10 avril 2015

Vie évoluée sur Mars

Regardez l’image ci-dessus. Avez-vous compris ce que j’y ai souligné? Il y en a plus de 200. Prenez le temps de bien regarder, car cette image est le témoin d’un grand mensonge. L’originale peut-être retrouvée dans les images retransmises par le robot Opportunity sur Mars, cratère Victoria. Il en existe d’autres. Sur les images retransmises par les robots appartenant aux trois missions effectuées sur Mars et le parcours de quelques kilomètres qu’ils ont complété, j’en ai retrouvé plus de 1000.

« Comment vous expliquez ce que vous avez trouvé avec l’atmosphère de Mars qui ne peut pas supporter la vie depuis des millions d’années? »
 
 - Je n’y crois pas. Bien qu’elles ne soient pas de la meilleure qualité, les images du cratère Victoria parlent d'elles-mêmes. Les visages sur les surfaces verticales sont clairs comme s’ils avaient été dessinés il y a peu, alors que ceux sur des surfaces à angle sont plus granuleux, recouverts d’une légère pellicule de poussière martienne. En fait, il y existe deux niveaux de graffitis. Une couche très ancienne dans laquelle les visages sont à peine visibles et une autre couche récente de personnages visibles, appartenant tous à la même époque. Même sans pluie et dans une atmosphère de dioxyde de carbone comme celle de Mars, les tempêtes de sable qui y règnent sont un puissant abrasif qui pourrait facilement remodeler toutes les surfaces en quelques décennies à peine, ce qui n’est manifestement pas le cas. Au vu de la couche de poussière qui orne les surfaces à angle et même en mettant les choses au mieux, les graffitis de ce cirque de pierre ne vont pas au-delà du siècle. Il est même possible de croire qu’ils sont encore visités.

La conception des condensateurs atmosphériques est différente de ceux utilisés sur terre avant notre ère. De grandes plaques d’agglomérés de pierre étaient déposées sur le sol autour des réservoirs comme celui du cratère Victoria, pour limiter l’évaporation. À certains endroits stratégiques par rapport à la position du soleil, ces plaques étaient empilées jusqu’à former des massifs de pierre qui condensaient l’eau par le choc thermique, le même principe derrière la pluie qui apparait dans l’atmosphère à la frontière entre un front chaud et un froid. La capture de l’eau, la réserve, la distribution et la maintenance de telles installations, dans un environnement froid, sec et sablonneux comme celui de Mars, demandaient beaucoup de main d’œuvres et les villages étaient organisés autour de la production d’eau comme ils le furent sur terre à l’époque antique.

Il existe un peu partout de nombreuses caches constituées de ces plaques d’agglomérées de pierre avec une ouverture d’un côté, qui s’apparente aux cairns de pierre de l’époque celtique. Au-devant de ces caches, sont alignées avec soin des têtes de pierres brisées, comme si quelqu’un voulait commémorer un passé douloureux, ou qu’il fut estimé, comme c’était alors le cas sur la terre, que ces visages président à la distribution des bienfaits divins et que les sortir du sable pour les remettre sous les projecteurs, aurait comme effet de remettre sur rails la machine à pluie. Quels que soient les motifs derrière, ces caches et les têtes de pierre qui les accompagnent ne sont pas ensevelis sous le sable. Même s’il est possible de croire que des vents correctement alignés auraient comme effet de constamment souffler le sable entre les tempêtes, les caches sont des gouffres à vent qui auraient vite fait de se remplir et de n’être plus que des butons sur le sol. Il m’apparait impossible que ces caches soient dans cet état, si elles ne sont pas régulièrement désensablées.

J’ai toutefois repéré quelques œuvres très récentes, qui ne représentent pas des humains, mais de petits humanoïdes qui s’apparentent au paresseux, ce mammifère de l’Amérique centrale.

Peut-être que la vague de récents visages sur le mausolée pourrait s’expliquer par une guerre ou un grand cataclysme qui a mis fin à cette époque.

Quoi qu’il en soit, j’en viens à la conclusion qu’il y a de la vie évoluée. Même si la composition de l’atmosphère est bien ce qui en fut dit, cela n’interdit pas la survie de forme évoluée dans les endroits de la planète ou les conditions sont réunies, comme au fond de trou profond où la colonne d’air devient assez importante pour provoquer de la condensation. Cela n’interdit pas non plus que certaines formes de vie aient été adaptées par la civilisation du moment pour vivre dans cette atmosphère différente. Ces paresseux ne sont peut-être qu’une espèce dégénérée des anciens habitants adaptés à l’atmosphère de la planète et vouant un culte aux puissants anciens, comme sans doute nous le ferions nous-mêmes. S’ils sont suffisamment intelligents pour se représenter, ils le sont assez pour raisonner. Mais il n’y a aucun doute qu’avec un support technologique s’alimentant de la matière première de la planète, il soit tout à fait possible de survivre adéquatement sur Mars et il n’y a qu’un pas à faire pour croire qu’une société ait pu s’y maintenir depuis tout ce temps.

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