24 mai 2013

Effondrement de...la santé mentale !


La population américaine représente cinq pour cent de la population mondiale, pourtant, les deux tiers des médicaments psychiatriques utilisés dans le monde entier leur sont prescrits. Si ce n’est pas un signe de menace d’effondrement de la santé mentale, nous ne savons pas ce que c’est !
En tant que médecin, je peux vous dire que le stress a atteint des niveaux pandémiques, même si beaucoup se retiennent de se l'avouer ou à leurs pairs. Notre préjugé de normalité nous empêche de prendre en compte que des dizaines de millions de personnes dans les pays occidentaux tombent comme des mouches de maladie, de dépression et d'autodestruction. Je suis tombée sur cet article de David Kupelain, à propos de la santé des Américains et je suis d'accord avec certaines des observations faites au sujet de l'état désastreux des choses :

Les suicides ont dépassé les accidents de voiture comme cause principale de décès par traumatisme pour les Américains. Encore plus inquiétant, dans « la plus grande armée du monde », plus de soldats américains sont morts l'an dernier par suicide qu'au combat ;

un tiers des salariés américains souffrent de stress chronique et débilitant, et plus de la moitié de la génération Y (dix-huit à trente-trois ans) expérimente un niveau de stress qui les empêche de dormir la nuit, y compris un grand nombre diagnostiqué avec des dépressions ou des troubles d'anxiété ;

une nouvelle recherche percutante des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) [Centres fédéraux de contrôle et de prévention des maladies - N.D.T.] montre qu'un lycéen sur cinq a été diagnostiqué aux États-Unis avec le TDAH [Trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité - N.D.T.], et de même une nouvelle étude étendue des résidents de New York, montre, malheureusement, qu'un préadolescent sur cinq - des enfants âgés de six à douze ans - ont été médicalement diagnostiqués avec soit le TDAH, l'anxiété, la dépression ou le trouble bipolaire ;

une nouvelle recherche conclut que le stress rend les gens vulnérables à une maladie grave, et un nombre croissant d'études confirment maintenant que le stress chronique joue un rôle important dans la progression du cancer, le deuxième plus grand tueur du pays. Le plus meurtrier de tous - la maladie cardiaque, qui provoque un décès sur quatre aux États-Unis - est également connu pour être causé par un énorme facteur de stress ;

de façon incroyable, onze pour cent de tous les Américains âgés de douze ans et plus prennent actuellement des antidépresseurs ISRS [Inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine - N.D.T.] - ces médicaments psychotropes très controversés avec l'étiquette d'avertissement « tendances suicidaires » de la FDA [Food and Drug Administration - Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux - N.D.T.] et de corrélation inquiétante avec les tireurs de l'école [référence est faite à la tuerie de l'école primaire de Newtown - N.D.T.]. Les femmes sont particulièrement sujettes à la dépression, avec un stupéfiant vingt-trois pour cent de toutes les femmes américaines de quarante à soixante ans - presque une sur quatre - qui prennent des antidépresseurs, selon une importante étude menée par la CDC ;

ajoutez à cela des dizaines de millions d'utilisateurs de tous les autres types de médicaments psychotropes, y compris (il suffit d'en choisir un) les 6,4 millions d'enfants américains entre quatre et dix-sept ans, diagnostiqués avec le TDAH, et à qui l'on prescrit du Ritalin ou des psychostimulants similaires. Ajoutez à cela les vingt-huit pour cent des adultes américains ayant un problème d'alcool, c'est plus de soixante millions, plus les vingt-deux millions qui consomment des drogues illicites comme la marijuana, la cocaïne, l'héroïne, les hallucinogènes et les inhalants, et bientôt une image émerge d'une nation de drogués, avec des centaines de millions de dépendants d'une substance toxique ou autre - légale ou illégale - pour « aider » à faire face au stress et aux problèmes de la vie.
De même, la CDC a indiqué que l'utilisation des antidépresseurs aux États-Unis a augmenté de près de quatre-cents pour cent au cours des deux dernières décennies, ce qui fait des antidépresseurs la catégorie de médicaments la plus fréquemment utilisée par les Américains âgés de dix-huit à quarante-quatre ans. La population américaine représente cinq pour cent de la population mondiale, pourtant, les deux tiers des médicaments psychiatriques utilisés dans le monde entier leur sont prescrits. Si ce n'est pas un signe de menace d'effondrement de la santé mentale, je ne sais pas ce que c'est !

