30 septembre 2018

Les Dessous des Révolutions...


L’ensemble des révolutions dans le monde n’ont pas eu lieu indépendamment les unes des autres ; un fil directeur les relie tout au long de l’Histoire. Si les noms des rois et des hommes de terrain changent, les financiers de ce mouvement sont les mêmes. C’est ce que démontrent nombre de livres, qui ne sont pas mis en avant dans notre cursus d’éducation.

C’est en étudiant le Mouvement Révolutionnaire Mondial (M.R.M.) par l’entremise de divers auteurs que les choses s’éclairent. William Guy Carr et son « Des Pions sur l’Echiquier« , Nesta Webster et son « La révolution mondiale, Le complot contre la civilisation » ou le synthétique « Synthèse du mouvement révolutionnaire mondial » de Johan Livernette pour commencer, nous permettent de comprendre les coulisses occultées de l’Histoire.

Extrait de Synthèse du mouvement révolutionnaire mondial
de Johan Livernette

 
Le mouvement révolutionnaire mondial eut son premier terrain d’expérience au XVIIème siècle en Angleterre avec l’instauration de la République de Cromwell et la première exécution d’un Roi. Un homme et un fait marquant seront les initiateurs de ce mouvement révolutionnaire : la révolution anglaise qui se déroula lors de la seconde moitié du XVIIème siècle et le père incontournable de la finance internationale, le Khazar ashkénaze Amschel Mayer Rothschild (1744-1812) (« Bauer » de son premier nom et dont le commerce se développa d’abord en recruteur de paysans pour l’armée hanovrienne et anglaise).

Une fois la guerre de Trente Ans terminée (1618-1648), laquelle réduisit notamment l’Allemagne au tiers de sa population, tout débuta en 1649, année où le Roi catholique Charles d’Angleterre fut publiquement décapité le 30 janvier sur décision de Cromwell. Ce souverain anglais est considéré par l’Eglise comme un martyr, comme le sera Louis XVI, car il est mort à cause de sa foi après avoir essuyé de multiples calomnies. Sa destitution avait pour but concret le contrôle de l’économie par la finance apatride. 45 ans séparent son exécution de la mise en place de la Banque d’Angleterre en 1694. Entre temps se produisirent toutes sortes de guerres impliquant les Anglais : de la féroce répression de l’Irlande catholique en 1652 à la bataille de la Boyne en 1690 en passant par la confrontation face aux Pays-Bas en 1659 ou encore face à la France en 1666. Ces guerres eurent pour unique dessein de déstabiliser les nations et surtout de les endetter durablement. Dans le même temps, chômage, famine, épidémies et grande dépression (1665) s’abattaient sur l’Angleterre alors que les Kabbalistes y provoquaient, déjà, diverses luttes religieuses en 1667.

C’est donc une communauté britannique affaiblie qui, quelques décennies plus tard, allait subir le complot des banquiers internationaux khazars. Le contexte était propice au changement de pions voulu par les prêteurs usuriers de l’époque.

Ainsi, le prince protestant Guillaume d’Orange fut investi, selon la volonté des banquiers internationaux, en lieu et place du Roi catholique James ou Jacques Stuart (1633-1701). Ce dernier fuit son pays et se réfugia en France. Son successeur Guillaume d’Orange exécuta l’acte décisif profitable à ses mentors et qui était la condition de son accès au trône : un prêt de 1250000 livres fut accordé à des financiers dont faisaient partie les Rothschild et des financiers d’Amsterdam. Lesquels purent créer la Banque d’Angleterre et assoir leur domination en tirant parti de la dette souveraine.

Un petit groupe de banksters avait donc provoqué divers conflits pour en tirer les bénéfices. Ils avaient pris sournoisement le pouvoir d’émettre de la monnaie sur l’économie de la nation anglaise et donc le contrôle de cette dernière. Soulignons aussi que, dans sa ruse, la maçonnerie anglaise gagnera une partie de l’aristocratie en prétendant rétablir les Stuart sur le trône.

 
En intégralité, la seconde moitié du deuxième chapitre du livre de William Guy Carr, « Des pions sur l’échiquier » (p.60 à 77, Edition ESR).

(Les images et mises en formes sont rajoutées par nos soins, sauf les mots soulignés par l’auteur.)

CHAPITRE II
LA RÉVOLUTION ANGLAISE (1640 ~ 1660)


(…) En 1253, le gouvernement français ordonna l’expulsion des Juifs car ils refusaient d’obéir à la loi. La plupart des Juifs expulsés s’en allèrent en Angleterre : en 1255, les prêteurs d’argent Juifs avaient le contrôle absolu d’un grand nombre de dignitaires ecclésiastiques et d’une grande partie de la Noblesse [1] .
Le livre «Aaron de Lincoln» édité par Shapiro-Valentine et Co. donne des informations intéressantes quant à cette période de l’Histoire. La Jewish Encyclopedia de Valentine déclare : «Leur nombre et leur prospérité s’accrurent. Aaron de Lincoln (dont la maison existe encore aujourd’hui) devint l’homme le plus riche d’Angleterre. Ses transactions financières couvraient tout le pays et concernaient beaucoup d’hommes d’Église et de Nobles influents»… A sa mort, ses biens passèrent à la Couronne et l’on dut créer une branche particulière au Trésor pour s’occuper de ses domaines (n.d.a.).

