Manipulant leurs agents : Churchill, Hitler, Staline et Franklin Roosevelt, les Illuminati ont mené une guerre sans merci contre l’humanité, détruisant des nations et massacrant 60 millions de personnes.
Le contenu de cet article s’inspire de l’exposé de Robert Pye : « Anomalies in History – World War 2 (Les Anomalies de l’Histoire – la Deuxième Guerre mondiale) » ayant établi une liste de diverses anomalies présentant les preuves que les Illuminati ont contrôlé les deux côtés du conflit.
Par David Richards pour www.henrymakow.com
Par David Richards pour www.henrymakow.com
1) Wall Street a financé les Nazis
Sans les fonds fourni par Wall Street, il n’y aurait pas eu d’Hitler et pas de Deuxième Guerre mondiale.
Dans son ouvrage « Wall Street and the Rise of Hitler », le professeur Anthony Sutton explique que “General Motors, Ford, General Electric, DuPont” et d’autres “grandes multinationales américaines intimement liées au développement de l’Allemagne Nazie, étaient contrôlées par les banques de Wall Street”, telles que “les firmes J.P. Morgan, la Chase Bank des Rockefeller et dans une moindre mesure la Warburg Manhattan Bank.”
La Standard Oil continua de fournir amplement des hydrocarbures tout au long de la guerre. Le pétrole était envoyé en Espagne puis acheminé à travers la France, alors contrôlée par les Nazis, jusqu’en Allemagne.
General Motors et Ford ont construit 90% des blindés Nazis. IBM fabriqua les machines de recensement Hollerith qui aidèrent les officiers Nazis à gérer les dissidents au sein des camps de concentration.
2) Pourquoi Hitler s’arrêta-t-il à Dunkerque, laissant les Britannique s’échapper ?
L’armée Allemande tenait la force expéditionnaire Britannique à sa merci à Dunkerque en mai 1940, mais sur ordre d’Hitler, elle s’arrêta pendant trois jours, permettant ainsi à 338 000 soldats britanniques et français de s’échapper. Les généraux allemands, attendant l’accord pour lancer l’assaut final, furent laissés dans l’expectative.
Cette bévue militaire est inexplicable autrement.
Pourquoi Hitler est-il resté en arrière ? Les Illuminati voulaient que la Deuxième Guerre mondiale soit un conflit long et sanglant – mais que l’Allemagne devait perdre. La destruction de l’armée britannique aurait donné aux Nazis un avantage insurpassable sur le théâtre opérationnel, alors Hitler devait les laisser s’échapper.
3) Pourquoi Hitler n’a pas pris le commandement de la flotte française ?
Les Nazis n’ont jamais sérieusement songé à exploiter la France.
La France avait signé un armistice avec les Allemands le 22 juin 1940, stipulant que la flotte Française serait largement désarmée et arraisonnée, puis laissée sous contrôle français. Quelle stupidité ! Si Hitler avait commandé la flotte française, il aurait joui d’une supériorité écrasante au sein des eaux méditerranéennes !
Cette flotte aurait pu être utilisée pour fermer le Détroit de Gibraltar, le seul accès dont les alliés disposaient en Mer Méditerranée.
Hitler était un cheval de Troie dont le rôle était de détruire les prétentions nationales, culturelles et raciales de l’Allemagne, tout cela afin d’intégrer le pays dans un gouvernement mondial. C’est la raison pour laquelle, au lieu d’adopter une stratégie sensée pour vaincre les alliés, il se lança dans une invasion suicidaire de l’URSS.
4) Pourquoi Staline ne prit aucune mesure pour se prémunir de l’invasion allemande planifiée du 22 juin 1941 ?
Le but du conflit Soviético-Nazi était d’épuiser la machine de guerre allemande. Le refus de Staline d’anticiper l’invasion Nazie est la preuve que la guerre était une mise en scène.
