Pour mieux comprendre la nouvelle perspective adoptée par SOTT, et compte tenu de l'état actuel de la planète, nous republions cet article prémonitoire écrit par Laura Knight-Jadczyk en 2007. Nous espérons que nos lecteurs se rendent compte que ce qui se passe sur Terre dans le sens cosmique, est beaucoup plus important que la politique.
La politique n'est plus notre sujet principal. Il y a un Gouvernement Mondial qui dirige le spectacle depuis déjà de nombreuses années. Les conflits ne sont que le « pain et les jeux » qu'ils utilisent pour contrôler les masses.
Le changement politique peut encore arriver, mais il ne lui est plus possible pour d'éviter les changements terrestres qui sont importants et cataclysmiques. Si la seule chose qui se passe est un refroidissement global, cela seul peut provoquer la mort de milliards de personnes. Le réchauffement climatique, d'autre part, aurait été un bienfait pour l'humanité. Mais tout ceci était une fraude, une distraction, un jeu cruel joué par les psychopathes à vos dépens, aux dépens de l'humanité.
Alors, lisez la suite et voyez ce qui nous préoccupe : vous préparer à ce qui va arriver, à ce qui est déjà en cours.
Il y a quelques mois, un membre du forum SOTT a posté un lien vers l'article suivant à propos d'enquêtes sur le changement climatique. Je n'étais pas sûre du sens contradictoire de « Carottes glaciaires tropicales » mais l'article semblait expliquer tout cela :
Des carottes glaciaires tropicales montrent deux changements de climat global soudains
Pour la première fois, des glaciologues ont combiné et comparé des ensembles d'anciens enregistrements climatiques enfouis dans des carottes glaciaires des Andes de l'Amérique du Sud et de l'Himalaya d'Asie pour dessiner une image de la manière dont le climat avait changé - et est toujours en train de changer - sous les Tropiques.
Leurs conclusions désignent un changement climat massif vers un régime plus froid qui s'est produit il y a juste 5000 ans, et une inversion plus récente vers un monde bien plus chaud dans les 50 dernières années.
Les faits suggèrent aussi que la plupart des glaciers à haute altitude dans les régions tropicales de la planète disparaîtront dans un futur proche. L'article est inclus dans le numéro actuel du journal Proceedings of the National Academy of Science.
En conclusion, la recherche montre que dans la majorité du monde, les glaciers et les calottes polaires se retirent rapidement, même dans les régions où des augmentations de précipitations sont documentées. Cela implique des températures en augmentation et non des précipitations en diminution comme le coupable le plus probable. [...]
« Approximativement 70 % de la population mondiale vit actuellement sous les Tropiques, donc quand le climat y change, il est probable que les impacts soient énormes, » explique Lonnie Thompson, professeur de sciences géologiques dans l'Ohio. [...]
« Nous avons un enregistrement qui remonte à plus de 2000 ans et lorsque vous le tracez, vous pouvez voir la Période chaude médiévale et le Petit âge glaciaire, » a dit Thompson. Au cours de la Période chaude médiévale, il y a 700 à 1000 ans, le climat est devenu plus chaud dans plusieurs parties du monde. La Période chaude médiévale a été suivie par le Petit âge glaciaire, une offensive soudaine de températures plus froides marquées par des avancées de glaciers en Europe et en Amérique du Nord.
« Et, dans le même enregistrement, vous pouvez clairement voir le 20e siècle et la chose qui ressort - que vous regardiez des carottes individuelles ou bien l'ensemble combiné des sept - est la chaleur inhabituelle des 50 dernières années.
« Il n'y a rien eu de semblable dans les enregistrements comme cela - pas même la Période chaude médiévale, » a déclaré Thompson.
« Le fait que les valeurs isotopiques au cours des 50 dernières années aient été si inhabituelles signifie que les choses sont en train de changer dramatiquement. C'est l'histoire réelle ici. » [...]
« Le message à retenir est que le climat global peut changer brutalement, et avec 6,5 milliards de personnes habitant sur la planète, c'est sérieux. » Avertissement : Je vais parler de « données de channeling » ici, donc si vous n'aimez pas cela ou pensez que c'est débile, vous pouvez arrêter de lire tout de suite et ne pas être contaminé par de telles absurdités délirantes...
Tout le monde s'est calmé ? Bien. Continuons. Le membre du forum, « Appollynon », a ajouté quelques commentaires comme suit :
La chose qui attire mon attention ici est que cet article est très, très proche du type d'information que les transcriptions des C's [Expérience cassiopéenne] parlaient en termes de changement brutal du climat global se produisant dans notre avenir proche. ...
Pour moi, le seul détail qui manque vraiment dans cet article est que notre Grosse Boule Bleue n'est pas la seule planète dans le système solaire à être affectée par un réchauffement global. Ce qui me fait me demander « Comment nous pauvres petits humains pourrions-nous faite tout ça ? » Je ne pense pas que nous le puissions et je tends de plus en plus à croire par l'étude et l'observation, l'information présentée par Laura dans la série L'Onde et ses articles sur le site qui suggère que cette activité est un précurseur de l'Onde qui arrive...
Ma pensée actuelle est qu'il semble y avoir un flot de nouvelle énergie entrant dans notre planète qui affecte à la fois le climat global et les mouvements tectoniques (c'est-à-dire l'activité séismique aussi bien que l'activité volcanique et magmatique). La seule explication pour cette nouvelle énergie entrant dans notre système solaire serait, selon ce que suggère ma recherche, une des quatre possibilités suivantes :
1- Un grand influx d'énergie potentielle provenant de l'essaimage de comètes dans ... notre système solaire et transmettant de massives quantités d'énergie (bien que ce devrait être un énorme nombre de comètes car je ne crois pas qu'elles puissent rendre compte des quantités totales de nouvelle énergie bombardant notre système planétaire, à moins que leur nombre soit effroyablement élevé).
2- Une soudaine augmentation d'activité solaire (bien que je sois au courant que nous sommes maintenant dans un genre de minimum solaire selon les experts que je lis.)
3- Une étoile inconnue, soeur de notre Soleil, et non déclarée apportant toute une gamme d'anomalies d'ondes gravitationnelles et d'énergies (dont je ne pense pas que nous avons observé depuis très longtemps dans cette région du cosmos).
4- Le phénomène de l'Onde dont on parle dans la série des livres de L'Onde sur le site et qui peut-être affectés par « les ondulations dans l'étang » pour ainsi dire.
5- Certains scientifiques peuvent peut-être prétendre être ignorants de l'objectif et des faits facilement observés car ils sont sujets à une programmation sociale ou sont pressurés ou forcés de regarder à des endroits différents par manque de financement dans ces zones de recherche distinctes.
Toutefois, je crois vraiment qu'il y a un certain niveau de connaissance sur les effets de l'Onde, des comètes et de l'étoile compagne qui arrivent dans la communauté scientifique, ou du moins ceux qui travaillent sciemment pour « L'Homme derrière le Rideau ».
Je dis ceci à cause du grand nombre de bunkers et bases souterraines qui ont été trouvés et discutés au cours des dernières décennies. Si les pouvoirs en place étaient vraiment dans le noir, alors pourquoi feraient-ils un effort concerté pour masquer la vérité et bâtir ces types de structure pour se cacher lorsque le ciel s'effondrera autour d'eux. Je pense qu'ils ont une bonne idée de tout ce que cela signifie pour nous ici sur la Grosse Boule Bleue et que cela peut faire partie d'un plan pour programmer les masses à penser que nous, les humains, sommes responsables de tout ceci. ...
Cela peut ressembler à une pensée très absurde, je sais, mais cela expliquerait toute cette programmation des grands médias sur la manière dont nous sommes fautifs de ne pas faire assez pour sauver notre planète. ...
Quelqu'un a-t-il d'autres théories pour expliquer autant de tapage sur le réchauffement global induit par l'homme ? J'ai répondu à ces commentaires comme suit :
Eh bien, soyons réalistes, avant le 11/9, nous avions du bon temps le samedi soir en buvant du café et en mangeant des cookies et en bavardant avec les C's sur ce sujet ; ce n'était pas réel, c'était juste théorique. Bien entendu, nous étions assez sûrs que des actes sombres et moches étaient faits en coulisses, il y en a assez de preuves ; mais le scénario présenté par les C's - que les choses seraient comme en Allemagne nazie, sauf globalement, était juste « trop extrême. »
Je ne pense pas que quelqu'un était capable d'imaginer réellement comment nous irions d'ici... à là.
Mais nous savons MAINTENANT clairement comment ils ont fait : le 11/9. C'était fini en juste quelques heures, tout le reste n'est que détails.
Je pense que le reste va être comme ça. Un jour ce sera entièrement théorique et nous n'aurons aucune idée de COMMENT cela pourrait aller d'ici à là, et puis le lendemain, nous serons LÀ.
Les C's ont dit « rebond glaciaire soudain... » Personne ne semble y penser. Ils nous parlent seulement que cela devient de plus en plus chaud. Et si le plus chaud précédait soudainement le plus froid ? Je pense au mammouth en Sibérie qui a été trouvé avec des boutons-d'or dans son estomac. Il a été gelé presque instantanément.
La preuve que c'est arrivé (et plus d'une fois) est tout autour de nous, non seulement dans les enregistrements géologiques et archéologiques, mais aussi dans les mythes et les légendes. Mais pour la plupart des gens, c'est si facile de balayer tout cela et de l'interpréter dans le désordre et c'est ce qu'ils font. Le problème est que je ne crois pas que les « experts » soient si stupides.
Entre temps, les C's nous ont dit des choses - pas de dates solides parce qu'il y a trop de variables et que le futur EST ouvert - et cela arrive comme ils disent, donc nous avons l'idée que le reste va probablement arriver aussi, sauf que nous ne savons pas quand.
Nous vivons probablement dans les temps les plus intéressants des 6000 dernières années. Après cela, le fil est resté calme pendant quelque temps jusqu'à l'autre jour lorsqu'un autre membre, Lynne, a posté une suite :
Il y a un homme, appelé Robert Felix, un ancien architecte, qui fait des recherches sur le cycle des ères glaciaires depuis 1991, à plein temps. Il prétend qu'un âge glaciaire pourrait démarrer n'importe quand. Il cite le fait que lorsque la glace fond aux pôles, l'eau fraîche se mélange à l'eau salée des océans. Cela peut arrêter le flot du Gulf Stream aussi loin au nord que maintenant. Si cela se produit, le climat tempéré vécu par les latitudes septentrionales disparaîtrait et un âge glaciaire commencerait. Bien entendu, je m'en souviens d'après ce que j'ai entendu à une émission de radio. Il y a naturellement bien plus de choses sur le sujet que cela.
Il a un site Internet ici : http://iceagenow.com/
Et il répète constamment : « C'est un cycle, c'est un cycle, c'est un cycle. » Il est peut-être sur la même chose que ce dont parlaient les C's ?
Donc, il y a au moins une [autre] personne avec cette idée et je pense que j'aie entendu d'autres commentaires ici et là sur ce sujet également. Après avoir lu ce post, j'ai décidé de vérifier le lien « iceagenow » juste pour voir ce dont il s'agissait. Je ne savais pas que j'allais découvrir un mystère étrange. La première chose que j'ai trouvée a été ce qui suit :
Les sceptiques du réchauffement climatique continuent à cogner dur
Joel Achenbach,
The Washington Post
5 juin 2006
WASHINGTON - Ce serait glorieux d'être Bill Gray, professeur émérite. Il est le type qui prédit le nombre d'ouragans qui se formeront au cours de la saison des tempêtes tropicales. Il travaille au département de la science atmosphérique à l'Université de l'État du Colorado. Il a formé des douzaines de scientifiques.
Mais il est aussi scandalisé.
La majorité de ses financements gouvernementaux a disparu. Il a dû mettre la main à son porte-monnaie, plus de 100 000 dollars, pour maintenir sa recherche. Si personne de ses collègues ne vient à ses funérailles, dit-il, ce sera la preuve qu'il avait le courage de dire ce qu'ils avaient peur d'admettre.
Il s'agit de ceci : Le réchauffement global est une farce. En réalité, ce n'est pas exactement ce que dit Bill Gray. Il dit seulement que la manière de le présenter est une farce.
Il l'a affirmé sous serment devant le Sénat. Il a écrit des articles de magazine, fait des discours, fait tout ce qu'il pouvait pour faire passer le message.
« J'ai été dans la météorologie pendant 50 ans. J'ai travaillé très dur et j'ai bourlingué. Mon sentiment est que certains d'entre nous, les anciens qui avons bourlingué n'ont pas été questionnés sur ce sujet. C'est un genre de chose de baby-boomer, de yuppie. »
Gray croit à ses observations. Des mesures directes. On ne peut pas faire confiance aux modèles numériques. Ceux qui écrivent les équations, équipés d'ordinateurs spéciaux ne sont pas les égaux des scientifiques qui volent dans les ouragans.
« Peu de personnes savent ce que je sais. J'ai été sous les Tropiques, j'ai volé avec des avions dans des tempêtes. J'ai fait des études de convection, des amas de nuages et comment le processus humide fonctionne. Je ne pense pas que quiconque dans le monde ne comprend mieux les fonctions de l'atmosphère que moi. » Dans trois, cinq, peut-être huit ans, dit-il, le monde commencera à se refroidir à nouveau.
Il est presque désespéré de se faire entendre. Il lui reste peu de temps. Il a 76 ans. Notez que ce journaliste du Washington Post écrit négligemment « le monde commencera à se refroidir à nouveau, » comme s'il parlait d'une brise fraîche qui caresse gentiment le front orné de gouttes de sueur. Si c'est le cas, si c'est juste une brise, pourquoi Bill Gray est-il si désespéré d'être entendu ? Pourquoi a-t-il dépensé 100 000 dollars de sa poche sur sa recherche ? Continuons l'article :
« Le cas du réchauffement »
Les hommes déversent des gaz à effet de serre dans l'atmosphère, chauffant la planète dans le processus.
Depuis l'aube de l'ère industrielle, le dioxyde de carbone atmosphérique s'est élevé d'environ 280 à environ 380 parties par million. Au siècle dernier, la température de surface moyenne de la Terre s'est élevée d'environ 1 degré Fahrenheit (0,5°C). La plus grande partie de ce réchauffement s'est produite au cours des 30 dernières années.
Les effets régionaux peuvent être plus dramatiques : L'Arctique fond à une vitesse alarmante. La glace de l'Océan Arctique est 40 % plus mince qu'elle ne l'était dans les années 1970. Les glaciers du Groenland accélèrent alors qu'ils glissent vers la mer. Un rapport récent montre que l'Antarctique perd 36 miles cubiques (150 km3) de glace par an.
Le pergélisol fond dans les larges trouées de l'Alaska, du Canada et de la Sibérie. Les coccinelles friantes des arbres, communes dans le Sud-Ouest des États-Unis, ravagent soudainement les arbres toujours verts de la Colombie-Britannique. Les récifs de corail blanchissent, ébouillantés par des eaux tropicales surchauffées. Il semble y avoir eu des ouragans et des cyclones plus forts ces dernières décennies.
Les années 1990 ont été la décennie la plus chaude enregistrée. L'année 1998 a battu tous les records. Cette décennie est sur le chemin d'établir une nouvelle norme. Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), une action globale impliquant des centaines de scientifiques du climat, a projeté en 2001 que, selon le taux des émissions de gaz à effet de serre et les sensibilités de climat générales, la température moyenne globale devrait monter de 2,5 à 10,4 degrés Fahrenheit (1,4 à 5,8°C) entre 1990 et 2100. Les niveaux de la mer pourraient monter de quelques centimètres ou bien de près d'un mètre.
Tout le susdit fait partie du consensus scientifique émergeant, en train de se figer, sur le réchauffement climatique. Maintenant, remarquez que, dans le scénario ci-dessus, nous avons quelques problèmes définis qui sont exposés - mais la plupart se produiront graduellement et nous avons environ 90 ans pour les voir se réaliser : jusqu'en 2100. Tout cela est plutôt « douteux » aussi, même s'ils sont certains que les choses vont se réchauffer. Maintenant le journaliste passe à l'attaque :
Le point de vue des sceptiques
Lorsque vous entrez dans le monde des sceptiques, vous vous trouvez sur une Terre parallèle.
C'est une planète où le réchauffement global ne se produit pas - ou, s'il se produit, il ne se produit pas à cause des hommes. Ou bien, s'il se produit à cause des hommes, il ne va pas être un gros problème. Et, même si c'est un gros problème, nous ne pouvons pas réalistement y faire quelque chose à part nous adapter. Il n'y a que dans la dernière phrase que ce journaliste s'approche de la vérité. Mais notez comment il a caché intelligemment le problème :
Il n'y a pas de consensus sur le réchauffement global, disent-ils. Il y a seulement une abondante incertitude. Le processus du GIEC est de la frime, un mécanisme pour transformer de vagues déclarations scientifiques en alarmisme pour les grands titres. Des actions drastiques comme des coupes contrôlées des émissions de carbone seraient imprudentes. Encore des déformations et des distorsions.
Les sources alternatives d'énergie sont bien, disent-ils, mais ne soyons pas naïfs. Nous sommes une civilisation consommatrice d'énergie. Pour obtenir le genre d'énergie dont nous avons besoin, nous devons brûler des carburants fossiles. Nous devons émettre du carbone. C'est le monde réel. Dans ce sens, le journaliste répète le point de vue pris par la Science du Reich de Bush qui a peu ou pas de rapport avec la vraie science ! Intéressant comment il mélange tout cela.
Depuis la fin des années 1980, lorsque le pétrole, le gaz, le charbon, les sociétés automobiles et chimiques ont formé la Coalition du Climat Global, les industries ont déversé des millions de dollars dans une campagne pour discréditer le consensus du réchauffement global émergeant. La coalition s'est dissoute il y a quelques années, mais la communauté des sceptiques est restée.
Beaucoup de sceptiques travaillent dans des cercles de réflexion, comme le George C. Marshall Institute ou le National Center for Policy Analysis. Ils ont l'oreille des leaders à la Maison Blanche et au Capitole. Les sceptiques ont aidé à saboter toute possibilité que les États-Unis ratifient le traité de Kyoto qui aurait engagé la nation dans des coupes des émissions de gaz à effet de serre. (Les Conservateurs objectent au traité, entre autres choses, de ne pas exiger des réductions dans les pays en développement comme la Chine et l'Inde.) Remarquez comment ce journaliste a ajouté les scientifiques aux sceptiques politiques comme s'ils disaient tous la même chose. Ce n'est pas le cas et c'est ce dont il s'agit. Il y a une différence énorme entre dire « Le Réchauffement Global tel qu'il est présenté au public est un canular » et « il n'y a pas de Réchauffement Global. Il y a absolument un Réchauffement Global et Bill Gray n'a jamais dit que les choses n'allaient pas se réchauffer.
Les sceptiques pointent du doigt le graphique de température globale du siècle dernier. Notez comment, après une montée constante au début du 20e siècle, en 1940 la température est soudainement stable. Non - elle descend ! Pendant les 35 années suivantes ! Si la planète devenait constamment plus chaude à cause des gaz à effet de serre de l'ère industrielle, pourquoi s'est-elle refroidie lorsque les industries ont commencé à émettre à plein du dioxyde de carbone au début de la Seconde Guerre mondiale ?
Maintenant regardez la glace en Antarctique : elle devient plus épaisse à certains endroits !
La montée du niveau de la mer ? Il baisse en réalité autour de certaines îles du Pacifique et de l'Océan Indien.
Il y a toutes ces ... anomalies. [...] Avez-vous saisi ces dernières remarques ? Le journaliste cite - hors contexte, je devrais ajouter - plusieurs résultats d'études scientifiques. Mais nous allons découvrir que ces aveux qu'il a faits ci-dessus - que la glace de l'Antarctique devenait PLUS ÉPAISSE et que le niveau de la mer descend en réalité - concernent des informations qui vont devenir très rusées !
Notez aussi que cet article, très critique de l'attitude « pas de réchauffement global » qui a été récupéré par l'Administration Bush, a été publié dans le Washington Post très nettement de droite, une des feuilles de chou les plus obséquieuses de l'Administration sur le marché ! Qu'est-ce qui se passe avec ça ?!
J'ai aussi noté que Robert Felix, le type de « iceagenow.com », a ajouté un commentaire sur cet article en accusant l'auteur du Post d'être de GAUCHE !!!
Malheureusement - et bassement - cet article qui rapporte censément les arguments des sceptiques, vire maintenant à gauche, accusant le Dr Gray d'être en « marge » et l'écartant de même que le professeur Richard Lindzen du M.I.T. comme faisant simplement partie de la « Vieille Garde » minoritaire. L'article ignore commodément le fait que 60 experts internationaux sur le changement climatique ont récemment signé une lettre ouverte au Premier ministre canadien désavouant le « fait » du réchauffement global. Parfois je pense que nous avons vraiment perdu l'idée de ce que représentent la Droite et la Gauche. Il me semble que les termes ont été sévèrement ponérisés et même sont devenus de la « langue de bois. »
En tout cas, il y a ensuite ceci du site iceagenow :
J'ai publié pour la première fois en 2003 cette prévision du Dr Landscheidt. Toutefois, avec le récent refroidissement de l'Océan Atlantique rapporté et avec la première inversion de taches solaires de ce qui peut être le début du prochain cycle solaire, et avec les scientifiques russes qui prédisent un nouvel Petit âge glaciaire, je pensais que ce serait un moment approprié de donner plus de crédit au Dr Landscheidt. Il prédit ce scénario depuis des années. Voici ce qu'avait à dire le Dr Landscheidt :
Un nouvel Petit âge glaciaire en 2030 !
L'analyse de l'activité solaire au cours des deux derniers millénaires indique que, contrairement à la spéculation du GIEC sur le réchauffement global créé par l'homme, nous pourrions nous diriger vers un climat du type minimum de Maunder (un Petit âge glaciaire).
La probabilité est grande que les minima vers 2030 et 2201 soient accompagnés de périodes de climat froid comparable au nadir du Petit âge glaciaire et que La Ninas sera plus fréquent et plus fort que El Ninos jusqu'en 2018 (Landscheidt 2000)
Toutefois, nous n'avons pas besoin d'attendre 2030 pour voir si la prévision est correcte. Une tendance déclinante de l'activité solaire et de la température globale devrait se manifester bien avant. L'actuel cycle 23 de 11 ans de taches solaires avec son activité considérablement plus faible semble être une première indication de la nouvelle tendance, surtout comme elle a été prédite sur la base des cycles de mouvement solaire il y a 20 ans. Quant à la température, seules les périodes de El Nino devraient interrompre la tendance baissière, mais même El Nino devrait devenir moins fréquent et moins fort.
Le flux magnétique total quittant le Soleil a augmenté d'un facteur 2,3 depuis 1901 tandis que la température globale sur Terre a augmenté d'environ 0,6°C. Les orages énergétiques ont augmenté la radiation ultraviolette d'au moins 16 %. Il y a un lien direct entre les éruptions solaires et une forte montée en température.
Les carottages de fond de lac de la péninsule du Yucatan couvrant plus de 2000 ans montrent une corrélation similaire entre les sécheresses récurrentes et l'activité des éruptions du Soleil. Ces résultats et de nombreux autres antérieurs (Landscheidt, 1981-2001) documentent l'importance de l'activité des éruptions solaires sur le climat.
Les éruptions solaires énergétiques ne s'accumulent pas autour du maximum des taches solaires. Dans la plupart des cycles, elles évitent la phase de maximum et peuvent même se produire près d'un minimum de taches solaires.
