« Bordel de dieu, me déclara-t-il sans ambage, tu ne te rends même pas compte à quel point ils commencent à nous les concasser en petit gravier tous ces connards de bien-pensants qui élisent des présidents cons à bouffer des bites grosses comme l’obélisque de Washington et qui nous défèquent une pendule format Capitole dès qu’un malheureux flic dézingue un fucking blackguard ! C’est ma faute à moi si les voyous c’est que des négros, dis ? J’y suis pour quelque chose ? M’enfin ! On va où comme ça, je te le demande…oui, remarque toi tu le sais bien, tu y es déjà, tes flics Franchouilles on les arme avec des pistolets à chewing-gum et on leur interdit de s’en servir contre la racaille sous peine des pires supplices, j’ai entendu dire et de source sûre en plus vu que c’est toi, bloody bastard, qui me l’avais raconté. Mais bon, moi qu’on persécute le poulet chargé de m’assurer un sommeil paisible et serein, ça me défrise le poil pubien, je te le garantis ! En plus, de nos jours n’importe quel peigne-cul a le droit de filmer n’importe quoi avec sa merderie de smartphone de mes deux : t’as un cop qui fait son boulot en bousillant une saloperie de voleur en fuite, sommations d’usage et tout, quoi, dans les formes et dans les règles…et le monde entier lui tombe dessus comme quoi il a tiré dans le dos et sur un asthmatique, en plus ! Et black, évidemment mais là ça vire à la clause de style !
« Et puis, bullshit, comment veux-tu aller de l’avant avec les paillasses qui nous gouvernent. Barack-Hussein tiens, sept ans qu’on se le coltine avec le bilan qu’on sait: en Afghanistan les Talibans reprennent le dessus, en Irak faut voir la guerre qu’ils se coltinent, en Syrie on n’a même pas été foutu d’empêcher leur charognerie d’Etat Islamique, en Ukraine c’est nous qui sommes allés foutre le souk, avec votre aide à vous les Européens, toujours prêts à vous la faire mettre pour peu qu’elle soit bien bronzée… ne parlons même pas du « dialogue » entre Israël et la Palestine, même pendant leurs guerres à la con, on n’avait pas connu pire ! Et maintenant l’Iran avec un accord complètement bidon, poudre aux yeux et compagnie ! Non, y a pas ce Bamboula de mes deux nous rappelle l’autre débile aux cacahuètes, c’est Carter-bis : comme tu disais si bien « Peanut’s back »(http://onefoutus.over-blog.fr/article-36271920.html), plus grave encore que ce vieux trou de balle : le roi de la valse hésitation, Barack ! Entre Vladimir Putin, Bachar El Assad, Benjamin Netaniaouh, les Saoudiens, les Qatariens, les Européens, les Chinetoques et tous les casse-couilles du monde entier, ça tourne au jeu de quilles… avec Obama dans le rôle du clébard, un désastre ! Et maintenant Castro, dis donc, la cerise sur le gâteau ! Manquait que ça tiens, Los Barbudos bientôt dans nos murs, il nous aura vraiment tout fait ce motherfucker. Et je ne te parle même pas de politique intérieure, tu t’en fous mais juste la calamité ! Pour résumer, à part nous coller son usine à gaz à la con d’obamacare dont personne ne veut mais qu’il faut payer quand même, il a fait quoi, hein ? Parfaitement, que des conneries, la plus grosse restant tout de même la régularisation de cinq millions de clandestins dans l’espoir qu’ils votent démocrate, ces corniauds, une honte !
Mais ça ne s’arrête pas là : maintenant on commence à voir Hillary (comme une baleine) venir pointer son gros tarin dans l’embrasure de la porte de White House, là où dans le temps elle cognait à bras raccourcis sur son bonhomme pour lui apprendre à répandre son foutre partout dans le Bureau Ovale, avec sa manie de tripoter la stagiaire en lui agaçant le hot-dog au moyen d’un corona flor-fina frauduleusement récupéré via Guantanamo. La nostalgie, sans doute…Et la mère Tapedur-Clinton qui n’y a jamais rien compris à grand chose, risque bien de se retrouver élue, vu qu’entre les négros, les latinos et les ahuris de la bien-pensance, on a vite fait de réunir une majorité d’enfoirés. C’est très beau la Démocratie mais là, je t’avoue, ça commence un peu à puer la ménagerie ! En vérité je te le dis, l’avenir s’annonce rose pour tout le rebut d’humanité qui nous grouille entre les pattes, depuis le petit merdeux dealer de shit jusqu’au Calife de malheur crucificateur de Chrétiens avec la bénédiction de notre Occident pourri jusqu’à la moelle. Nous vivons la fin des honnêtes gens, old fucker, après nous le trou noir…vachement noir même, ça fonce de jour en jour, comment tu disais déjà…ah oui : on est foutu ! »
Voilà. Je vous passe le reste dont l’intérêt se révèle plus modéré dans la mesure où ce connard m’a raconté par le menu sa partie de pêche au gros dans les Caraïbes, ses aventures sentimentales en compagnie de prostituées illégalement importées d’Amérique centrale, ainsi que les tribulations de son fils aîné, Deck Hulley, un branleur de première acharné à se lancer dans des opérations commerciales fort audacieuses et de grande envergure mais systématiquement vouées à l’échec. La dernière de ce brave garçon ayant consisté à vendre simultanément à plusieurs personnes le ranch de son cher Papa, lequel vient de laisser quelques centaines de milliers de dollars dans l’histoire afin d’éviter à sa progéniture des poursuites judiciaires aux conséquences nécessairement fâcheuses pour la réputation à peu près sans tache des Hulley. On a beau regorger de pognon, ce style de joyeusetés laisse forcément une certaine amertume, faut comprendre. Comme quoi pour lui stimuler la mauvaise humeur au cow-boy, même pas besoin d’aller chercher Obama, il a ce qu’il faut at home. Allez, je vous parie tout ce que vous voulez que lorsque Hillary (jaune) aura récupéré la Maison (Blanche) Hank Hulley nourrira encore ses idées (noires). Et après ça vous trouverez toujours des malveillants pour l’accuser de racisme !
Que la paix soit avec vous, passez un bon Dimanche.
Et merde pour qui ne me lira pas.
NOURATIN
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