Pendant les mois précédant la guerre, il y eut un énorme effort de construction de la part des forces Nazies près de la frontière soviétique. Les espions soviétiques avaient infiltré les rangs Nazis et pouvaient informer Staline de leurs moindres mouvements, mais « Oncle Joe » refusa d’attaquer le premier. Même lorsque les Nazis disposèrent de quatre millions et demi de soldats et de 650 000 véhicules amassés à la frontière soviétique, Staline refusa de mobiliser ses défenses !
Cela donna aux Nazis l’opportunité de mettre un pied en Russie et de lancer une attaque de grande ampleur, la transformant en un conflit long et sanglant.
5) Pourquoi Churchill a-t-il ordonné le retour de 50 000 cosaques après la guerre ?
A l’école, on nous dit que la Deuxième Guerre mondiale était une simple histoire entre les Bons (les Alliés) et les Méchants (les forces de l’Axe). Cependant les actes de génocides perpétrés par les Alliés font de cette version une absurdité manifeste.
Au cours de la guerre, un grand nombre de prisonniers de guerre soviétiques qui s’étaient opposés au régime stalinien offrirent de combattre dans les rangs Nazis. La plupart d’entre eux étaient des cosaques et d’autres groupes similaires persécutés sous le Communisme.
Après la guerre, les Alliés rapatrièrent de force ces hommes en Union Soviétique, sachant pertinemment que Staline les tueraient jusqu’au dernier – ce qu’il fit.
A l’école, on nous dit que la Deuxième Guerre mondiale était une simple histoire entre les Bons (les Alliés) et les Méchants (les forces de l’Axe). Cependant les actes de génocides perpétrés par les Alliés font de cette version une absurdité manifeste.
Au cours de la guerre, un grand nombre de prisonniers de guerre soviétiques qui s’étaient opposés au régime stalinien offrirent de combattre dans les rangs Nazis. La plupart d’entre eux étaient des cosaques et d’autres groupes similaires persécutés sous le Communisme.
Après la guerre, les Alliés rapatrièrent de force ces hommes en Union Soviétique, sachant pertinemment que Staline les tueraient jusqu’au dernier – ce qu’il fit.
6) Pourquoi Churchill et Truman abandonnèrent-ils l’Europe de l’Est aux Soviétiques ?
A la suite de décisions prises au cours de trois conférences : Téhéran, Yalta et Potsdam – l’Europe de l’Est fut cédée aux Soviétiques. La raison officielle est que Staline l’avait demandé. Cependant, étant donné la puissance militaire des États-Unis et la destruction de l’Armée Rouge dans le conflit avec les Nazis, des concessions de bien moindre importance auraient été possible.
La véritable raison est que le Communisme était un outil des Illuminati et qu’ils souhaitaient voir l’Union Soviétique s’étendre et intégrer ces pays dans le Nouvel Ordre Mondial. Ils voulaient aussi que la dialectique Occident (capitaliste) contre Orient (communiste) soit le paradigme politique de la deuxième moitié du 20ème siècle.
A la suite de décisions prises au cours de trois conférences : Téhéran, Yalta et Potsdam – l’Europe de l’Est fut cédée aux Soviétiques. La raison officielle est que Staline l’avait demandé. Cependant, étant donné la puissance militaire des États-Unis et la destruction de l’Armée Rouge dans le conflit avec les Nazis, des concessions de bien moindre importance auraient été possible.
La véritable raison est que le Communisme était un outil des Illuminati et qu’ils souhaitaient voir l’Union Soviétique s’étendre et intégrer ces pays dans le Nouvel Ordre Mondial. Ils voulaient aussi que la dialectique Occident (capitaliste) contre Orient (communiste) soit le paradigme politique de la deuxième moitié du 20ème siècle.
7) Les américains savaient à l’avance pour Pearl Harbor
Les Illuminati ont aiguillonné le Japon pour qu’il attaque l’Amérique.
Sachant que le Japon recevait 80% de ses besoins en hydrocarbure des États-Unis, en 1941 Roosevelt imposa un embargo pétrolier sur le pays. Cela fut suivi d’un embargo sur l’acier, forçant les japonais à un état de guerre envers les États-Unis.
Les preuves abondent montrant que les américains savaient que l’attaque allait avoir lieu mais ne firent rien pour l’arrêter.
