Dans cet article, le journaliste se lamente que la ville soit "tombée si vite" et donne la parole à une "ONG" qui forme des terroristes pour argumenter son article. Voilà ou en est arrivé le journal Le Monde...
Voilà l'article (qui n'est accessible dans son intégralité qu'aux abonnés)
"Les armes se sont tues il y a trois mois. Alep-Est la rebelle est retournée dans le giron de l’armée syrienne. La chape de peur et de silence qu’impose le régime Assad aux zones sous son contrôle écrase de nouveau les quartiers orientaux de la ville. Mais au sein de l’opposition syrienne, le choc de la défaite continue de faire du bruit. Comment expliquer la débandade des groupes armés, que personne ou presque n’a vue venir ? Comment Alep-Est a-t-elle pu sombrer, en un mois, entre le 15 novembre et le 15 décembre, alors qu’une ville comme Daraya, située dans la banlieue de Damas, a résisté près de quatre ans au siège des loyalistes ?
Le sort d’Alep bascule fin novembre 2016, quand le front oriental de la ville s’effondre subitement
Le débat continue d’agiter le camp anti-Assad. « Alep n’est pas tombée militairement, c’est le résultat d’une décision internationale. La ville aurait pu résister encore six mois, il y avait plein d’armes. Mais des quartiers entiers ont été abandonnés, en vertu d’accords secrets », assure Abdelahad Steifo, vice-président de la Coalition nationale syrienne, la principale formation de l’opposition, incriminant, sans le dire, la Turquie, qui, à partir de l’été 2016, s’est rapprochée de la Russie, alliée de Damas.
« On a perdu parce que la révolution n’a pas réussi à offrir un espoir à la population, objecte Ossama Shorbaji, directeur de l’ONG Afaq, qui dispense des formations dans les zones aux mains des insurgés. Il y avait trop de bandits et de profiteurs parmi les groupes armés. Prenez les prisons des groupes rebelles. Il y avait beaucoup moins d’abus et de violences que dans celles du régime. Mais ce n’était pas non plus un modèle dont on pouvait être fier. »
Complot de l’extérieur ? Effondrement de l’intérieur ? Le sort d’Alep bascule les 26 et 27 novembre 2016, quand le front oriental de la ville s’effondre subitement, au niveau de Massaken Hanano. Ce quartier résidentiel, tracé au cordeau, avait pourtant la réputation d’être facile à défendre. Des immeubles de haute taille, à la vue bien dégagée. De quoi résister aux bombardements, tout en permettant à des snipers embusqués de barrer la route des assaillants.
« Une honte et un mystère »
« La chute de ce front, c’est une honte et un mystère, clame Ossama Shorbaji. Je connais l’un des types qui le commandait. Après avoir repoussé un premier assaut, il a demandé des renforts. Rien n’est..."
L'Immonde nous affirme donc la main sur le cœur que la fin du siège des terroristes, appelé pour l'occasion révolution, est une honte et que le sort d'Alep a été de retourné sous le giron de l'armée ou règne la peur et le silence.
Comment peuvent-t-ils oser sortir une aberration pareille?
En cherchant à en savoir plus sur cette fameuse ONG Afaq, on apprend qu'elle a formé des djihadistes en Syrie tels que Faylaq al-Cham, islamistes proches des frères musulmans, mais surtout les salafistes du Front du Levant et pire encore Nour al-Din al-Zenki, le groupe armé financé par la CIA, tristement célèbre pour avoir décapité un enfant palestinien en Juillet dernier. En 2015, cette ONG se targuait déjà d'avoir entraîné plus de 300 djihadistes de Jaysh al-Islam (qui cherche à établir un califat islamique régi par la charia en Syrie au même titre que daesh) et l'ASL dont on a déjà vu maintes fois qu'ils n'ont absolument rien de modéré.
Le Monde donne donc la parole au directeur d'une ONG qui collabore avec des terroristes qui se lamente qu'Alep ait été libérée du siège qu'elle subissait depuis plusieurs années. Si ça se n'est pas de l'apologie du terrorisme...
Après, le prix du journalisme de l'année décerné à un soutien d'al qaeda et le film sur les casques blancs syriens récompensé aux Oscars, le journalisme français est décidément tombé bien bas.