J'ai (Landscheidt) montré pendant des décennies que l'activité variable du Soleil est liée à des cycles dans son oscillation irrégulière vers le centre de gravité du système solaire (le cycle rétrograde du Soleil). Comme ces cycles sont liés aux phénomènes climatiques et peuvent être calculés pour des siècles, ils offrent un moyen de prévoir les phases de climat froid et de climat chaud.
Les chercheurs ont besoin de prendre le soleil au sérieux en tant que facteur de changement du climat, comprenant réchauffement, sécheresses et coups de froid.
Comment l'Âge glaciaire affectera l'Amérique du Nord
Les C's, bien entendu, dissent les mêmes choses : que c'est le soleil - et son compagnon - qui sont majoritairement responsables du Changement Climatique. Pour continuer, Robert Felix écrit :
Je suis désolé d'annoncer que le Dr Theodor Landscheidt est décédé le 20 mai 2004. Fondateur du Schroeter Institute for Research in Cycles of Solar Activity à Waldmuenchen en Allemagne, le Dr Landscheidt était un géant dans le domaine de la climatologie. Voici ce que j'ai publié en 2003
Dr. Landscheidt, auteur de "Sun - Earth - Man: A Mesh of Cosmic Oscillations", et "Cosmic Cybernetics: The Foundations of a Modern Astrology," fonda sa prévision sur le cycle de Gleissberg de l'activité solaire.
« Contrairement à la spéculation du GIEC sur le réchauffement global créé par l'homme aussi haut que 5,8°C sur les cent prochaines années, » a déclaré Landscheidt, « on doit s'attendre à une longue période de climat froid avec sa phase la plus froide autour de 2030. »
« On peut voir, » a ajouté Landscheidt, « que le minium de Gleissberg vers 2030 et un autre vers 2200 sera du type minimum de Maunder accompagné de sévères refroidissements sur Terre. » (Posté le 19 sept. 2003)
Cela confirme ce que je dis depuis tout le temps ; que notre climat est contrôlé par l'activité magnétique solaire.
Cela rend aussi mon affirmation que « Nous admettrons que nous nous dirigeons vers un âge glaciaire dès 2012 » bien plus plausible.
Les prévisions de Landscheidt incluent la fin de la grande sécheresse sahélienne ; les cinq derniers extrêmes des anomalies de température globale ; les trios derniers El Ninos ; et la trajectoire du dernier La Nina. Il a prédit des débordements extrêmes du Po en octobre 2000, sept mois avant qu'ils ne commencent.
Cette habileté à prédire, dit Landscheidt, basée seulement sur les cycles solaires, est irréconciliable avec l'allégation du GIEC qu'il est improbable que les forces naturelles expliquent le réchauffement dans la dernière moitié du 20e siècle.
L'actuel cycle 23 des taches solaires de 11 ans avec son activité considérablement plus faible semble être une première indication de la nouvelle tendance, surtout qu'elle a été prédite sur la base de cycles de mouvement solaire il y a 20 ans. Cette dernière m'a surprise. J'avais l'impression que le dernier cycle de taches solaires était considérablement plus fort et plus actif que prévu. À nouveau, un membre du forum a déniché quelques données. Vous pouvez les lire ICI.
De toute façon, laissez-moi continuer. La principale chose qui a attiré mon attention dans tout le susdit était la revendication qu'en réalité la calotte de l'Antarctique grossissait puisque nous avons tous entendu par les médias qu'elle « fond, fond, fond ». Parallèlement à cela, il y avait la revendication surprenante que le niveau de la mer diminuait au lieu de monter comme prédit par le Scénario du Réchauffement Global. D'où venaient ces choses ? De qui ?
Je suis partie faire des recherches.
Une des premières choses que j'aie trouvées fut la suivante :
Équilibre de la masse de la calotte polaire de l'Antarctique
Référence :
Wingham, D.J., Shepherd, A., Muir, A. and Marshall, G.J. 2006. Mass balance of the Antarctic ice sheet. Philosophical Transactions of the Royal Society A 364: 1627-1635.
Ce qui a été fait
Les auteurs ont « analysé 1,2 x 108 échos altimétriques de satellite pour déterminer les changements de volume de la calotte polaire antarctique de 1992 à 2003. » Ce relevé, selon leurs mots, « couvre 85 % de la calotte polaire antarctique orientale et 51 % de la calotte polaire antarctique occidentale, » ce qui comprend ensemble « 72 % de la calotte sur la terre ferme. »
Ce qu'on a appris
Wingham et al rapportent que « globalement, les données corrigées du rebond isostatique, montrent que la calotte croît de 5 ± 1 mm par année. » Calculer le changement de masse de la calotte polaire, toutefois, « nécessite une connaissance de la densité à laquelle les changements se sont produits, » et quand les meilleures estimations des chercheurs des différences régionales dans ce paramètre sont utilisées, ils trouvent que « 72 % de la calotte polaire antarctique gagnent 27 ± 29 Gt par année, un volume de masse océanique suffisante à faire baisser le niveau global des mers de 0,08 mm par année. » Cette extraction nette d'eau de l'océan global, selon Wingham et al, se produit parce que « les gains de masse dus à l'accumulation de neige, particulièrement sur la péninsule antarctique et dans l'est de l'Antarctique, excèdent la perte de masse dynamique de glace de l'ouest de l'Antarctique. »
Ce que cela signifie
Contrairement à toutes les histoires d'horreur que l'on entend sur le gaspillage de la calotte polaire antarctique induite par le réchauffement global menant à la montée du niveau de la mer qui avale les basses terres dans le monde entier, la plus récente décennie de données du monde réel pertinentes suggère que des forces menant à l'effet opposé sont apparemment dominantes, même face à ce que les alarmistes du climat décrivent typiquement comme le plus grand réchauffement du monde dans les derniers deux mille ans ou plus.
Révisé le 8 novembre 2006 Notez la date : novembre dernier. Notez ce qu'il dit : la calotte polaire antarctique est en train de croître !!! De plus, elle le fait aux dépens du niveau global de la mer ! À part le fait que tout ce que nous entendons est « glace qui fond ! glace qui fond ! », comment la calotte polaire peut-elle croître si la température se réchauffe ? Et nous savons TOUS que c'est le cas ! Donc, comment cela se peut-il ?
Eh bien il y a une réponse :
Le réchauffement global accélère les glaciers
Le réchauffement global pourrait pousser les glaciers à croître, prétend une nouvelle étude.
Des chercheurs de l'Université de Newcastle ont regardé les tendances des températures dans l'Himalaya occidental au cours du siècle passé. Ils ont trouvé que des hivers plus chauds et des étés plus froids, combinés avec davantage de neige et de pluies, pourraient causer certains glaciers de montagne à augmenter de taille. [...] Sur le site de la NASA, j'ai découvert que les scientifiques cartographient cela depuis quelque temps maintenant. Les données sont publiées, c'est juste qu'elles ne sont pas promues activement. Et dans de nombreux cas, c'est formulé afin que les facteurs importants soient minimisés, sinon réellement enterrés.
Tendance des températures en Antarctique 1982-2004
Froid, neigeux et bloqué au « bas de la Terre », l'Antarctique pourrait ressembler à un endroit terne. Mais ce grand continent peut produire une surprenante gamme dynamique de conditions. Un exemple de cette gamme est la température. Bien que l'Antarctique se soit réchauffé le long du périmètre de 1982 à 2004, où des icebergs énormes se détachaient et des morceaux de banquise se désintégraient, il se refroidissait plus près du pôle.
Voyez quelle partie de l'Antarctique est plus froide et la petitesse de ce qui se réchauffe réellement.
Cette image montre les tendances dans les températures de peau - températures du millimètre supérieur de la terre ou de la surface de la mer - pas les températures de l'air. Les données ont été collectées par les senseurs du Advanced Very High Resolution Radiometer (AVHRR) à bord de plusieurs satellites de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA). Les données proviennent du canal infrarouge thermique de l'AVHRR - une portion du spectre lumineux que nous pouvons ressentir comme de la chaleur mais que les yeux humains ne peuvent voir. Cette image montre les tendances de températures pour le continent glacé de 1982 à 2004. Le rouge indique les zones où les températures ont généralement augmenté durant cette période et le bleu montre où les températures ont diminué en majorité.
La zone de plus fort refroidissement apparaît au Pôle Sud et la région de plus fort réchauffement se trouve le long de la Péninsule antarctique. Dans quelques cas, des points rouges ou des traînées brillants le long du bord du continent montrent où les icebergs se détachaient et les morceaux de banquise se désintégraient, signifiant que le satellite commençait à voir une eau océanique plus chaude là où il y avait auparavant de la glace. Un exemple est la ligne rouge brillante le long du bord de la banquise de Ross.
Pourquoi l'Antarctique se refroidit au milieu quand le bord extérieur se réchauffe ?
Une explication possible est que les températures plus chaudes dans l'océan environnant ont produit plus de précipitations dans l'intérieur du continent et cette chute de neige accrue a refroidi la région à haute altitude autour du pôle. Une autre explication possible implique l'ozone. L'ozone dans la stratosphère terrestre absorbe la radiation ultraviolette et l'absorption de cette énergie chauffe la stratosphère. Une perte d'ozone absorbant l'UV peut avoir refroidi la stratosphère et renforcé le vortex polaire, un ensemble de vents tourbillonnants autour du Pôle Sud. Le vortex agit comme une barrière atmosphérique, empêchant l'air côtier plus chaud de se déplacer vers l'intérieur du continent. Un vortex polaire plus fort pourrait expliquer la tendance de refroidissement à l'intérieur de l'Antarctique. Puis un article est venu de Nature.com, qui donne un excellent exemple de double langage :
Des chutes de neige accrues pourraient ralentir la montée du niveau de la mer
Mark Peplow
19 mai 2005
Des chutes de neige accrues sur une grande zone de l'Antarctique épaississent la calotte glaciaire et ralentissent la montée du niveau de la mer causée par la fonte des glaces.
Un relevé satellite montre qu'entre 1992 et 2003, la calotte polaire antarctique orientale a gagné environ 45 milliards de tonnes de glace - assez pour réduire la montée du niveau des océans de 0,12 millimètre par an. La calotte glaciaire qui recouvre le lit rocheux de l'Antarctique est épaisse de plusieurs kilomètres à certains endroits et contient environ 90 % de la glace mondiale. Mais les scientifiques craignent que si elle fond en quantités substantielles, cela gonflera les océans et causera des dévastations sur des îles et les terres côtières. Notez comment ils donnent d'une main et reprennent de l'autre : « les scientifiques CRAIGNENT... « Peu importe qu'ils viennent de dire que la calotte polaire antarctique orientale a gagné 45 milliards de tonnes de glace.
Le GIEC a rapporté que le niveau de la mer s'élève actuellement d'environ 1,8 millimètre par an, largement par la fonte des calottes du Groenland et de l'Antarctique par suite du réchauffement global. Mais le panel s'est aussi attendu à ce que le changement climatique déclenche une augmentation des chutes de neige sur le continent antarctique car une évaporation accrue des océans introduit davantage d'humidité dans l'air.
« C'est un morceau phénoménal de recherche, mais c'est ce à quoi nous nous attendions, » commente David Vaughan, un glaciologue au British Antarctic Survey à Cambrige en Angleterre. « Ces effets ont été prédits depuis longtemps, c'est juste que personne ne les a mesurés avant. »
Bien que les résultats des relevés satellites soient en accord avec les prédictions des modèles de réchauffement global, l'épaississement de la calotte glaciaire pourrait toujours être expliqué par la variabilité naturelle du temps, avertit Curt Davis de l'Université du Missouri à Columbia, un membre de l'équipe de recherche. Lui et ses collègues présentent leurs résultats dans l'édition en ligne de Science.
Vue distante
L'équipe a utilisé des données de satellites radars ERS-1 et ERS-2 de l'Agence Spatiale Européenne qui mesurent les changements en altitude sur environ 70 % de l'intérieur de l'Antarctique - plus de 8,5 millions de kilomètres carrés, grossièrement la même taille que les États-Unis.
Les chercheurs ont découvert que l'est de l'Antarctique s'est épaissi à une vitesse moyenne d'environ 1,8 cm par an sur la période de temps étudiée. La région comprend environ 75 % de la zone émergée totale de l'Antarctique - mais comme sa glace est plus épaisse, elle porte environ 85 % du volume total de glace. « C'est le seul grand ensemble de glace terrestre qui gagne de la masse plutôt qu'il n'en perd, » dit Davis.
La politique n'est plus notre sujet principal. Il y a un Gouvernement Mondial qui dirige le spectacle depuis déjà de nombreuses années. Les conflits ne sont que le « pain et les jeux » qu'ils utilisent pour contrôler les masses.
Le changement politique peut encore arriver, mais il ne lui est plus possible pour d'éviter les changements terrestres qui sont importants et cataclysmiques. Si la seule chose qui se passe est un refroidissement global, cela seul peut provoquer la mort de milliards de personnes. Le réchauffement climatique, d'autre part, aurait été un bienfait pour l'humanité. Mais tout ceci était une fraude, une distraction, un jeu cruel joué par les psychopathes à vos dépens, aux dépens de l'humanité.
Alors, lisez la suite et voyez ce qui nous préoccupe : vous préparer à ce qui va arriver, à ce qui est déjà en cours.
Lever de Lune au-dessus d'un glacier
Des carottes glaciaires tropicales montrent deux changements de climat global soudains
Pour la première fois, des glaciologues ont combiné et comparé des ensembles d'anciens enregistrements climatiques enfouis dans des carottes glaciaires des Andes de l'Amérique du Sud et de l'Himalaya d'Asie pour dessiner une image de la manière dont le climat avait changé - et est toujours en train de changer - sous les Tropiques.
Leurs conclusions désignent un changement climat massif vers un régime plus froid qui s'est produit il y a juste 5000 ans, et une inversion plus récente vers un monde bien plus chaud dans les 50 dernières années.
Les faits suggèrent aussi que la plupart des glaciers à haute altitude dans les régions tropicales de la planète disparaîtront dans un futur proche. L'article est inclus dans le numéro actuel du journal Proceedings of the National Academy of Science.
En conclusion, la recherche montre que dans la majorité du monde, les glaciers et les calottes polaires se retirent rapidement, même dans les régions où des augmentations de précipitations sont documentées. Cela implique des températures en augmentation et non des précipitations en diminution comme le coupable le plus probable. [...]
« Approximativement 70 % de la population mondiale vit actuellement sous les Tropiques, donc quand le climat y change, il est probable que les impacts soient énormes, » explique Lonnie Thompson, professeur de sciences géologiques dans l'Ohio. [...]
« Nous avons un enregistrement qui remonte à plus de 2000 ans et lorsque vous le tracez, vous pouvez voir la Période chaude médiévale et le Petit âge glaciaire, » a dit Thompson. Au cours de la Période chaude médiévale, il y a 700 à 1000 ans, le climat est devenu plus chaud dans plusieurs parties du monde. La Période chaude médiévale a été suivie par le Petit âge glaciaire, une offensive soudaine de températures plus froides marquées par des avancées de glaciers en Europe et en Amérique du Nord.
Les glaciers sont les choses les plus destructrices et les plus puissantes sur Terre
« Et, dans le même enregistrement, vous pouvez clairement voir le 20e siècle et la chose qui ressort - que vous regardiez des carottes individuelles ou bien l'ensemble combiné des sept - est la chaleur inhabituelle des 50 dernières années.
« Il n'y a rien eu de semblable dans les enregistrements comme cela - pas même la Période chaude médiévale, » a déclaré Thompson.
« Le fait que les valeurs isotopiques au cours des 50 dernières années aient été si inhabituelles signifie que les choses sont en train de changer dramatiquement. C'est l'histoire réelle ici. » [...]
© NASA
L'iceberg colossal, de 120 km de long, semble s'être échoué juste à 4 km de la langue de glace géante dans laquelle il allait entrer en collision « Le message à retenir est que le climat global peut changer brutalement, et avec 6,5 milliards de personnes habitant sur la planète, c'est sérieux. » Avertissement : Je vais parler de « données de channeling » ici, donc si vous n'aimez pas cela ou pensez que c'est débile, vous pouvez arrêter de lire tout de suite et ne pas être contaminé par de telles absurdités délirantes...
Tout le monde s'est calmé ? Bien. Continuons. Le membre du forum, « Appollynon », a ajouté quelques commentaires comme suit :
La chose qui attire mon attention ici est que cet article est très, très proche du type d'information que les transcriptions des C's [Expérience cassiopéenne] parlaient en termes de changement brutal du climat global se produisant dans notre avenir proche. ...
Pour moi, le seul détail qui manque vraiment dans cet article est que notre Grosse Boule Bleue n'est pas la seule planète dans le système solaire à être affectée par un réchauffement global. Ce qui me fait me demander « Comment nous pauvres petits humains pourrions-nous faite tout ça ? » Je ne pense pas que nous le puissions et je tends de plus en plus à croire par l'étude et l'observation, l'information présentée par Laura dans la série L'Onde et ses articles sur le site qui suggère que cette activité est un précurseur de l'Onde qui arrive...
Ma pensée actuelle est qu'il semble y avoir un flot de nouvelle énergie entrant dans notre planète qui affecte à la fois le climat global et les mouvements tectoniques (c'est-à-dire l'activité séismique aussi bien que l'activité volcanique et magmatique). La seule explication pour cette nouvelle énergie entrant dans notre système solaire serait, selon ce que suggère ma recherche, une des quatre possibilités suivantes :
1- Un grand influx d'énergie potentielle provenant de l'essaimage de comètes dans ... notre système solaire et transmettant de massives quantités d'énergie (bien que ce devrait être un énorme nombre de comètes car je ne crois pas qu'elles puissent rendre compte des quantités totales de nouvelle énergie bombardant notre système planétaire, à moins que leur nombre soit effroyablement élevé).
2- Une soudaine augmentation d'activité solaire (bien que je sois au courant que nous sommes maintenant dans un genre de minimum solaire selon les experts que je lis.)
3- Une étoile inconnue, soeur de notre Soleil, et non déclarée apportant toute une gamme d'anomalies d'ondes gravitationnelles et d'énergies (dont je ne pense pas que nous avons observé depuis très longtemps dans cette région du cosmos).
4- Le phénomène de l'Onde dont on parle dans la série des livres de L'Onde sur le site et qui peut-être affectés par « les ondulations dans l'étang » pour ainsi dire.
5- Certains scientifiques peuvent peut-être prétendre être ignorants de l'objectif et des faits facilement observés car ils sont sujets à une programmation sociale ou sont pressurés ou forcés de regarder à des endroits différents par manque de financement dans ces zones de recherche distinctes.
Toutefois, je crois vraiment qu'il y a un certain niveau de connaissance sur les effets de l'Onde, des comètes et de l'étoile compagne qui arrivent dans la communauté scientifique, ou du moins ceux qui travaillent sciemment pour « L'Homme derrière le Rideau ».
Je dis ceci à cause du grand nombre de bunkers et bases souterraines qui ont été trouvés et discutés au cours des dernières décennies. Si les pouvoirs en place étaient vraiment dans le noir, alors pourquoi feraient-ils un effort concerté pour masquer la vérité et bâtir ces types de structure pour se cacher lorsque le ciel s'effondrera autour d'eux. Je pense qu'ils ont une bonne idée de tout ce que cela signifie pour nous ici sur la Grosse Boule Bleue et que cela peut faire partie d'un plan pour programmer les masses à penser que nous, les humains, sommes responsables de tout ceci. ...
Cela peut ressembler à une pensée très absurde, je sais, mais cela expliquerait toute cette programmation des grands médias sur la manière dont nous sommes fautifs de ne pas faire assez pour sauver notre planète. ...
Quelqu'un a-t-il d'autres théories pour expliquer autant de tapage sur le réchauffement global induit par l'homme ? J'ai répondu à ces commentaires comme suit :
Eh bien, soyons réalistes, avant le 11/9, nous avions du bon temps le samedi soir en buvant du café et en mangeant des cookies et en bavardant avec les C's sur ce sujet ; ce n'était pas réel, c'était juste théorique. Bien entendu, nous étions assez sûrs que des actes sombres et moches étaient faits en coulisses, il y en a assez de preuves ; mais le scénario présenté par les C's - que les choses seraient comme en Allemagne nazie, sauf globalement, était juste « trop extrême. »
Je ne pense pas que quelqu'un était capable d'imaginer réellement comment nous irions d'ici... à là.
Mais nous savons MAINTENANT clairement comment ils ont fait : le 11/9. C'était fini en juste quelques heures, tout le reste n'est que détails.
Je pense que le reste va être comme ça. Un jour ce sera entièrement théorique et nous n'aurons aucune idée de COMMENT cela pourrait aller d'ici à là, et puis le lendemain, nous serons LÀ.
Les C's ont dit « rebond glaciaire soudain... » Personne ne semble y penser. Ils nous parlent seulement que cela devient de plus en plus chaud. Et si le plus chaud précédait soudainement le plus froid ? Je pense au mammouth en Sibérie qui a été trouvé avec des boutons-d'or dans son estomac. Il a été gelé presque instantanément.
La preuve que c'est arrivé (et plus d'une fois) est tout autour de nous, non seulement dans les enregistrements géologiques et archéologiques, mais aussi dans les mythes et les légendes. Mais pour la plupart des gens, c'est si facile de balayer tout cela et de l'interpréter dans le désordre et c'est ce qu'ils font. Le problème est que je ne crois pas que les « experts » soient si stupides.
Entre temps, les C's nous ont dit des choses - pas de dates solides parce qu'il y a trop de variables et que le futur EST ouvert - et cela arrive comme ils disent, donc nous avons l'idée que le reste va probablement arriver aussi, sauf que nous ne savons pas quand.
Nous vivons probablement dans les temps les plus intéressants des 6000 dernières années. Après cela, le fil est resté calme pendant quelque temps jusqu'à l'autre jour lorsqu'un autre membre, Lynne, a posté une suite :
Il y a un homme, appelé Robert Felix, un ancien architecte, qui fait des recherches sur le cycle des ères glaciaires depuis 1991, à plein temps. Il prétend qu'un âge glaciaire pourrait démarrer n'importe quand. Il cite le fait que lorsque la glace fond aux pôles, l'eau fraîche se mélange à l'eau salée des océans. Cela peut arrêter le flot du Gulf Stream aussi loin au nord que maintenant. Si cela se produit, le climat tempéré vécu par les latitudes septentrionales disparaîtrait et un âge glaciaire commencerait. Bien entendu, je m'en souviens d'après ce que j'ai entendu à une émission de radio. Il y a naturellement bien plus de choses sur le sujet que cela.
Il a un site Internet ici : http://iceagenow.com/
Et il répète constamment : « C'est un cycle, c'est un cycle, c'est un cycle. » Il est peut-être sur la même chose que ce dont parlaient les C's ?
Donc, il y a au moins une [autre] personne avec cette idée et je pense que j'aie entendu d'autres commentaires ici et là sur ce sujet également. Après avoir lu ce post, j'ai décidé de vérifier le lien « iceagenow » juste pour voir ce dont il s'agissait. Je ne savais pas que j'allais découvrir un mystère étrange. La première chose que j'ai trouvée a été ce qui suit :
Les sceptiques du réchauffement climatique continuent à cogner dur
Joel Achenbach,
The Washington Post
5 juin 2006
WASHINGTON - Ce serait glorieux d'être Bill Gray, professeur émérite. Il est le type qui prédit le nombre d'ouragans qui se formeront au cours de la saison des tempêtes tropicales. Il travaille au département de la science atmosphérique à l'Université de l'État du Colorado. Il a formé des douzaines de scientifiques.
Mais il est aussi scandalisé.