Avec tant de personnes prenant des médicaments, je pense que nous pouvons pratiquement dire que les États-Unis sont une « nation de zombies ». Les gens sont tellement déconnectés d'eux-mêmes et de la réalité, qu'ils pensent devoir utiliser des antidépresseurs afin de « revenir à la normale », ne réalisant pas que la raison pour laquelle la réalité est merdique, c'est parce qu'elle envoie un signal fort à s'asseoir et à prendre des notes. Au lieu de cela, la prise de médicaments abrutissants les rend encore plus ignorants de ce qui se passe autour d'eux - les attaques sous fausse bannière, les boules de feu qui pleuvent du ciel et les changements terrestres.

La pandémie est loin d'être confinée aux États-Unis. Une importante étude mentionnée par Kupelain conclut que près de quarante pour cent des Européens sont en proie à une maladie mentale.

Considérez ceci :
un rapport transfrontalier sur le suicide montre que le taux chez les jeunes irlandais, est l'un des plus élevés d'Europe ;

le ralentissement économique qui a secoué l'Europe au cours des trois dernières années a également balayé les fondements de vie autrefois robustes, conduisant à un pic alarmant des taux de suicide. Particulièrement touchés, les pays les plus fragiles comme la Grèce, l'Irlande, l'Espagne et l'Italie, où les propriétaires de petites entreprises et les entrepreneurs sont de plus en plus nombreux à s'enlever volontairement la vie dans un phénomène que certains journaux européens ont commencé à appeler « le suicide causé par la crise économique » ;

le taux de suicide de la Bulgarie est parmi les plus élevés en Europe. Les psychologues nomment la pauvreté et le stress comme les principales raisons derrière la vague de suicides qui a choqué le pays des Balkans récemment ;

selon les chiffres officiels, la Russie voit dix-neuf à vingt suicides par cent mille adolescents par an, soit trois fois la moyenne mondiale ;

la Suisse détient le record européen pour le taux de suicide par armes à feu ;

la France a l'un des taux de suicide les plus élevés en Europe occidentale, au deuxième rang derrière la Finlande et plus du double du Royaume-Uni ou de la Grèce. Les suicides dans les milieux professionnels ont suscité un tollé français sur le système d'élite de la France, où les diplômés d'un groupe exclusif d'écoles sont promus directement dans les hauts postes, niant toute possibilité d'avancement pour les diplômés des écoles moindres;

le Japon a constamment conservé le record mondial de suicides pendant des années. Le nombre d'étudiants qui se sont suicidés en 2011 a atteint un chiffre record de 10,9 pour cent par rapport à l'année précédente et le nombre total de suicides à travers le pays a dépassé les trente mille pendant quatorze années consécutives jusqu'en 2011 ; toutes les douze heures, un agriculteur se suicide en Inde.

Kupelain demande :

Que diable se passe-t-il ? Pourquoi la science médicale - et d'ailleurs l'ensemble de nos innovations scientifiques et technologiques incroyables dans tous les domaines de la vie - ne réduisent - elles pas notre stress et ne soulagent-elles pas notre fardeau ? Pourquoi la disponibilité quasi - magique des connaissances accumulées dans le monde, grâce à Internet, ne nous rend pas plus éclairés et plus heureux ? Pourquoi, au contraire, de plus en plus d'entre nous sommes stressés au point de nous retrouver sur une trajectoire de collision avec la maladie, la misère, la tragédie et la mort ? Plus important encore, que pouvons-nous faire pour inverser la tendance ?

En effet, pourquoi notre merveilleuse civilisation technologique avancée ne nous a-t-elle pas sauvés de nous-mêmes ? Peut-être qu'elle se révèle ne pas être si merveilleuse, après tout...

Il y a en fait un moyen éprouvé et efficace de composer avec le stress en faisant face à la folie mondiale croissante, quelque chose que je vais aborder par la suite.

Tout d'abord, nous allons jeter un coup d'œil de plus près à quelques-unes des causes de cette pandémie de stress.