Les Rois de l’Argent, les Rabbins et les Anciens (les Sages) faisaient partie des Illuminati : cela fut définitivement établi lors de l’enquête ordonnée le Roi Henry III après le Crime Rituel de St Hugh de Lincoln, en 1255. Dix-huit Juifs furent reconnus coupables et exécutés, après avoir été jugés. En 1272, le Roi Henry mourut et Edouard 1er devint Roi d’Angleterre. Il ordonna aux dirigeants Juifs d’abandonner la pratique de l’usure et en 1275, il fit voter par le Parlement les «Statuts de la Juiverie». Ils étaient destinés à freiner le pouvoir qu’exerçaient les usuriers Juifs sur leurs débiteurs chrétiens et même Juifs (!). Les Statuts de la Juiverie furent certainement le premier document législatif à propos duquel «les Communes» (le Parlement Britannique) eurent une part active. On ne peut les taxer d’antisémites car elles protégeaient vraiment les intérêts des Juifs honnêtes et disciplinés. Les Statuts de la Juiverie furent reproduits in-extenso dans l’appendice 1 de «La Guerre Sans Nom», ouvrage écrit par le Capitaine A.H.M. Ramsay.

Mais comme on le constatera souvent à cette époque, les prêteurs d’argent Juifs pensèrent qu’en usant de leur pouvoir sur l’Église et sur l’État, ils pourraient fronder les décrets du Roi, comme ils l’avaient fait pour les décrets du Concile du Latran. Ils commirent une grave faute. En 1290, le Roi Edouard promulgua un autre décret : tous les Juifs étaient expulsés d’Angleterre. Ce fut le commencement de ce que les historiens appellent «la Grande Eviction».

Après qu’Edouard 1er eût enclenché le mécanisme, toutes les Têtes Couronnées d’Europe suivirent son exemple. En 1306, la France expulsa les Juifs et en 1348 la Saxe suivit. En 1360, la Hongrie ; en 1370, la Belgique ; en 1380, la Slovaquie ; en 1420, l’Autriche ; en 1444, les Pays-Bas, et en 1492, l’Espagne.

L’expulsion des Juifs d’Espagne a une signification particulière. Elle jette quelque clarté sur l’Inquisition espagnole. La plupart des personnes [1] ont vis-à-vis de l’Inquisition une idée préconçue : elle aurait été instituée par les Catholiques Romains pour persécuter les Protestants qui s’étaient séparés de l’Église. Mais en fait, l’Inquisition, telle que présentée par le Pape Innocent III, était un moyen de démasquer les hérétiques et les infidèles qui se dissimulaient sous le masque de chrétiens dans le dessein de détruire la religion chrétienne de l’intérieur [2]. Les Inquisiteurs ne faisaient pas la moindre différence entre des accusés Juif ou Gentil, noir ou blanc. La terrible cérémonie de «l’Autodafé» ou «Acte de Foi» était employée en général pour les exécutions d’hérétiques ou d’infidèles convaincus à l’époque où Torquemada (1420-1498) était Grand Inquisiteur [3].
Vision américaine de l’Inquisition ! (n.d.t.).
Les Juifs étant chassés de tous les pays européens, Chamor, Rabbin d’Arles en Provence, rechercha alors conseil auprès du Sanhédrin qui se situait à l’époque à Constantinople. Sa requête était datée du 13 Janvier 1489. La réponse arriva en novembre 1489 ; elle était signée V.S.S.-V. F. F. Prince des Juifs. Elle conseillait aux Rabbins d’adopter la tactique du «Cheval de Troie» et de faire de leurs fils des prêtres, des laïcs, des hommes de Loi et des docteurs, etc. afin de pouvoir détruire la structure chrétienne de l’intérieur (n.d.a.). (Voir aussi Les Dessous de la conspiration de 1489, Ndlr)

L’Encyclopédia Britannica, à la page 57 du volume 13, édition de 1947, mentionne : «Le quatorzième siècle fut l’Age d’Or pour les Juifs en Espagne. En 1391, le sermon d’un prêtre de Séville -Fernando Martenez — conduisit au premier massacre général des Juifs que l’on enviait pour leur prospérité et que l’on haïssait parée qu’ils étaient les percepteurs du Roi» (n.d.a.).

Ce sont les incidents cachés qui révèlent si bien la vérité. Dans l’Espagne du quatorzième siècle, les prêteurs d’argent Juifs réussirent, les premiers, à se faire garantir les prêts qu’ils faisaient à l’État par le droit de percevoir des taxes sur la population. Ils faisaient preuve d’une telle cruauté lorsqu’ils demandaient leur Livre de Viande, qu’il suffit alors du discours enflammé du prêtre Fernando Martenez pour qu’une action de masse se produisît et aboutisse à l’un des massacres les plus sanglants de l’histoire. Voilà encore un exemple saisissant illustrant la façon dont on massacra des milliers de Juifs innocents, pris pour victimes des péchés et des crimes commis contre l’humanité par une poignée de leurs congénères [1].