La majorité de ses financements gouvernementaux a disparu. Il a dû mettre la main à son porte-monnaie, plus de 100 000 dollars, pour maintenir sa recherche. Si personne de ses collègues ne vient à ses funérailles, dit-il, ce sera la preuve qu'il avait le courage de dire ce qu'ils avaient peur d'admettre.
Il s'agit de ceci : Le réchauffement global est une farce. En réalité, ce n'est pas exactement ce que dit Bill Gray. Il dit seulement que la manière de le présenter est une farce.
Il l'a affirmé sous serment devant le Sénat. Il a écrit des articles de magazine, fait des discours, fait tout ce qu'il pouvait pour faire passer le message.
« J'ai été dans la météorologie pendant 50 ans. J'ai travaillé très dur et j'ai bourlingué. Mon sentiment est que certains d'entre nous, les anciens qui avons bourlingué n'ont pas été questionnés sur ce sujet. C'est un genre de chose de baby-boomer, de yuppie. »
Gray croit à ses observations. Des mesures directes. On ne peut pas faire confiance aux modèles numériques. Ceux qui écrivent les équations, équipés d'ordinateurs spéciaux ne sont pas les égaux des scientifiques qui volent dans les ouragans.
« Peu de personnes savent ce que je sais. J'ai été sous les Tropiques, j'ai volé avec des avions dans des tempêtes. J'ai fait des études de convection, des amas de nuages et comment le processus humide fonctionne. Je ne pense pas que quiconque dans le monde ne comprend mieux les fonctions de l'atmosphère que moi. » Dans trois, cinq, peut-être huit ans, dit-il, le monde commencera à se refroidir à nouveau.
De la glace partout dans 3, 5 ou 8 ans au minimum ?
Il est presque désespéré de se faire entendre. Il lui reste peu de temps. Il a 76 ans. Notez que ce journaliste du Washington Post écrit négligemment « le monde commencera à se refroidir à nouveau, » comme s'il parlait d'une brise fraîche qui caresse gentiment le front orné de gouttes de sueur. Si c'est le cas, si c'est juste une brise, pourquoi Bill Gray est-il si désespéré d'être entendu ? Pourquoi a-t-il dépensé 100 000 dollars de sa poche sur sa recherche ? Continuons l'article :
« Le cas du réchauffement »
Les hommes déversent des gaz à effet de serre dans l'atmosphère, chauffant la planète dans le processus.
Depuis l'aube de l'ère industrielle, le dioxyde de carbone atmosphérique s'est élevé d'environ 280 à environ 380 parties par million. Au siècle dernier, la température de surface moyenne de la Terre s'est élevée d'environ 1 degré Fahrenheit (0,5°C). La plus grande partie de ce réchauffement s'est produite au cours des 30 dernières années.
Les effets régionaux peuvent être plus dramatiques : L'Arctique fond à une vitesse alarmante. La glace de l'Océan Arctique est 40 % plus mince qu'elle ne l'était dans les années 1970. Les glaciers du Groenland accélèrent alors qu'ils glissent vers la mer. Un rapport récent montre que l'Antarctique perd 36 miles cubiques (150 km3) de glace par an.
Le pergélisol fond dans les larges trouées de l'Alaska, du Canada et de la Sibérie. Les coccinelles friantes des arbres, communes dans le Sud-Ouest des États-Unis, ravagent soudainement les arbres toujours verts de la Colombie-Britannique. Les récifs de corail blanchissent, ébouillantés par des eaux tropicales surchauffées. Il semble y avoir eu des ouragans et des cyclones plus forts ces dernières décennies.
Les années 1990 ont été la décennie la plus chaude enregistrée. L'année 1998 a battu tous les records. Cette décennie est sur le chemin d'établir une nouvelle norme. Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), une action globale impliquant des centaines de scientifiques du climat, a projeté en 2001 que, selon le taux des émissions de gaz à effet de serre et les sensibilités de climat générales, la température moyenne globale devrait monter de 2,5 à 10,4 degrés Fahrenheit (1,4 à 5,8°C) entre 1990 et 2100. Les niveaux de la mer pourraient monter de quelques centimètres ou bien de près d'un mètre.
Tout le susdit fait partie du consensus scientifique émergeant, en train de se figer, sur le réchauffement climatique. Maintenant, remarquez que, dans le scénario ci-dessus, nous avons quelques problèmes définis qui sont exposés - mais la plupart se produiront graduellement et nous avons environ 90 ans pour les voir se réaliser : jusqu'en 2100. Tout cela est plutôt « douteux » aussi, même s'ils sont certains que les choses vont se réchauffer. Maintenant le journaliste passe à l'attaque :
Le point de vue des sceptiques
Lorsque vous entrez dans le monde des sceptiques, vous vous trouvez sur une Terre parallèle.
C'est une planète où le réchauffement global ne se produit pas - ou, s'il se produit, il ne se produit pas à cause des hommes. Ou bien, s'il se produit à cause des hommes, il ne va pas être un gros problème. Et, même si c'est un gros problème, nous ne pouvons pas réalistement y faire quelque chose à part nous adapter. Il n'y a que dans la dernière phrase que ce journaliste s'approche de la vérité. Mais notez comment il a caché intelligemment le problème :
Il n'y a pas de consensus sur le réchauffement global, disent-ils. Il y a seulement une abondante incertitude. Le processus du GIEC est de la frime, un mécanisme pour transformer de vagues déclarations scientifiques en alarmisme pour les grands titres. Des actions drastiques comme des coupes contrôlées des émissions de carbone seraient imprudentes. Encore des déformations et des distorsions.
Les sources alternatives d'énergie sont bien, disent-ils, mais ne soyons pas naïfs. Nous sommes une civilisation consommatrice d'énergie. Pour obtenir le genre d'énergie dont nous avons besoin, nous devons brûler des carburants fossiles. Nous devons émettre du carbone. C'est le monde réel. Dans ce sens, le journaliste répète le point de vue pris par la Science du Reich de Bush qui a peu ou pas de rapport avec la vraie science ! Intéressant comment il mélange tout cela.
Depuis la fin des années 1980, lorsque le pétrole, le gaz, le charbon, les sociétés automobiles et chimiques ont formé la Coalition du Climat Global, les industries ont déversé des millions de dollars dans une campagne pour discréditer le consensus du réchauffement global émergeant. La coalition s'est dissoute il y a quelques années, mais la communauté des sceptiques est restée.
Beaucoup de sceptiques travaillent dans des cercles de réflexion, comme le George C. Marshall Institute ou le National Center for Policy Analysis. Ils ont l'oreille des leaders à la Maison Blanche et au Capitole. Les sceptiques ont aidé à saboter toute possibilité que les États-Unis ratifient le traité de Kyoto qui aurait engagé la nation dans des coupes des émissions de gaz à effet de serre. (Les Conservateurs objectent au traité, entre autres choses, de ne pas exiger des réductions dans les pays en développement comme la Chine et l'Inde.) Remarquez comment ce journaliste a ajouté les scientifiques aux sceptiques politiques comme s'ils disaient tous la même chose. Ce n'est pas le cas et c'est ce dont il s'agit. Il y a une différence énorme entre dire « Le Réchauffement Global tel qu'il est présenté au public est un canular » et « il n'y a pas de Réchauffement Global. Il y a absolument un Réchauffement Global et Bill Gray n'a jamais dit que les choses n'allaient pas se réchauffer.
Les sceptiques pointent du doigt le graphique de température globale du siècle dernier. Notez comment, après une montée constante au début du 20e siècle, en 1940 la température est soudainement stable. Non - elle descend ! Pendant les 35 années suivantes ! Si la planète devenait constamment plus chaude à cause des gaz à effet de serre de l'ère industrielle, pourquoi s'est-elle refroidie lorsque les industries ont commencé à émettre à plein du dioxyde de carbone au début de la Seconde Guerre mondiale ?
Maintenant regardez la glace en Antarctique : elle devient plus épaisse à certains endroits !
La montée du niveau de la mer ? Il baisse en réalité autour de certaines îles du Pacifique et de l'Océan Indien.
Il y a toutes ces ... anomalies. [...] Avez-vous saisi ces dernières remarques ? Le journaliste cite - hors contexte, je devrais ajouter - plusieurs résultats d'études scientifiques. Mais nous allons découvrir que ces aveux qu'il a faits ci-dessus - que la glace de l'Antarctique devenait PLUS ÉPAISSE et que le niveau de la mer descend en réalité - concernent des informations qui vont devenir très rusées !
Notez aussi que cet article, très critique de l'attitude « pas de réchauffement global » qui a été récupéré par l'Administration Bush, a été publié dans le Washington Post très nettement de droite, une des feuilles de chou les plus obséquieuses de l'Administration sur le marché ! Qu'est-ce qui se passe avec ça ?!
J'ai aussi noté que Robert Felix, le type de « iceagenow.com », a ajouté un commentaire sur cet article en accusant l'auteur du Post d'être de GAUCHE !!!
Malheureusement - et bassement - cet article qui rapporte censément les arguments des sceptiques, vire maintenant à gauche, accusant le Dr Gray d'être en « marge » et l'écartant de même que le professeur Richard Lindzen du M.I.T. comme faisant simplement partie de la « Vieille Garde » minoritaire. L'article ignore commodément le fait que 60 experts internationaux sur le changement climatique ont récemment signé une lettre ouverte au Premier ministre canadien désavouant le « fait » du réchauffement global. Parfois je pense que nous avons vraiment perdu l'idée de ce que représentent la Droite et la Gauche. Il me semble que les termes ont été sévèrement ponérisés et même sont devenus de la « langue de bois. »
En tout cas, il y a ensuite ceci du site iceagenow :
J'ai publié pour la première fois en 2003 cette prévision du Dr Landscheidt. Toutefois, avec le récent refroidissement de l'Océan Atlantique rapporté et avec la première inversion de taches solaires de ce qui peut être le début du prochain cycle solaire, et avec les scientifiques russes qui prédisent un nouvel Petit âge glaciaire, je pensais que ce serait un moment approprié de donner plus de crédit au Dr Landscheidt. Il prédit ce scénario depuis des années. Voici ce qu'avait à dire le Dr Landscheidt :
Un nouvel Petit âge glaciaire en 2030 !
L'analyse de l'activité solaire au cours des deux derniers millénaires indique que, contrairement à la spéculation du GIEC sur le réchauffement global créé par l'homme, nous pourrions nous diriger vers un climat du type minimum de Maunder (un Petit âge glaciaire).
La probabilité est grande que les minima vers 2030 et 2201 soient accompagnés de périodes de climat froid comparable au nadir du Petit âge glaciaire et que La Ninas sera plus fréquent et plus fort que El Ninos jusqu'en 2018 (Landscheidt 2000)
Toutefois, nous n'avons pas besoin d'attendre 2030 pour voir si la prévision est correcte. Une tendance déclinante de l'activité solaire et de la température globale devrait se manifester bien avant. L'actuel cycle 23 de 11 ans de taches solaires avec son activité considérablement plus faible semble être une première indication de la nouvelle tendance, surtout comme elle a été prédite sur la base des cycles de mouvement solaire il y a 20 ans. Quant à la température, seules les périodes de El Nino devraient interrompre la tendance baissière, mais même El Nino devrait devenir moins fréquent et moins fort.
Le flux magnétique total quittant le Soleil a augmenté d'un facteur 2,3 depuis 1901 tandis que la température globale sur Terre a augmenté d'environ 0,6°C. Les orages énergétiques ont augmenté la radiation ultraviolette d'au moins 16 %. Il y a un lien direct entre les éruptions solaires et une forte montée en température.
Les carottages de fond de lac de la péninsule du Yucatan couvrant plus de 2000 ans montrent une corrélation similaire entre les sécheresses récurrentes et l'activité des éruptions du Soleil. Ces résultats et de nombreux autres antérieurs (Landscheidt, 1981-2001) documentent l'importance de l'activité des éruptions solaires sur le climat.
Les éruptions solaires énergétiques ne s'accumulent pas autour du maximum des taches solaires. Dans la plupart des cycles, elles évitent la phase de maximum et peuvent même se produire près d'un minimum de taches solaires.
J'ai (Landscheidt) montré pendant des décennies que l'activité variable du Soleil est liée à des cycles dans son oscillation irrégulière vers le centre de gravité du système solaire (le cycle rétrograde du Soleil). Comme ces cycles sont liés aux phénomènes climatiques et peuvent être calculés pour des siècles, ils offrent un moyen de prévoir les phases de climat froid et de climat chaud.
Les chercheurs ont besoin de prendre le soleil au sérieux en tant que facteur de changement du climat, comprenant réchauffement, sécheresses et coups de froid.
Comment l'Âge glaciaire affectera l'Amérique du Nord
Les C's, bien entendu, dissent les mêmes choses : que c'est le soleil - et son compagnon - qui sont majoritairement responsables du Changement Climatique. Pour continuer, Robert Felix écrit :
Je suis désolé d'annoncer que le Dr Theodor Landscheidt est décédé le 20 mai 2004. Fondateur du Schroeter Institute for Research in Cycles of Solar Activity à Waldmuenchen en Allemagne, le Dr Landscheidt était un géant dans le domaine de la climatologie. Voici ce que j'ai publié en 2003
Dr. Landscheidt, auteur de "Sun - Earth - Man: A Mesh of Cosmic Oscillations", et "Cosmic Cybernetics: The Foundations of a Modern Astrology," fonda sa prévision sur le cycle de Gleissberg de l'activité solaire.
« Contrairement à la spéculation du GIEC sur le réchauffement global créé par l'homme aussi haut que 5,8°C sur les cent prochaines années, » a déclaré Landscheidt, « on doit s'attendre à une longue période de climat froid avec sa phase la plus froide autour de 2030. »
« On peut voir, » a ajouté Landscheidt, « que le minium de Gleissberg vers 2030 et un autre vers 2200 sera du type minimum de Maunder accompagné de sévères refroidissements sur Terre. » (Posté le 19 sept. 2003)
Cela confirme ce que je dis depuis tout le temps ; que notre climat est contrôlé par l'activité magnétique solaire.
Cela rend aussi mon affirmation que « Nous admettrons que nous nous dirigeons vers un âge glaciaire dès 2012 » bien plus plausible.
Les prévisions de Landscheidt incluent la fin de la grande sécheresse sahélienne ; les cinq derniers extrêmes des anomalies de température globale ; les trios derniers El Ninos ; et la trajectoire du dernier La Nina. Il a prédit des débordements extrêmes du Po en octobre 2000, sept mois avant qu'ils ne commencent.
Cette habileté à prédire, dit Landscheidt, basée seulement sur les cycles solaires, est irréconciliable avec l'allégation du GIEC qu'il est improbable que les forces naturelles expliquent le réchauffement dans la dernière moitié du 20e siècle.
L'actuel cycle 23 des taches solaires de 11 ans avec son activité considérablement plus faible semble être une première indication de la nouvelle tendance, surtout qu'elle a été prédite sur la base de cycles de mouvement solaire il y a 20 ans. Cette dernière m'a surprise. J'avais l'impression que le dernier cycle de taches solaires était considérablement plus fort et plus actif que prévu. À nouveau, un membre du forum a déniché quelques données. Vous pouvez les lire ICI.
De toute façon, laissez-moi continuer. La principale chose qui a attiré mon attention dans tout le susdit était la revendication qu'en réalité la calotte de l'Antarctique grossissait puisque nous avons tous entendu par les médias qu'elle « fond, fond, fond ». Parallèlement à cela, il y avait la revendication surprenante que le niveau de la mer diminuait au lieu de monter comme prédit par le Scénario du Réchauffement Global. D'où venaient ces choses ? De qui ?
Je suis partie faire des recherches.
Une des premières choses que j'aie trouvées fut la suivante :
Équilibre de la masse de la calotte polaire de l'Antarctique
Référence :
Wingham, D.J., Shepherd, A., Muir, A. and Marshall, G.J. 2006. Mass balance of the Antarctic ice sheet. Philosophical Transactions of the Royal Society A 364: 1627-1635.
Ce qui a été fait
Les auteurs ont « analysé 1,2 x 108 échos altimétriques de satellite pour déterminer les changements de volume de la calotte polaire antarctique de 1992 à 2003. » Ce relevé, selon leurs mots, « couvre 85 % de la calotte polaire antarctique orientale et 51 % de la calotte polaire antarctique occidentale, » ce qui comprend ensemble « 72 % de la calotte sur la terre ferme. »
Ce qu'on a appris
Wingham et al rapportent que « globalement, les données corrigées du rebond isostatique, montrent que la calotte croît de 5 ± 1 mm par année. » Calculer le changement de masse de la calotte polaire, toutefois, « nécessite une connaissance de la densité à laquelle les changements se sont produits, » et quand les meilleures estimations des chercheurs des différences régionales dans ce paramètre sont utilisées, ils trouvent que « 72 % de la calotte polaire antarctique gagnent 27 ± 29 Gt par année, un volume de masse océanique suffisante à faire baisser le niveau global des mers de 0,08 mm par année. » Cette extraction nette d'eau de l'océan global, selon Wingham et al, se produit parce que « les gains de masse dus à l'accumulation de neige, particulièrement sur la péninsule antarctique et dans l'est de l'Antarctique, excèdent la perte de masse dynamique de glace de l'ouest de l'Antarctique. »
Ce que cela signifie
Contrairement à toutes les histoires d'horreur que l'on entend sur le gaspillage de la calotte polaire antarctique induite par le réchauffement global menant à la montée du niveau de la mer qui avale les basses terres dans le monde entier, la plus récente décennie de données du monde réel pertinentes suggère que des forces menant à l'effet opposé sont apparemment dominantes, même face à ce que les alarmistes du climat décrivent typiquement comme le plus grand réchauffement du monde dans les derniers deux mille ans ou plus.
Révisé le 8 novembre 2006 Notez la date : novembre dernier. Notez ce qu'il dit : la calotte polaire antarctique est en train de croître !!! De plus, elle le fait aux dépens du niveau global de la mer ! À part le fait que tout ce que nous entendons est « glace qui fond ! glace qui fond ! », comment la calotte polaire peut-elle croître si la température se réchauffe ? Et nous savons TOUS que c'est le cas ! Donc, comment cela se peut-il ?
Eh bien il y a une réponse :
Le réchauffement global accélère les glaciers
Le réchauffement global pourrait pousser les glaciers à croître, prétend une nouvelle étude.
Des chercheurs de l'Université de Newcastle ont regardé les tendances des températures dans l'Himalaya occidental au cours du siècle passé. Ils ont trouvé que des hivers plus chauds et des étés plus froids, combinés avec davantage de neige et de pluies, pourraient causer certains glaciers de montagne à augmenter de taille. [...] Sur le site de la NASA, j'ai découvert que les scientifiques cartographient cela depuis quelque temps maintenant. Les données sont publiées, c'est juste qu'elles ne sont pas promues activement. Et dans de nombreux cas, c'est formulé afin que les facteurs importants soient minimisés, sinon réellement enterrés.
Tendance des températures en Antarctique 1982-2004
Froid, neigeux et bloqué au « bas de la Terre », l'Antarctique pourrait ressembler à un endroit terne. Mais ce grand continent peut produire une surprenante gamme dynamique de conditions. Un exemple de cette gamme est la température. Bien que l'Antarctique se soit réchauffé le long du périmètre de 1982 à 2004, où des icebergs énormes se détachaient et des morceaux de banquise se désintégraient, il se refroidissait plus près du pôle.
© NASA
Cette image montre les tendances dans les températures de peau - températures du millimètre supérieur de la terre ou de la surface de la mer - pas les températures de l'air. Les données ont été collectées par les senseurs du Advanced Very High Resolution Radiometer (AVHRR) à bord de plusieurs satellites de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA). Les données proviennent du canal infrarouge thermique de l'AVHRR - une portion du spectre lumineux que nous pouvons ressentir comme de la chaleur mais que les yeux humains ne peuvent voir. Cette image montre les tendances de températures pour le continent glacé de 1982 à 2004. Le rouge indique les zones où les températures ont généralement augmenté durant cette période et le bleu montre où les températures ont diminué en majorité.
La zone de plus fort refroidissement apparaît au Pôle Sud et la région de plus fort réchauffement se trouve le long de la Péninsule antarctique. Dans quelques cas, des points rouges ou des traînées brillants le long du bord du continent montrent où les icebergs se détachaient et les morceaux de banquise se désintégraient, signifiant que le satellite commençait à voir une eau océanique plus chaude là où il y avait auparavant de la glace. Un exemple est la ligne rouge brillante le long du bord de la banquise de Ross.
Pourquoi l'Antarctique se refroidit au milieu quand le bord extérieur se réchauffe ?
Une explication possible est que les températures plus chaudes dans l'océan environnant ont produit plus de précipitations dans l'intérieur du continent et cette chute de neige accrue a refroidi la région à haute altitude autour du pôle. Une autre explication possible implique l'ozone. L'ozone dans la stratosphère terrestre absorbe la radiation ultraviolette et l'absorption de cette énergie chauffe la stratosphère. Une perte d'ozone absorbant l'UV peut avoir refroidi la stratosphère et renforcé le vortex polaire, un ensemble de vents tourbillonnants autour du Pôle Sud. Le vortex agit comme une barrière atmosphérique, empêchant l'air côtier plus chaud de se déplacer vers l'intérieur du continent. Un vortex polaire plus fort pourrait expliquer la tendance de refroidissement à l'intérieur de l'Antarctique. Puis un article est venu de Nature.com, qui donne un excellent exemple de double langage :
Des chutes de neige accrues pourraient ralentir la montée du niveau de la mer
Mark Peplow
19 mai 2005
Des chutes de neige accrues sur une grande zone de l'Antarctique épaississent la calotte glaciaire et ralentissent la montée du niveau de la mer causée par la fonte des glaces.
Un relevé satellite montre qu'entre 1992 et 2003, la calotte polaire antarctique orientale a gagné environ 45 milliards de tonnes de glace - assez pour réduire la montée du niveau des océans de 0,12 millimètre par an. La calotte glaciaire qui recouvre le lit rocheux de l'Antarctique est épaisse de plusieurs kilomètres à certains endroits et contient environ 90 % de la glace mondiale. Mais les scientifiques craignent que si elle fond en quantités substantielles, cela gonflera les océans et causera des dévastations sur des îles et les terres côtières. Notez comment ils donnent d'une main et reprennent de l'autre : « les scientifiques CRAIGNENT... « Peu importe qu'ils viennent de dire que la calotte polaire antarctique orientale a gagné 45 milliards de tonnes de glace.
Le GIEC a rapporté que le niveau de la mer s'élève actuellement d'environ 1,8 millimètre par an, largement par la fonte des calottes du Groenland et de l'Antarctique par suite du réchauffement global. Mais le panel s'est aussi attendu à ce que le changement climatique déclenche une augmentation des chutes de neige sur le continent antarctique car une évaporation accrue des océans introduit davantage d'humidité dans l'air.
« C'est un morceau phénoménal de recherche, mais c'est ce à quoi nous nous attendions, » commente David Vaughan, un glaciologue au British Antarctic Survey à Cambrige en Angleterre. « Ces effets ont été prédits depuis longtemps, c'est juste que personne ne les a mesurés avant. »
Bien que les résultats des relevés satellites soient en accord avec les prédictions des modèles de réchauffement global, l'épaississement de la calotte glaciaire pourrait toujours être expliqué par la variabilité naturelle du temps, avertit Curt Davis de l'Université du Missouri à Columbia, un membre de l'équipe de recherche. Lui et ses collègues présentent leurs résultats dans l'édition en ligne de Science.
Vue distante
L'équipe a utilisé des données de satellites radars ERS-1 et ERS-2 de l'Agence Spatiale Européenne qui mesurent les changements en altitude sur environ 70 % de l'intérieur de l'Antarctique - plus de 8,5 millions de kilomètres carrés, grossièrement la même taille que les États-Unis.
