08 juin 2013

Svastika



« Svastika » ou « swastika » (nom masculin, Petit Larousse 2012) est un emprunt au sanskrit svastika (dérivé de su : bien et de asti : il est) et signifiant : « qui être », autrement dit « porte-bonheur »).
La forme sauvastika désigne le svastika senestrogyre ou lévogyre (voir explication ci-après)

Le svastika est l'un des symboles les plus répandus et les plus anciens qui soient.
Il consiste en une croix à branches coudées, rencontrée à toutes les époques et sur tous les continents, en usage en Inde de toute antiquité, répandu en Chine par le bouddhisme, présent dans la Grèce ancienne sous la figure de Prométhée (qui dérobe une parcelle de feu à la « roue du Soleil » et l'apporte aux hommes) et dans d'autres civilisations (chez les Touareg par exemple).
Dans la religion hindoue, les deux sens de rotation sont associés à l'activité du dieu Brahma constructeur de l'univers : le svastika proprement dit pointant vers la droite représente la construction, la croissance, alors que celui pointant vers la gauche, appelé sauvastika, représente l'involution, la destruction.
Inscrit dans un carré à base horizontale (graphie nettement plus fréquente que la position à 45°), il représente la stabilité, ses branches indiquant les quatre orients. Il peut également être le symbole du dieu solaire Surya.
Le svastika pointant vers la droite, auspicieux et bénéfique, est presque seul représenté et jouit d'une popularité inaltérée par les événements en Europe. On le retrouve même sur des objets non proprement religieux. Le sauvastika, considéré comme néfaste, n'est en général pas employé.
Au Japon, les deux formes de svastika sont quelquefois associées aux deux composantes de l'illumination : le svastika pointant vers la gauche, omote manji (svastika externe) ou simplement manji représente l'amour et la compassion (associés au bouddha Amitabha), alors que le svastika pointant vers la droite, ura manji (svastika interne) ou gyaku manji (svastika inversé) représente la sagesse et l'énergie associées à Akshobhya. (Wikipedia)
Si les branches sont orientées vers la gauche, le svastika, qui prend le nom de sauvastika, est dit senestrogyre ou lévogyre. Si les branches sont tournées vers la droite, le svastika est dit dextrogyre.

Le terme « croix gammée » (allusion aux 4 branches, qui ont chacune la forme de la lettre grecque « gamma » majuscule) vient du grec gammadion.
Les Grecs qualifiaient aussi le svastika de « tétrascèle » (quatre jambes).

Signe favorable, symbole de paix et de bonheur, peut-être aussi du Soleil (Feu), le svastika s'est répandu en Europe, aux Amériques, en Extrême-Orient et notamment en Inde où il garde toujours son sens bénéfique.

Formes secondaires du svastika :

- la forme à branches courbes, le lauburu (quatre têtes), en honneur de tout temps au Pays Basque, qui évoque avec une netteté particulière la figure de la double spirale, figure sur un os trouvé dans la grotte préhistorique d'Isturitz, sur des tombes du XVIIe siècle et sur un battoir à linge de la même époque (il était aussi constituée de quatre bouquetins tournant autour d’un cercle) ; le lauburu figure le dieu solaire Egu (ou Ekhi) qui chassait les forces des ténèbres ou le dieu Sugaar (ou Sugoi ou Maju), représenté aussi par un dragon ou un serpent, une déité préchrétienne basque associée aux orages et à la foudre et époux de la déesse Mari (ou Maya ou Lezekoandrea ou encore Loana-gorri) ; Mari vit sous terre, normalement dans une caverne en haute montagne, où elle et son époux se rencontrent chaque vendredi (la nuit de l'Akelarre ou le rendez-vous des sorcières) pour concevoir des orages qui apporteront la fertilité (et parfois le déshonneur) à la terre et au peuple. On dit que Mari est servie par une cour de sorginak (sorcières) 4 6 ; on trouve aussi des représentations du lauburu dans l'Aude, de l'autre côté des Pyrénées ;

Lauburu

- le svastika clavigère, dont chaque branche est constituée par une clef ; c'est une expression très complète du symbolisme des clefs : l'axe vertical correspond à la fonction sacerdotale et aux solstices, l'axe horizontal à la fonction royale et aux équinoxes 1.