Ils retirèrent leurs vaisseaux principaux de Pearl Harbor juste avant l’attaque, suggérant qu’ils souhaitaient une calamité mais ne voulaient pas pour autant perdre leurs meilleurs bateaux.
Encore plus accablant, lorsque les premières bombes furent larguées un dimanche au petit matin, un cameraman professionnel était présent pour enregistrer l’attaque. C’est la raison pour laquelle les américains disposèrent d’un enregistrement couleur de l’évènement. Ce film fut un outil de propagande inestimable au sein des cinémas américains. Un public auparavant hostile à la guerre devait bientôt acclamer les bombes atomiques vaporisant les cités japonaises.
La guerre contre le Japon remplissait quelques-uns des buts des Illuminati.
1. La destruction de l’élite nationale japonaise. Depuis la fin de la guerre, le Japon est systématiquement administré par un parti politique soutenu par les États-Unis.
2. Elle permit à leur marionnette Mao Tse Toung de prendre le pouvoir. Après la défaite des américains, les japonais durent abandonner leurs colonies en Chine, permettant aux nationalistes et aux communistes de s’affronter pour le contrôle du pays. En 1946 le général américain C. Marshall fut envoyé en Chine avec l’ordre d’unifier le pays. Pour s’assurer que Mao prenne le pouvoir, il fit exercer un embargo sur les livraisons d’armes aux nationalistes. (Tragedy and Hope, Carroll Quigley, p. 907)
8) Les bombardements furent des sacrifices à Satan
Pendant la Deuxième Guerre il y eut de nombreux raids de bombardements sur des villes densément peuplées.
Le plus célèbre est celui de Dresde, au cours duquel Churchill fit massacrer 100 000 civils allemands. (voir photo ci-dessous)
Les mêmes bombardiers auraient pu recevoir l’ordre de bombarder les usines d’IG Farben, ou les réseaux ferrés allemand, ou bien le ravitaillement allemand du front de l’Est, ou encore les cargos et les ports. Mais non. L’incinération de milliers de femmes et d’enfants eut la préférence.
Les américains commirent des sacrifices similaires au Japon. Nous connaissons tous ceux d’Hiroshima et Nagasaki, mais il est rarement mentionné que les forces américaines bombardèrent sauvagement 67 villes japonaises. On estime à 500 000 le nombre de civils qui périrent brulés par ces attaques.
Ces agressions inutiles témoignent de la « stratégie du choc » Illuminati à son maxima. L’intention était de démoraliser la population mondiale et lui faire accepter l’autorité des Nations Unies.
En considérant le fait que les Illuminati sont des Satanistes, ces raids recèlent aussi un sens plus profond. Le sacrifice des enfants par le feu est le rituel satanique le plus important. La vénération de Moloch est l’exemple le plus connu de cette pratique. L’immolation de ces enfants, avec leurs mères, fut une série délibérée et systématique de sacrifices occultes.
Conclusion
Les Illuminati s’appuient sur le mensonge pour perpétrer leurs crimes. Pour parvenir à leurs fins, ils mentent, trompent et piègent, mais ils comptent aussi sur notre naïveté et notre ignorance.
Même sous une analyse critique minimale, la version historique officielle de la Deuxième Guerre mondiale s’écroule comme un château de cartes.
Évaluez ceci :
Que les banquiers Illuminati possèdent la masse monétaire (devises & crédits) et par conséquent contrôlent tout et tout le monde, est déjà en soi maléfique.
Mais leur rôle historique dans la dissimulation de sacrifices humains rituels est de mauvais augure pour l’humanité. Arnold Leese (1878-1956) relate « L’Affaire de Damas » (1840) le plus célèbre d’une série d’évènements qu’il détaille dans Jewish Ritual Murder (1938) (Meurtres Rituels Juifs). Si nous examinions l’histoire d’un point de vue occulte, nous pourrions peut-être comprendre les guerres. Après tout, le terme « Holocauste » signifie « offrande par le feu ».