Les chercheurs ont découvert que l'est de l'Antarctique s'est épaissi à une vitesse moyenne d'environ 1,8 cm par an sur la période de temps étudiée. La région comprend environ 75 % de la zone émergée totale de l'Antarctique - mais comme sa glace est plus épaisse, elle porte environ 85 % du volume total de glace. « C'est le seul grand ensemble de glace terrestre qui gagne de la masse plutôt qu'il n'en perd, » dit Davis.
Au sommet d'un iceberg
Au contraire, l'Antarctique occidental plus petit a montré un amincissement global de 0,9 centimètre par an. « Il est étonnant qu'ils puissent mesurer de si petits changements, » dit Vaughan. Oui, c'est sûr que c'est étonnant. Et notez comment, ci-dessus, les « petits changements » sont censés être responsables de la montée annoncée du niveau de la mer de 1,8 millimètre par an. Je pense que nous les avons pris en train de dire un mensonge. Mais nous y reviendrons.
Peau épaisse
L'épaississement de la calotte glaciaire orientale ne devrait pas être vu comme une protection à long terme contre une montée du niveau de la mer, prévient Vaughan. Les glaciers à l'ouest de l'Antarctique accélèrent, libérant de plus en plus d'icebergs dans la mer. Et la Péninsule antarctique qui s'étend vers l'Amérique du Sud, a maintenant régulièrement des températures au-dessus de 0°C en été, menant là à une fonte directe de la glace. Le lecteur devrait déjà comprendre comment les remarques ci-dessus sont totalement absurdes. Si ce n'est pas le cas, cela ne va pas tarder.
De plus, les chutes de neige sur l'est de l'Antarctique ne continueront pas à augmenter indéfiniment dans un monde en réchauffement, ajoute Vaughan. Inversement, chaque degré supplémentaire de température continuera à accélérer les glaciers et provoquera davantage de fonte sur le côté occidental de l'Antarctique, gonflant encore plus les océans mondiaux. Notez ci-dessus que, bien qu'ils disent qu'un réchauffement accru augmente les précipitations (chutes de neige) en quelque sorte, il y a un « point d'arrêt » ??!! Que cela n'augmentera pas indéfiniment ? Où est la logique ?
Des scientifiques ont déjà estimé que la fonte de l'Antarctique peut être responsable d'un tiers de la montée globale du niveau de la mer. Mais les instruments sur ERS-1 et 2 ne fonctionnent que sur des zones très plates et tendent à perdre l'écho radar au-dessus des zones plus accidentées sur la côte du continent, donc une pièce vitale du puzzle est toujours manquante, dit Vaughan. Et parce que l'Antarctique est si vaste, il est aussi impossible de mesurer les chutes de neige exhaustivement sur le sol, ajoute-t-il.
Toutefois, le satellite de l'Agence Spatiale Européenne CryoSat, qui devrait être lancé plus tard cette année, devrait être capable de faire des mesures d'altitude très précises autour de la côte, donnant des preuves sur la quantité de glace qui y est perdue. C'est seulement lorsque les scientifiques assembleront toutes les mesures que la pleine vérité sur l'Antarctique deviendra claire, dit Vaughan. Notez comment l'article ci-dessus n'est pas juste une « déformation » de la situation, mais semble contenir des mensonges flagrants - des contradictions directes d'autres faits déjà présentés. Notez aussi la remarque sur le CryoSat prochain. Cela n'a pas attiré mon attention initialement. Ce n'est qu'après avoir continué à creuser que cette remarque sur la possibilité de savoir la vérité sur la glace de l'Antarctique est devenue importante - et même effrayante !
L'item suivant contredisait directement les revendications de l'article précédent sur la fonte de la calotte du Groenland. Il était posté en partie sur le site iceagenow.
La calotte du Groenland s'épaissit
20 oct 2005 - La calotte du Groenland s'est épaissie légèrement ces dernières années malgré beaucoup de prédictions d'un dégel, ont déclaré aujourd'hui des scientifiques. Les mesures satellites montrent que les chutes de neige épaississent la calotte glaciaire, surtout à haute altitude, selon le rapport paru dans le journal Science.
« Les changements de l'épaisseur globale de la calotte sont ... approximativement de plus de 5 cm par an ou 54 cm sur 11 ans, » selon les experts des instituts norvégiens, russes et étasuniens dirigés par Ola Johannessen au centre Mohn Sverdrup pour les Études océaniques globales et l'Océanographie opérationnelle en Norvège. [...]
Lisez davantage sur cet article ICI.
Voir aussi ICI. C'est là où les choses ont commencé à devenir très bizarres. Le premier lien est vers un article de Reuters qui, pour quelque raison, a complètement disparu. Je veux dire, il n'y a même pas un cache google de lui. Rien.
Le second lien est vers un rapport de CNN sur l'article de Reuters. Il a aussi disparu. Allez-y, cliquez sur les liens...
En faisant une recherche des articles manquants de Reuters et CNN, j'ai seulement trouvé une mention dans un blogue :
23 octobre 2005
La calotte du Groenland s'épaissit légèrement
J'ai pensé que vous aimeriez celle-ci :
La calotte glaciaire du Groenland s'est épaissie légèrement ces dernières années malgré beaucoup de prédictions d'un dégel déclenché par le réchauffement global, a déclaré jeudi une équipe de scientifiques.
Lisez-en davantage sur ce blogue : Greenland ice cap thickens slightly Le dernier lien est vers "newsclipping.co.uk". Oh ! Il semblerait que je pourrais vraiment trouver tout l'article !
Devinez encore une fois.
Error 404
La page que vous cherchez n'existe pas ; elle peut avoir été déplacée ou supprimée. Vous pouvez essayer la fonction de recherche. Alternativement, retournez à la page d'accueil Quand je pense que quelqu'un cache quelque chose, cela m'énerve vraiment. Je sais que ce pourrait être mon côté « complotiste », mais je ne peux empêcher le sentiment qu'il y a une tentative de marginaliser ou de sérieusement minimiser une information particulière (ou importante) ici.
J'ai été finalement capable de lire l'article original. Allez ICI pour lire une version de l'article du Science Journal que l'un de nos membres du forum a obtenu et posté.
Un autre membre a trouvé un exemplaire de l'article sur un site de nouvelles australien. Drôle que cela n'est pas apparu pas sur Google quand je faisais une recherche !!
La calotte glaciaire du Groenland s'épaissit malgré le réchauffement
Reuters
vendredi 21 octobre 2005
La calotte glaciaire du Groenland s'est épaissie légèrement ces dernières années malgré des soucis de dégel à cause du réchauffement global, déclare une équipe internationale de scientifiques.
Une équipe dirigée par le professeur Ola Johannessen du Nansen Environmental and Remote Sensing Center en Norvège, rapporte leurs résultats en ligne avant la publication dans le journal Science.
La calotte glaciaire du Groenland de 3000 mètres est un souci important dans les débats sur le changement climatique parce qu'une fonte totale élèverait le niveau de la mer d'environ 7 mètres. Et un dégel pourrait ralentir le Gulf Stream qui garde au chaud la région de l'Atlantique Nord.
Les glaciers au niveau de la mer se retirent rapidement à cause d'un réchauffement du climat, poussant de nombreux autres scientifiques à croire que toute la calotte glaciaire s'amincit.
Mais des mesures satellites ont montré qu'il y a davantage de chutes de neige et qu'elles épaississent la calotte glaciaire, surtout à haute altitude, déclarent Johannssen et son équipe.
« Les changements globaux de l'épaisseur de glace sont ... approximativement de plus 5 centimètres par an ou 54 centimètres sur 11 ans. »
Mais, disent-ils, l'épaississement semble cohérent avec les théories du réchauffement global, dont la plupart des experts attribuent la cause à une accumulation de gaz piégeant la chaleur provenant de la combustion des carburants fossiles dans les centrales thermiques, les usines et les voitures.
Un air plus chaud, même s'il est toujours en dessous du gel, peut transporter plus d'humidité. Cette humidité additionnelle tombe sous forme de neige en dessous de 0°C.
Et les scientifiques disent que l'épaississement de la calotte glaciaire pourrait être compensé par une fonte des glaciers autour du bord du Groenland. Les données satellites ne sont pas assez bonnes pour mesurer la fonte près du niveau de la mer. Jusque-là, tout va bien. Mais ensuite, l'article vire à la désinformation qui suggère que tout ce à quoi nous allons avoir affaire sera le RÉCHAUFFEMENT.
Calottes glaciaires
La plupart des modèles de réchauffement global indiquent que la glace du Groenland pourrait fondre d'ici quelques milliers d'années si le réchauffement continue.
Les océans monteraient d'environ 70 mètres si la calotte glaciaire bien plus grosse de l'Antarctique fondait avec le Groenland.
La grande taille de l'Antarctique agit comme un congélateur pour ralentir probablement tout dégel du sud du continent.
Le panel qui conseille les Nations Unies a prédit que le niveau global des mers pourrait monter de près d'un mètre en 2100 à cause d'un climat plus chaud.
Une telle montée inonderait les îles du Pacifique et le réchauffement pourrait déclencher davantage d'ouragans et de sécheresses, étendre les déserts et pousserait à l'extinction de milliers d'espèces.
Une étude indépendante confirme une montée du niveau de la mer à cause de la fonte des glaces.
Une étude indépendante dans le numéro d'aujourd'hui de Science rapporte que le niveau de la mer monte légèrement à cause d'une fonte des calottes glaciaires.
« Les calottes glaciaires semblent actuellement contribuer modestement à la montée du niveau de la mer parce que le réchauffement a augmenté la perte de masse des régions côtières plus que le réchauffement n'a accru le gain de masse des chutes de neige accrues dans les régions centrales froides, » déclare le rapport d'une équipe dirigée par le professeur Richard Alley de l'Université d'état de Pennsylvanie aux États-Unis.
« Le Groenland est actuellement le facteur le plus important à la montée du niveau de la mer. » Oui, nous savons que le Groenland fond actuellement comme un fou sur les bords. Et c'est le GROS problème que nous voyons à partir du rapport spécial de la BBC qui a été diffusé deux ans plus tôt.
Un glacier du Groenland avançant de 11,6 km par an ! La BBC a diffusé récemment un documentaire, The Big Chill, disant que nous pourrions être au bord d'un âge glaciaire. La Grande-Bretagne pourrait se diriger vers un climat de type Alaska en moins de 10 ans, disent des scientifiques, parce que le Gulf Stream est progressivement coupé. Le Gulf Stream maintient les températures à un niveau anormalement haut pour une latitude autant au nord.
Un des plus grands glaciers du Groenland a déjà doublé sa vitesse d'avancement, se déplaçant à la vitesse de 12 kilomètres par an. Pour voir une transcription du documentaire, allez à The Big Chill. Ce qui est important est qu'il y A un réchauffement de la planète, un Réchauffement Global, qui pousse un tas de glace à fondre. Cela provoque aussi beaucoup d'évaporation qui tombe ensuite sous forme de neige dans certaines régions et cela met de la pression sur les calottes glaciaires et les presse vers l'extérieur de telle sorte qu'elles fondent plus vite autour des bords. Cela ajoute BEAUCOUP d'eau douce aux océans. Dans les régions de l'Antarctique, cela n'est peut-être pas si mauvais, mais dans l'Arctique, c'est un cataclysme en cours de formation.
Les implications sont si énormes qu'il ne faut pas s'étonner que le Reich de Bush et autres de l'élite dirigeante essaient de réduire cela au silence et convaincre les gens que cela va juste se réchauffer et que nous devrons tous faire des sacrifices pour essayer de le ralentir. Comme si ! Bush a certainement raison lorsqu'il fait son cinéma comme si le Réchauffement Global n'était rien. Il peut bien faire cela car sa gang et lui savent qu'il n'y a rien que l'on puisse faire pour l'arrêter. C'est un fait. Et donc, ils continuent de faire la seule chose qui, le croient-ils, sauvera leur propre peau : continuer à suivre le plan d'imposer un contrôle total sur tout et tout le monde afin que lorsque les désastres tomberont rapidement et durement - comme ils le veulent - les masses soient contrôlables. Et ça ne fait pas de mal de tuer autant de personnes qu'ils le peuvent en avance tout en évitant les conséquences ; ça fait moins de bouches à nourrir, ne savez-vous pas ?
En résumé, les implications économiques, politiques et de sécurité nationale d'un cataclysme soudain sont ce qui pousse la machine politique ces jours-ci. La Grande-Bretagne se dirige vers un climat pire que celui de l'Alaska. Et il pourrait être ici plus tôt que quiconque s'y attend.
Un âge glaciaire est une des Grandes Forces de la Nature. Elles sont dynamiques et destructrices. Les glaciers massifs se forment et commencent à avancer à travers le pays détruisant et broyant tout sur leur passage. Ils peuvent remplir les vallées, moudre les roches et réduire la hauteur des montagnes. Ils nettoient le pays. De vastes étendues de terre sont enterrées dans une tombe littérale de glace.
Préservé dans la glace du Groenland, se trouve un ancien thermomètre, un enregistrement du climat de la Terre pendant très longtemps. La glace enregistre les traces des désastres et de la pollution, les acides des volcans, les résidus de raffinage du plomb de l'époque romaine, etc. Mais le plus important de tout, il y a un enregistrement de la température qui peut être lu en déterminant la quantité d'eau lourde emprisonnée dans la glace. La règle est : plus il y a d'eau lourde, plus le climat était chaud.
Et donc les chercheurs ont obtenu des carottages de la glace du Groenland et ont commencé à les examiner et les analyser. Fondés sur les règles conventionnelles sur le changement climatique qui sont promues par le Réchauffement Global dû aux activités humaines, ils auraient dû voir des changements lents dans les relevés d'eau lourde dans les carottes glaciaires alors que le monde s'échauffait ou se refroidissait.
Mais ce n'est pas ce qu'ils ont trouvé.
Au lieu de cela, ils ont trouvé que les températures peuvent chuter brutalement et catastrophiquement. Et c'est arrivé de nombreuses fois.
Le changement peut arriver aussi vite que d'éteindre la lumière.
Le professeur Wally Broecker de l'Université de Columbia est devenu convaincu que le pilote était l'océan. Suite aux profonds changements climatiques qui ont été enregistrés en Grande-Bretagne, Broecker s'est concentré sur le Gulf Stream. Le climat doux de la Grande-Bretagne est dû à la chaleur du Gulf Stream. Sans le Gulf Stream, ce serait comme le Nord gelé de l'Alaska.
Le Gulf Stream commence au Sud de l'équateur et à mesure qu'il coule autour du Golfe du Mexique, il absorbe la chaleur des Tropiques qu'il transporte ensuite avec lui au nord, vers la Grande-Bretagne. Les scientifiques estiment que le Gulf Stream transporte la chaleur d'un million de stations thermiques. Cette chaleur permet aux Britanniques de nager aux mêmes latitudes que le Canada a des ours polaires.
Un diagramme du Gulf Stream et des courants liésLa chose la plus importante sur le Gulf Stream est que, à la fin de son voyage au nord, il plonge. Il plonge parce qu'il se refroidit et devient plus dense. Et une fois refroidi et coulé, le flot continue, mais dans l'autre direction. Autrement dit, c'est comme un radiateur global, un flot d'eau chaude en mouvement constant qui transporte la chaleur vers les latitudes septentrionales. Et le plongeon et le flot dans l'autre sens sont cruciaux.
La question que Wally Broecker s'est posée était : « Qu'arriverait-il si ce convoyeur s'arrêtait ? »
Bien que de nombreux scientifiques n'avaient jamais pensé à cela, et croyaient que les courants établis des océans ne changeaient jamais, d'autres preuves sont arrivées, montrant que cela s'était produit - plus d'une fois. Cette preuve a été trouvée dans des spécimens de carottes de boue du fond de l'océan. Autrement dit, à diverses époques dans le passé, le courant s'est arrêté. Et quand le courant s'est arrêté, la Grande-Bretagne - et toute la région nord qui bénéficie du Gulf Stream - ont gelé.
Donc, qu'a à voir l'arrêt du convoyeur avec le Réchauffement Global ?
Les experts du climat prédisent que les températures vont augmenter plus rapidement que n'importe quand depuis le dernier âge glaciaire. Les modèles qu'utilisent les scientifiques (comme décrits ci-dessus), suggèrent tous que dans une centaine d'années, nous verrons un réchauffement d'environ 1,5 à 6 degrés. La Terre n'a pas été aussi chaude depuis des centaines de milliers d'années - ou de millions - d'années ! Nous pouvons tous voir et ressentir les effets du réchauffement global. Tout le monde parle de la manière de se préparer à un temps plus chaud et tous les extrêmes associés.
Par exemple, parmi les principaux sujets couverts par les « experts », on retrouve que le Réchauffement Global augmentera les pluies hivernales en Grande-Bretagne, provoquant ainsi des inondations. Il y aura des choses comme des cyclones tropicaux bien plus au nord. Les gouvernements préparent les gens à considérer et à s'attendre à ces types de phénomènes.
Mais tous ces experts ne considèrent pas le facteur que le Réchauffement Global peut très bien être l'interrupteur qui COUPE le convoyeur - le Gulf Stream.
Le Groenland est un des plus gros glaçons au monde. Il y a suffisamment d'eau pour élever le niveau de la mer d'environ six ou sept mètres s'il fondait complètement.
Et en effet, il FOND. L'équivalent de cinquante kilomètres de cube de glace et de neige disparaît du Groenland chaque année - sur les bords. C'est la même chose que cinquante giga-tonnes d'eau. Et cela accélère. Il y a moins de cinq ans, un des glaciers du Groenland se déplaçait à environ six ou sept kilomètres par an. Et c'était plus ou moins en équilibre avec les chutes de neige. En cinq ans, la vitesse a presque doublé. Il avançait à 12 km par an en 2003. En 2005, il se déplaçait à 15 km par an. Et certainement, l'augmentation est due au « Réchauffement Global. »
Le problème est que l'augmentation signifie qu'une centaine de kilomètres cubes d'eau douce est larguée dans l'océan chaque année et que cette eau douce coule vers la zone de plongée du convoyeur.
Wally Broecker et ses associés ont commencé à se demander ce que pourrait être l'effet de toute cette eau douce sur le convoyeur. Ils ont commencé à se rendre compte que parce que le convoyeur était piloté par la plongée de l'eau salée, trop d'eau douce diluerait le sel et si le sel était trop dilué, le convoyeur ne plongerait pas. La possibilité est que 1 % de changement dans la salinité de l'eau - au moment où ce point est atteint - pourrait faire basculer l'équilibre ; l'eau serait trop douce pour plonger et le convoyeur - le Gulf Stream - s'arrêterait. Juste comme cela.
Le pire est que ce n'est pas juste la calotte du Groenland qui déverse de l'eau douce dans l'océan là où le courant plonge et change de direction : le Réchauffement Global mène à un monde plus humide parce que l'air chaud contient plus d'humidité. Lorsque cette humidité se dirige vers le nord et refroidit, il y a plus de pluie. Et si cette pluie accompagne un gros système comme un ouragan, ce peut être une très grande quantité en effet !
Au même moment, il y a quelques très grands fleuves en Sibérie qui déversent de l'eau douce dans les régions polaires. Si ces fleuves augmentent de taille à cause des pluies en Sibérie, il pourrait y avoir une augmentation de la décharge annuelle de cent vingt kilomètres cubes d'eau douce par an. Avec la vitesse actuelle d'échauffement de l'atmosphère, nous faisons face à une perspective effrayante de cinquante pour cent d'augmentation dans certains des plus grands fleuves mondiaux. Un « grand mur d'eau douce va bientôt couler à travers la Sibérie du Nord. Mille kilomètres cubes supplémentaires par an pourraient couler dans les eaux salées du courant.
Le Dr Bill Turrell surveille la salinité du Gulf Stream dans son passage à côté des îles Faro au nord de l'Écosse. Si la salinité de l'eau diminue, c'est un signe que le pilote du convoyeur s'affaiblit.
Jusqu'aux années 1970, la salinité avait été presque constante. Mais ensuite elle a commencé à chuter. Le Dr Bill Turrell nous dit :
« Après la fin des années 70, nous avons commencé à voir un dessalage de l'eau du fond. À un tel point que nous avons douté de nos propres résultats. Nous avons pris davantage d'échantillons, nous avons vérifié avec d'autres pays qui prennent des échantillons de la même eau, jusqu'à ce qu'en fin de compte nous devînmes convaincus que ce changement se produisait réellement. » Turrell avait mesuré le fait que le flot du retour du Gulf Stream avait chuté d'un massif 20 %. Turrell dit :
Maintenant nous savons que le débit d'eau douce entrant dans l'Arctique est en augmentation. Les fleuves sibériens déversent plus d'eau douce. Les calottes arctiques fondent et il y a plus de déversement d'eau douce. C'est le changement le plus fondamental que j'ai observé dans ma carrière. En résumé, le processus qui pourrait arrêter le convoyeur du Gulf Stream a commencé dans les années 1970. Personne ne sait où se trouve le point d'arrêt absolu. Nous savons seulement que nous nous en approchons chaque jour.
Récapitulons les faits. La science indique qu'un arrêt du Gulf Stream est étroitement lié aux âges glaciaires. Le mécanisme de la fonction de convoyeur du Gulf Stream est généralement compris et l'effet de l'eau douce sur le même est théorisé - avec de fortes preuves. Nous savons que la température de la Terre est en augmentation et que cela augmente la quantité d'humidité dans l'air, les précipitations générales, ainsi que la zone de précipitation. Cela déverse l'eau douce dans la zone du retour du convoyeur. Des mesures ont été prises qui montrent que la salinité de l'océan dans la zone critique diminue. Donc il est sûr de dire que certainement le résultat sera un arrêt du convoyeur du Gulf Stream résultant en un âge glaciaire. Vous pouvez prendre cela pour argent comptant.
Les deux questions restantes sont : quand ? Et combien ce sera mauvais ?
Les scientifiques analysant les données peuvent seulement dire que les implications sont énormes, les résultats seront catastrophiques, mais nous reviendrons sur cela bientôt. Pour l'instant, continuons avec les petites découvertes que j'ai faites pendant ma recherche sur ces questions.
Notez que toutes les informations sur les anomalies dans le problème fonte/croissance de la glace viennent de sources européennes. Les articles de Reuters et CNN sur l'augmentation anormale de glace au centre du Groenland et de l'Antarctique ont été effacés du web étasunien. Cela nous ramène à la question du CryoSat. Souvenez-vous dans l'article précédent intitulé « L'est de l'Antarctique prend du poids, » il y a la remarque suivante :
Toutefois, le satellite de l'Agence Spatiale Européenne CryoSat, qui devrait être lancé plus tard cette année, devrait être capable de faire des mesures d'altitude très précises autour de la côte, donnant des preuves sur la quantité de glace qui y est perdue. C'est seulement lorsque les scientifiques assembleront toutes les mesures que la pleine vérité sur l'Antarctique deviendra claire ... Maintenant lisez les extraits de l'article suivant :
Terre - fonte dans la chaleur ?
Richard Black,
Correspondant sur l'Environnement, site de BBC News
Les prédictions varient du catastrophique au cataclysmique
Les glaciers fondent, les calottes glaciaires disparaissent dans les océans. Le niveau de la mer peut monter de plusieurs mètres suite à cela.
Les peuples indigènes de l'Arctique trouveront leurs stocks de nourriture disparus tandis que les ressources en eau douce d'Asie et d'Amérique du Sud disparaîtront quand les glaciers qui les fournissent fondront ; pingouins, ours polaires et phoques trouveront leurs habitats disparus, leur vie traditionnelle invivable.