En 1495 les Juifs furent expulsés de Lituanie. En 1498, du Portugal ; en 1540, d’Italie et en 1551, de Bavière. Notons qu’au cours de ces expulsions générales, certains Juifs riches et influents essayèrent de chercher refuge à Bordeaux, Avignon, dans les États du Pape, à Marseille, dans l’Alsace du Nord et dans une partie de l’Italie du Nord. Mais comme le déclare l’Encyclopédia Britannica, « on retrouva les populations Juives une fois de plus dans l’Est et dans les Empires polonais et turc ».

Après les grandes expulsions, les Juifs furent de nouveau confinés dans des Ghettos ou Kahals. Isolés ainsi des populations, les Juifs étaient contrôlés et dirigés par leurs Rabbins et leurs Anciens (Sages) dont nombre d’entre eux étaient sous l’influence des Illuminati et des riches prêteurs d’argent Juifs, tapis dans leurs divers sanctuaires. Dans les Ghettos, les agents des Illuminati enracinèrent un sentiment de haine et de vengeance dans les cœurs du peuple Juif vis-à-vis de ceux qui les avaient éjectés. Les Rabbins leur rappelèrent qu’en tant que peuple choisi par Dieu, le jour viendrait où ils auraient leur vengeance et hériteraient de la terre.

On devrait signaler que la plupart des Juifs qui s’établirent en Europe de l’Est se virent obligés de vivre à l’intérieur d’une «Zone de Colonisation» située aux frontières occidentales de la Russie et s’étendant des rivages de la Mer Baltique (au Nord) jusqu’à ceux de la Mer Noire (au Sud). La plupart d’entre eux étaient des Juifs Khazars [2] ,connus pour leur culture Yiddish, leur comportement de rapace dans les questions financières et leur manque de moralité dans les transactions commerciales. On ne doit pas les confondre avec les Hébreux des Temps Bibliques qui étaient des hommes de principe et de façon plus générale, un peuple de pasteurs.
Nous traitons davantage de cet aspect dans les chapitres se rapportant à l’Espagne (n.d.a.).
H. G. Wells définit très clairement les différences dans son «Esquisse de l’Histoire» aux pages 493-494 (n.d.a.).

A l’intérieur des Ghettos, baignant dans une atmosphère de haine, les agents des Illuminati accrurent le désir de vengeance. Ils érigèrent cette situation déplorable en Mouvement Révolutionnaire Mondial, basé sur le Terrorisme. Dès son commencement, les Rois de l’Argent Internationaux et leurs Grands Prêtres instituèrent, financèrent et contrôlèrent le Mouvement Révolutionnaire Mondial, instrument de leur vengeance tant attendue sur les Églises Chrétiennes et les Têtes Couronnées d’Europe.

Les Rois de l’Argent transformèrent le Mouvement Révolutionnaire en Communisme International, tel que nous le connaissons aujourd’hui. Ils fédérèrent les terroristes en un mouvement révolutionnaire discipliné, puis montèrent un réseau d’infiltration systématique dans chacun des pays d’où ils avaient été expulsés. Leur retour étant illégal, la seule méthode pour réaliser cette infiltration, c’était de constituer des «Réseaux Occultes» [Undergrounds] [1]. Comme les Juifs qui s’étaient infiltrés dans les «Undergrounds» des villes Européennes ne pouvaient être employés légalement ; on leur versa des sommes qui leur permirent de développer le système du «Marché Noir» et ils s’engagèrent dans toutes sortes de trafics et de commerces illégaux. En travaillant selon le principe de la «Société Anonyme», l’identité des Rois d’Argent qui contrôlaient et à qui appartenait ce gigantesque «Underground», resta toujours secrète [2].
Expression intraduisible: camouflage; souterrain; coulisse; système des «Taupes» (n.d.t.).
Y compris à l’heure actuelle : les entrées illégales aux États-Unis et en Palestine Ont atteint des nombres jamais vus depuis la fin de la Deuxième Guerre Mondiale. Nous produirons certaines preuves afin de démontrer que cet «Underground» est généralement associé à tous les mouvements antisociaux qui constituent un véritable «monde souterrain» (n.d.a.).

Le Comte Léon de Poncins, Madame Nesta Webster, Sir Walter Scott et beaucoup d’autres historiens ont suspecté les Illuminati et un groupe d’internationalistes d’être Le Pouvoir Occulte derrière le Mouvement Révolutionnaire Mondial. Mais ce ne fut que très récemment qu’on apporta des preuves suffisantes à ce qui n’était qu’une intuition.

William Foss et Cecil Gerahty, auteurs de «L’Arène Espagnole», déclarent : «Le fait de savoir qui sont les personnages dirigeants, à l’abri derrière la Société Anonyme Pour la Domination Mondiale et comment ils arrivent à leur but, dépasse le cadre de notre ouvrage. Mais il y un important livre à faire, et ce livre devra être écrit par un homme de très grand courage qui ne tiendra pas compte de sa propre vie dans un monde qui voudrait illuminer la prétraille satanique aux ordres».