Universalité du symbole :

On trouve le svastika de l'Extrême Asie à l'Amérique, en passant par la Mongolie, l'Inde, l'Europe et l’Afrique.

Il fut notamment familier aux Scythes, aux Sarmates, aux Celtes, aux Etrusques, à la Grèce antique (l'ornement appelé « grecque » en dérive).

On le rencontre :
- chez les Sumériens (6000 à 5000 av. J.-C.), sur des pièces de monnaie et sur une céramique de Samarra représentant le dieu de l'eau, Enki :

Enki

- sur des poteries de la culture Vinca de Transylvanie (5000 ans av. J.-C. ) ;
- dans les fouilles de Hissarlik (site de Troie) à un niveau antérieur audit site (néolithique) ;
- sur un sceau pour marquer des poteries provenant d'un site lacustre de l'âge du bronze à Chambéry (3000 av. J.-C.) ;
- chez la civilisation des oasis du désert du Karakoum en Asie centrale (IIIe millénaire av. J.-C.) ;
- sur des poteries de Sintashta au Sud de l'Oural (2.000 ans av. J.-C. ) ;
- sur des ceintures de bronze dans des tumulus en Allemagne et en Autriche ;
- sur des poteries en Arménie et dans le Caucase dès le début de l'âge de fer (900 av. J.-C.) ;
- sur des haches en Géorgie [culture kobano-colchidienne (900-600 av. J.-C.)] ;
- sur des poteries grecques ;
- sur des fresques de Pompéi ;
- sur des pierres celtiques en Ecosse et en Irlande ;
- en Angleterre, surtout dans l'île d’Ikley dans le Yorkshire (Flyfot est le nom anglo-saxon du svastika) ;
- en Bretagne française où il coexiste avec la tricelle (triskell) ;
- sur une stèle gallo-romaine au musée de Toulouse et sur une poterie de la même époque au musée de Rouen ;
- sur des pierres runiques en Suède et au Danemark ;
- sur de la vaisselle d'argent du IVe siècle à Graincourt-les-Havrincourt (62) ;
- sur le tombeau de la sainte abbesse Aguilberte en l'église Saint-Paul (VIIe s.) à Jouarre (77) ;
- en Espagne, sur un détail du tympan de la grande mosquée de Cordoue ;
- sur le pavement de la cathédrale d'Amiens (XIIIe siècle) ;
- sur des fresques de l’église du XIVe de Rabastens (Tarn) ;
- en Nouvelle-Calédonie, sur des objets d'art ;
- chez les Maoris de Nouvelle-Zélande ;
- à l’Ile de Pâques ;
- en Afrique, au Dahomey, Gabon et Ghana ;
- en Amérique précolombienne, en particulier dans les temples mayas ;
- en Amérique du Nord, chez les Hopewelliens (2250-1550 av. J.-C.), les Kansas (qui le nomme « Bonheur »), les Pueblos, les Pimas et les Navajos ;
- dans les ruines de l'ancienne ville nabatéenne de Mampsis dans le sud d'Israël (nombreuses mosaïques avec le symbole du svastika) ;
- il existe un "graffite de svastika senestrogyre chargé d’un Khi ou croix de Taranis ou de saint André au monastère des Carmes de Loudun" 2 ;
- On retrouve le svastika sur le pavement en mosaïque de la synagogue de Maoz Haïm en Israël ; au musée archéologique de Jérusalem, on peut voir, sur une lampe, le svastika associé à l’étoile à six branches (symbole repris par le Mouvement raélien) ; un svastika à branches courbes est gravé sur une tombe du Cimetière juif de Rosenwiller (Stèle de Bezalel).

Et la liste est loin d'être exhaustive...

