C'est un peu comme si le gouvernement crachait sur le peuple !

La pauvreté et la précarité sont organisées !

Hier soir, petite sortie au restaurant. A table, il y avait un ami portugais, un couple homo bobo et un autre couple d'amis.
La question des migrants et de l'insécurité est vite arrivée,
tout le monde était d'accord pour dire stop et retour. Je croyais, connaissant le militantisme pour la cause LGBT du couple homo et l'attitude habituelle béate : "vive la diversité !" du couple d'amis, que la conversation serait plus mouvementée. Il n'en a rien été, ils en ont marre !

Notre ami du Maroc nous disait "Quand les petits cons retournent au bled, ils ne bronchent pas ou ça tombe dru." Et aussi : "s'il n'y avait pas ces pu.... d'associations soutenues par la politique, ça irait mieux." Il a rajouté qu'un de ses meilleurs potes est flic, il se plaint qu'ils sont pieds et poings liés.

Côté social, fourniture de nourriture, appartements... même combat....

Au Portugal, alors qu'un sinistre ministre avait suggéré à ses compatriotes de partir pour survivre, ils accueillent des clandestins économiques... c'est un peu, nous disait mon ami portugais, comme si le gouvernement crachait sur le peuple.

C'est bien de parler, d'écrire, ça serait mieux d'agir... je rage, je me sens impuissant...

Un lecteur