Si le plan visant à s’infiltrer dans les pays d’où ils avaient été expulsés s’avéra une réussite, nous pouvons nous en rendre compte en examinant les faits suivants : les Juifs revinrent en Angleterre en 1600 ; en Hongrie, en 1500. On les expulsa de nouveau en 1582. Ils revinrent en Slovaquie en 1562 mais furent de nouveau expulsés en 1744. Ils revinrent en Lituanie en 1700. Mais peu importe le nombre de fois où ils furent expulsés car «l’Underground» Juif exista toujours. A partir de celui-ci les Puissances Secrètes dirigèrent leurs activités révolutionnaires.

Comme le Roi Edouard 1er d’Angleterre avait, le premier, expulsé les Juifs, les Rois Juifs de l’Argent, de France, de Hollande et d’Allemagne, décidèrent que ce ne serait que justice d’essayer d’abord leur technique révolutionnaire en Angleterre. Ils confièrent à leurs agents de «l’Underground», ou «Cellules», la tache de provoquer des frictions entre le Roi et son Gouvernement, les employeurs et les ouvriers, la classe dirigeante et les travailleurs, l’Église et l’État. Les conjurés furent à l’origine de décisions controversées dans les domaines de la politique et de la religion dans le but exclusif de diviser le peuple en deux opposés [1]. Les conjurés divisèrent en un premier temps le peuple d’Angleterre en catholiques et en protestants, puis ils divisèrent les protestants en conformistes et en non-conformistes.

Menasseh Ben Israel

Lorsque le Roi Charles 1er fut en désaccord avec son Parlement, un Roi Juif de l’argent, originaire de Hollande, Manasseh Ben Israël, fit contacter Oliver Cromwell par ses agents. Ils lui offrirent d’importantes sommes d’argent à condition de mettre à exécution leur plan pour renverser le Trône Britannique. Manasseh Ben Israël et d’autres prêteurs Allemands et Français financèrent Cromwell. Fernandez Carvajal, juif portugais, dont le surnom «le Grand Juif» est resté dans l’Histoire, devint le principal fournisseur militaire de Cromwell : il réorganisa son armée des Round Heads jusqu’à en faire une armée modèle, et lui donna les meilleurs armes et équipements que l’argent pouvait acheter. Une fois la conspiration en route, on fit entrer frauduleusement en Angleterre des centaines de révolutionnaires entraînés, aussitôt absorbés par «l’Underground» Juif La même chose se reproduit de nos jours en Amérique.

Le Chef de «l’Underground» Juif en Angleterre à cette époque était De Souze, que Le Grand Juif, Fernandez Carvajal, avait fait nommer ambassadeur du Portugal. C’est dans sa maison, protégée par l’immunité diplomatique, que «l’Underground» révolutionnaire Juif se tapit et mit au point sa stratégie [2].

Jean Calvin
Une fois la révolution décidée, les conspirateurs Juifs introduisirent le Calvinisme en Angleterre pour séparer l’Église de l’État et diviser le peuple. Contrairement à l’opinion répandue, le Calvinisme est d’origine Juive. Il fut délibérément conçu pour diviser les fidèles des religions chrétiennes et le peuple. Le véritable nom de Calvin était Cohen [3]. Lorsqu’il vint de Genève en France pour commencer à prêcher sa doctrine, il se fit appeler Cauvin et il devint ensuite «Calvin» en Angleterre. Rares ont été les complots révolutionnaires non élaborés en Suisse et rares aussi, les dirigeants révolutionnaires Juifs qui n’ont changé leur nom !

Aux réunions B’nai B’rith tenues à Paris en 1936, on acclama à tout rompre Cohen, Cauvin ou Calvin, quelle qu’en soit l’orthographe, pour son ascendance israélite [4].
L’ouvrage de Sombart «Les Juifs et la Vie Economique» ainsi que «L’Encyclopédie-Juive» abondent dans le sens des déclarations ci-dessus (n.d.a.).
Cette politique a ainsi été pratiquée jusqu’à nos jours : nous allons par la suite montrer comment les ambassades soviétiques, dans tous les pays, se sont transformées en Quartiers Généraux d’intrigues et d’espionnage (n.d.a.).
L’auteur ne le mentionne pas, mais précisons que Luther, fondateur de la secte protestante, était également un membre de la Synagogue de Satan. La religion protestante, comme les autres fausses religions, fut créée par les précurseurs des Illuminati, sur inspiration du Grand Architecte de l’Univers (n.d.l.r.).
Cet événement fut largement commenté dans la Gazette Catholique de Février 1936 (n.d.a.).