Certains prétendent même qu'il remonte aux Atlantes…

Symbolisme :

Quelle qu'en soit sa complexité symbolique, le svastika, par son graphisme même, indique manifestement un mouvement de rotation autour du centre immobile, qui peut être le moi, où le pôle. Il est donc symbole d'action, de cycle et de régénération perpétuelle. C'est en ce sens qu'il a souvent accompagné l'image des sauveurs de l'humanité :

- le Christ, des catacombes à l'Occident médiéval et au nestorianisme des steppes. Les Christs romans sont souvent conçus autour d'une spirale ou d'un svastika symbolisant le tourbillon de la Création ;

- le Bouddha, car il figure la Roue de la Loi (Dharmachakra) tournant autour de son centre immuable, centre qui représente souvent Agni (le Feu).

Il y a un lien entre le svastika et l’arâni, le briquet à rotation du rituel védique, dont les deux éléments sont placés l’un sur l’autre en forme de croix.

Le svastika est l'image du développement en puissance de la Réalité ou de l'Univers :

- développement de l'univers créé, il s'associe aux grandes figures créatrices ou rédemptrices évoquées ci-dessus.

- développement d'une réalité humaine, il exprimera l'extrême développement d'un pouvoir séculier, ce qui explique ses attributions historiques, de Charlemagne à Hitler.
" Ici interviendra le sens de sa giration, qu'il s'agisse du sens direct astronomique, cosmique et donc lié au transcendant : c'est le svastika de Charlemagne) ; ou du sens inverse, celui des aiguilles d'une montre, voulant placer l'infinitude et le sacré dans le temporel et le profane : c'est le svastika hitlérien ; Guenon interprète ces sens opposés comme la rotation du monde vue de l'un et l'autre pôle, les pôles en question sont plutôt l'homme et le pôle céleste que les pôles du globe terrestre" 1.
Certaines interprétations font du svastika dextrogyre un symbole de l'énergie masculine, du svastika senestrogyre celui de l'énergie féminine associée à la magie noire et aux influences négatives.
Le svastika dextrogyre est particulièrement utilisé par des civilisations non indo-européennes, notamment en Amérique du nord et dans le monde méditerranéen. Le svastika senestrogyre symbolise plus fréquemment la nuit et les pratiques magiques.

Les hindous et les jaïns, qui utilisent le svastika pour marquer les pages de leurs livres de comptes, le seuil de leurs maisons, leurs portes et leurs offrandes, font une nette distinction entre le svastika senestrogyre et le svastika dextrogyre.
Ce dernier est lié au dieu solaire Surya, mais également, en tant que symbole guerrier, au dieu Indra. Symbole solaire, il imite par la rotation de ses branches la course quotidienne apparente du Soleil qui, dans l’hémisphère Nord, part de l’est pour aller vers le sud, puis vers l’ouest.
Le svastika sénestrogyre symbolise plus fréquemment la nuit, la déesse Kâlî et les pratiques magiques.

Le svastika des hindous, des bouddhistes et des jaïns est l’emblème du septième tirthamkara.

Ses quatre branches sont supposées rappeler au croyant les quatre niveaux de l'existence, c'est-à-dire les quatre domaines dans lesquels l'homme peut renaître : le monde animal ou végétal, l'enfer, la terre, le monde de l'esprit.
Il est aussi la combinaison des principes mâle et femelle, du soleil et de la lune ; il est placé à l'entrée du temple jaïn.

Symbole Jaïn

Au Tibet, le sigle de la secte des Bonnets Jaunes est un svastika dextrogyre ; celui de la secte des Bonnets Rouges un svastika senestrogyre. Les bön-po, pratiquants de l'ancienne religion tibétaine prébouddhique Bön, utilisent le svastika pointant vers la gauche. Le svastika est appelé yung-drung, ce qui signifie « éternel ».

Pris dans son acception spirituelle, le svastika remplace parfois purement et simplement la roue dans l'iconographie hindoue, par exemple comme emblème des nagas. Mais il est aussi l'emblème de Ganesha, divinité de la connaissance, et parfois manifestation du principe suprême.

Des monnaies de cuivre du 1er siècle avec des motifs « éléphant-svastika », « cheval-svastika », « lion-svastika » et « déesse hindoue Lakshmi-svastika », ont été découvertes au Sri Lanka.