Note de l’éditeur : seule une minorité de Juifs est au courant de ses actes dépravés, moins encore y prennent part. Les Satanistes de toutes origines ethniques et religieuses s’adonnent à des abus rituels. Le problème est que ces Satanistes, les Illuminati, contrôlent la société occidentale à cause de leur contrôle du crédit et de la monnaie.)
Par Arnold Leese (extraits de Jewish Ritual Murder)
L’Affaire de Damas, à présent complètement oubliée par les démocraties, a bouleversé l’Europe pendant une période considérable à cause de l’agitation créé par le Pouvoir Monétaire Juif qui mit tout en œuvre pour calomnier les individus ayant traduit les coupables juifs en justice.
Achille Laurent, un membre de la Société Orientale, a rassemblé les notes du procès des coupables tels que rapportées dans les journaux arabes de l’époque, et il publia tous les faits du dossier dans un ouvrage : Relation historique des Affaires de Syrie, 1840-1842, qui parut en France en deux volumes à la couverture jaune, en 1846.
La fête de Pourim tombait le 15 février 1840. Père Thomas, un moine Catholique, disparu le 5 février. Son serviteur parti le chercher et disparut également.
(Arnold Leese, opposant courageux au Pouvoir Monétaire)
Le Consul de France, le comte Ratti-Menton, s’inquiétait, et demanda à Chérif Pacha de mener une enquête. Quelques temps après, sept juifs furent arrêtés. Ils avouèrent, certains après avoir été punis de coups de bâtons, avoir assassiné le Père Thomas pour récupérer son sang. Quatre d’entre eux se virent promettre l’amnistie s’ils confessaient toute la vérité ; il s’agissait de Moussa Abou el Afieh, qui se convertit plus tard à l’Islam, expliquant que cela était nécessaire avant qu’il puisse avouer les crimes des autres juifs ; Aslan Farkhi ; Souleman, un coiffeur ; et Mourad el Fathal. Ils avouèrent tout. Seize juifs étaient impliqués et ils furent tous arrêtés.
Plusieurs d’entre eux, y compris Mourad el Fathal, Mousa Abou el Afieh, Isaac Arari et Aaron Arari, décrivirent comment le sang était nécessaire et avait été collecté de la gorge tranché de la victime pour être envoyé à un Rabbin afin de préparer les pains cérémoniaux (pains azymes).
Le Grand Rabbin fut emmené devant la Court ; son nom était Yakoub el Entabi. On l’obligea à écouter attentivement le témoignage de Mousa Abou el Afieh, et de confirmer ou de nier chaque déclaration faite par Mousa. De cette manière, le Rabbin admit que le sang avait été recueilli pour confectionner le pain cérémonial. Il avoua aussi avoir reçu le sang du Père Thomas.
Suivant la coutume turque, la bastonnade fut librement appliquée pour faire parler les Juifs. Le Pouvoir Monétaire Juif s’employa à faire croire que les aveux avaient été recueillis sous la torture infligée à des innocents.
Malheureusement pour le Pouvoir Monétaire Juif, une des questions posées concernait l’endroit où les restes du Père Thomas avaient été déposés. Les restes furent retrouvés où les prisonniers avaient dit qu’ils se trouvaient, c’est à dire dans un conduit d’évacuation fermé. Ces restes furent identifiés par des médecins européens comme étant ceux de Père Thomas.
De plus, les misérables avouèrent avoir traité le serviteur du Père Thomas de la même manière, lui ayant tranché la gorge, vidé de son sang et s’étant débarrassé de ses restes dans des latrines cette fois.
Aucune bastonnade ou autre forme de torture ne pourrait conduire un innocent à donner des informations sur les restes d’une victime de meurtre.
Nous épargnons au lecteur les détails répugnants du crime d’après les aveux des meurtriers juifs dépravés ; de longs extraits du procès peuvent être trouvés dans le livre français suivant : Le Crime Rituel chez les Juifs, par A. Monniot, préfacé par le célèbre Edouard Drumont, 1914. Cet ouvrage démontre que les aveux des coupables concordaient dans le moindre détail, et que les questions auxquelles ils avaient répondu n’étaient pas des « questions tendancieuses ».