Les dirigeants révolutionnaires ne se contentèrent pas de la controverse religieuse, et constituèrent des bandes années afin d’aggraver la situation politique et sociale. Isaac Disraeli (1766-1848), père de Benjamin Disraeli, qui devint plus tard Lord Beaconsfield, a traité en détail de cet aspect de la Révolution Britannique dans son Histoire en deux volumes sur «La vie de Charles II». Il a fait remarquer qu’il avait obtenu des informations considérables grâce aux notes de son coreligionnaire Melchior de Salem, délégué français auprès du Gouvernement Britannique à cette époque.

Disraeli attira l’attention sur la grande similitude des activités révolutionnaires qui précédèrent les deux révolutions Française et Britannique. En d’autres mots, on pouvait reconnaître l’œuvre des véritables directeurs occultes du Mouvement Révolutionnaire Mondial (M.R.M.) dans ces deux révolutions.

Oliver Cromwell

Lord Alfred Douglas recueillit la preuve qui le persuada de façon absolue de la participation d’Oliver Cromwell au Complot Révolutionnaire Juif : il éditait une revue hebdomadaire, Plain English, imprimée par la North British Publishing Co. Dans un article qui parut dans le numéro du 3 Septembre 1921, il expliqua comment un de ses amis, Mr L.D. Van Valckert, d’Amsterdam, était entré en possession d’un livre de notes disparu de la Synagogue de Muljeim. Ce volume qui avait été perdu pendant les guerres Napoléoniennes, contenait un grand nombre de copies de lettres écrites aux rabbins de la Synagogue, ainsi que les réponses envoyées. Ces lettres étaient écrites en allemand. L’une d’entre elles, datée du 16 Juin 1647 nous dit :

«D’O.C. (=d’Oliver Cromwell) à Ebenezer Pratt,

«En échange de votre demande de soutien financier, nous vous demandons la réadmission des Juifs en Angleterre. C’est toutefois impossible du vivant de Charles qui ne peut être exécuté sans jugement, puisque il n’y a aucune charge retenue pour l’instant contre lui. En conséquence, vous devez recommander l’assassinat de Charles mais nous n’aurons rien à voir avec les dispositions que vous prendrez pour trouver un assassin bien que nous soyons disposés à l’aider dans sa fuite».

E. Pratt répondit à cette lettre le 12 Juillet 1647 par une missive qu’il adressa à Oliver Cromwell :

«Fournirons une aide financière dès que Charles sera renversé et les Juifs acceptés. L’assassinat est trop dangereux. On devrait donner à Charles la possibilité de s’enfuir [1]. Une nouvelle arrestation rendrait possible un procès et une exécution. Notre soutien sera généreux mais il est inutile de discuter nos conditions. Le procès doit commencer».

Charles était en détention à cette époque (n.d.a.).

Le 12 Novembre de la même année, on offrit à Charles la possibilité de s’enfuir. Bien entendu, on le captura de nouveau. Hollis et Ludlow, spécialistes de cette période, considèrent tous les deux la fuite comme un stratagème inventé par Cromwell. Une fois que Charles eut été capturé, les événements allèrent vite. Cromwell épura le Parlement Britannique de la plupart des membres qu’il savait fidèles au Roi. Malgré tout ce qu’il venait d’accomplir, lorsque la Chambre tint séance toute la nuit du 5 Décembre 1648, la majorité reconnut «que les concessions faites par le Roi étaient propices à un arrangement».

Un tel arrangement n’aurait pas permis à Cromwell de percevoir son argent imbibé de sang, celui que lui avaient promis les Rois de la Finance par le biais de leur agent E. Pratt. Alors, Cromwell attaqua de nouveau. Il donna l’ordre au Colonel Pryde d’épurer le Parlement des membres qui avaient voté en faveur d’un arrangement avec le Roi. Ce qui se passa, les livres d’Histoire en font mémoire sous le nom d’Épuration de Pryde» [1]. L’épuration terminée, il ne resta que cinquante membres ; le fameux «Parlement aux Ordres». Ils s’arrogèrent le pouvoir absolu et le 9 Janvier 1649 on établit une «Haute Cour de Justice» dans le but d’intenter un procès au Roi d’Angleterre. Les deux tiers des membres du tribunal étaient des «Appointés» de l’armée de Cromwell. Les conspirateurs ne purent trouver un seul homme de loi Anglais qui acceptât la charge de l’accusation contre le Roi Charles. Carvajal instruisit — un Juif étranger Isaac Dorislaus -, agent de Manasseh Ben Israël en Angleterre, pour constituer l’accusation à partir de laquelle on jugea le Roi Charles.
Il est important de remarquer que les livres scolaires ne mentionnent jamais les deux groupes rivaux qui constituent le «Pouvoir Occulte» derrière les Affaires Internationales et qui font l’Histoire. Cette politique a toujours existé en vertu d’un accord tacite (n.d.a.).

On le déclara coupable en fonction des accusations portées contre lui par les banquiers Juifs Internationaux et non par le peuple anglais. Et le 30 Janvier 1649, on le décapita publiquement en face de la «Banqueting House» à Whitehall (Londres). Les financiers Juifs, sous la direction des Grands Prêtres de la Synagogue de Satan tenaient leur vengeance car le Roi Edouard 1er avait expulsé les Juifs d’Angleterre. Oliver Cromwell reçut le prix du sang, tel un nouveau Judas.