Source
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"Les armes se sont tues il y a trois mois. Alep-Est la rebelle est retournée dans le giron de l’armée syrienne. La chape de peur et de silence qu’impose le régime Assad aux zones sous son contrôle écrase de nouveau les quartiers orientaux de la ville. Mais au sein de l’opposition syrienne, le choc de la défaite continue de faire du bruit. Comment expliquer la débandade des groupes armés, que personne ou presque n’a vue venir ? Comment Alep-Est a-t-elle pu sombrer, en un mois, entre le 15 novembre et le 15 décembre, alors qu’une ville comme Daraya, située dans la banlieue de Damas, a résisté près de quatre ans au siège des loyalistes ?
Le sort d’Alep bascule fin novembre 2016, quand le front oriental de la ville s’effondre subitement
Le débat continue d’agiter le camp anti-Assad. « Alep n’est pas tombée militairement, c’est le résultat d’une décision internationale. La ville aurait pu résister encore six mois, il y avait plein d’armes. Mais des quartiers entiers ont été abandonnés, en vertu d’accords secrets », assure Abdelahad Steifo, vice-président de la Coalition nationale syrienne, la principale formation de l’opposition, incriminant, sans le dire, la Turquie, qui, à partir de l’été 2016, s’est rapprochée de la Russie, alliée de Damas.
« On a perdu parce que la révolution n’a pas réussi à offrir un espoir à la population, objecte Ossama Shorbaji, directeur de l’ONG Afaq, qui dispense des formations dans les zones aux mains des insurgés. Il y avait trop de bandits et de profiteurs parmi les groupes armés. Prenez les prisons des groupes rebelles. Il y avait beaucoup moins d’abus et de violences que dans celles du régime. Mais ce n’était pas non plus un modèle dont on pouvait être fier. »
Complot de l’extérieur ? Effondrement de l’intérieur ? Le sort d’Alep bascule les 26 et 27 novembre 2016, quand le front oriental de la ville s’effondre subitement, au niveau de Massaken Hanano. Ce quartier résidentiel, tracé au cordeau, avait pourtant la réputation d’être facile à défendre. Des immeubles de haute taille, à la vue bien dégagée. De quoi résister aux bombardements, tout en permettant à des snipers embusqués de barrer la route des assaillants.
« Une honte et un mystère »
« La chute de ce front, c’est une honte et un mystère, clame Ossama Shorbaji. Je connais l’un des types qui le commandait. Après avoir repoussé un premier assaut, il a demandé des renforts. Rien n’est..."
L'Immonde nous affirme donc la main sur le cœur que la fin du siège des terroristes, appelé pour l'occasion révolution, est une honte et que le sort d'Alep a été de retourné sous le giron de l'armée ou règne la peur et le silence.
Comment peuvent-t-ils oser sortir une aberration pareille?
En cherchant à en savoir plus sur cette fameuse ONG Afaq, on apprend qu'elle a formé des djihadistes en Syrie tels que Faylaq al-Cham, islamistes proches des frères musulmans, mais surtout les salafistes du Front du Levant et pire encore Nour al-Din al-Zenki, le groupe armé financé par la CIA, tristement célèbre pour avoir décapité un enfant palestinien en Juillet dernier. En 2015, cette ONG se targuait déjà d'avoir entraîné plus de 300 djihadistes de Jaysh al-Islam (qui cherche à établir un califat islamique régi par la charia en Syrie au même titre que daesh) et l'ASL dont on a déjà vu maintes fois qu'ils n'ont absolument rien de modéré.
Le Monde donne donc la parole au directeur d'une ONG qui collabore avec des terroristes qui se lamente qu'Alep ait été libérée du siège qu'elle subissait depuis plusieurs années. Si ça se n'est pas de l'apologie du terrorisme...
Après, le prix du journalisme de l'année décerné à un soutien d'al qaeda et le film sur les casques blancs syriens récompensé aux Oscars, le journalisme français est décidément tombé bien bas.
Source
Ce ne sont plus des subventions que reçoivent les journaux, mais à ce niveau là, c'est de l'investissement...
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