Quatorze Juifs furent reconnus coupables, et dix furent condamnés à mort, deux étant décédés.
Notre propos n’est pas de choquer, mais de révéler les méthodes de corruption et d’intrigues qui furent utilisées pour dissimuler la culpabilité des criminels, craignant la réaction naturelle des Gentils face à de tels méfaits s’ils venaient à être connus.
L’INTERVENTION DU POUVOIR JUIF
Dès que le premier rapport de l’affaire atteignit l’Europe Occidentale, le Pouvoir Monétaire Juif se leva comme un seul homme pour essayer de couvrir les preuves évidentes laissées par les criminels reconnus comme tels. L’argent peut, comme nous ne le savons que trop, accomplir des merveilles en démocratie autant que sur les conclusions et la politique des potentats orientaux (et hélas, bien souvent aussi occidentaux)…
Il est peut être plus aisé de traiter ces agissements séparément :
1. L’Agitation Journalistique. Elle se déroula selon les habitudes de la juiverie organisée : le meurtre rituel n’était rien « qu’une invention calomnieuse des Gentils » ; le Comte Ratti-Menton, le Consul de France qui avait insisté sur l’ouverture d’une enquête, fut attaqué de toutes part ; comme de coutume, les Juifs étaient les victimes d’une persécution injuste et ainsi de suite.
2. L’Agitation du Public. À Londres, par exemple, la démocratie crédule fut incitée à tenir un grand rassemblement à la Mansion House, afin de dénoncer les sanglantes accusations au sujet desquelles personne ne savait rien, et d’offrir le soutient de la nation Britannique aux Juifs ! Paris, New-York, Philadelphie et d’autres villes suivirent !
3. La Corruption du Khédive d’Égypte. Les Juifs richissimes Moses Montefiore en Angleterre, Crémieux et Munck en France, se rendirent aussitôt en Orient. Ils en appelèrent au Khédive d’Égypte, dont le règne comprenait Damas, pour qu’il révise la sentence. Ils lui offrirent une énorme somme d’argent, qu’il accepta avant de faire relâcher les Juifs.
Notez le résultat. Les Juifs proclamèrent partout que le Khédive avait modifié le verdict ! Il n’avait pourtant rien fait de la sorte. Il n’y eut pas de modification et aucun autre procès. Les termes du firman du Khédive qu’il émit pour relâcher les meurtriers Juifs, expliquent tout : « Sous les conseils et la demande de Messieurs MoÏse Montefiore et Adolphe Crémieux, qui sont venus à nous comme délégués de tous les Européens professant la religion de Moïse, nous avons établi qu’ils désirent la libération et la mise en sureté des Juifs qui ont été détenus ou se sont enfuis à cause de l’affaire du Père Thomas, un moine disparu de Damas ; lui et son serviteur, Ibrahim.
A cause de leur nombreuse population, il ne serait pas convenable de refuser leur demande, nous ordonnons donc que les prisonniers Juifs doivent être relâchés et que la sécurité des fugitifs soit assurée pour leur retour. Et vous prendrez toutes les mesures possibles pour qu’aucun d’entre eux ne soient maltraités et qu’ils soient laissé en paix partout où ils iront. Tel est notre souhait. Mehemet Ali. »
Il relâcha donc les Juifs au motif qu’ils formaient une population nombreuse… et sans doute pour la somme qu’il avait reçu. Il connaissait leur culpabilité, et ne l’avait pas niée. Pourtant la Jewish Encyclopaedia (1903, Vol. IV, p.420) s’aventure à déclarer que les trois riches Juifs parvinrent à obtenir une « confirmation de l’innocence » des hommes condamnés. La somme pour laquelle le Khédive les a relâché s’élevait à un demi million de piastres. Un rabbin converti, le Chevalier P. L. B. Drach, écrivit dans son ouvrage L’harmonie entre l’Église et la Synagogue (1844, Paris, p.79) : « L’argent a joué un grand rôle dans cette affaire. »
4. La corruption du Sultan. Ayant remporté le premier round avec le Khédive, le juif Montefiore s’en fut trouver le Sultan de Turquie, et parvint à obtenir de lui la promulgation d’un décret indiquant que l’accusation sanglante était infondée et qu’ainsi les Juifs devaient se trouver sur un pied d’égalité avec les autres non musulmans présents dans son royaume. Le prix pour cet acte officiel fut une donation énorme de la Maison Rothschild.