Il y avait une autre raison que la simple vengeance pour justifier l’assassinat de Charles. Ils avaient destitué le Roi d’Angleterre pour s’arroger le contrôle de l’économie et du gouvernement. Ils décidèrent alors d’impliquer plusieurs pays européens dans une guerre contre l’Angleterre. Or, on a besoin de grandes sommes d’argent lorsqu’on se lance dans des guerres. En prêtant aux Têtes Couronnées d’Europe l’argent nécessaire aux guerres qu’ils fomentaient, les Internationalistes purent accroître rapidement les Dettes Nationales de toutes les Nations Européennes.

Le déroulement chronologique des événements en partant de l’exécution du Roi Charles en 1649 jusqu’à l’institution de la Banque d’Angleterre en 1694 montre comment on a accru la Dette Nationale. Par intrigues et ruses diverses, les Banquiers Internationaux arrivèrent à jeter les nations chrétiennes dans d’inutiles guerres fratricides.
1649 — Cromwell financé par les Juifs, engage la guerre contre l’Irlande. – S’empare de Drogheda et de Wexford. – Les protestants britanniques sont accusés de persécution envers les catholiques irlandais.
1650 — Montrose en rébellion contre Cromwell. — Capturé et exécuté.
1651 — Charles II envahit l’Angleterre. Battu et renvoyé en France.
1652 — L’Angleterre en guerre contre les Hollandais.
1653 — Cromwell se proclame «Lord Protecteur d’Angleterre».
1654 — L’Angleterre est entraînée dans des guerres de plus en plus nombreuses.
1656 — On suscite des troubles dans les Colonies Américaines.
1657 — Mort de Cromwell. Son fils Richard nommé Protecteur.
1659 — Richard, dégoûté des intrigues, abdique.
1660 — Le Général Monk occupe Londres. Charles II est proclamé Roi.
1661 — La vérité en ce qui concerne les intrigues auxquelles prit part Cromwell (et ses sbires Ireton et Bradshaw) est révélée. Elle provoque des réactions publiques importantes. Les corps sont exhumés et pendus à des potences sur la Colline de Tyburn à Londres.
1662 — La lutte religieuse est instaurée afin de diviser les membres des confessions protestantes. Les non-conformistes à l’Église établie d’Angleterre sont persécutés.
1664 — L’Angleterre est de nouveau impliquée dans une guerre contre la Hollande.
1665 — Une grande dépression s’abat sur l’Angleterre. Chômage et famines ruinent la santé du peuple. La grande Peste éclate 1461 . (L’éruption du grand feu de Londres, connu sous le nom de «Grand Nettoyeur» mit fin au fléau).
1666 — L’Angleterre est impliquée dans une guerre contre la France et la Hollande.
1667 — Des agents de la Kabbale [1] suscitent de nouvelles luttes religieuses et politiques.
1674 — L’Angleterre et la Hollande font la paix. «Ils» changent de rôles et deviennent les «organisateurs des tournois». Ils élèvent M. William Stradholder au rang de Capitaine.
1677 — La Princesse Mary d’Angleterre épousa William, Prince d’Orange. Pour mettre ce William, Prince d’Orange sur le Trône d’Angleterre, il était nécessaire de se débarrasser à la fois de Charles II et du Duc d’York, qui devait devenir James IL
1683 — On monta le Complot de «Rye Flouse». Son but était l’assassinat du Roi Charles II et du Duc d’York. Il échoua.
1685 — Le Roi Charles mourut et le Duc d’York devint le Roi James II d’Angle- terre. Aussitôt on déclencha une campagne d’infamies contre James II et l’on persuada ou corrompit le Duc de Monmouth de diriger une insurrection pour renverser le Roi. Le 30 Juin, se déroula la bataille de Sedgemoor. Monmouth fut battu et capturé. On l’exécuta le 15 Juillet. En Août, le Juge Jeffreys ouvrit ce que les historiens appelèrent «Les Assises Sanglantes». Plus de trois cents personnes impliquées dans la révolte de Monmouth furent condamnées à mort dans des conditions de cruauté inimaginables et l’on en condamna presque un millier d’autres à être vendues comme esclaves. Ce fut un exemple illustrant exactement la façon dont les puissances secrètes, travaillant dans les coulisses, créaient les situations dont on rendait responsables d’autres personnes. On excitait certaines personnes à l’opposition virulente contre celles qu’elles accusaient. A leur tour, elles étaient liquidées. Il y avait encore le Roi Charles à déposer avant que Guillaume (William) d’Orange ne soit placé sur le trône pour remplir leur mandat. On ensorcela et désorienta les individus en Angleterre et on ne leur permit pas de connaître la vérité. Ils accusaient tout le monde et n’importe quoi sauf «Les puissances secrètes» qui tiraient les ficelles. Alors les conspirateurs avancèrent leur pion suivant.
1688 — Guillaume, Prince d’Orange, débarqua en Angleterre à Torbay, sur leur ordre, le 5 Novembre. Le Roi James abdiqua et s’enfuit en France. Il était devenu impopulaire à la suite d’une campagne d’infamies et d’intrigues et aussi à cause de son imbécillité et de sa culpabilité.
1689 — On proclama Guillaume d’Orange et Mary, Roi et Reine d’Angleterre. Le Roi James n’avait pas l’intention d’abandonner le Trône sans combattre. Il était catholique ; en conséquence les puissances secrètes firent de Guillaume d’Orange le champion de la foi protestante. Le 15 Février 1689, le Roi James débarqua en Irlande et des hommes de convictions religieuses définies et opposées combattirent à la Bataille de La Boyne. Elle a été célébrée depuis lors par les Orangistes le 12 Juillet. Et probablement pas un seul Orangiste sur dix mille ne sait que toutes les guerres et les rebellions qui eurent lieu de 1640 à 1689 étaient fomentées par les prêteurs d’argent internationaux dans le dessein de se mettre en position de contrôler la politique et l’économie Britannique. Leur premier objectif fut d’obtenir la permission de créer une Banque d’Angleterre et de consolider et garantir les dettes que leur devait la Grande-Bretagne pour les prêts qu’ils lui avaient faits, destinés aux guerres qu’ils avaient provoquées. L’Histoire nous montre comment ils ajustèrent leurs plans.

