Une décision éminemment politisée de la part de l’État Français qui fait suite à une mobilisation populaire, le 14 novembre 2016, contre l’implantation illégale sur le territoire breton de migrants clandestins musulmans.
Présents sur la commune d’Arzon (Vanne-tais) devant le bâtiment réquisitionné par Paris pour abriter les allogènes, Ronan Le Gall et d’autres manifestants avaient tenu à dénoncer les agressions sexuelles commises peu avant par des clandestins soudanais contre deux Bretonnes résidant dans les environs (voir ici).
Soucieux d’empêcher toute opposition populaire à cette entreprise coloniale inédite, le gouvernement français a donc infligé une peine d’amende et de prison avec sursis aux patriotes bretons présents sur place.
Ronan Le Gall a rappelé qu’il n’était pas l’organisateur de la manifestation – interdite par le gouvernement français – mais avait jugé légitime et nécessaire de répondre à l’appel. Sans succès. Il devrait faire appel de ce jugement illégitime. Deux autres personnes ont été condamnées à des peines d’amende et de prison avec sursis.
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