Mais à quel point cette image est-elle réaliste ? La glace mondiale est-elle réellement en train de disparaître ou bien sont-ce des absurdités non scientifiques ?
Un satellite européen appelé CryoSat a été conçu pour fournir des réponses à certaines de ces questions.
Un dispositif de lancement a détruit la mission en octobre 2005 mais l'Agence Spatiale Européenne a approuvé un remplacement. Entre temps, voici notre instantané global.
L'ANTARCTIQUE
Énorme, vierge, spectaculaire, impitoyable ; l'Antarctique est là où pourrait commencer le plus grand des changements globaux.
Il y a tant de glace ici que si elle fondait entièrement, le niveau de la mer monterait globalement énormément - peut-être autant que 80 m. Dites au revoir à Londres, New York, Sydney, Bangkok, Rio... en fait, la majorité des grandes villes mondiales.
Mais cela arrivera-t-il ? Les scientifiques divisent l'Antarctique en trois zones : les calottes glaciaires orientale et occidentale ; et la Péninsule, la langue de terre qui pointe vers la pointe sud de l'Amérique du Sud.
« Tout le monde pense que l'Antarctique rétrécit à cause du changement climatique, mais la réalité est bien plus complexe, » dit David Vaughan, un enquêteur principal au British Antarctic Survey à Cambridge au Royaume-Uni.
« Des parties semblent s'épaissir par suite de l'augmentation des chutes de neige. Mais la péninsule s'amincit à une vitesse alarmante à cause du réchauffement. »
« La calotte antarctique occidentale s'amincit également et nous ne sommes pas sûrs de la raison. »
Vers le haut
Les températures dans la Péninsule semblent augmenter à un taux d'environ deux fois la moyenne globale - soit 2degrés C lors des 50 dernières années. Ces chiffres sont fondés sur des mesures faites par des instruments dans des stations scientifiques.
Plus tôt cette année, le groupe de David Vaughan a publié une recherche montrant que la grande majorité des glaciers le long de la Péninsule - 87 % des 244 étudiés - sont en phase de retrait.
La glace déversée dans l'océan à mesure que les glaciers se retirent ne devrait pas faire une grande différence pour le niveau de la mer global - peut-être quelques centimètres.
Potentiellement plus inquiétantes sont les vastes calottes glaciaires couvrant le reste de l'Antarctique.
Faire des mesures de températures pour l'ensemble du continent est difficile ; c'est un vaste endroit - plus de 2000 km de part en part - il y a peu de stations de recherche et les températures varient naturellement de 2 à 3degrés C d'année en année.
Mais les mesures indiquent qu'à l'ouest la fonte est en cours.
« Environ un tiers de la calotte glaciaire antarctique occidentale s'amincit, » dit le Dr Vaughan, « en moyenne environ 10 cm par an, mais dans les pires endroits de 3 à 4 mètres par an. » [...]
Masse orientale
Et que dire du gros monstre, la calotte antarctique orientale bien plus grande ?
Une étude récente utilisant des données altimétriques a suggéré qu'elle s'épaissit, d'environ 1,8 cm par an ; une autre utilisant le satellite Grace de mesure de la gravité indique que sa masse reste stable.
Mais ces températures en hausse pourraient-elles drainer la glace ?
« Cela ne va pas arriver à une échelle de temps humaine réaliste, » dit David Vaughan.
« C'est si froid que vous pourriez augmenter les températures de 5 à 10degrés C sans avoir beaucoup d'impact ; c'est sur de la roche au dessus du niveau de la mer, donc le réchauffement dans l'océan ne peut l'affecter. »
Largement isolée des tendances globales et si grosses pour générer ses propres systèmes climatiques, la majorité de l'Antarctique semble être immunisée de la grande fonte pour le moment, bien qu'on attende impatiemment des réponses sur ce qui se passe dans l'ouest.
L'ARCTIQUE
Au sommet du monde, l'Arctique est une région bâtie sur l'eau.
Autour du Pôle Nord, il y a un océan avec des bancs de glace amassés chaque hiver et qui s'amincissent à nouveau en été.
En septembre, nous avons appris de scientifiques à l'US National Snow and Ice Data Center que l'étendue de l'océan couverte par la glace devient plus petite chaque année ; la vitesse actuelle de rétrécissement qu'ils ont calculée est d'environ 8 % par décennie.
Leur projection est que d'ici 60 ans environ, il n'y aura pas de glace en été sur l'Océan Arctique.
« Globalement, l'étendue a décliné avec quelques oscillations, depuis les années 1970 lorsque les satellites furent capables de la cartographier, » commente Peter Wadhams, professeur de Physique de l'Océan à l'Université de Cambridge au Royaume uni et actuellement au Laboratoire Océanographique de Villefranche-sur-Mer en France.
« Il y a un lent déclin, mais maintenant l'amincissement semble être plus rapide. »
« Au cours des deux dernières décennies, non seulement la région s'est rétrécie, mais la glace est devenue plus mince d'environ 40 % ; la prédiction est qu'elle disparaîtra complètement pendant les étés dans la seconde moitié de ce siècle. »
Archives militaires
Les mesures de l'épaisseur viennent principalement des sous-marins militaires qui ont passé de longues périodes sous la glace arctique pendant la Guerre Froide.
Peter Wadhams était un des scientifiques qui a persuadé après coup les autorités en Grande-Bretagne et aux États-Unis de déclassifier leurs données.
Mais en tant que méthode de mesure, elle est loin d'être parfaite ; et les satellites n'ont apporté qu'une aide limitée.
La flotte de satellite existante donne de bonnes mesures de l'étendue de la glace mais n'est pas si bonne pour détecter l'épaisseur, en partie parce que les orbites des satellites avec radars altimétriques ne couvrent pas chaque portion de l'océan.
Ce déficit de données a abouti à une théorie rivale ; que la glace ne fond pas du tout, elle s'accumule simplement dans une autre partie de l'océan, peut-être le long de la côte nord-canadienne. ...
Grande étendue
Les températures, en attendant, montrent un schéma similaire à celui observé le long de la Péninsule antarctique ; un réchauffement moyen d'environ 2degrés C au cours des 50 dernières années, environ le double de la moyenne globale, quoiqu'avec des variations significatives entre différentes parties de l'Arctique.
Cela est reflété dans les changements de la couverture de glace sur terre aussi bien que sur mer.
La calotte glaciaire du Groenland est, après l'Antarctique, la deuxième étendue de glace la plus grande au monde.
Ses limites se dilatent et se contractent avec les saisons ; mais des images montrent qu'elle fond actuellement davantage chaque été qu'il y a dix ans.
En février 2006, des chercheurs ont découvert que les glaciers au Groenland se déplaçaient bien plus vite qu'auparavant, signifiant que davantage de sa glace entrait dans la mer.
En 1996, le Groenland perdait environ 100 km3 par an en masse de sa calotte glaciaire ; en 2005, la perte avait augmenté à environ 220 km3.
Une fonte complète de la calotte glaciaire causerait une montée du niveau de la mer d'environ 7 m ; mais l'image actuelle indique que, bien que certaines régions s'amincissent, d'autres apparemment s'épaississent. [...] Dans cette dernière remarque, notez qu'ils se réfèrent à la calotte glaciaire du Groenland qui « s'épaissit. » Ils oublient de dire que le facteur le plus important est la quantité énorme d'eau douce déversée dans l'océan.
Nous revenons maintenant à la remarque :
Un satellite européen appelé CryoSat était conçu pour fournir des réponses définitives à ces questions. Un dispositif de lancement a détruit la mission en octobre 2005... En considérant la disparition des articles à propos du Groenland sur les sites contrôlés par les États-Unis, ce genre de truc me fiche la frousse. Que veulent-ils dire : « un dispositif de lancement a détruit la mission » ???
Peau épaisse
L'épaississement de la calotte glaciaire orientale ne devrait pas être vu comme une protection à long terme contre une montée du niveau de la mer, prévient Vaughan. Les glaciers à l'ouest de l'Antarctique accélèrent, libérant de plus en plus d'icebergs dans la mer. Et la Péninsule antarctique qui s'étend vers l'Amérique du Sud, a maintenant régulièrement des températures au-dessus de 0°C en été, menant là à une fonte directe de la glace. Le lecteur devrait déjà comprendre comment les remarques ci-dessus sont totalement absurdes. Si ce n'est pas le cas, cela ne va pas tarder.
De plus, les chutes de neige sur l'est de l'Antarctique ne continueront pas à augmenter indéfiniment dans un monde en réchauffement, ajoute Vaughan. Inversement, chaque degré supplémentaire de température continuera à accélérer les glaciers et provoquera davantage de fonte sur le côté occidental de l'Antarctique, gonflant encore plus les océans mondiaux. Notez ci-dessus que, bien qu'ils disent qu'un réchauffement accru augmente les précipitations (chutes de neige) en quelque sorte, il y a un « point d'arrêt » ??!! Que cela n'augmentera pas indéfiniment ? Où est la logique ?
Des scientifiques ont déjà estimé que la fonte de l'Antarctique peut être responsable d'un tiers de la montée globale du niveau de la mer. Mais les instruments sur ERS-1 et 2 ne fonctionnent que sur des zones très plates et tendent à perdre l'écho radar au-dessus des zones plus accidentées sur la côte du continent, donc une pièce vitale du puzzle est toujours manquante, dit Vaughan. Et parce que l'Antarctique est si vaste, il est aussi impossible de mesurer les chutes de neige exhaustivement sur le sol, ajoute-t-il.
Toutefois, le satellite de l'Agence Spatiale Européenne CryoSat, qui devrait être lancé plus tard cette année, devrait être capable de faire des mesures d'altitude très précises autour de la côte, donnant des preuves sur la quantité de glace qui y est perdue. C'est seulement lorsque les scientifiques assembleront toutes les mesures que la pleine vérité sur l'Antarctique deviendra claire, dit Vaughan. Notez comment l'article ci-dessus n'est pas juste une « déformation » de la situation, mais semble contenir des mensonges flagrants - des contradictions directes d'autres faits déjà présentés. Notez aussi la remarque sur le CryoSat prochain. Cela n'a pas attiré mon attention initialement. Ce n'est qu'après avoir continué à creuser que cette remarque sur la possibilité de savoir la vérité sur la glace de l'Antarctique est devenue importante - et même effrayante !
L'item suivant contredisait directement les revendications de l'article précédent sur la fonte de la calotte du Groenland. Il était posté en partie sur le site iceagenow.
La calotte du Groenland s'épaissit
20 oct 2005 - La calotte du Groenland s'est épaissie légèrement ces dernières années malgré beaucoup de prédictions d'un dégel, ont déclaré aujourd'hui des scientifiques. Les mesures satellites montrent que les chutes de neige épaississent la calotte glaciaire, surtout à haute altitude, selon le rapport paru dans le journal Science.
« Les changements de l'épaisseur globale de la calotte sont ... approximativement de plus de 5 cm par an ou 54 cm sur 11 ans, » selon les experts des instituts norvégiens, russes et étasuniens dirigés par Ola Johannessen au centre Mohn Sverdrup pour les Études océaniques globales et l'Océanographie opérationnelle en Norvège. [...]
Lisez davantage sur cet article ICI.
Voir aussi ICI. C'est là où les choses ont commencé à devenir très bizarres. Le premier lien est vers un article de Reuters qui, pour quelque raison, a complètement disparu. Je veux dire, il n'y a même pas un cache google de lui. Rien.
Le second lien est vers un rapport de CNN sur l'article de Reuters. Il a aussi disparu. Allez-y, cliquez sur les liens...
En faisant une recherche des articles manquants de Reuters et CNN, j'ai seulement trouvé une mention dans un blogue :
23 octobre 2005
La calotte du Groenland s'épaissit légèrement
J'ai pensé que vous aimeriez celle-ci :
La calotte glaciaire du Groenland s'est épaissie légèrement ces dernières années malgré beaucoup de prédictions d'un dégel déclenché par le réchauffement global, a déclaré jeudi une équipe de scientifiques.
Lisez-en davantage sur ce blogue : Greenland ice cap thickens slightly Le dernier lien est vers "newsclipping.co.uk". Oh ! Il semblerait que je pourrais vraiment trouver tout l'article !
Devinez encore une fois.
Error 404
La page que vous cherchez n'existe pas ; elle peut avoir été déplacée ou supprimée. Vous pouvez essayer la fonction de recherche. Alternativement, retournez à la page d'accueil Quand je pense que quelqu'un cache quelque chose, cela m'énerve vraiment. Je sais que ce pourrait être mon côté « complotiste », mais je ne peux empêcher le sentiment qu'il y a une tentative de marginaliser ou de sérieusement minimiser une information particulière (ou importante) ici.
J'ai été finalement capable de lire l'article original. Allez ICI pour lire une version de l'article du Science Journal que l'un de nos membres du forum a obtenu et posté.
Un autre membre a trouvé un exemplaire de l'article sur un site de nouvelles australien. Drôle que cela n'est pas apparu pas sur Google quand je faisais une recherche !!
La calotte glaciaire du Groenland s'épaissit malgré le réchauffement
Reuters
vendredi 21 octobre 2005
La calotte glaciaire du Groenland s'est épaissie légèrement ces dernières années malgré des soucis de dégel à cause du réchauffement global, déclare une équipe internationale de scientifiques.
Une équipe dirigée par le professeur Ola Johannessen du Nansen Environmental and Remote Sensing Center en Norvège, rapporte leurs résultats en ligne avant la publication dans le journal Science.
La calotte glaciaire du Groenland de 3000 mètres est un souci important dans les débats sur le changement climatique parce qu'une fonte totale élèverait le niveau de la mer d'environ 7 mètres. Et un dégel pourrait ralentir le Gulf Stream qui garde au chaud la région de l'Atlantique Nord.
Les glaciers au niveau de la mer se retirent rapidement à cause d'un réchauffement du climat, poussant de nombreux autres scientifiques à croire que toute la calotte glaciaire s'amincit.
Mais des mesures satellites ont montré qu'il y a davantage de chutes de neige et qu'elles épaississent la calotte glaciaire, surtout à haute altitude, déclarent Johannssen et son équipe.
« Les changements globaux de l'épaisseur de glace sont ... approximativement de plus 5 centimètres par an ou 54 centimètres sur 11 ans. »
Mais, disent-ils, l'épaississement semble cohérent avec les théories du réchauffement global, dont la plupart des experts attribuent la cause à une accumulation de gaz piégeant la chaleur provenant de la combustion des carburants fossiles dans les centrales thermiques, les usines et les voitures.
Un air plus chaud, même s'il est toujours en dessous du gel, peut transporter plus d'humidité. Cette humidité additionnelle tombe sous forme de neige en dessous de 0°C.
Et les scientifiques disent que l'épaississement de la calotte glaciaire pourrait être compensé par une fonte des glaciers autour du bord du Groenland. Les données satellites ne sont pas assez bonnes pour mesurer la fonte près du niveau de la mer. Jusque-là, tout va bien. Mais ensuite, l'article vire à la désinformation qui suggère que tout ce à quoi nous allons avoir affaire sera le RÉCHAUFFEMENT.
Calottes glaciaires
La plupart des modèles de réchauffement global indiquent que la glace du Groenland pourrait fondre d'ici quelques milliers d'années si le réchauffement continue.
Les océans monteraient d'environ 70 mètres si la calotte glaciaire bien plus grosse de l'Antarctique fondait avec le Groenland.
La grande taille de l'Antarctique agit comme un congélateur pour ralentir probablement tout dégel du sud du continent.
Le panel qui conseille les Nations Unies a prédit que le niveau global des mers pourrait monter de près d'un mètre en 2100 à cause d'un climat plus chaud.
Une telle montée inonderait les îles du Pacifique et le réchauffement pourrait déclencher davantage d'ouragans et de sécheresses, étendre les déserts et pousserait à l'extinction de milliers d'espèces.
Une étude indépendante confirme une montée du niveau de la mer à cause de la fonte des glaces.
Une étude indépendante dans le numéro d'aujourd'hui de Science rapporte que le niveau de la mer monte légèrement à cause d'une fonte des calottes glaciaires.
« Les calottes glaciaires semblent actuellement contribuer modestement à la montée du niveau de la mer parce que le réchauffement a augmenté la perte de masse des régions côtières plus que le réchauffement n'a accru le gain de masse des chutes de neige accrues dans les régions centrales froides, » déclare le rapport d'une équipe dirigée par le professeur Richard Alley de l'Université d'état de Pennsylvanie aux États-Unis.
« Le Groenland est actuellement le facteur le plus important à la montée du niveau de la mer. » Oui, nous savons que le Groenland fond actuellement comme un fou sur les bords. Et c'est le GROS problème que nous voyons à partir du rapport spécial de la BBC qui a été diffusé deux ans plus tôt.
Un glacier du Groenland avançant de 11,6 km par an ! La BBC a diffusé récemment un documentaire, The Big Chill, disant que nous pourrions être au bord d'un âge glaciaire. La Grande-Bretagne pourrait se diriger vers un climat de type Alaska en moins de 10 ans, disent des scientifiques, parce que le Gulf Stream est progressivement coupé. Le Gulf Stream maintient les températures à un niveau anormalement haut pour une latitude autant au nord.
Glacier Waiho
Un des plus grands glaciers du Groenland a déjà doublé sa vitesse d'avancement, se déplaçant à la vitesse de 12 kilomètres par an. Pour voir une transcription du documentaire, allez à The Big Chill. Ce qui est important est qu'il y A un réchauffement de la planète, un Réchauffement Global, qui pousse un tas de glace à fondre. Cela provoque aussi beaucoup d'évaporation qui tombe ensuite sous forme de neige dans certaines régions et cela met de la pression sur les calottes glaciaires et les presse vers l'extérieur de telle sorte qu'elles fondent plus vite autour des bords. Cela ajoute BEAUCOUP d'eau douce aux océans. Dans les régions de l'Antarctique, cela n'est peut-être pas si mauvais, mais dans l'Arctique, c'est un cataclysme en cours de formation.
Les implications sont si énormes qu'il ne faut pas s'étonner que le Reich de Bush et autres de l'élite dirigeante essaient de réduire cela au silence et convaincre les gens que cela va juste se réchauffer et que nous devrons tous faire des sacrifices pour essayer de le ralentir. Comme si ! Bush a certainement raison lorsqu'il fait son cinéma comme si le Réchauffement Global n'était rien. Il peut bien faire cela car sa gang et lui savent qu'il n'y a rien que l'on puisse faire pour l'arrêter. C'est un fait. Et donc, ils continuent de faire la seule chose qui, le croient-ils, sauvera leur propre peau : continuer à suivre le plan d'imposer un contrôle total sur tout et tout le monde afin que lorsque les désastres tomberont rapidement et durement - comme ils le veulent - les masses soient contrôlables. Et ça ne fait pas de mal de tuer autant de personnes qu'ils le peuvent en avance tout en évitant les conséquences ; ça fait moins de bouches à nourrir, ne savez-vous pas ?
En résumé, les implications économiques, politiques et de sécurité nationale d'un cataclysme soudain sont ce qui pousse la machine politique ces jours-ci. La Grande-Bretagne se dirige vers un climat pire que celui de l'Alaska. Et il pourrait être ici plus tôt que quiconque s'y attend.
Un âge glaciaire est une des Grandes Forces de la Nature. Elles sont dynamiques et destructrices. Les glaciers massifs se forment et commencent à avancer à travers le pays détruisant et broyant tout sur leur passage. Ils peuvent remplir les vallées, moudre les roches et réduire la hauteur des montagnes. Ils nettoient le pays. De vastes étendues de terre sont enterrées dans une tombe littérale de glace.
Préservé dans la glace du Groenland, se trouve un ancien thermomètre, un enregistrement du climat de la Terre pendant très longtemps. La glace enregistre les traces des désastres et de la pollution, les acides des volcans, les résidus de raffinage du plomb de l'époque romaine, etc. Mais le plus important de tout, il y a un enregistrement de la température qui peut être lu en déterminant la quantité d'eau lourde emprisonnée dans la glace. La règle est : plus il y a d'eau lourde, plus le climat était chaud.
Et donc les chercheurs ont obtenu des carottages de la glace du Groenland et ont commencé à les examiner et les analyser. Fondés sur les règles conventionnelles sur le changement climatique qui sont promues par le Réchauffement Global dû aux activités humaines, ils auraient dû voir des changements lents dans les relevés d'eau lourde dans les carottes glaciaires alors que le monde s'échauffait ou se refroidissait.
Mais ce n'est pas ce qu'ils ont trouvé.
Au lieu de cela, ils ont trouvé que les températures peuvent chuter brutalement et catastrophiquement. Et c'est arrivé de nombreuses fois.
Le changement peut arriver aussi vite que d'éteindre la lumière.
Le professeur Wally Broecker de l'Université de Columbia est devenu convaincu que le pilote était l'océan. Suite aux profonds changements climatiques qui ont été enregistrés en Grande-Bretagne, Broecker s'est concentré sur le Gulf Stream. Le climat doux de la Grande-Bretagne est dû à la chaleur du Gulf Stream. Sans le Gulf Stream, ce serait comme le Nord gelé de l'Alaska.
Le Gulf Stream commence au Sud de l'équateur et à mesure qu'il coule autour du Golfe du Mexique, il absorbe la chaleur des Tropiques qu'il transporte ensuite avec lui au nord, vers la Grande-Bretagne. Les scientifiques estiment que le Gulf Stream transporte la chaleur d'un million de stations thermiques. Cette chaleur permet aux Britanniques de nager aux mêmes latitudes que le Canada a des ours polaires.
Un diagramme du Gulf Stream et des courants liésLa chose la plus importante sur le Gulf Stream est que, à la fin de son voyage au nord, il plonge. Il plonge parce qu'il se refroidit et devient plus dense. Et une fois refroidi et coulé, le flot continue, mais dans l'autre direction. Autrement dit, c'est comme un radiateur global, un flot d'eau chaude en mouvement constant qui transporte la chaleur vers les latitudes septentrionales. Et le plongeon et le flot dans l'autre sens sont cruciaux.
La question que Wally Broecker s'est posée était : « Qu'arriverait-il si ce convoyeur s'arrêtait ? »
Bien que de nombreux scientifiques n'avaient jamais pensé à cela, et croyaient que les courants établis des océans ne changeaient jamais, d'autres preuves sont arrivées, montrant que cela s'était produit - plus d'une fois. Cette preuve a été trouvée dans des spécimens de carottes de boue du fond de l'océan. Autrement dit, à diverses époques dans le passé, le courant s'est arrêté. Et quand le courant s'est arrêté, la Grande-Bretagne - et toute la région nord qui bénéficie du Gulf Stream - ont gelé.
Donc, qu'a à voir l'arrêt du convoyeur avec le Réchauffement Global ?
Les experts du climat prédisent que les températures vont augmenter plus rapidement que n'importe quand depuis le dernier âge glaciaire. Les modèles qu'utilisent les scientifiques (comme décrits ci-dessus), suggèrent tous que dans une centaine d'années, nous verrons un réchauffement d'environ 1,5 à 6 degrés. La Terre n'a pas été aussi chaude depuis des centaines de milliers d'années - ou de millions - d'années ! Nous pouvons tous voir et ressentir les effets du réchauffement global. Tout le monde parle de la manière de se préparer à un temps plus chaud et tous les extrêmes associés.
Par exemple, parmi les principaux sujets couverts par les « experts », on retrouve que le Réchauffement Global augmentera les pluies hivernales en Grande-Bretagne, provoquant ainsi des inondations. Il y aura des choses comme des cyclones tropicaux bien plus au nord. Les gouvernements préparent les gens à considérer et à s'attendre à ces types de phénomènes.