Le mot Kabbale — ou Cabale — concerne une mystérieuse Théosophie Hébraïque remontant à l’Antiquité, mais qui devint très active au cours du dixième siècle et les siècles suivants. On présenta la Kabbale comme une «révélation» spéciale qui permettait aux Rabbins d’expliquer au peuple Juif la signification cachée des écritures Sacrées. La 57ème édition de la «Pear’s Cyclopedia», page 529, déclare que «Le Kabbalisme en vint par la suite à de grands excès». Les dirigeants Kabbalistes prétendaient lire des signes et des preuves dans les lettres et les formes et aussi les nombres que les écritures contiennent. Les Français nommèrent ce rite mystérieux «Cabale» et ils employèrent le terme «Cabale» pour désigner tout groupe d’intrigueurs privés ou politiques. Les Anglais forgèrent le mot «Cabal» parce que les personnages principaux impliqués dans des intrigues kabbalistiques en Angleterre se nommaient ClifFord, Ashley Buckingham, Arlington et Lauderdale, dans cet ordre. La première lettre de leurs noms forme le mot «Cabal Les Cabalistes furent les instigateurs de divers troubles politiques et religieux pendant le règne malheureux de Charles II (n.d.a.).

Aucun des pays et des personnes impliqués dans les guerres et les révolutions n’obtint de bénéfices durables. On n’apporta aucune solution permanente satisfaisante dans les domaines politique, économique ou religieux. Les seuls à bénéficier de ces guerres et révolutions furent ce petit groupe de banquiers qui finança le chaos, ses instigateurs et ses agents, et qui fournit armées, navires et munitions.

Dès que le général hollandais fut assis sur le Trône d’Angleterre, il persuada le Trésor Britannique d’emprunter £1.250.000 aux Banquiers Juifs qui l’avaient placé sur le Trône. Les livres d’Histoire disent bien à nos enfants que Sir John Houblen et M. William Patterson menèrent les négociations pour le Gouvernement Britannique avec des prêteurs d’argent, mais ne révèlent pas le nom de ces banquiers parce que leur identité devait rester secrète.

Les documents de cette tractation nous apprennent que, afin de maintenir le secret absolu, des négociations concernant les termes de l’emprunt furent menées dans une église. A l’époque du Christ les prêteurs d’argent utilisaient le Temple. A l’époque de Guillaume d’Orange ils profanèrent une église !

Donc, le Trésor Britannique emprunta jusqu’à £1.250.000 aux termes et conditions des créanciers. On accepta cet accord dont voici quelques-uns des termes :
Les noms de ceux qui concéderaient l’emprunt resteraient secrets et il leur serait accordé une Charte de fondation de la Banque d’Angleterre [1].
Les directeurs de la Banque d’Angleterre se verraient accorder le droit de définir l’Etalon-Or de la monnaie, par lequel :
Ils pourraient développer leurs crédits à concurrence de £ 10 pour chaque £ 1 en valeur-or déposée dans leurs coffres.
Qu’on leur laisserait consolider la dette nationale et qu’on leur garantirait le paiement des sommes dues en principal et intérêts de la dette par imposition directe du peuple.

Ainsi, pour la somme de £1.250.000, le Roi Guillaume d’Orange permit que le peuple d’Angleterre fût écrasé par des pressions financières terribles. Les prêteurs d’argent Juifs avaient atteint leurs objectifs : usurper le pouvoir d’émettre et de contrôler la monnaie de la nation. S’étant assuré ce pouvoir, ils ne se soucièrent plus de qui faisait les lois.

