14 avril 2020

N’oublions pas que nous ne sommes pas dans une période ordinaire


N’oublions pas que nous ne sommes pas dans une période ordinaire, mais extraordinaire et toutes les exactions sont permises. Quelque part autour de juin/juillet, les caisses seront vides et les emprunts seront au maximum. La pandémie ne sera pas terminée à ce moment. S’ils ne repartent pas la mécanique de la société d’ici là, le remède sera pire que le mal. Stratégiquement, le seul choix qu’ils ont sera de nous obliger à cohabiter avec la maladie et de repartir la mécanique de la société en même temps. Ainsi arcbouté ensemble, la mortalité deviendra la raison des déficiences de la mécanique de la société et l’équilibre entre les deux, seule garante d’une certaine stabilité, se fera à travers la modulation de la quantité de morts. En d’autres mots, ils vont effacer les bouches inutiles. Avec une nouvelle vague, plus sévère, tout change radicalement si la mortalité dépasse ce seuil et que la peur s’empare de la population au point où les gens refusent d’aller travailler. Si la quantité de bras manque, ils vont forcer le service civil, lançant un autre principe qui ne reculera plus avant longtemps.

- Ce livre qui prenait la poussière dans le fond de mon site est plus opportun que jamais. La force mystérieuse de Boex apporte certaines réponses. Avec Arthur Conan Doyle et son roman « La ceinture empoisonnée », ils furent les deux premiers auteurs à traiter de ce sujet millénaire sous un format romancé, une échappatoire à la censure de l’OCR. Fort des mythes, des légendes et des histoires de familles indécrottables, ces deux auteurs ont su mettre en mots modernes des histoires simples dans lesquelles ils observaient la même montagne d’un endroit différent. Bonne lecture.

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