Effondrement nerveux et hystérique


Martha Stout écrit dans The Myth of Sanity [« Le Mythe de la santé mentale », ouvrage non traduit en français - N.D.T.] :

Au fur et à mesure que le temps passe, nous sentons souvent que nous sommes de plus en plus engourdis, que nous avons perdu quelque chose - un élément de vitalité qui d'habitude est là. Sans beaucoup parler de cela avec quelqu'un d'autre, nous devenons nostalgiques de nous-mêmes. Nous essayons de nous souvenir de l'exubérance, et même de la joie, que nous avions l'habitude de ressentir dans les choses. Et nous ne pouvons pas. Mystérieusement, et avant que nous réalisions ce qui se passe, nos vies sont transfigurés de lieux d'imagination et d'espoir, en des listes de choses à faire, en des jours après jours à simplement s'en sortir. Souvent, nous sommes en mesure de seulement envisager une longue route d'obstacles épuisants, qui mène à un endroit où nous ne sommes plus du tout certain de vouloir encore aller. Au lieu d'avoir des rêves, nous nous contentons de nous protéger. Nous dépensons notre force de vie courte et précieuse dans la pratique de la limitation des dégâts. [...]

De façon évidente, la liste des événements des assauts de la conscience, événements témoins ou endurés, par même les enfants les plus protégés, est extrêmement longue : les accidents graves, les accidents de voiture, les maladies et les décès d'êtres chers, la peur ou la réalité du ridicule par les pairs, les procédures médicales pétrifiantes, les batailles de garde dévastatrices, les prédictions de l'anéantissement nucléaire ou de l'effondrement de l'environnement, les leçons macabres sur la façon de se tenir loin de « l'étranger », celui que les parents protecteurs craignent constamment.
Près de vingt-cinq pour cent des femmes américaines âgées de quarante à cinquante-neuf ans sont actuellement sous antidépresseurs
Cela vous semble familier, oui ? Dans la même veine, Kupelain a ceci à dire :

« La vie est difficile », a écrit M. Scott Peck psychiatre au début de son best-seller international, The Road Less Traveled [Le chemin le moins fréquenté - N.D.T.]. Le stress, les difficultés, les déceptions, les accidents, la maladie, le malheur, la cruauté, la trahison - ils sont inévitables dans cette vie.

Pourtant, au cours des époques où la société et les familles sont stables, unifiées et fondamentalement décentes et morales - comme, par exemple, en Amérique pendant les années 1950 - le niveau de stress de chaque personne est réduit au minimum, ou, à tout le moins, pas aggravé par une société perverse. Inversement, lorsque - comme c'est le cas aujourd'hui - nous avons un éclatement de la famille largement répandu, une culture dépravée qui se moque des valeurs morales traditionnelles, une économie chaotique et un système monétaire en désintégration, et un gouvernement assoiffé de pouvoir dominé par les démagogues et les sociopathes, les tensions normales de la vie sont considérablement multipliées. Il est douteux que l'Amérique ait été « convenable et morale dans les années 1950 », mais il est prudent de dire que, relativement parlant, les choses sont bien pires aujourd'hui. Lorsque vous êtes induits à vous comporter comme un psychopathe pour survivre dans un monde dirigé par des psychopathes, le résultat inévitable est une énorme accumulation de pression - l'anxiété, la peur, le désespoir et la dépression - chez les masses de gens normaux... jusqu'à ce qu'ils atteignent le point de rupture et craquent.

Kupelain encore :

Les pressions économiques implacables d'aujourd'hui : le chômage élevé (le taux réel est au moins le double de celui du taux « officiel » du gouvernement), les saisies et les faillites, un taux de croissance qui stagne, onze mille nouvelles personnes s'inscrivant pour des coupons alimentaires tous les jours, la hausse des taxes pour l'ensemble de la classe moyenne dont la valeur nette se réduit en même temps, les prix toujours plus élevés pour la nourriture, le gaz et autres dépenses essentielles - et, éclipsant le tout, un fardeau galactique de la dette nationale, avec l'aimable autorisation d'un gouvernement en totale perte de contrôle sans aucune contrainte de la Constitution ou du sens commun.