Pour bien illustrer ce que signifiait l’acceptation de l’Etalon-Or, prenons l’exemple d’une simple transaction. Les directeurs de la Banque d’Angleterre pouvaient prêter £1.000 pour £100-Or qu’ils avaient en dépôt de garantie. Ils percevaient un intérêt sur les £1.000 empruntées. A 5%, le montant s’élevait à £50 par an, soit la moitié des £100 initiales. Ainsi, à la fin de la première année, les banquiers se mirent dans la poche 50% de la somme qu’ils avaient concédée au départ pour garantir l’emprunt. Lorsqu’un particulier souhaitait obtenir un prêt, les banquiers lui faisaient constituer une garantie sous forme de propriétés, d’actions ou d’obligations d’une valeur beaucoup plus importante que ne le nécessitait le prêt. S’il n’arrivait pas à effectuer les paiements du principal et des intérêts, on engageait des procédures de saisie de ses biens et les prêteurs d’argent gagnaient plusieurs fois la valeur de leur prêt [2].

Les Banquiers Internationaux n’ont jamais souhaité que l’Angleterre puisse rembourser sa dette. Leur plan visait à créer un système international de dépendance d’argent qui accroîtrait de plus en plus leur joug sur toutes les nations [3].
L’identité des hommes qui contrôlent la Banque d’Angleterre reste encore secret. Le Comité Mac Millau, constitué en 1929 pour éclairer la question, échoua complètement. M. Montague Norman, dirigeant officiel de la Banque d’Angleterre fut très évasif et imprécis dans toutes les réponses qu’il fit au comité. Pour de plus amples détails, lire l’ouvrage de Anfield : «Des révélations au sujet de la Banque d’Angleterre», page 4 (n.d.a.).
Le fonctionnement actuel du système bancaire international conserve les mêmes normes : le fameux Ratio Cooke, que toutes les banques du monde entier doivent respecter est passé de nos jours à 8 pour 100 — montant des Fonds Propres consolidés sur total des crédits concédés — . Quant aux garanties, elles sont toujours de mise, et même si les banquiers se défendent généralement de «faire du crédit sur garanties», leur patrimoine immobilier acquis par ce biais reste toujours quelque chose de gigantesque (n.d.t.).
Si l’on applique une telle politique jusqu’à sa conclusion logique, on constate que les prêteurs d’argent internationaux tablent sur le facteur temps pour réaliser le contrôle des richesses, des ressources naturelles et du potentiel humain du monde entier. Et l’Histoire nous montre comment ils ont rapidement progressé vers leur but depuis 1694 (n.d.a.).

Ainsi l’Angleterre, en quatre années seulement, de 1694 à 1698, vit sa dette nationale progresser de un à seize millions de Livres Sterling. Cette augmentation fut principalement due aux guerres entreprises : il est intéressant de noter que John Churchill (1650-1722) devint pendant cette période de l’Histoire anglaise la personnalité militaire dirigeante. Du fait de son génie militaire et des services rendus à la Grande-Bretagne, Guillaume d’Orange le fit Premier Duc de Marlborough [1].

Le Pouvoir Occulte derrière le Mouvement Révolutionnaire Mondial tira les ficelles nécessaires pour provoquer les Guerres de Succession d’Espagne. En 1701, on fit du Duc de Marlborough le Commandant en Chef des forces armées de Hollande. L’incontestée Jewish Encyclopedia rapporte que pour ses nombreux services, le Duc de Marlborough reçut du banquier hollandais, Salomon Médina, pas moins de £6.000 par an.

Entre 1698 et 1815, la Grande-Bretagne prépara tous les événements qui aboutirent à la Révolution Française et aux guerres napoléoniennes : sa dette finit par s’élever jusqu’à £885.000.000. En 1945, elle avait atteint la somme astronomique de £22.503.532.372 et pour les années 1945-46 les frais de commission seuls s’élevaient à £445.446.241 [2] . Comme le remarquait un économiste irlandais : «A ce stade-là, ils auraient pu arrondir leurs frais ! »-.
Ce Duc est l’ancêtre direct de Sir Winston Churchill, le Premier Ministre d’Angleterre, qui s’est déclaré le premier sioniste de notre époque. C’est un des hommes qui a le plus directement influencé l’O.N.U. pour la création de l’État d’Israël (n.d.a.)… pour services rendus à la famille, sans doute !
Le lecteur comprendra ainsi pourquoi, en cette fin de vingtième siècle, les nations actuelles connaissent toutes -surtout les États-Unis, instigateurs du Nouvel l’Ordre Mondial — une dette nationale vertigineuse. Elles sont ainsi toutes tenues ! et ce, au moment même où elles vendent leur stock d’Or. Alors que, en effet, les dettes nationales explosent littéralement avec des taux d’intérêt qui repartent à la hausse, avec une bulle financière qui implosera au moment où les prêteurs d’argent internationaux le décideront, la capitalisation mondiale des mines d’or représente… le quart de la capitalisation de la seule société américaine Coca Cola ! Qui a amassé depuis des dizaines d’années ce qui est censé ne rien valoir ? Et… dans quelle perspective ? (n.d.l.r.).

William Guy CarrDes pions sur l’échiquier

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