Photo illustrative |
Après avoir été alertée par les gardes de la station de métro, la police locale a d’abord arrêté 15 personnes au total, certaines pour avoir participé à l’attaque et d’autres parce qu’elles vivaient dans le même bâtiment (un squatte), qui est dans un état de ruine. Durant la matinée de lundi, huit d’entre eux ont été libérés et sept sont toujours en détention. Parmi eux se trouverait deux mineurs. Selon des sources policières, leur participation présumée à des agressions sexuelles est attestée par les images des caméras de surveillance du métro.
L’événement a déclenché une controverse politique à laquelle ont été confrontées la ville de Santa Coloma de Gramenet et la Generalitat. Le consistoire, dirigé par la socialiste Núria Parlon, a publié lundi un communiqué. Le texte dénonce « la présence de ces jeunes et de mineurs non accompagnés qui circulent dans la région catalane, sans domicile fixe en commettant différents crimes et délits et en générant une alarmante insécurité dans les villes catalanes ». Le gouvernement local a demandé à la Generalitat de traiter la question « de manière globale et en tant que problème national » et a demandé des « mesures urgentes », en plus d’un renforcement du personnel de Mossos.
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El Pais
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