Cela aussi, est très stressant. Et pour couronner le tout, avec une administration qui abuse continuellement le public dans un souci d'élargir et de consolider son pouvoir politique - par exemple, en faisant délibérément des coupes budgétaires qui touchent au maximum les Américains y compris les soldats en service actif, autant que possible. Obama n'est qu'un parmi une longue chaîne de dirigeants totalement incompétents qui tentent de « corriger les problèmes », mais qui en fait les aggravent. La nature de notre économie mondiale « juste à temps » est telle, que nous ne pourrions résister qu'à peine une semaine à la perturbation d'une catastrophe naturelle avant de subir un effondrement systémique généralisée.

Avec plusieurs prévisions annonçant une augmentation des prix alimentaires allant d'un et demi à trois et demi pour cent en 2013, les consommateurs devront repenser la façon dont ils vont dépenser leur revenu discrétionnaire durement gagné. Je ne sais pas pour vous, mais quand je vais au magasin, je remarque que les prix alimentaires ont augmenté de bien plus que cela - d'environ trente pour cent pour la dernière année seulement. La « nouvelle normalité » dans le secteur de l'agriculture est la fluctuation des prix des denrées alimentaires, fortement influencée par les mauvaises récoltes dues aux conditions météorologiques extrêmes et aux spéculateurs financiers « faisant des profits macabres » en pariant sur les prix à la hausse et à la baisse.

Ensuite, il y a le stress qui est délibérément propagé à travers les sociétés via le terrorisme parrainé par le gouvernement. Comme Joe Quinn et Niall Bradley l'ont écrit la semaine dernière au sujet de l'attentat du Marathon de Boston :

Beaucoup d'Européens âgés doivent être familiarisés avec la « stratégie de la tension » en Europe durant la période de la « guerre froide ». La stratégie de la tension, employée par des agents des gouvernements étasunien et européen, était une tactique qui visait à diviser, manipuler et contrôler l'opinion publique en utilisant la peur, la propagande, la désinformation, la guerre psychologique, des agents provocateurs et des attentats terroristes sous fausse bannière.

La théorie a commencé avec des allégations selon lesquelles le gouvernement des États-Unis et la junte militaire grecque pour la période 1967 - 1974 a soutenu des groupes terroristes d'extrême droite en Italie et en Turquie où le communisme gagnait en popularité, pour semer la panique parmi la population qui en retour demanderait un gouvernement plus fort et plus autoritaire. Il n'y a aucune raison de supposer ou de croire que, aujourd'hui, les gouvernements sont moins intéressés à contrôler les gens par la peur et la terreur. Joseph Staline est censé avoir dit : « La meilleure façon de prendre le contrôle de la population est de mener des actes de terreur. [Le public] réclamera de telles lois si sa sécurité personnelle est menacée. » Kupelain a commenté dans son article que « le changement radical ne peut être réalisé alors que les Américains sont calmes, heureux, contents et reconnaissants pour leurs bénédictions. Les citoyens doivent être malheureux et stressés. » C'est un point important. Contenter les gens pendant les périodes relativement stables ne permettrait ni n'exigerait un gouvernement dictatorial. Ainsi, les citoyens doivent être craintifs, malheureux et stressés, au point qu'ils commencent à réclamer eux-mêmes la « protection » et le contrôle du gouvernement.

Le problème de l'administration dominatrice qui nous stresse est aggravé par des pratiques psychiatriques qui ne font qu'empirer les choses. La glande pinéale, longtemps considérée comme le « troisième œil » ou le « siège de l'âme », est extrêmement sensible aux fluorures toxiques présents dans l'approvisionnement en eau publique et le Prozac, lesquels semblent alors la tourner en pierre suite à la calcification. Dans quelle mesure peut-on se fier à cela ? En tant que chercheur en santé Sayer Ji explique :

Le Prozac peut représenter un exemple archétypal de la façon dont le fluorure influe sur la personnalité/l'âme. Ce médicament (dont le nom chimique est la fluoxétine) contient environ trente pour cent en poids de fluorure et il est commercialisé comme « antidépresseur », même si un effet secondaire majeur de son utilisation et/ou de son arrêt est la dépression suicidaire. La psychiatrie moderne traite souvent les troubles dépressifs - la « nuit obscure de l'âme » - comme un désordre organique du cerveau, en ciblant la recapture de la sérotonine par tout moyen chimique nécessaire. Le fluor et la fluoxétine, en fait, peuvent accomplir leurs « effets thérapeutiques » attendus en empoisonnant la glande pinéale. Les études animales confirment que lorsque les souris ont leurs glandes pinéales enlevées, elles ne répondent plus à la fluoxétine.

