Pour beaucoup de réfugiés, la Pologne n'est qu'un lieu de transit vers d'autres pays de l'Union européenne plus riches et plus accueillants.
Contrairement aux autres pays européens, la Pologne ne semble pas attirer particulièrement les réfugiés.
"Personne ne veut rester ici. Impossible de trouver du travail, un appartement, on n'a pratiquement aucune aide financière. C'est pour cela que tout le monde part", explique une Tchétchène musulmane d'une trentaine d'années, élevant seule trois enfants, dans le centre d'accueil de réfugiés à Linin, au sud de Varsovie.
Elle cache son visage et ne veut pas donner son nom de peur d'avoir des problèmes.
Contrairement aux autres pays européens, la Pologne ne semble pas attirer particulièrement les réfugiés.
"Personne ne veut rester ici. Impossible de trouver du travail, un appartement, on n'a pratiquement aucune aide financière. C'est pour cela que tout le monde part", explique une Tchétchène musulmane d'une trentaine d'années, élevant seule trois enfants, dans le centre d'accueil de réfugiés à Linin, au sud de Varsovie.
Elle cache son visage et ne veut pas donner son nom de peur d'avoir des problèmes.
En Pologne, la politique d'intégration est plus virtuelle que réelle et rares sont les réfugiés qui veulent s'établir dans ce pays, jugeant la majorité des Polonais hostile aux migrants, surtout s'ils sont musulmans.
Entre mai et octobre, le nombre de personnes hostiles à l'accueil de réfugiés a plus que doublé, grimpant de 21% à 43%, tandis que le nombre de personnes favorables a chuté de 72% à 54%, selon une étude de l'institut CBOS, rappelle l'AFP.
Source
Reste la France...
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