Mais tous ces experts ne considèrent pas le facteur que le Réchauffement Global peut très bien être l'interrupteur qui COUPE le convoyeur - le Gulf Stream.
Le Groenland est un des plus gros glaçons au monde. Il y a suffisamment d'eau pour élever le niveau de la mer d'environ six ou sept mètres s'il fondait complètement.
Et en effet, il FOND. L'équivalent de cinquante kilomètres de cube de glace et de neige disparaît du Groenland chaque année - sur les bords. C'est la même chose que cinquante giga-tonnes d'eau. Et cela accélère. Il y a moins de cinq ans, un des glaciers du Groenland se déplaçait à environ six ou sept kilomètres par an. Et c'était plus ou moins en équilibre avec les chutes de neige. En cinq ans, la vitesse a presque doublé. Il avançait à 12 km par an en 2003. En 2005, il se déplaçait à 15 km par an. Et certainement, l'augmentation est due au « Réchauffement Global. »
Le problème est que l'augmentation signifie qu'une centaine de kilomètres cubes d'eau douce est larguée dans l'océan chaque année et que cette eau douce coule vers la zone de plongée du convoyeur.
Wally Broecker et ses associés ont commencé à se demander ce que pourrait être l'effet de toute cette eau douce sur le convoyeur. Ils ont commencé à se rendre compte que parce que le convoyeur était piloté par la plongée de l'eau salée, trop d'eau douce diluerait le sel et si le sel était trop dilué, le convoyeur ne plongerait pas. La possibilité est que 1 % de changement dans la salinité de l'eau - au moment où ce point est atteint - pourrait faire basculer l'équilibre ; l'eau serait trop douce pour plonger et le convoyeur - le Gulf Stream - s'arrêterait. Juste comme cela.
Le pire est que ce n'est pas juste la calotte du Groenland qui déverse de l'eau douce dans l'océan là où le courant plonge et change de direction : le Réchauffement Global mène à un monde plus humide parce que l'air chaud contient plus d'humidité. Lorsque cette humidité se dirige vers le nord et refroidit, il y a plus de pluie. Et si cette pluie accompagne un gros système comme un ouragan, ce peut être une très grande quantité en effet !
Au même moment, il y a quelques très grands fleuves en Sibérie qui déversent de l'eau douce dans les régions polaires. Si ces fleuves augmentent de taille à cause des pluies en Sibérie, il pourrait y avoir une augmentation de la décharge annuelle de cent vingt kilomètres cubes d'eau douce par an. Avec la vitesse actuelle d'échauffement de l'atmosphère, nous faisons face à une perspective effrayante de cinquante pour cent d'augmentation dans certains des plus grands fleuves mondiaux. Un « grand mur d'eau douce va bientôt couler à travers la Sibérie du Nord. Mille kilomètres cubes supplémentaires par an pourraient couler dans les eaux salées du courant.
Le Dr Bill Turrell surveille la salinité du Gulf Stream dans son passage à côté des îles Faro au nord de l'Écosse. Si la salinité de l'eau diminue, c'est un signe que le pilote du convoyeur s'affaiblit.
Jusqu'aux années 1970, la salinité avait été presque constante. Mais ensuite elle a commencé à chuter. Le Dr Bill Turrell nous dit :
« Après la fin des années 70, nous avons commencé à voir un dessalage de l'eau du fond. À un tel point que nous avons douté de nos propres résultats. Nous avons pris davantage d'échantillons, nous avons vérifié avec d'autres pays qui prennent des échantillons de la même eau, jusqu'à ce qu'en fin de compte nous devînmes convaincus que ce changement se produisait réellement. » Turrell avait mesuré le fait que le flot du retour du Gulf Stream avait chuté d'un massif 20 %. Turrell dit :
Maintenant nous savons que le débit d'eau douce entrant dans l'Arctique est en augmentation. Les fleuves sibériens déversent plus d'eau douce. Les calottes arctiques fondent et il y a plus de déversement d'eau douce. C'est le changement le plus fondamental que j'ai observé dans ma carrière. En résumé, le processus qui pourrait arrêter le convoyeur du Gulf Stream a commencé dans les années 1970. Personne ne sait où se trouve le point d'arrêt absolu. Nous savons seulement que nous nous en approchons chaque jour.
Récapitulons les faits. La science indique qu'un arrêt du Gulf Stream est étroitement lié aux âges glaciaires. Le mécanisme de la fonction de convoyeur du Gulf Stream est généralement compris et l'effet de l'eau douce sur le même est théorisé - avec de fortes preuves. Nous savons que la température de la Terre est en augmentation et que cela augmente la quantité d'humidité dans l'air, les précipitations générales, ainsi que la zone de précipitation. Cela déverse l'eau douce dans la zone du retour du convoyeur. Des mesures ont été prises qui montrent que la salinité de l'océan dans la zone critique diminue. Donc il est sûr de dire que certainement le résultat sera un arrêt du convoyeur du Gulf Stream résultant en un âge glaciaire. Vous pouvez prendre cela pour argent comptant.
Les deux questions restantes sont : quand ? Et combien ce sera mauvais ?
Les scientifiques analysant les données peuvent seulement dire que les implications sont énormes, les résultats seront catastrophiques, mais nous reviendrons sur cela bientôt. Pour l'instant, continuons avec les petites découvertes que j'ai faites pendant ma recherche sur ces questions.
Notez que toutes les informations sur les anomalies dans le problème fonte/croissance de la glace viennent de sources européennes. Les articles de Reuters et CNN sur l'augmentation anormale de glace au centre du Groenland et de l'Antarctique ont été effacés du web étasunien. Cela nous ramène à la question du CryoSat. Souvenez-vous dans l'article précédent intitulé « L'est de l'Antarctique prend du poids, » il y a la remarque suivante :
Toutefois, le satellite de l'Agence Spatiale Européenne CryoSat, qui devrait être lancé plus tard cette année, devrait être capable de faire des mesures d'altitude très précises autour de la côte, donnant des preuves sur la quantité de glace qui y est perdue. C'est seulement lorsque les scientifiques assembleront toutes les mesures que la pleine vérité sur l'Antarctique deviendra claire ... Maintenant lisez les extraits de l'article suivant :
Terre - fonte dans la chaleur ?
Richard Black,
Correspondant sur l'Environnement, site de BBC News
Les prédictions varient du catastrophique au cataclysmique
Les glaciers fondent, les calottes glaciaires disparaissent dans les océans. Le niveau de la mer peut monter de plusieurs mètres suite à cela.
Les peuples indigènes de l'Arctique trouveront leurs stocks de nourriture disparus tandis que les ressources en eau douce d'Asie et d'Amérique du Sud disparaîtront quand les glaciers qui les fournissent fondront ; pingouins, ours polaires et phoques trouveront leurs habitats disparus, leur vie traditionnelle invivable.
Mais à quel point cette image est-elle réaliste ? La glace mondiale est-elle réellement en train de disparaître ou bien sont-ce des absurdités non scientifiques ?
Un satellite européen appelé CryoSat a été conçu pour fournir des réponses à certaines de ces questions.
Un dispositif de lancement a détruit la mission en octobre 2005 mais l'Agence Spatiale Européenne a approuvé un remplacement. Entre temps, voici notre instantané global.
L'ANTARCTIQUE
Énorme, vierge, spectaculaire, impitoyable ; l'Antarctique est là où pourrait commencer le plus grand des changements globaux.
Il y a tant de glace ici que si elle fondait entièrement, le niveau de la mer monterait globalement énormément - peut-être autant que 80 m. Dites au revoir à Londres, New York, Sydney, Bangkok, Rio... en fait, la majorité des grandes villes mondiales.
Mais cela arrivera-t-il ? Les scientifiques divisent l'Antarctique en trois zones : les calottes glaciaires orientale et occidentale ; et la Péninsule, la langue de terre qui pointe vers la pointe sud de l'Amérique du Sud.
« Tout le monde pense que l'Antarctique rétrécit à cause du changement climatique, mais la réalité est bien plus complexe, » dit David Vaughan, un enquêteur principal au British Antarctic Survey à Cambridge au Royaume-Uni.
« Des parties semblent s'épaissir par suite de l'augmentation des chutes de neige. Mais la péninsule s'amincit à une vitesse alarmante à cause du réchauffement. »
« La calotte antarctique occidentale s'amincit également et nous ne sommes pas sûrs de la raison. »
Vers le haut
Les températures dans la Péninsule semblent augmenter à un taux d'environ deux fois la moyenne globale - soit 2degrés C lors des 50 dernières années. Ces chiffres sont fondés sur des mesures faites par des instruments dans des stations scientifiques.
Plus tôt cette année, le groupe de David Vaughan a publié une recherche montrant que la grande majorité des glaciers le long de la Péninsule - 87 % des 244 étudiés - sont en phase de retrait.
La glace déversée dans l'océan à mesure que les glaciers se retirent ne devrait pas faire une grande différence pour le niveau de la mer global - peut-être quelques centimètres.
Potentiellement plus inquiétantes sont les vastes calottes glaciaires couvrant le reste de l'Antarctique.
Faire des mesures de températures pour l'ensemble du continent est difficile ; c'est un vaste endroit - plus de 2000 km de part en part - il y a peu de stations de recherche et les températures varient naturellement de 2 à 3degrés C d'année en année.
Mais les mesures indiquent qu'à l'ouest la fonte est en cours.
« Environ un tiers de la calotte glaciaire antarctique occidentale s'amincit, » dit le Dr Vaughan, « en moyenne environ 10 cm par an, mais dans les pires endroits de 3 à 4 mètres par an. » [...]
Masse orientale
Et que dire du gros monstre, la calotte antarctique orientale bien plus grande ?
Une étude récente utilisant des données altimétriques a suggéré qu'elle s'épaissit, d'environ 1,8 cm par an ; une autre utilisant le satellite Grace de mesure de la gravité indique que sa masse reste stable.
Mais ces températures en hausse pourraient-elles drainer la glace ?
« Cela ne va pas arriver à une échelle de temps humaine réaliste, » dit David Vaughan.
« C'est si froid que vous pourriez augmenter les températures de 5 à 10degrés C sans avoir beaucoup d'impact ; c'est sur de la roche au dessus du niveau de la mer, donc le réchauffement dans l'océan ne peut l'affecter. »
Largement isolée des tendances globales et si grosses pour générer ses propres systèmes climatiques, la majorité de l'Antarctique semble être immunisée de la grande fonte pour le moment, bien qu'on attende impatiemment des réponses sur ce qui se passe dans l'ouest.
L'ARCTIQUE
Au sommet du monde, l'Arctique est une région bâtie sur l'eau.
Autour du Pôle Nord, il y a un océan avec des bancs de glace amassés chaque hiver et qui s'amincissent à nouveau en été.
En septembre, nous avons appris de scientifiques à l'US National Snow and Ice Data Center que l'étendue de l'océan couverte par la glace devient plus petite chaque année ; la vitesse actuelle de rétrécissement qu'ils ont calculée est d'environ 8 % par décennie.
Leur projection est que d'ici 60 ans environ, il n'y aura pas de glace en été sur l'Océan Arctique.
« Globalement, l'étendue a décliné avec quelques oscillations, depuis les années 1970 lorsque les satellites furent capables de la cartographier, » commente Peter Wadhams, professeur de Physique de l'Océan à l'Université de Cambridge au Royaume uni et actuellement au Laboratoire Océanographique de Villefranche-sur-Mer en France.
« Il y a un lent déclin, mais maintenant l'amincissement semble être plus rapide. »
« Au cours des deux dernières décennies, non seulement la région s'est rétrécie, mais la glace est devenue plus mince d'environ 40 % ; la prédiction est qu'elle disparaîtra complètement pendant les étés dans la seconde moitié de ce siècle. »
Archives militaires
Les mesures de l'épaisseur viennent principalement des sous-marins militaires qui ont passé de longues périodes sous la glace arctique pendant la Guerre Froide.
Peter Wadhams était un des scientifiques qui a persuadé après coup les autorités en Grande-Bretagne et aux États-Unis de déclassifier leurs données.
Mais en tant que méthode de mesure, elle est loin d'être parfaite ; et les satellites n'ont apporté qu'une aide limitée.
La flotte de satellite existante donne de bonnes mesures de l'étendue de la glace mais n'est pas si bonne pour détecter l'épaisseur, en partie parce que les orbites des satellites avec radars altimétriques ne couvrent pas chaque portion de l'océan.
Ce déficit de données a abouti à une théorie rivale ; que la glace ne fond pas du tout, elle s'accumule simplement dans une autre partie de l'océan, peut-être le long de la côte nord-canadienne. ...
Grande étendue
Les températures, en attendant, montrent un schéma similaire à celui observé le long de la Péninsule antarctique ; un réchauffement moyen d'environ 2degrés C au cours des 50 dernières années, environ le double de la moyenne globale, quoiqu'avec des variations significatives entre différentes parties de l'Arctique.
Cela est reflété dans les changements de la couverture de glace sur terre aussi bien que sur mer.
La calotte glaciaire du Groenland est, après l'Antarctique, la deuxième étendue de glace la plus grande au monde.
Ses limites se dilatent et se contractent avec les saisons ; mais des images montrent qu'elle fond actuellement davantage chaque été qu'il y a dix ans.
En février 2006, des chercheurs ont découvert que les glaciers au Groenland se déplaçaient bien plus vite qu'auparavant, signifiant que davantage de sa glace entrait dans la mer.
En 1996, le Groenland perdait environ 100 km3 par an en masse de sa calotte glaciaire ; en 2005, la perte avait augmenté à environ 220 km3.
Une fonte complète de la calotte glaciaire causerait une montée du niveau de la mer d'environ 7 m ; mais l'image actuelle indique que, bien que certaines régions s'amincissent, d'autres apparemment s'épaississent. [...] Dans cette dernière remarque, notez qu'ils se réfèrent à la calotte glaciaire du Groenland qui « s'épaissit. » Ils oublient de dire que le facteur le plus important est la quantité énorme d'eau douce déversée dans l'océan.
Nous revenons maintenant à la remarque :
Un satellite européen appelé CryoSat était conçu pour fournir des réponses définitives à ces questions. Un dispositif de lancement a détruit la mission en octobre 2005... En considérant la disparition des articles à propos du Groenland sur les sites contrôlés par les États-Unis, ce genre de truc me fiche la frousse. Que veulent-ils dire : « un dispositif de lancement a détruit la mission » ???
CryoSat s'est écrasé en mer
Team Register,
8 octobre 2005
Le dernier satellite de l'Agence Spatiale Européenne s'est brisé et s'est crashé en mer.
Le satellite de 135 millions d'euros, appelé CryoSat, a décollé ce soir du Cosmodrome Plesetsk en Russie à bord d'un missile balistique intercontinental modifié appelé Rockot. Mais il a été porté manquant quelques heures plus tard, environ au moment où il aurait dû entrer en orbite finale.
Cryosat était censé examiner les effets du réchauffement global sur les calottes polaires. Au lieu de cela, il a fait sa petite contribution pour le réchauffement global quand il a plongé dans la mer arctique glacée.
Dans une déclaration ce soir, l'Agence Spatiale Européenne a déclaré que les autorités russes ont accusé « une anomalie dans la séquence de lancement » pour le crash.
Le deuxième étage a fonctionné nominalement jusqu'au moment de l'arrêt du moteur principal. À cause d'une commande manquante du système de contrôle intégré de vol , le moteur principal a continué à fonctionner jusqu'à épuisement du carburant restant. Comme conséquence, la séparation du deuxième étage de l'étage supérieur ne s'est pas produite. Donc l'ensemble combiné des deux étages et du satellite Cryosat est tombé dans la zone de chute nominale au nord du Groenland près du Pôle Nord au large sans conséquence pour les régions peuplées.
Une équipe commune Russie-ESA enquêtera sur la cause de la panne et son rapport est attendu d'ici quelques semaines. Est-ce juste moi, ou quelqu'un d'autre pense-t-il qu'il est étrange que le Cryosat se soit crashé le mois même où les articles du Journal Science sur l'accumulation de glace au Groenland ont disparu de Reuters et de CNN ?
BBC donne une mise à jour sur le crash :
Défaut de fusée du Cryosat dévoilé
Helen Briggs
Journaliste scientifique de BBC News
27 octobre 2006
Des officiels Russes de l'agence spatiale ont identifié le défaut de la fusée qui a abouti à la perte du satellite européen Cryosat.
Un problème dans le système de contrôle intégré de vol de l'étage supérieur nouvellement construit de la fusée était à accuser.
Le rapport de la commission d'état russe dédouane le dispositif de lancement pour une utilisation future.
Il a échoué le 8 octobre lorsque la mission pour cartographier les calottes glaciaires de la Terre est tombée dans l'océan peu après le décollage de Plesetsk en Russie.
Le satellite (de 135 millions d'euros) était en haut du véhicule lanceur Rockot, une ancienne fusée militaire modifiée par l'adjonction d'un troisième étage nouvellement fabriqué.
La Commission étatique d'enquête de panne russe dit qu'un ensemble de mesures est mise en place pour prévenir une récurrence de l'incident.
« Nous confirmons à partir de l'information que nous avons de la Commission étatique qu'il y avait un problème avec le logiciel du système de contrôle de vol de l'étage supérieur Breeze du dispositif de lancement, » a déclaré la porte-parole de l'Agence Spatiale Européenne, Simonetta Cheli, au site Internet de BBC News.
« Ce problème a abouti à une panne de l'étage supérieur Breeze pour créer la commande d'arrêt du moteur du deuxième étage. »
L'erreur signifiait que la séparation des deuxième et troisième étages de la fusée ne s'est pas produite, refusant au satellite l'accélération finale dont il avait besoin pour atteindre son orbite et provoquant ainsi sa chute dans la mer.
Un groupe mis sur pied par l'opérateur de la fusée, Eurockot, doit examiner les résultats de la Commission étatique la semaine prochaine.
Le scientifique britannique qui a proposé la mission, le professeur Duncan Wingham, demande une reconstruction de l'engin spatial. Donc, c'était un problème du logiciel de contrôle de vol ; probablement un des moyens les plus faciles pour saboter une mission via une télécommande. Nous voyons ensuite que l'ESA n'abandonne pas, mais le travail ne peut être fait à temps basé sur toute l'information ci-dessus :
Un atelier sur la banquise en Antarctique souligne le besoin d'une mission CryoSat-2
9 août 2006
L'épaisseur de la banquise est un paramètre important pour modéliser le climat global et, de surcroit, les changements à long terme sont considérés être un indicateur fiable du changement climatique. Toutefois, les estimations des tendances d'épaisseur de la banquise autour de l'Antarctique sont actuellement très limitées. Un atelier international tenu récemment a dit clairement que ces données essentielles ne peuvent être obtenues que par des missions par satellite comme CryoSat-2. [...]
Au cours de l'événement qui a duré trois jours, tenu du 5 au 7 juillet 2006, les discussions ont souligné le fait que les tendances de l'épaisseur de la banquise autour de l'Antarctique sont toujours largement inconnues et que l'information sur les variations d'épaisseur saisonnière, inter-annuelle et décadale est très rare. [...]
CryoSat-2 avec mission de mesure de la glace de l'ESA
7 janvier 2007
La question de savoir si le changement de climat global provoque le rétrécissement des calottes polaires est une des questions environnementales les plus chaudement débattues auxquelles nous faisons face. En surveillant les changements précis dans l'épaisseur des calottes polaires et de la banquise, CryoSat-2 vise à répondre à cette question.
Le feu vert pour construire et lancer la mission CryoSat-2 a été donné en février 2006 après la perte du premier CryoSat en octobre dernier à cause d'un problème de lancement. Les objectifs de la mission restent les mêmes que précédemment - mesurer l'épaisseur de la glace sur terre et sur mer très précisément pour fournir des preuves concluantes quant à une tendance vers une diminution de la calotte polaire, faisant avancer notre compréhension de la relation entre la glace et le climat global. CryoSat-2 doit être lancé en 2009.
On est généralement d'accord que l'atmosphère terrestre se réchauffe et bien qu'on s'attend à ce que l'impact du changement climatique soit amplifié aux pôles, il est extrêmement difficile de prédire l'effet sur la calotte polaire. D'une part, les dernières années ont déjà vu des réductions records pendant l'été, en durée et en concentrations, de la banquise dans l'Arctique. En Antarctique, des icebergs géants se sont détachés et une partie de la plaque de Larsen s'est désintégrée. Toutefois, d'autre part, des navires ont été piégés récemment pendant des semaines dans des conditions de banquise antarctique inhabituellement élevées. [...] Ryan, le membre australien du forum a trouvé quelques pièces intéressantes de ce puzzle :
Considérations sur la perte du satellite CryoSat de l'ESA
Le 8 octobre 2005, suite à une préparation réussie du satellite par les équipes communes industrielles et de l'ESA, le lancement du satellite CryoSat à bord d'un lanceur Rockot s'est terminé par un échec. À cause d'une anomalie vers la fin des opérations planifiées du deuxième étage et approximativement cinq minutes après le décollage, à une altitude de 230 km, le véhicule de lancement a interrompu automatiquement sa mission et a commencé à chuter. La combinaison de la chaleur de rentrée et l'explosion des réservoirs de carburant ont complètement détruit CryoSat. Les débris du véhicule de lancement (2e et 3e étage) et du satellite sont tombés dans l'Océan Arctique.
Formé en 1995, le fournisseur de services de lancement Eurockot Launch Services GmbH, est un consortium entre EADS Space Transportation (DE) et Krunichev (Russie) qui fournit des services de lancement commerciaux avec le dispositif de lancement Rockot aux opérateurs de satellites en orbite basse et fonctionne à partir d'installations de lancement au Cosmodrome de Plesetsk au nord de la Russie.
La cause principale de la panne de CryoSat a été identifiée sans ambiguïté et des mesures correctives pour que le Rockot soit de nouveau en état de vol sont maintenant en cours. Une Commission étatique russe a été convoquée immédiatement après l'accident. Les conclusions de son travail d'enquête ont été publiées dans un rapport comprenant des recommandations consécutives et sa principale conclusion est qu'une erreur humaine et pas un défaut de conception inhérent au véhicule de lancement a provoqué la panne. [...] Cette remarque devient encore plus intéressante lorsque nous lisons l'introduction du bulletin du président de l'ESA :
« Un mot du président »
Jeux des lois de l'espace
Certains d'entre vous ont peut-être vu le film étasunien dans lequel un super ordinateur prend le contrôle et dirige le combat entre les deux super puissances, aboutissant à l'annihilation des forces armées des deux camps opposés. Il s'avère que ce n'est qu'un jeu avec la bataille, entièrement virtuelle, remportée par l'ordinateur qui a été brillamment programmé par un jeune garçon. Preuve, s'il en est, que les jeux peuvent être votre ruine. ... Maintenant regardons ce que les Cassiopéens avaient à dire sur tout cela il y a 10 ans environ et qui s'avère maintenant étonnamment précis. Et si leurs remarques sur les changements climatiques globaux sont supportées par la science, peut-être devrions-nous considérer les autres choses qu'ils ont dites avec un peu plus d'attention ? Si vous lisez ce qui suit dans le contexte du 11/9 et de la question du Réchauffement Global, tout cela commence à prendre un sens.
22 février 1997
Q : (Laura) Nous avons plusieurs choses dont nous avons discuté précédemment, y a-t-il quelque chose que vous désirez dire avant que nous passions aux questions ?
R : Les bases souterraines voient une augmentation de budget spectaculaire.
Q : (Laura) Pourquoi ont-elles une augmentation de budget ?
R : Parce qu'il y a bien plus d'activité à venir.
Q : (Laura) Quel genre d'activité ?
R : Gamme étendue.