Peut-être que la principale raison pour laquelle le Prozac provoque une réaction favorable à ceux qui sont traités (empoisonnés) avec cela, c'est qu'elle dissocie ces personnes des conflits psycho - spirituelles qu'elles doivent normalement supprimer afin de maintenir l'aspect de leurs santés mentales et leur fonctionnalité dans la société, c'est-à-dire, c'est le contrôle et non la santé qui est l'objectif de ce « traitement ».

Pour paraphraser Krishnamurti, Big gouvernement et Big Pharma ont uni leurs efforts pour s'assurer que vous puissiez vous réajuster et vous réintégrer dans une société profondément malade - et ça, ce n'est sûrement pas une mesure de santé.
[...]

Source

Paul : Les rayonnement puissants qui bombardent la Terre crescendo sont systématiquement occultés. Ce sont des accélérateurs de déséquilibres psychiques.
Imaginez une rupture de la fourniture de  médicaments, je pense qu'une partie de la population péterait les plombs, des zombies !

5 commentaires:

  1. Paul, les études des scientifiques ne peuvent pas prendre en compte des faits qu'ils ignorent ou refusent officiellement.
    Les rayonnements et leurs conséquences ne sont pas enseignés dans les universités.

    Toute tentative de se référer à ce qui est considéré comme "ésotérique"conduit à la perte du poste et/ou à la suppression des crédits.
    En tout cas au discrédit.

    Des rapports comme celui-ci permettent de mesurer le taux de souffrance de l'humanité.
    Et de nous éclairer.

    Des solutions surgiront de nos liens fraternels.

    Edouard


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  2. Il y a vraiment de quoi être stressé à l'heure actuelle avec la vie trépidante que nous menons : on nous impose des heures de lever avec les changements d'heures, et pas mal d'entre nous se couchent trop tard à cause de la télévision. Peut-être que nous ne savons plus manager nos heures de sommeil.
    Et puis peut-être aussi que les humains ne veulent plus s'embêter avec leur mal-être, parfois : tout doit être "plus facile" de nos jours.
    Certainement qu'autrefois il y avait des gens déprimés, malades psychiquement. Comment vivaient-ils cela ? Comment leur entourage vivait-il cela ?

    A présent, il y a "big pharma" qui nous propose la pilule de "soma" comme dans "le meilleur des mondes"... celle qui efface tous les soucis et les préoccupations.
    J'ignore, Paul, si dans le cas d'une rupture de médicaments la population deviendrait zombie... Peut-être qu'au contraire les gens se réveilleraient et s'apercevraient de ce que font nos dirigeants ?

    La vie n'est pas toujours rose pour chacun d'entre nous. Mais nous pouvons en atténuer les effets néfastes, les douleurs, en nous parlant les uns les autres, en nous aidant du mieux que nous le pouvons.
    L'empathie est un très bon remède qu'il semble que nous ayons un peu oublié à l'heure actuelle.
    Retrouvons ce "médicament naturel" et lâchons le chimique. Nous ne pouvons nous en porter que mieux.

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    1. L'empathie c'est ressentir les souffrances des autres, pas très enviable !
      Je préfèrerai la compassion, ou l'on est plus dans la perception de la souffrance des autres, moins handicapant.

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  3. Mes deux arrières grands'mères ont fait un genre de déprime et sont restées alitées pendant un an,et puis un beau jour,elles sont réapparues et le mal etre s'était dissipé!
    Essayez aujourd'hui de faire ce genre de "cure régénérante et gratuite" et on appellera vite le samu por vous hospitaliser!Là est la différence!La Loba

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  4. rapprochons nous de la nature, quittez les villes,s'il pleue ,prenons un bain de pluie,au diable les contraintes du System , refusons de payer impots, charges sociale qui ne font qu’enrichir les semeurs de morts

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