En Chine, le svastika est le caractère wan (sans doute d'origine indienne, il a été introduit par le bouddhisme) et aussi le signe du nombre 10 000 (les dix mille êtres du taoïsme), qui est la totalité des êtres et de la manifestation, l'aboutissement.
C'est aussi la forme primitive du caractère fang qui indique les quatre directions de l'espace.
Il pourrait être aussi en rapport avec la disposition des nombres du Lo-chou, qui évoque le mouvement de giration cyclique.

Pour les Nordiques, le svastika est une Croix Solaire.
Les quatre pointes symbolisent le Lever, le Zénith, le Couchant et la Nuit mais aussi le Printemps, l'Eté, l'Automne et l'Hiver, et enfin les étoiles d'Aldébaran, de Regulus, d'Antarès et de Fomalhaut assimilées aux quatre saisons.

Les francs-maçons se placent dans une stricte observance de la symbolique cosmographique en considérant le centre du svastika comme l'étoile polaire, et les quatre gammas qui le constituent comme les quatre positions cardinales de la Grande Ourse autour d'elle.
En effet, dans les temps anciens, la Grande Ourse se situait exactement autour de l'étoile polaire et semblait avancer à intervalles réguliers dans le sens des aiguilles d'une montre, l'étoile polaire demeurant immobile en son centre.

Historique

Chez les Scandinaves et les anciennes tribus germaniques, existait la croix de Wotan/Odin.
On désigne à tort comme "croix de Thor" le "marteau de Thor" qui est en forme de Tau grec ou de croix de Saint Antoine.

Formes de svastikas scandinaves et germaniques dites croix de Thor ou croix de Wotan
Les Allemands désignaient le svastika par le terme de hakenkreuz (croix ansée) ; les Lettons par celui de perkonkrusts (croix de Perkons ou Perkunas : le dieu du tonnerre), zibenkrusts (croix de tonnerre) ou ugunskrusts (croix de feu).

Le dieu slave Perun était parfois symbolisé par un double svastika appelé kolovrat.

Au début du scoutisme, le svastika était décerné à ceux qui avaient rendu service au mouvement. Il fut retiré en 1935 à cause de son utilisation par le parti nazi.

Le drapeau rouge, avec un cercle blanc contenant un svastika dextrogyre noir (croix gammée) incliné à 45°, fut adopté comme emblème du parti nazi par Hitler au printemps 1920.

Hitler considérait le svastika comme un symbole aryen remontant aux Indo-européens primitifs, le « symbole du combat pour la victoire de l'Aryen ».

Le 15 septembre 1935, le Reichstag (Parlement allemand), réuni à Nuremberg et présidé par Hermann Goering, vota à l'unanimité l’adoption du drapeau à croix gammée comme drapeau national de l'Allemagne.

Drapeau à croix gammée

En 1897, Hitler, âgé de 8 ans, était élève et enfant de chœur à l'abbaye bénédictine de Lambach en Autriche. Il put y admirer, gravés sur les murs, les boiseries et même sur des objets du culte, des svastikas dextrogyres. Ce symbole aurait été choisi par le père Hagn (Hagen), administrateur de l'abbaye et grand amateur d'ésotérisme, après ses nombreux voyages au Moyen-Orient. Les armes de Theoderich Hagn, abbé de 1859 à 1872, portent “une croix gammée or aux branches coudées à angle droit sur champ d’azur”. L'année "1860" et une croix gammée sont sculptées au-dessus d’une voûte dans la cour de l'abbaye.
Dans son ouvrage Oberdonau, die Heimat des Führers (Le haut Danube, patrie du Führer), Robert Lenk écrit (Page 12) : “Adolf Hitler, enfant de chœur, a vu le symbole angulaire du disque solaire pour la première fois sur l’écu ornant la voûte de Lambach.”
“ Ce fut ici [à l'abbaye de Lambach, ndlr] que Hitler vit pour la première fois une croix gammée. (...) Il se peut que plus tard il ait été poussé par des mobiles tout à fait différents à adopter cet emblème, mais on ne peut nier qu’il ait passé une partie de son enfance sous le signe de la croix gammée.” 5

Le svastika était un des symboles figurant sur le sceau de la Société Théosophique fondée à New York en 1875.

