heureusement lui a compris depuis longtemps qu’un récit, une image, une musique, une pensée, une vision, un rire, une larme étaient essentiels, car tout simplement le seul moyen pour l’homme de traverser les épreuves.
Mais lui dire avec émotion et sincérité qu’il pouvait ressentir cela et partager avec lui ce manque qui allait être quelque temps le nôtre a nous tous, était hors de sa portée. Et si c’était précisément ça être hors sol ? Courage à tous.
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Réveillons-nous !
par la Dre G. F., médecin-psychiatre
Je ne suis ni experte, ni professeur, ni spécialiste de quoi que ce soit. Je suis un simple psychiatre, une clinicienne qui réfléchit et qui souhaite continuer à réfléchir et à penser. Je pense que le débat d’idées est sain et que c’est de la confrontation des idées que naissent les progrès.
Et je suis terriblement triste du spectacle du monde en ce moment.
Que nous arrive-t-il pour que nous laissions le politique diriger nos vies jusque dans nos foyers ?
Il est temps de sortir de l’état hypnotique et léthargique dans lequel nous sommes. Je précise que le virus existe et tue en effet, une mort est toujours tragique. Cependant le nombre de morts ne justifie pas le maintien de la peur au niveau actuel. Nous sommes en pleine psychose collective.
La peur hypnotique distillée jour après jour dans tous les médias nous maintient dans un état de sidération qui empêche toute réflexion et toute mise en perspective de ce qui nous arrive.
Réveillons-nous !
Nous acceptons sans broncher que des femmes accouchent masquées. Pensons à leur souffrance, à leur suffocation, à leurs efforts dans ce moment de vie si particulier et si important. Pensons aux nouveaux-nés dont le premier contact avec leur mère est un contact masqué-manqué. Combien de troubles de l’attachement laissons-nous fabriquer sans rien y trouver à redire ?
Réveillons-nous !
Nous acceptons tout un tas de restrictions pour nos enfants et de mesures qui maintiennent l’idée du danger permanent car ils vont transmettre le virus si dangereux à leurs parents ou grands-parents et deviendront ainsi responsables de leur mort. Une mort atroce. Intubé et ventilé seul dans un lit de réanimation. Quelle idée du monde dans lequel ils grandissent leur enseignons-nous ? Combien de trauma transgénérationnels sommes-nous en train de fabriquer ?
Réveillons-nous !
Nous acceptons de laisser nos adolescents ne plus aller à l’Université ou seulement certains jours car ils ont la chance d’avoir cours en « présentiel » et doivent cependant ne pas traîner dans les couloirs et discuter avec leurs copains. Nous acceptons qu’ils ne puissent plus sortir puisque les boites de nuit sont fermées, et en général nous les laissons être privés de lieux de divertissement. Quel monde leur proposons-nous?
Réveillons-nous !
Nous acceptons de ne plus sortir, ne plus aller au restaurant ou au bar, ne plus aller au spectacle, au concert, au théâtre, au cinéma et même chez des amis ou de la famille…
Que nous reste-t-il? Travailler? Travailler et dormir? Ah non, travailler, consommer et dormir.
Réveillons-nous!
Nous acceptons de ne plus nous réjouir de prochaines rencontres entre amis ou en famille, de prochaines vacances ou de projets futurs de voyages. Ils risquent fort d’être annulés par de nouvelles mesures.
Réveillons-nous!
Nous acceptons de porter un masque même à l’intérieur de nos foyers et de limiter le nombre de personnes se mettant à table?
La peur hypnotique distillée jour après jour dans tous les médias nous maintient dans un état de sidération qui empêche toute réflexion et toute mise en perspective de ce qui nous arrive.
Réveillons-nous !
Nous acceptons sans broncher que des femmes accouchent masquées. Pensons à leur souffrance, à leur suffocation, à leurs efforts dans ce moment de vie si particulier et si important. Pensons aux nouveaux-nés dont le premier contact avec leur mère est un contact masqué-manqué. Combien de troubles de l’attachement laissons-nous fabriquer sans rien y trouver à redire ?
Réveillons-nous !
Nous acceptons tout un tas de restrictions pour nos enfants et de mesures qui maintiennent l’idée du danger permanent car ils vont transmettre le virus si dangereux à leurs parents ou grands-parents et deviendront ainsi responsables de leur mort. Une mort atroce. Intubé et ventilé seul dans un lit de réanimation. Quelle idée du monde dans lequel ils grandissent leur enseignons-nous ? Combien de trauma transgénérationnels sommes-nous en train de fabriquer ?
Réveillons-nous !
