Durant plusieurs décennies, un gang ethnique constituant un très vaste réseau de pédophilie a pu violer, en toute impunité, jusqu’à 1.000 jeunes filles (la plupart d’origine européenne). Tandis que la presse française n’avait fait écho que tardivement et timidement de ces agissements horribles, Breizh-info.com était l’un des premiers médias francophones à traiter du sujet !
Violée par 70 hommes
Parmi les drames vécus par ce millier de jeunes (voire très jeunes) filles, un cas interpelle quant à l’extrême clémence de la justice britannique dans l’un des jugements rendus. Une enfant de 12 ans a ainsi été violée par près de 70 pédophiles d’origine pakistanaise et bangladaise (et de religion musulmane) appartenant au gang de Telford.
Enceinte à l’âge de 13 ans, la victime a vécu un calvaire durant quatre ans, entre abus sexuels à répétition et menaces de mort proférées par le réseau pédophile de Telford afin qu’elle garde le silence. Ce n’est qu’à 16 ans, lorsqu’elle fuira la ville, que la jeune fille se libérera enfin de l’emprise du gang de migrants. Interrogée par un quotidien anglais, elle a déclaré que ces pédophiles lui avaient « volé son enfance ». Et d’ajouter : « Tout ce que je veux, c’est la justice, parce que les hommes qui m’ont violée se promènent en liberté ».
Quelle justice ?
Un soif de justice qui se comprend d’autant plus que, comme l’a souligné la jeune fille désormais adulte, ses violeurs sont à l’heure actuelle toujours libres ! Ainsi, sur ses 70 bourreaux, seul un homme (Balraj Singh, 23 ans) a été reconnu coupable d’avoir abusé d’elle.
Ce Balraj Singh (un nom d’origine indienne) a été condamné à trois ans et demi de prison pour infraction sexuelle sur mineur. Par ailleurs, un test ADN sur le fœtus avorté à l’époque avait permis d’identifier l’homme qui avait mis l’adolescente enceinte. Mais les accusations ont été abandonnées après que le violeur ait déclaré qu’il croyait que sa victime avait 16 ans.
Désormais, la jeune fille espère pouvoir traduire en justice d’autres membres du réseau pédophile. Pour parvenir à ses fins, elle doit convaincre le CPS (Crown Prosecution Service, que l’on peut traduire par « Service national des poursuites pénales ») de revenir sur sa décision de ne pas poursuivre les principaux suspects.
À Telford comme ailleurs…
De son côté, le CPS, par l’intermédiaire de l’un de ses porte-paroles, a déclaré s’être « engagé à soutenir les victimes ». Toutefois, « en ce qui concerne cette enquête, il n’y avait pas assez de preuves pour poursuivre d’autres suspects ».
Sans en tirer des conclusions trop manichéennes, nous ne pouvons nous empêcher de mettre en parallèle les atermoiements de la justice britannique dans la lutte menée face à ces gangs extra-européens de prédateurs sexuels et l’empressement de cette même justice à jeter en prison Tommy Robinson. Ce journaliste qui a justement eu la mauvaise idée de s’intéresser d’un peu trop près à ces réseaux pédophiles au Royaume-Uni. Simple coïncidence peut-être ?
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