Le svastika avait été adopté par l’ordre des Nouveaux Templiers fondé en Autriche en 1900 par Jörg Lanz von Liebenfels (1874-1954). Adolf Lanz (c'était son vrai nom) fut moine cistercien en 1893 (monastère de Heiligenkreuz près de Vienne) et quitta l’Eglise en 1899.
Théoricien de l'ariosophie (fusion du christianisme et du racisme germanique) et éditeur de la revue Ostara (du nom de la déesse germanique saxonne, divinité du Printemps, de la fécondité et du Lever du Soleil), il rencontra Adolf Hitler, un fidèle lecteur, au début des années 20.

Le svastika avait été aussi choisi par l'ordre des Germains (Germanorder), fondé en 1912, dont était membre un ingénieur allemand naturalisé turc, le baron Rudolf von Sebottendorf (de son vrai nom Adam Alfred Rudolf Glauer). Ce dernier, qui était aussi franc-maçon et adepte du soufisme et de la théosophie, pratiquait la numérologie, l'astrologie et l'alchimie 3.

La Société Thulé (Thule Gesellschaft), ou Ordre de Thulé ou Groupe de Thulé (dont étaient probablement membres Rudolf Hess et Goering et, peut-être Hitler), société secrète pangermaniste, antisémite et illuministe, fondée le 17 avril 1918 par le baron Rudolf von Sebottendorf précité, avait pour emblème la croix de Wotan, une croix gammée aux branches courbes.

Emblème de la Société Thulé

Notes :
1 Dictionnaire des symboles. Jean Chevalier- Alain Gheerbrant. Ed. R. Laffont. 1995
2 racines.traditions.free.fr/
3 http://fr.wikipedia.org/wiki/Rudolf_von_Sebottendorf
4 Wikipedia
5 Aus Adolf Hitlers Jugendland und Jugendzeit - Le pays et l’époque de la jeunesse d'Adolf Hitler - F.H. Chelius, 1933
6 http://autourdalos.fr/html/mytho1.htm

Sources

Auteur : Jean-Paul Coudeyrette



4 commentaires:

  1. Il est assez étrange, en notre époque imprégnée de "signes" et d'occultisme, qu'aucun symbole aussi "riche", universel, et intemporel qu'est la Svastika ne soit vraiment répandu.

    Il est vrai que le 3° Reich a conduit à l'enterrement de la svastika, trop connotée "Nazisme", après son échec (apparent).

    En réalité, à notre époque, d'autres symboles sont présents et présentés aux masses, mais leur apparition est plus discrète.

    En cherchant bien, on trouvera souvent les symboles de la Pyramide et de l’œil unique (par ex, sur les "mascottes" des JO de Londres). L'étoile de David, "usurpée" par l'entité sioniste, est aussi assez présente dans nos médias, quoique rattachée à Israël et à l'idéologie sioniste et donc pas de portée universelle.

    L'ami Pierrot

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  2. Coïncidence !
    Cette semaine, j'ai fait des recherches sur la croix basque, son symbolisme, son territoire... Merci Paul pour cet article.

    Là une méthode pour réaliser la Lauburu :
    http://julsdudu64.free.fr/lepaysbasque/lauburu.php#

    Edouard

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  3. D'autres symboles comme la pyramide qui est en fait une représentation de svatiska. on a bien les 4 côtés et la pointe au centre ce donne le nombre 5. Les croix de Saint André y font référence, croix rouge verte et consort
    C'est marrand, je suis justement en train de lire dans un livre de numérologie védique que le 5 correspond à la planète mercure et au Dieu Shiva (un de plus), et est relié aux 5 éléments, 5 sens, 5 nectars, et que 5 représente le centre au regard de sa situation au milieu des 9 nombres. additionné de lui-même ou doublé il donne le 10 qui permet le retour à zéro après le 9. intéressant aux niveau des effets recherchés. livre du " Pandit vishwanath Shastri : la numérologie sacrée de l'Inde". Ce pandit est du Nord de l'Inde, le côté Aryen. Marie

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  4. J'ai toujours pensé que la svatiska était une forme de mandala. Merci pour ces infos Paul.

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