Le firman du Sultan Abdul Mejid déclare : « qu’un examen minutieux des écrits religieux des hébreux avait prouvé l’interdiction absolue de l’usage de sang humain ou animal au service des rites religieux. Il s’ensuit donc que les accusations contre eux et leur religion sont des calomnies. » De telles déclarations, comme démontré dans le chapitre III, ne sont que de simples sophismes, mais même en 1936 une miss C. M. Finn eut l’effronterie de présenter le firman comme une « preuve » que l’accusation sanglante était fausse ; son assertion figure dans la Jewish Chronicle du 2 octobre 1936. Les termes du firman sont cités dans la Jewish Encyclopaedia, Vol. I, p.47 (1906).
A son retour, Montefiore tenta d’obtenir une audience du Pape, Grégoire XVI, mais elle lui fut refusée.
Source
A cause de leur nombreuse population, il ne serait pas convenable de refuser leur demande, nous ordonnons donc que les prisonniers Juifs doivent être relâchés et que la sécurité des fugitifs soit assurée pour leur retour. Et vous prendrez toutes les mesures possibles pour qu’aucun d’entre eux ne soient maltraités et qu’ils soient laissé en paix partout où ils iront. Tel est notre souhait. Mehemet Ali. »
Il relâcha donc les Juifs au motif qu’ils formaient une population nombreuse… et sans doute pour la somme qu’il avait reçu. Il connaissait leur culpabilité, et ne l’avait pas niée. Pourtant la Jewish Encyclopaedia (1903, Vol. IV, p.420) s’aventure à déclarer que les trois riches Juifs parvinrent à obtenir une « confirmation de l’innocence » des hommes condamnés. La somme pour laquelle le Khédive les a relâché s’élevait à un demi million de piastres. Un rabbin converti, le Chevalier P. L. B. Drach, écrivit dans son ouvrage L’harmonie entre l’Église et la Synagogue (1844, Paris, p.79) : « L’argent a joué un grand rôle dans cette affaire. »
4. La corruption du Sultan. Ayant remporté le premier round avec le Khédive, le juif Montefiore s’en fut trouver le Sultan de Turquie, et parvint à obtenir de lui la promulgation d’un décret indiquant que l’accusation sanglante était infondée et qu’ainsi les Juifs devaient se trouver sur un pied d’égalité avec les autres non musulmans présents dans son royaume. Le prix pour cet acte officiel fut une donation énorme de la Maison Rothschild.
(Adolphe Crémieux)
Le firman du Sultan Abdul Mejid déclare : « qu’un examen minutieux des écrits religieux des hébreux avait prouvé l’interdiction absolue de l’usage de sang humain ou animal au service des rites religieux. Il s’ensuit donc que les accusations contre eux et leur religion sont des calomnies. » De telles déclarations, comme démontré dans le chapitre III, ne sont que de simples sophismes, mais même en 1936 une miss C. M. Finn eut l’effronterie de présenter le firman comme une « preuve » que l’accusation sanglante était fausse ; son assertion figure dans la Jewish Chronicle du 2 octobre 1936. Les termes du firman sont cités dans la Jewish Encyclopaedia, Vol. I, p.47 (1906).
A son retour, Montefiore tenta d’obtenir une audience du Pape, Grégoire XVI, mais elle lui fut refusée.
Source
Incroyable Paul, vous pouvez relayer un article et son contraire !
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Le contenu de cet article s’inspire de l’exposé de Robert Pye : « Anomalies in History – World War 2 (Les Anomalies de l’Histoire – la Deuxième Guerre mondiale) »
Je vais vous faire un résumé très court. En fait ces deux guerres ont eu lieu, pour anéantir les chrétiens et les vrais juifs pour installer un nouvel ordre mondial luciférien.