Comme le révèle L'Humanité, Muriel Pénicaud a touché la somme de 1.13 millions d'euros de stock-options à l'époque où elle était DRH chez Danone.
Une affaire de stock-options semble rattraper Muriel Pénicaud. En 2013, alors qu'elle est DRH de l'entreprise française Danone, l'actuelle ministre du Travail profite de son poste haut placé pour réaliser un bénéfice impressionnant sur le marché financier de ce qui est l'un des leaders mondiaux des produits laitiers frais.
Celle qui a également travaillé à Orange ou encore à la SNCF a profité de la restructuration du groupe Danone, qui passe par la suppression d’environ 900 postes managériaux et administratifs répartis dans 26 pays pour tirer le meilleur de parts de l'entreprise qui lui ont été offertes. En 2009, Muriel Pénicaud avait en effet bénéficié d'un grand nombre d'actions associées à l'entreprise, appelées stock-option. Celles-ci ne pouvant être débloquées qu'après qu'une période de quatre ans soit écoulée, Muriel Pénicaud profite de cette remontée spectaculaire de Danone pour vendre ses actions.
Ces parts, qui stagnent à une valeur de 52 euros l'unité avant cet événement, seront vendues à une soixantaine d'euros pièce. De plus, lorsque Muriel Pénicaud avait bénéficié de ses avantages financiers, Danone était au plus bas, en plein effondrement des valeurs boursières du CAC40. Grâce à ses centaines de milliers d'euros investis, la ministre du Travail a réalisé une plus-value de 60% sur son capital initial, récupérant la somme de 1,13 millions d'euros.
Un scandale de plus pour Muriel Pénicaud, qui a déjà été fragilisée par l'affaire de la soirée organisée par Emmanuel Macron à Las Vegas.
Une affaire de stock-options semble rattraper Muriel Pénicaud. En 2013, alors qu'elle est DRH de l'entreprise française Danone, l'actuelle ministre du Travail profite de son poste haut placé pour réaliser un bénéfice impressionnant sur le marché financier de ce qui est l'un des leaders mondiaux des produits laitiers frais.
Celle qui a également travaillé à Orange ou encore à la SNCF a profité de la restructuration du groupe Danone, qui passe par la suppression d’environ 900 postes managériaux et administratifs répartis dans 26 pays pour tirer le meilleur de parts de l'entreprise qui lui ont été offertes. En 2009, Muriel Pénicaud avait en effet bénéficié d'un grand nombre d'actions associées à l'entreprise, appelées stock-option. Celles-ci ne pouvant être débloquées qu'après qu'une période de quatre ans soit écoulée, Muriel Pénicaud profite de cette remontée spectaculaire de Danone pour vendre ses actions.
Ces parts, qui stagnent à une valeur de 52 euros l'unité avant cet événement, seront vendues à une soixantaine d'euros pièce. De plus, lorsque Muriel Pénicaud avait bénéficié de ses avantages financiers, Danone était au plus bas, en plein effondrement des valeurs boursières du CAC40. Grâce à ses centaines de milliers d'euros investis, la ministre du Travail a réalisé une plus-value de 60% sur son capital initial, récupérant la somme de 1,13 millions d'euros.
Un scandale de plus pour Muriel Pénicaud, qui a déjà été fragilisée par l'affaire de la soirée organisée par Emmanuel Macron à Las Vegas.
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