Q : (Laura) Pouvez-vous lister, disons, les trois premières ?
R : Expérimentation, utilisation et implémentation.
Q : (Laura et Terry) De quoi ?
R : « Ressources » humaines. Le Plan se met en place pour la « moisson. »
Q : (Terry) Les nouvelles bases souterraines, ainsi que les anciennes, sont destinées à la moisson à venir ?
R : Et autres buts des plans des forces SDS.
Q : (Terry) Et d'autres plans SDS... (Laura) Quelle est cette chose appelée « La Moisson » ?
R : Que pensez-vous ?
Q : (Laura) Eh hein, est-ce moisson dans un événement négatif ou moisson dans un événement positif ? Je veux dire, comme la moisson des bons grains et de l'ivraie...
R : L'un ou l'autre.
Q : (Laura) Vous dites que les plans se mettent en place. Quels événements spécifiques des, disons, plusieurs semaines ou mois passés, quelle que soit la période de temps mise à part, sont ces plans qui se mettent en place ? Je veux dire, quelle est la clef de tout cela ?
R : Avez-vous été attentifs comme nous avons toujours suggéré que vous devriez ?
Q : (Laura) Bien sûr ! J'ai demandé parce que je voulais que vous énumériez ! Bien sûr que je prête attention !
R : Dernièrement, il y a eu une diversion pour vous.
Q : (Laura) Cela ne veut pas dire que je suis endormie !
R : V*** a mentionné le climat. N'était-ce pas un peu « piquant » pour vous en Europe Centrale en décembre et en janvier, Arkadiusz ? Ici, je me demande si « piquant » n'était pas un indice ?
Q : (Terry) V*** a mentionné le temps et les changements à l'intérieur. Quel était le titre de ce film que nous avons vu à Tallahassee, j'ai oublié le titre...
[Terry parla ensuite de science-fiction. Les extraterrestres étaient parmi nous et intriguaient pour modifier la température de manière à rendre la planète inhabitable pour nous mais parfaite pour eux. Naturellement, il y avait du secret et de la dissimulation. Puis le sujet se déplaça vers les tours de téléphonie portable qui étaient remarquées dans les zones rurales de la Floride du Nord. Cela nous mena ensuite à une question sur les tours de téléphonie mobile. Première partie de la question perdue. ]
Q : (Terry)...transmis à nous et inversement... qu'est-ce qui peut être transmis ? L'énergie négative peut-elle être concentrée par ces tours à micro-ondes ?
(V***) Et quelle était la corrélation entre la température bizarre et la moisson ?
(Laura) Parce qu'on nous a dit que les changements de température étaient dus à l'accumulation d'énergie de l'onde. C'était il y a deux ans. Et cela n'avait rien à voir avec la « moisson. »
(Terry) Mais il se pourrait aussi que HAARP en rajoute.
(Jan) Eh bien demandons...
(Laura) Ils aimeraient qu'on pense que HAARP a quelque chose à voir avec la température. « Oui, on a un temps bizarre. Accusons HAARP ! » parce que nous allons penser à HAARP... Quel parfait...
(Terry) HAARP a bien plus à faire que juste le climat. Ils peuvent mettre tous les trucs basés sur l'énergie qu'ils expérimentent en un seul endroit parce qu'ils peuvent faire ce qu'ils veulent, juste en changeant les fréquences...
(Jan) Ou même juste continuer à pourrir le temps, à continuer à créer des vibrations négatives, inquiétude et incertitude...
(V***) Je crois que le point où je veux arriver est : est-ce que les changements de climat promeuvent des changements dans le corps physique, ce qui rend le corps physique plus « récoltable ? »
(Terry) Ce pourrait très bien être le cas.
(Laura) Tout est lié, mais je ne dirais pas que l'un est la cause de l'autre, juste dire qu'ils se produisent...
(Terry) Mais pourquoi, comme nous en parlions précédemment, tous ces trucs bizarres qui se passent sont véhiculés par les médias ?
R : Nous vous avons dit que « HAARP » a été conçu pour capturer et moduler les champs électromagnétiques dans le but d'un contrôle total des schémas d'ondes cérébrales pour établir un système « d'ordre complet sur la surface de la planète » soit en 3e densité, soit en 4e.
Q : (Laura) HAARP est-il en fonction actuellement ?
R : Oui, dans ses premières étapes.
Q : (Terry) La diffusion de toutes ces tours de communication dans tout le pays est-elle l'équivalent d'un programme HAARP à une échelle continentale ?
R : Système de secours.
Q : (Laura) Donc ils n'ont pas besoin des tours pour faire fonctionner le système HAARP, mais elles sont là comme système de secours ?
R : Les tours servent à des buts doubles et latéraux.
Q : (Terry) Les autorités locales et régionales peuvent utiliser les tours pour traquer les gens, entre autres. (Laura) Le temps est-il contrôlé ou changé ou affecté d'une manière ou d'une autre par HAARP ?
R : Le climat est influencé par trois facteurs, et bientôt un quatrième.
Q : (Laura) Très bien, je vais prendre ça ; donnez-moi les trois facteurs, et aussi le quatrième !
R : 1) Approche de l'onde. 2) Augmentation du chlorofluorocarbone dans l'atmosphère, affectant ainsi la couche d'ozone. 3) Changement de l'orientation de l'axe de rotation de la planète. 4) Amortissement artificiel par les forces SDS de 3e et 4e densité dans nombre de manières différentes. ...
Q : (Laura) Très bien, ont-ils été donnés dans l'ordre de leur arrivée ? Le quatrième étant celui qui vient en dernier ?
R : Peut-être, mais rappelez-vous ceci : un changement dans la vitesse de rotation peut ne pas être rapporté quand il est imperceptible sauf par l'instrumentation. L'équateur est légèrement plus large que les zones polaires. Mais cet écart diminue lentement actuellement. Un changement qui doit se produire au 21e siècle est un rebond glaciaire soudain, d'abord sur l'Eurasie, puis l'Amérique du Nord. Les âges glaciaires se développent beaucoup, beaucoup, beaucoup plus rapidement qu'on ne le pense.
[Discussion d'une nouvelle théorie scientifique présentée récemment à propos de la dilatation de la Terre]
Q : (Terry) La Terre se dilate-t-elle ? C'est une façon directe de la demander, mais est-ce que la Terre prend de l'expansion, comment avez-vous dit cela ?(Ark) Oui, c'est la théorie : l'idée est que les continents s'éloignent les uns des autres parce que la Terre se dilate, et c'est bien plus rapide que vous le savez, que ne le pensent les géologues.
R : La « dérive » des continents est causée par la poussée continuelle, quoique variable, des gaz de l'intérieur vers la surface, principalement aux points de signification magnétique.
Q : (Jan) Qu'est-ce qui cause le changement de l'axe ?
R : Par le ralentissement de la rotation. La Terre se réchauffe et se refroidit alternativement à l'intérieur.
Q : (Laura) Pourquoi fait-elle cela ? Quelle est la cause ?
R : Partie du cycle lié à l'énergie exercée sur la surface par le profil vibrationnel de résonance de fréquence des humains et d'autres. [...]
Q : (Terry) Revenons au début de la séance, où nous parlions de l'accélération/expansion des bases souterraines en préparation de la moisson. Est-ce mondial, ce dont on parle ici ?
R : Oui, mais les États-Unis sont le centre, à cause du profil de structure du pouvoir coopératif.
Q : (Terry) Voulons-nous demander à propos du profil de structure du pouvoir ?
(Laura) Non, nous savons ce que c'est ; ils sont d'accord pour travailler avec eux. Mais ce que j'aimerais savoir est quelles mesures particulières sont prises, quelles activités particulières sont avancées ?
R : Acquisition, disposition, test de l'activité planifiée.
Q : (Laura) Et quelle est l'activité planifiée ?
R : Contrôle d'absolument tout. Comme je l'ai dit antérieurement, lorsque les C's parlaient de ce genre de choses, nous ne pouvions imaginer comment un tel scénario pourrait être initié et exécuté. C'était juste un amusement théorique pour nous, un jeu. Nous écoutions, prenions des notes et disions fondamentalement, « Ouais, exact ! » Que le 11/9 puisse être planifié et exécuté et tout ce qui a suivi était hors de portée de nos imaginations limitées !
Q : (Laura) Eh ben ça ! (Terry) C'est le gouvernement mondial unique ! C'est ce qu'ils veulent ! (Laura) Y a-t-il quelque chose en particulier que nous puissions faire pour ...
R : La connaissance protège, l'ignorance met en péril. La prise de conscience vous rend moins vulnérable, à la fois directement et indirectement. Avez-vous entendu quelque chose à propos de sang synthétique et modification du sang et du plasma récemment ?
Q : (Laura) Il y a un problème difficile pour toi ! Très bien, je prends ! Allez-y, dites-nous sur le sang synthétique et le plasma sanguin.
R : Moins de « muets » nécessaires.
Q : (Laura) Mutilations de bétail. Ils n'ont pas besoin de mutiler autant de bétail.
R : Types humanoïdes bio et cyber/génétiques en augmentation exponentielle dans la population générale. Vous pouvez en avoir déjà rencontré un ou deux au cours des 10 derniers jours.
Q : (Laura) Vous qui ? Vous, comme moi, vous comme F***, qui ?
R : Réfléchissez sur les activités et les centres de pouvoir et d'influence pour des réponses. Cela nous a pris cinq autres années pour le comprendre : les psychopathes et puis plus tard, la ponérologie. Cet échange suivant donne quelques indices et idées additionnels :
9 mai 1998
Q : ... J'aimerais savoir quelles coordonnées géographiques, selon notre système latitude/longitude actuel entoureraient l'Atlantide. Je n'ai pas besoin de la forme exacte, juste une forme de boîte générale... le périmètre...
R : Comme demander : « Quelles sont les coordonnées géographiques de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord ? »
Q : Laissez-moi être plus spécifique : le pays atlante qui était censé avoir existé dans l'Océan Atlantique... quelle était la partie le plus au nord de toute partie de l'Atlantide qui était dans l'océan, et qui n'existe plus ?
R : Il est « temps pour vous » de savoir que l'Atlantide n'était pas une nation, un pays, une île ou un continent, mais plutôt une civilisation !
Q : Tout ce que je voulais était d'avoir une idée de la terre dans l'Océan Atlantique dont parlent les gens - où se trouvait-elle ?
A. Ou penses-tu ?
Q : Bien, je pense en quelque sorte que les Açores et les îles Canaries sont une sorte de ...
R : Oui, mais de nombreux autres endroits aussi. Souvenez-vous, le niveau de la mer était plusieurs centaines de pieds plus bas, alors...
Q : Pourquoi le niveau de la mer était-il plusieurs centaines de pieds plus bas ? Parce qu'il y avait de la glace quelque part ou parce qu'il n'y avait pas autant d'eau sur Terre à cette époque ?
R : Glace.
Q : La glace était-elle accumulée aux pôles ? La calotte glaciaire de l'âge glaciaire ?
R : Oui.
Q : Donc l'Atlantide existait pendant l'âge glaciaire ?
R : Largement, oui. Et le climat mondial n'était guère plus froid loin des calottes glaciaires qu'il ne l'est aujourd'hui.
Le monde pendant l'âge glaciaire
Q : Comment cela se peut-il ? Qu'est-ce qui a fait naître ces glaciers ?
R : Réchauffement global.
Q : Comment un réchauffement global fait naître des glaciers ?
R : Augmente dramatiquement les précipitations. Puis déplace la ceinture des grandes précipitations bien plus au nord. Cela provoque une accumulation rapide des calottes glaciaires, suivie par un rebond glaciaire de plus en plus rapide et intense. Donc mettons ces deux choses ensemble : Comment le réchauffement global fait naître les glaciers et mène à un âge glaciaire ?
Augmente les précipitations dramatiquement. Puis déplace la ceinture des grandes précipitations bien plus au nord. Cela provoque une accumulation rapide des calottes glaciaires, suivie par un rebond glaciaire de plus en plus rapide et intense. ... Un changement qui va arriver au 21e siècle est un rebond glaciaire soudain, d'abord sur l'Eurasie, puis l'Amérique du Nord. Les âges glaciaires se développent beaucoup, beaucoup, beaucoup plus rapidement qu'on ne le pense. Il y a bien entendu, ces deux questions inquiétantes à considérer : À quelle vitesse et combien cela sera-t-il mauvais ?
L'autre jour nous avons publié sur SOTT un article d'actualité qui dit, en partie :
Plus de 4,5 milliards de personnes pourraient mourir en 2012 de causes liées au Réchauffement Global.
Une théorie scientifique récente appelée « l'hypothèse hydrate » dit que les cycles de réchauffement global historiques ont été causés par une boucle de rétroaction, où les clathrates de méthane (aussi connus comme des « hydrates ») du pergélisol qui fond stimulent le réchauffement global local, menant à une fonte accrue de clathrates et une croissance des bactéries.
Autrement dit, comme la Sibérie occidentale, les 400 milliards de tonnes de méthane en hydrate du pergélisol fondront graduellement, et le méthane libéré accélérera la fonte. L'effet de même quelques milliards de tonnes de méthane émis dans l'atmosphère chaque année serait catastrophique.
D'ailleurs, « l'hypothèse hydrate » est une vieille théorie scientifique et n'est discutée que maintenant par les scientifiques du réchauffement global. Je suggère que vous cherchiez le terme sur Google.
Il y a d'énormes quantités de méthane piégées dans le pergélisol et sous les océans dans des structures comme de la glace appelées clathrates. Le méthane dans les clathrates du pergélisol arctique est estimé à 400 milliards de tonnes.
Le méthane est plus de 20 fois aussi fort qu'un gaz à effet de serre comme le CO2, et l'atmosphère contient actuellement environ 3,5 milliards de tonnes de ce gaz. [...]
Les libérations de méthane des clathrates océaniques qui fondent ont causé de graves impacts environnementaux dans le passé. Le méthane dans les clathrates océaniques a été estimé à 10 000 milliards de tonnes.
Il y a 55 millions d'années, une réaction en chaîne du réchauffement global (probablement déclenché par l'activité volcanique) a fait fondre les clathrates océaniques. Ce fut l'un des réchauffements globaux le plus rapide et extrème de l'histoire géologique. Entre temps, une forte odeur de gaz naturel a été signalée il y a quelques jours à Manhattan, Brooklyn, Jersey City, Weehawken et Newark. Comme l'a fait remarquer Wayne Madsen, en août dernier une odeur de gaz similaire inexpliquée a envoyé des gens à l'hôpital à Staten Island et dans le Queens. Bien que le méthane soit sans odeur, la libération de méthane naturel est souvent accompagnée par du sulfure d'hydrogène, un sous-produit de la décomposition bactérienne. On se pose des questions, bien entendu, sur les dégazages en relation avec les volées d'oiseaux morts tombant au sol qui sont arrivées en même temps que les horribles odeurs dans le Nord-Est, bien que les morts d'oiseaux étaient à d'autres endroits. Puis il y a eu aussi les morts de poissons qui n'ont pas d'explication autre que le résultat d'un dégazage sous-marin.
Le méthane peut aussi être mortel d'autres manières puisqu'il est hautement inflammable. Ce qui suit concerne un type de gaz différent, mais on doit considérer les conséquences si le gaz en question avait été du méthane.
L'explosion de gaz du lac Nyos au Cameroun en 1986
Le lac Nyos est un des trois lacs au monde connu pour être saturé de dioxyde de carbone - les autres sont le lac Monoun, également au Cameroun environ à 100 km et le lac Kivu au Rwanda. Une chambre de magma en dessous de la région est une source abondante de dioxyde de carbone qui suinte à travers le fond du lac, chargeant les eaux du lac Nyos de 90 millions de tonnes de CO2 selon les estimations.
Le lac Nyos est stratifié thermiquement, avec des couches d'eau chaude moins dense près de la surface flottant sur les couches plus froides et plus denses près du fond du lac. Sur de longues périodes, le dioxyde de carbone suintant dans l'eau froide au fond du lac est dissous en grandes quantités.
La plupart du temps, le lac est stable et le CO2 reste en solution dans les couches inférieures. Toutefois, avec le temps, l'eau devient sursaturée, et si un événement comme un séisme ou une éruption volcanique se produit, de grandes quantités de CO2 peuvent soudainement sortir de la solution.
Bien qu'un dégazage soudain de CO2 se soit produit au lac Monoun en 1984, tuant 37 résidents, une menace similaire du lac Nyos n'était pas prévue. Toutefois, le 21 août 1986, une éruption limnique s'est produite au lac Nyos qui a déclenché la libération soudaine d'environ 1,6 million de tonnes de CO2. Le gaz a dévalé deux vallées voisines, déplaçant tout l'air et asphyxiant jusqu'à 1800 personnes jusqu'à 20 km du lac, la plupart des villageois ruraux, ainsi que 3500 têtes de bétail. Environ 4000 habitants ont fui la région et beaucoup d'entre eux ont développé des problèmes respiratoires, des brûlures et des paralysies par suite des gaz.
On ne sait pas ce qui a déclenché le dégazage catastrophique. La plupart des géologues soupçonnent un glissement de terrain, mais certains croient qu'une petite éruption volcanique peut s'être produite au fond du lac. Une troisième possibilité est que l'eau de pluie froide tombant d'un côté du lac a déclenché le renversement. Quelle que soit la cause, l'événement a eu pour résultat le mélange rapide d'eau profonde sursaturée avec les couches supérieures du lac, où la pression réduite a permis au CO2 stocké de sortir de la solution.
On croit qu'un kilomètre cube de gaz a été libéré. Étant donné que le CO2 est plus dense que l'air, le gaz s'est déversé du flanc montagneux où se trouve le lac Nyos et est descendu dans deux vallées adjacentes sur une couche d'une dizaine de mètres, déplaçant l'air et asphyxiant toutes les personnes et tous les animaux avant de pouvoir se dissiper. Les eaux du lac normalement bleues ont viré à un rouge sombre après le dégazage, à cause de l'eau riche en fer en profondeur qui montait à la surface et était oxydée par l'air. Le niveau du lac a baissé d'environ un mètre, représentant le volume de gaz libéré. Le dégazage causa aussi probablement un débordement des eaux du lac. Les arbres près du lac ont été renversés. Il se trouve que la revendication de l'article ci-dessus « D'ailleurs, « l'hypothèse hydrate » est une vieille théorie scientifique et n'est discutée que maintenant par les scientifiques du réchauffement global. Je suggère que vous fassiez une recherche Google sur ce terme. » n'est pas entièrement correcte. John Barnes, dans son roman de fiction, « Mother of Storms, » (La mère des tempêtes) décrit la libération de vastes quantités de méthane comme déclencheur d'une super tempête globale qui détruit presque toute la Terre.
Mother of Storms se passe dans environ trente ans. Les Nations Unies sont devenues dominantes et, au début du livre, le président des États-Unis manœuvre désespérément afin d'éviter de perdre encore plus de souveraineté par rapport aux Nations Unies. Les Nations Unies entreprennent une frappe nucléaire contre les caches d'armes nucléaires secrètes - et illégales - de la république sibérienne enterrées au fond de l'Arctique. Les explosions ont pour effet la libération d'une énorme quantité de méthane des clathrates de méthane enterrées là. Le méthane provoque presque un effet de serre avec les températures globales grimpant de 5degrés C en quelques mois.
Les océans chauds et humides sont des zones d'élevage idéales pour les ouragans qui se développent rapidement en tempêtes de force, durée et nombre sans précédent. Manifestement, si un tel scénario devait se jouer à présent, les rôles seraient l'inverse de ce que Barnes imaginait : ce serait les États-Unis qui feraient une frappe nucléaire qui libèrerait le méthane qui déclencherait la Supertempête globale. Ce serait probablement d'une telle manière qu'assez de méthane serait libéré assez rapidement pour avoir un tel impact.
Hydrates de méthane et réchauffement global
Il y a une énorme quantité de méthane (CH4) sur Terre, gelé dans un type de glace appelé hydrate de méthane. Les hydrates peuvent se former avec presque n'importe quel gaz et consistent en une 'cage' de molécules d'eau entourant le gaz. (Le terme 'clathrate' décrit plus généralement des solides constitués de gaz piégés dans tout type de cage alors que l'hydrate est le terme spécifique quand la cage est faite de molécules d'eau). Il y a des hydrates de CO2 sur Mars, alors que sur Terre la plupart des hydrates sont remplis de méthane. La plupart se trouvent dans des sédiments de l'océan, mais certains sont associés à des sols de pergélisol.
Les hydrates de méthane sembleraient être intuitivement la plus instable des choses. L'hydrate de méthane fond s'il devient trop chaud, et il flotte dans l'eau. Le méthane est un gaz à effet de serre puissant et il se décompose en CO2, un autre gaz à effet de serre qui s'accumule dans l'atmosphère comme le carburant fossile fait du CO2. Et il y en a beaucoup, peut-être plus que les dépôts de carburant fossile traditionnel. D'une façon concevable, les changements climatiques pourraient affecter ces dépôts. Donc que savons-nous du potentiel de film catastrophe des hydrates de méthane ? [...]
Le futur
Le scénario de film catastrophe le plus intéressant serait une libération d'assez de méthane pour changer significativement la concentration atmosphérique sur une échelle de temps rapide comparée à la durée de vie du méthane. Cela créerait un pic dans la concentration de méthane. Pour donner une échelle de la quantité d'une grande libération de méthane, la quantité de méthane qui serait nécessaire pour égaler le forcing radiatif d'un CO2 double serait environ dix fois la concentration actuelle de méthane. Ce serait un film catastrophe. Ou bien la différence entre le pire scénario du GIEC et le meilleur scénario alternatif concevable en 2050 n'est que de 1 W/m2 de déséquilibre d'énergie radiante. Un forcing radiatif du méthane de cet ordre rendrait probablement impossible de rester en dessous d'un niveau 'dangereux' de 2degrés au dessus de l'époque pré-industrielle. J'ai calculé ici qu'il faudrait environ 6 ppm de méthane pour avoir 1 W/m2 au dessus du jour présent. Une concentration de méthane de 6 ppm serait un désastre dans le monde réel. [...]
Le méthane est oxydé en CO2, un autre gaz à effet de serre qui s'accumule depuis des centaines de milliers d'années, comme le carburant fossile fait du CO2. Les modèles de libération chronique de méthane montrent souvent que l'accumulation de CO2 contribue autant au réchauffement que la concentration de méthane transitoire. [...]
Donc, finalement, pas une histoire de film catastrophe évidente, mais un feedback positif potentiel qui pourrait s'avérer être la différence entre le succès et l'échec dans l'évitement du changement climatique anthropique 'dangereux'. C'est suffisamment effrayant. Autrement dit, s'il y a une super-tempête globale, cela ne sera probablement pas un ouragan de la taille d'un océan qui saute au-dessus de l'isthme de Panama et réduit la Floride à un récif de calcaire en quelques heures !
Mais alors, il y A le problème des mammouths et autres créatures gelés instantanément qui sont morts à la fin du Pléistocène.
L'un des faits majeurs qu'ont eu à expliquer paléontologues, géologues et archéologues, est le nombre effarant de carcasses congelées au Canada et dans les régions occidentales de l'Alaska, ainsi qu'en Russie septentrionale et dans les régions orientales de la Sibérie: et toutes datent d'il y a environ 12 000 ans. Cela suggère, naturellement, que quelque chose de terrible s'est produit sur la planète, et que les effets de cet événement ont été plus sévères dans l'hémisphère nord que dans l'hémisphère sud.
