28 septembre 2013

Seuls


Fahrad Vladi, sur une île écossaise, bientôt en vente sur son catalogue © Vladi Private Islands
L’extrême gravité des évènements financiers et économiques en cours, pouvant conduire à un effondrement de l'occident, est freinée par l'énorme inertie du système, où tous travaillent désespérément à sa survivance. On ne mord pas la main qui vous nourrie depuis si longtemps.

Malgré le sentiment d'imminence d'évènements graves, il y a donc peu de chances que tout s'effondre brutalement, regardez la Grèce : misère à tous les étages. Des politiciens mafieux et une police "vigoureuse" continuent de maîtriser la situation. Les riches s'enrichissent comme jamais et le peuple goûte à la misère. Pas de révolution ou d'écroulement des structures essentielles du pays.

Il n'y a donc pas d'urgence d'un point de vu social, tant que les prestations du même nom seront versées, même si le chômage, la pauvreté, gagnent rapidement. Les risques seraient plutôt climatiques.
Des départements, des régions entières ne sont plus à l'abri de catastrophes de grande ampleur.
Il faut rester vigilant et être prêt à faire face à l'adversité.
Il ne s'agit pas d'alarmisme ou d’amplifier les peurs, mais de réactiver le bon sens élémentaire.
Observez les dérives du climats, les petites et grandes catastrophes, et vous comprendrez que si vous deviez vous retrouver seul avec vous-même, mieux vaut y avoir été préparé ! Autrefois les gens ne comptaient pas sur le système, mais sur eux-même, retrouvons rapidement ces vieux réflexes.



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