Nous acceptons de laisser nos adolescents ne plus aller à l’Université ou seulement certains jours car ils ont la chance d’avoir cours en « présentiel » et doivent cependant ne pas traîner dans les couloirs et discuter avec leurs copains. Nous acceptons qu’ils ne puissent plus sortir puisque les boites de nuit sont fermées, et en général nous les laissons être privés de lieux de divertissement. Quel monde leur proposons-nous?
Réveillons-nous !
Nous acceptons de ne plus sortir, ne plus aller au restaurant ou au bar, ne plus aller au spectacle, au concert, au théâtre, au cinéma et même chez des amis ou de la famille…
Que nous reste-t-il? Travailler? Travailler et dormir? Ah non, travailler, consommer et dormir.
Réveillons-nous!
Nous acceptons de ne plus nous réjouir de prochaines rencontres entre amis ou en famille, de prochaines vacances ou de projets futurs de voyages. Ils risquent fort d’être annulés par de nouvelles mesures.
Réveillons-nous!
Nous acceptons de porter un masque même à l’intérieur de nos foyers et de limiter le nombre de personnes se mettant à table?
Réveillons-nous !
Nous acceptons de gober le discours officiel sur la dangerosité du virus et la responsabilité-culpabilité énormes à le transmettre. Il y a eu en Suisse pour toute l’année 201, 4649 décès dus à des affections respiratoires. Nous en sommes à ce jour à 1854 décès dus au Covid. Combien en revanche aurons-nous à déplorer de morts par effets collatéraux? Pertes d’emplois, dépressions interminables, suicides, flambée de maladies psychosomatiques…
Réveillons-nous!
Tout ce qui faisait le sel de nos vies est sacrifié sur un autel imaginaire. Le virus existe, sa dangerosité également comme pour beaucoup de virus avec lesquels nous vivons pourtant depuis toujours. Cependant la dangerosité du Sars-Cov-2 ne se situe pas dans des proportions qui justifient que nous acceptions tous ces sacrifices.
Réveillons-nous !
Nous acceptons de croire que seul un vaccin nous libèrera. De quoi? Du danger qui n’existe pas dans ces proportions là? Nous libèrera de la prison dans laquelle nous avons accepté de nous laisser enfermer? Nous allons retrouver notre vie d’avant dès que nous serons vaccinés? Nous allons pouvoir payer nos courses en espèces, aller au restaurant sans être tracés, aller au concert, voyager, faire des fêtes et des réunions de famille sans être tracés, comme avant, juste par ce que nous serons vaccinés? Vous y croyez? Il ne faut pas être naïf.
Réveillons-nous !
L’histoire nous enseigne que les libertés perdues ne se retrouvent plus ou alors à quel prix.
Réveillons-nous !
Nous acceptons tous ces sacrifices car nous croyons que c’est grâce à eux que la mortalité liée à ce virus n’est pas plus importante et ensuite la vie va reprendre comme avant. Un petit sacrifice au fond pour chacun d’entre nous. Rien de bien méchant, un petit effort collectif et ensuite tout reprendra comme avant.
C’est un mensonge éhonté.
Il suffit de se souvenir que lors du premier déconfinement, rien n’est revenu exactement « comme avant » sous prétexte qu’il fallait continuer à faire attention.
Réveillons-nous !
Nous acceptons le discours martelé sur les ondes : si vous êtes malade, restez chez vous et n’infectez personne. N’allez pas voir le médecin sauf si vous avez besoin de soins intensifs.
Qu’est-ce que cette médecine du 21ème siècle?
Réveillons-nous!
Les traitement précoces, il y en a plusieurs, existent et fonctionnent. D’autres traitements fonctionnent à un stade plus avancé de la maladie et seules quelques personnes arrivent en réanimation dont on sait que la mortalité y est importante, toute pathologie confondue.
Réveillons-nous!
Nous sommes des êtres humains et à ce titre nous avons besoin de contacts physiques et psychologiques pour vivre. L’isolement incessant imposé par le port du masque, la distance sociale et maintenant la limite du nombre de personnes à accueillir chez soi est une maltraitance faite à notre condition humaine.
Réveillons-nous!Nous acceptons sans broncher d’être divisés, séparés et catalogués entre nous et jusque dans nos foyers? Les justes d’un côté et les débiles complotistes de l’autre?
Réveillons-nous !
La réalité n’est jamais toute blanche ou toute noire. En chacun d’entre nous il y a des croyances erronées et des peurs limitantes. Nous avons besoin de compassion les uns envers les autres et non de divisions.
Réveillons-nous!
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