Dans les années 1940, le Dr. Frank C. Hibben, professeur d'archéologie à l'Université du Nouveau-Mexique a mené une expédition en Alaska pour y examiner des restes humains. Il n'a pas trouvé de restes humains ; il a trouvé des kilomètres et des kilomètres de boue gelée, truffés de mammouths, mastodontes, différentes sortes de bisons, chevaux, loups, ours et lions. Juste au nord de Fairbanks, en Alaska, les membres de l'expédition ont été pétrifiés d'horreur en voyant des bulldozers pousser la boue à demi dégelée dans des cuves de lavage destinées à l'extraction de l'or. Les défenses et ossements d'animaux roulaient sous les lames, "comme de la sciure sous l'action d'un rabot géant ». Les carcasses se trouvaient dans toutes les attitudes de la mort, la plupart « démembrées par quelqu'inexplicable perturbation préhistorique catastrophique »[1]
Juste au nord de la Sibérie, des îles entières sont constituées d'ossements d'animaux du Pléistocène, balayés en direction du nord depuis le continent vers le glacial Océan Arctique. Une des estimations suggère que près de dix millions d'animaux pourraient être enterrés le long des rivières de la Sibérie septentrionale. Des milliers et des milliers de défenses ont généré un commerce massif de l'ivoire au bénéfice des maîtres-graveurs de la Chine; le tout provenant des mammouths et mastodontes congelés de Sibérie. Le fameux mammouth de Bereskova a d'abord attiré l'attention sur les propriétés de conservation par congélation rapide, quand on a trouvé des boutons d'or dans sa bouche.
Quel est l'événement terrible qui a emporté ces millions de créatures en un seul jour ? Ces témoignages suggèrent qu'un énorme tsunami a fait rage à travers toute la région, culbutant ensemble animaux et végétation, et les congelant ensuite instantanément pour les 12 000 années suivantes.
Ces créatures ne sont pas mortes à cause du « début graduel » d'un âge glaciaire.
Nous arrivons maintenant au film « Le Jour d'Après ». Le film a été inspiré par The Coming Global Superstorm, un livre écrit par Art Bell & Whitley Strieber dont le synopsis est le suivant :
Le réchauffement global provoque la rupture et la fonte de grandes zones de la banquise arctique signifiant que l'Océan Atlantique est dilué par de grandes quantités d'eau douce. Cela perturbe le Gulf Stream, provoquant un refroidissement non naturel de l'Hémisphère Nord. Cela déclenche ensuite une série d'anomalies, menant finalement à un système de « super-tempête globale » consistant en trois gigantesques super-tempêtes de type ouragan avec pour résultat un âge glaciaire pour l'Hémisphère Nord en quelques jours. Un ouragan est au-dessus du Canada, un autre au dessus de l'Écosse et un troisième au-dessus de la Sibérie. Le film suit Jack, un paléoclimatologue du NOAA ; son fils Sam, un lycéen ; et sa femme Lucy, une médecin.
Le film décrit l'oeil des super-tempêtes comme ayant une pression si basse que de l'air extrêmement froid (-101degrés C) de la troposphère est aspiré vers le bas, tuant instantanément par le froid tout ce qui est attrapé dans l'oeil. Une femme du NOAA prétend que l'air glacial se réchaufferait et monterait, comme dans les tempêtes ordinaires, mais Jack affirme simplement que l'air chute trop vite. La tempête se dirige vers New York, là où Sam est piégé, et que Jack essaie de rejoindre dans l'environnement gelé hostile avec un équipement arctique et ses aptitudes à la survie.
Tout au long du film, une intrigue secondaire implique le refus du vice-président des États-Unis d'accepter la menace du refroidissement global - malgré des conditions de temps de plus en plus extrême qui se produisent dans le monde entier - insistant que des mesures pour l'empêcher feront trop de dommages à l'économie.
Peu avant et pendant la distribution du film, des membres de groupes écologiques et l'ancien vice-président Al Gore ont distribué des brochures aux spectateurs, décrivant ce qu'ils croyaient être les effets possibles du réchauffement global, ce qui généralement n'était pas en accord avec le film ; certains croient que Gore regardait trop dans le film ce qu'il pouvait avoir pensé être « un film scientifiquement précis. » Pendant la saison où le film était projeté, beaucoup de critiques se sont levées contre les politiciens concernant le Protocole de Kyoto et le changement climatique et en final, le film a créé l'agitation politique. Intéressant, hein ? Cela suit la science qui semble être fondée sur des observations et des théories valables. Et cela fournit une explication sur la façon dont les mammouths laineux purent être gelés instantanément au milieu du repas.
Une image tirée du film « Le Jour d'Après » qui montre des cyclones énormes précédant le début d'un âge glaciaire.Enfin, jetons un oeil à quelques remarques que les C's ont faites sur le Temps bizarre et les Super-tempêtes globales :
4 juillet 1998
Q : (A) J'essaie de mettre sur le papier quelques éléments sur une cosmologie et j'ai quelques questions, principalement sur les événements à venir. D'abord, il y avait l'histoire de l'étoile brune compagne du Soleil qui apparemment s'approche du système solaire et j'aimerais savoir, si possible, les détails de son orbite ; c'est-à-dire, à quelle distance est-elle, quelle est sa vitesse et quand sera-t-elle vue pour la première fois. Pouvons-nous le savoir ? Orbite : à quelle distance s'approchera-t-elle au plus près ?
R : Elliptique plate.
Q : (A) Mais à quelle distance s'approchera-t-elle ?
R : La distance dépend d'autres facteurs, comme l'intersection de l'orbite du lieu de l'observateur.
Q : (L) À quelle distance s'approcherait-elle au plus près de la Terre... (A) Système solaire... (L) Oui, mais quelle partie du système solaire ? Nous avons neuf planètes... laquelle ? (A) Je comprends que cette étoile brune entrera dans le nuage d'Oort... (L) Je pense qu'ils ont dit qu'elle le frôle juste et que la gravité le perturbe...
R : Passe à travers le nuage d'Oort dans son voyage orbital. L'a déjà fait sur son chemin « entrant. »
Q : (A) Vous voulez dire qu'elle est déjà entrée dans le nuage d'Oort ?
R : Est passée au travers.
Q : (A) Donc, elle ne s'approchera pas...
R : Le nuage d'Oort est situé sur un plan orbital périmétrique à une distance moyenne approximative de 510 000 000 000 miles (820 000 000 000 km)
Q : (L) Eh bien, 510 milliards de miles nous donnent du temps ! (A) Oui, mais ce que je veux savoir... ce nuage d'Oort est autour du système solaire, donc cette étoile brune, une fois qu'elle est passée au travers... (L) Elle doit déjà être dans le système solaire ? (A) Non, elle peut être passée à travers et ne pas s'approcher plus près. Se rapproche-t-elle ou non ? Se rapproche-t-elle tout le temps ?
R : Le système solaire, de concert avec « l'étoile mère, » tourne autour de l'étoile compagne, une étoile « brune ».
Q : (A) Donc cela signifie que la masse de l'étoile compagne est beaucoup...
R : Moins.
Q : (A) Moins ?
R : Elles se déplacent en tandem l'une avec l'autre le long d'un plan orbital elliptique plat. Les confins du système solaire sont pénétrés par le passage de la compagne brune, expliquant ainsi les anomalies récemment découvertes concernant les planètes extérieures et leurs lunes.
Q : (A) Mais je comprends que la distance entre le Soleil et cette étoile brune change avec le temps. Une orbite elliptique signifie qu'il y a un périhélie et un aphélie. Je veux savoir ce que sera, ou ce qu'a été, ou quelle est la plus proche distance entre cette étoile brune et le Soleil ? Quel est le périhélie ? Pouvons-nous savoir cela, même approximativement. Est-ce environ une année-lumière ou moins ou plus ?
R : Moins, beaucoup moins. La distance du passage au plus près correspond grossièrement à la distance de l'orbite de Pluton au Soleil.
Q : (A) OK. Maintenant, ce passage au plus près, est-ce quelque chose qui va se produire ?
R :Oui.
Q : (A) Et cela va-t-il se produire dans les 6 à 18 ans ?
R : 0 à 14.
Q : (A) OK, c'est ça. J'ai une petite idée là dessus. Maintenant, je comprends que, soit par chance, soit par accident, deux choses vont se produire essentiellement au même moment : Le passage de cette étoile brune et ce groupe de comètes. Ce sont deux choses différentes ?
A : Oui. Différentes, mais reliées.
Q : (L) Y a-t-il un groupe de comètes qui a été poussé dans une sorte d'orbite à lui, qui continue à orbiter...
R : Oui.
Q : (A) Et en plus de ce groupe de comètes, il y a aussi des comètes additionnelles qui vont être attirées dans le système solaire par le passage de cette étoile brune ?
R : Oui.
Q : (A) Je comprends que le principal désastre va venir de ce groupe de comètes...
R : Les désastres impliquent des cycles dans le cycle d'expérience humaine qui correspond au passage du groupe de comètes.
Q : (A) Je comprends que ce groupe de comètes est cyclique et vient tous les 3600 ans. Je veux savoir quelque chose sur la forme de ce groupe de comètes. Je ne peux guère imaginer...
R : La forme est variable. L'effet dépend de la proximité du passage.
Q : Donc, il pourrait être étalé... (A) Nous demandions à un certain point d'où il viendra. La réponse était que nous étions censés regarder un spirographe.
R : Oui.
Q : (A) Un spirographe suggère que ces comètes ne viendront pas d'une direction mais de nombreuses directions en même temps. Est-ce correct ?
R : Très bien !!!
Q : (A) OK, elles viendront de nombreuses directions...
R : Mais, la visibilité initiale le présente comme un corps solide unique.
Q : (A) Savons-nous à quelle distance est ce corps actuellement ?
R : Suggère que vous gardiez les yeux ouverts !
Q : (A) Je garde mes yeux ouverts.
R : Saisissez-vous la signification de la réponse concernant la chronologie du groupe et de l'étoile brune ? Le cycle humain reflète le cycle de catastrophe. La Terre bénéficie d'une forme de nettoyage périodique. Il est temps de commencer à prêter attention aux signes. Ils sont en augmentation. Ils peuvent même être « sentis » par vous et d'autres, si vous prêtez attention.
Q : (L) Nous prêtons certainement attention aux signes !
R : Comment ça ?
Q : (L) Eh bien le temps est complètement bizarre. Les incendies, la chaleur...
R : Oui.
Q : (L) Je remarque que les marées sont terriblement hautes tout le temps sans explication apparente...
R : Et basses aussi.
Q : (L) Oui. J'ai remarqué cela particulièrement. (F) Moi aussi. Il n'y a pas trop longtemps j'ai remarqué que les marées étaient incroyablement basses pour cette époque de l'année. (L) Et aussi les signes chez les gens - ces gosses qui tuent leurs parents, tous ces gens qui deviennent enragés - vous savez...
R : Pic.
Q : (L) Que voulez-vous dire pic ?
R : Sur un graphe...
Q : (L) Juste des pics, pas le gros...
R : Les pics sont gros.
Q : (L) Bien, de ce que vous en avez dit - Je veux dire comment sommes-nous censés faire toutes ces choses que vous dites que nous sommes censés faire ? Je veux dire, nous n'aurons pas le temps !
R : Qui le dit ?
Q : (L) C'est le genre de ce à quoi cela ressemble. À moins que nos vies et nos expériences augmentent de concert avec tous ces autres événements... (A) J'ai une dernière question que j'ai préparée. Donc, nous avons ces deux désastres ou événements physiques, l'étoile brune qui approche et le groupe de comètes, mais on nous a dit que cette fois-çi cela va être différent parce que cette fois c'est accompagné par une convergence de plan.
R : Oui. Modification du champ magnétique.
Q : (A) Cette convergence de plan ou cette modification du champ magnétique, c'est censé être relié à la traversée ou au passage de mondes. Une frontière de mondes.
R : Monde. Quelle est la racine de « realm ? »
Q : (L) Réalité.
R : Oui. Comment le champ magnétique « s'insère-t-il? » Nous voulons rester sur ce sujet général durant toute cette séance, pour votre bénéfice.
Q : (L) OK, en termes de ces signes, ces signes qui se passent sur la planète, ces incendies etc. - vous n'avez jamais rien dit sur tous ces incendies en Floride. Vous avez dit que l'Arizona allait brûler, mais vous n'avez jamais dit que la Floride allait brûler...
R : Nous n'avons pas dit qu'elle ne brûlerait pas.
Q : (L) Je sais. Mais c'est vraiment oppressant. J'ai lu quelques signes ces derniers jours que nous allons avoir un changement de temps, un break, selon ma petite méthode de prédiction...
R : Inversion des extrêmes ?!?
Q : (L) Oh ! Encore des inondations ! Bien je crois que les inondations sont mieux que les incendies... mais, peut-être pas !
R : L'Italie et la Grèce brûlent aussi.
Q : (L) Oui, nous l'avons remarqué dans le journal aujourd'hui. Y a-t-il une relation entre l'Italie et la Grèce et où nous sommes sur la planète ? Une sorte de lien psychique ?
R : Juste la même maladie actuelle.
Q : (L) OK, retournons au groupe de comètes et la frontière des mondes...
R : Pas encore.
Q : (L) Bien, quelle direction devrions-nous prendre tout de suite ?
R : Pas à pas.
Q : (L) OK, vous venez juste de dire que nous allons avoir une inversion dans notre climat. Y a-t-il d'autres conditions dont nous devrions être conscients présentement ?
R : Le point est de surveiller, regarder, écouter.
Q (L) Lorsque nous surveillons, regardons et écoutons, y a-t-il une chose particulière que nous sommes censés surveiller pour que cela nous donne un indice au sujet de quelque chose ?
R : Tout.
Q : (L) Y a-t-il quelque chose que nous sommes censés faire à un certain moment lorsque nous percevons un indice ou un événement particulier à un certain point ?
R : Que suggéreriez-vous ?
Q : (L) Je ne sais pas trop quoi suggérer sauf de garder un profil bas et continuer à travailler jusqu'à ce que nous trouvions la réponse. C'est comme une course contre le temps. Nous devons trouver la réponse parce que, manifestement, vous n'allez pas nous dire...
R : Non. Pas de course nécessaire.
Q : (L) Bien, je me sens parfois complètement inadéquate pour tout cela.
R : Arrêtez de penser 3e densité !
Q : (L) Je ne veux pas vivre dans le pays des merveilles et dire, 'oh oui, je surveille. Je vois les signes ! Je regarde ! J'écoute ! Et ensuite les compter sur mes doigts et dire : mais je ne vais pas y penser parce que c'est de la 3e densité ! Vous voyez ce que je veux dire ?
R : Non, parce que vous pensez toujours 3e densité. Mieux vaut avoir un siège au premier rang et admirer le spectacle !
Q : (L) Mais je sens que je ne suis pas censée trop m'amuser ! Je me sens coupable !
R : Pourquoi pas ?
Q : (L) Je suis censée FAIRE quelque chose !
R : C'est le cas.
Q : (A) Lorsque tu surveilles, regardes, écoutes, tu obtiens plus de signaux et ces signaux provoquent un certain schéma de pensée qui n'était pas encore capable d'apparaître, mais maintenant, après avoir reçu certains signaux, tu commences à penser d'une manière différente. Donc maintenant tu ne peux pas penser d'une manière différente, mais quand tu apprends cela et que cela s'est produit, alors tu commences à penser de manière différente. Donc tu ne peux pas faire actuellement des choses, mais tu dois toujours être prête à changer tes pensées n'importe quand lorsque tu comprends davantage, lorsque tu vois davantage, lorsque tu remarques davantage, lorsque tu mets les choses ensemble qui ne sont pas encore ensemble. Puis il peut y avoir un grand changement de point de vue, un changement total. Et nous devons garder ouverts nos esprits et nos schémas de pensée et être prêts à changer, travailler et assembler le puzzle et la mosaïque. Et c'est tout ce qui compte. C'est ce travail que nous faisons actuellement qui compte, pas un grand truc futur : Oh ! Maintenant nous allons sur un bateau ! Non, c'est seulement faire de notre mieux ; et qu'est-ce que c'est ? Notre mieux ? Cela changera. Je le crois. C'est l'idée. Donc tout dépend de cela.
R : Oui. Vous voyez, ma chère, vous ne pouvez anticiper ce qui n'est pas anticipable.
Q : (L) Eh bien. OK, vous voulez rester sur ce sujet, donc faisons encore un pas.
R : Nous sommes contents que vous ayez remarqué la naissance de ce pic.
Q : (L) Est-ce un indice ? Est-ce une de ces obscures remarques ? Oui, j'ai remarqué, les enfants qui tuent leurs parents, toutes les fusillades qui se passent, le temps... est-ce lié d'une certaine manière à un autre événement ?
R : 27 jours de chaleur record sur 30 jours, oh mon Dieu ! Suggère que vous éveilliez vos copains d'Internet car ils sont trop occupés à chasser les « gobelins » pour le remarquer.
Q : (L) Donc je devrais avoir quelque chose à dire là-dessus ?
R : En Floride actuellement, où ensuite ? Que dire d'un séisme de subduction dans le Nord-Ouest Pacifique des États-Unis ? Nous estimons 10,4 sur l'échelle de Richter. Nous avons averti à propos de Ranier. Imaginez un tsunami de 150 m de haut à Puget Sound...
Q : (L) Ce séisme de subduction a-t-il quelque chose à voir avec cet OVNI qui s'est enfoncé dans le Pacifique ?
R : Tout est relié.
Q : (L) L'information que j'aie sur cela était que c'était à 970 km au nord-est d'Hawaï. Deux sous-marins ont été envoyés au fond et ont disparu ou ont été détruits ou ne sont pas revenus... cela libère apparemment beaucoup d'énergie. Un commentaire ?
R : Non.
Q : (L) Devrais-je suivre cette direction ?
R : Toutes les directions mènent à des leçons.
Q : (L) Vous avez mentionné ce séisme. Je sais qu'habituellement vous ne faites pas de prédictions, pourquoi l'avoir fait maintenant ?
R : Nous ne donnons pas de chronologies.
Q : (L) Quelque chose d'autre qu'un tsunami à Puget Sound et un gros séisme de subduction... 10,4 sur l'échelle de Richter est presque inconcevable.
R : Ranier ... caldera.
Q : (L) Quoi à propos du caldera ?
R : Attendez-vous en à une.
Q : (L) À part les inondations, autre chose d'imminent pour la Floride ?
R : Toutes les régions subissent une accélération des « schémas de temps anormal ».
Q : (L) Tous ces schémas de temps anormal et choses bizarres qui se passent sur la planète, comment est-ce relié au groupe de comètes et l'étoile brune ? Est-ce relié ?
R : Le cycle d'expérience humain entrecoupe.
Q : (L) Une manifestation physique spécifique quelconque de cette étoile brune ou ce groupe de comètes ou cette frontière de mondes, qui est reliée à ces événements sur la planète ?
R : L'approche de l'onde stimule une activité précurseur qui à son tour provoque des effets qui à leurs tours stimulent encore plus « l'échauffement » de l'activité...
Q : (L) Je pensais qu'il était curieux que vous utilisiez le terme « naissance du pic. » Y a-t-il quelque chose ou quelqu'un qui est né à ce moment particulier ?
R : Non. Pic comme dans un graphe...
Q : (L) Y a-t-il une manière de pouvoir le tracer nous-mêmes, et si c'est le cas, quels types d'événements inclurions-nous pour créer les données de base ?
R : « El Nino, La Nina, » etc...
Q : (L) Ce truc El Nino est-il relié aux cycles des taches solaires ?
R : Non.
Q : (L) Il a son propre cycle. Je ne pense pas qu'il ait été suivi suffisamment longtemps pour avoir...
R : Réchauffement global, une partie du cycle d'expérience humaine.
Q : (L) J'ai lu quelque part qu'Edgar Cayce a dit qu'une légère augmentation de la température globale rendrait les ouragans quelque chose comme 5 fois plus puissants... étant donné une température de base. Cela veut-il dire que nous allons avoir des ouragans plus puissants et plus fréquents ?
R : Oui.
Q : (L) Frapperont-ils la terre plus fréquemment ou bien resteront-ils sur l'océan ?
R : L'un ou l'autre.
18 mars 2000
Q : Vous avez une fois fait une remarque que les âges glaciaires se produisent beaucoup, beaucoup plus rapidement que les gens ne le pensent...
R : Oui.
Q : Devons-nous investir dans des mukluks et des raquettes ?
R : ??
R : Ce à quoi j'essaie de faire allusion est : devrions-nous faire des stocks de bois de chauffage ?
R : Peut-être.
Q : Donc, cela pourrait être aussi rapide ?
R : Oh oui, et plus rapide quand c'est en réponse au « réchauffement » global.
Q : Quand vous mettez « réchauffement » entre guillemets, vous voulez dire réchauffement dans plus d'un sens ordinaire ? Est-ce correct ?
R : Et/ou pas vraiment « chaud. »
Q : Whitley Strieber et Art Bell ont publié un livre sur une « super-tempête globale. » Est-ce que l'information qu'ils ont donnée dans ce livre est assez précise ?
R : Tirée de sources non humaines connues pour une forte précision lorsque c'est opportun.
Q : Qu'est-ce qui le rend opportun actuellement pour eux d'être « fortement précis ? »
R : Adapté à des plans.
Q : Plans pour quoi ?
R : Ne le savons-nous pas déjà ?
Q : Autrement dit : conquête du monde et prise de contrôle de l'humanité ?
R : Pas aussi simple.
Q : Qu'est-ce qui rendrait ma déclaration plus précise ?
R : Appelez-là amalgamation. Vous souvenez-vous de ce que Bill Gray a déclaré dans l'article de juin 2006, cité au début ? « Dans juste trois, cinq, peut-être huit ans, dit-il, le monde commencera à se refroidir à nouveau. » J'espère que tout le monde a une paire de mukluks pour le Jour d'Après...
Mukluks (chaussures des Eskimos) et raquettes de rigueur le Jour d'Après
Notes:
1- Hibben, Frank, The Lost Americans (New York: Thomas & Crowell Co. 1946).
2- Sanderson, Ivan T., "Riddle of the Frozen Giants", Saturday Evening Post, No. 39, January 16, 1960.
3- Simpson, George G., Horses, New York: Oxford University Press) 1961.
Traduction française: Équipe Signes des temps
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Très bonne article que j'avais déjà lu sur Sott il y a quelques années.
RépondreSupprimerPendant qu'ont nous casse les oreilles et que l'ont veut fouiller nos poches avec le soit-disant réchauffement global ( qui s'est terminé il y a 15 ans), la Terre se prépare à un refroidissement. La fonte des glaciers eut provoquer l'arrêt du Gulf Stream, une fois le processus enclenché, c'est tout le Canada et l'Europe qui se verront sous la glace. Logique et probable. En va se les geler !
Au Canada, dans le Grand Nord, un bûcheron coupe son bois pour l'hiver. Après deux journées de coupe, et plusieurs stères transportées, il en vient à se demander si sa provision de bûches sera suffisante. Les hivers sont très froids, dans la région. Il va donc voir un vieux chef indien, un peu déplumé, pour savoir si l'hiver sera rigoureux. Il pose sa question, et le chef lui dit: - Ugh ! Hiver sera rude. Alors le bûcheron retourne couper du bois, encore et encore. Au bout de quelques jours de durs labeurs, il retourne voir le vieux chef et lui repose sa question. Et le chef répond: - Ugh ! Hiver sera rude, très rude ! Alors le bûcheron retourne bucheronner. Pendant quinze jours. Puis il retourne voir l'indien. Qui lui dit: -Ugh ! Hiver sera rude, très très très rude ! Alors le bûcheron demande au chef: - Mais, Grand Chef, comment peux-tu savoir cela ? Et l'indien répond: - Quand homme blanc couper beaucoup de bois, c'est que l'hiver sera rude !
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