Intéressant. Dans cette vidéo il a été plusieurs fois question des différences physiologiques entre fille et garçon, du point de vue du sexe. Mais je n'ai "vu" à aucun moment cette question de différence au niveau de la taille et de la force physique d'un individu...
A la naissance, bébé fille ou garçon ont approximativement la même taille et la même "corpulence", ce qui fait que l'on ne peut pas différencier l'un de l'autre.
Mais regardons juste deux personnes au sortir de l'adolescence... Biologiquement et génétiquement, on ne peut pas nier qu'il y ait de grosses différences physiques. Alors pourquoi ces différences extérieures (physiques) ne seraient-elles pas également cérébrales ?
En tous les cas, mon pauvre petit cerveau a bien souvent du mal avec la technologie, et il a également bien souvent du mal à comprendre certains hommes, même mes propres frères (d'une même famille, donc. La faute à mes parents ?
Sourire... Pour moi, les hommes viennent souvent de 'Mars'... sauf quelques-uns, peut-être ? ^^
PS - lorsque je dis "A la naissance, bébé fille ou garçon ont approximativement la même taille et la même "corpulence", ce qui fait que l'on ne peut pas différencier l'un de l'autre" c'est lorsqu'on les regarde habillés, dans un berceau.
Je m'exprime mal, assez souvent d'ailleurs... à mon grand regret. ^^
Ah ! ces Norvégiens alors. Ils sont vraiment obtus. Ils voient une différence entre l’homme et la femme. C’est du parti pris ou quoi ?
Bien sûr, si vous cherchez la petite bête, vous allez me dire que le sexe masculin rentre et le sexe féminin reçoit ; que les sportifs sont plus forts physiquement que les sportives ; que l’homme est plus musculeux que la femme plus grasse ; que l’homme sème et que la femme pond... Mais ne s’agit-il pas là de tous petits détails ?
Le postulat de la Norvégienne qui cherchait ses mots pour justifier sa théorie est de nier totalement la biologie. Tout ne serait qu'éducation et influences donc... néfaste ! Son compatriote chercheur part du même principe, sans véritable fondement scientifique. Il avait une autre excellente raison de s'accrocher à ses thèses : la ligne de crédit attribuée pour ses élucubrations manipulatrices. Il va falloir qu'il se reconvertisse.
Mais oui Elba, tu as raison (à mon humble avis), sans être chercheur doté d'une rhétorique complexe, il suffit de voir les ados, les uns avec la voix qui mue, les autres avec de seins pour comprendre que le système hormonal ne produit pas les mêmes effets sur les humains. Le mâle et la femelle sont complémentaires tout naturellement, pourquoi tenter de les hiérarchiser ou de les rendre neutres ? Pervers, vous avez dit pervers ?
Dans une entretien, Jean-François Bouvet neurobiologiste, exprime clairement que le cerveau est sexué. Il y parle aussi de la plasticité du cerveau, c'est-à-dire que lors d'une activité régulière : apprentissage de la musique, jonglage, étude d'une langue étrangère... les zones concernées du cerveau sont activées tant qu'elles sont sollicitées. On en déduit donc que le milieu, les possibilités d'études... modifient le cerveau. En aucun cas cela ne modifie le sexe et ses orientations naturelles. Il s'agit de développements d'aptitudes. http://www.lepoint.fr/societe/le-cerveau-a-t-il-un-sexe-07-12-2012-1546902_23.php
C'est là (la plasticité) que les "genristes" interviennent, sans tenir compte d'une donnée essentielle, une femme est une femme c'est une évidence visible sans microscope, de même pour un homme.
Sous-jacent à cette théorie, se profilent des tentatives de "mélangisme" sexuels qui ostraciseraient le "pauvre hétéro limité" et généraliseraient le refus de procréation au prétexte d'égalité... Non-sens !
La nouvelle génération que je côtoie tous les jours ne semble pas douter des ses attributs naturels et évidents. Une bonne nouvelle !
Intéressant.
RépondreSupprimerDans cette vidéo il a été plusieurs fois question des différences physiologiques entre fille et garçon, du point de vue du sexe.
Mais je n'ai "vu" à aucun moment cette question de différence au niveau de la taille et de la force physique d'un individu...
A la naissance, bébé fille ou garçon ont approximativement la même taille et la même "corpulence", ce qui fait que l'on ne peut pas différencier l'un de l'autre.
Mais regardons juste deux personnes au sortir de l'adolescence... Biologiquement et génétiquement, on ne peut pas nier qu'il y ait de grosses différences physiques. Alors pourquoi ces différences extérieures (physiques) ne seraient-elles pas également cérébrales ?
En tous les cas, mon pauvre petit cerveau a bien souvent du mal avec la technologie, et il a également bien souvent du mal à comprendre certains hommes, même mes propres frères (d'une même famille, donc. La faute à mes parents ?
Sourire...
Pour moi, les hommes viennent souvent de 'Mars'... sauf quelques-uns, peut-être ? ^^
PS - lorsque je dis "A la naissance, bébé fille ou garçon ont approximativement la même taille et la même "corpulence", ce qui fait que l'on ne peut pas différencier l'un de l'autre" c'est lorsqu'on les regarde habillés, dans un berceau.
RépondreSupprimerJe m'exprime mal, assez souvent d'ailleurs... à mon grand regret. ^^
Ah ! ces Norvégiens alors. Ils sont vraiment obtus. Ils voient une différence entre l’homme et la femme. C’est du parti pris ou quoi ?
RépondreSupprimerBien sûr, si vous cherchez la petite bête, vous allez me dire que le sexe masculin rentre et le sexe féminin reçoit ; que les sportifs sont plus forts physiquement que les sportives ; que l’homme est plus musculeux que la femme plus grasse ; que l’homme sème et que la femme pond... Mais ne s’agit-il pas là de tous petits détails ?
Comment ça, nous sommes plus "grasses" ? Et les hommes bedonnants, alors ?
SupprimerClin d'oeil et Mdr !
Bonjour,
RépondreSupprimerLe postulat de la Norvégienne qui cherchait ses mots pour justifier sa théorie est de nier totalement la biologie. Tout ne serait qu'éducation et influences donc... néfaste ! Son compatriote chercheur part du même principe, sans véritable fondement scientifique. Il avait une autre excellente raison de s'accrocher à ses thèses : la ligne de crédit attribuée pour ses élucubrations manipulatrices. Il va falloir qu'il se reconvertisse.
Mais oui Elba, tu as raison (à mon humble avis), sans être chercheur doté d'une rhétorique complexe, il suffit de voir les ados, les uns avec la voix qui mue, les autres avec de seins pour comprendre que le système hormonal ne produit pas les mêmes effets sur les humains.
Le mâle et la femelle sont complémentaires tout naturellement, pourquoi tenter de les hiérarchiser ou de les rendre neutres ? Pervers, vous avez dit pervers ?
Dans une entretien, Jean-François Bouvet neurobiologiste, exprime clairement que le cerveau est sexué. Il y parle aussi de la plasticité du cerveau, c'est-à-dire que lors d'une activité régulière : apprentissage de la musique, jonglage, étude d'une langue étrangère... les zones concernées du cerveau sont activées tant qu'elles sont sollicitées. On en déduit donc que le milieu, les possibilités d'études... modifient le cerveau. En aucun cas cela ne modifie le sexe et ses orientations naturelles. Il s'agit de développements d'aptitudes.
http://www.lepoint.fr/societe/le-cerveau-a-t-il-un-sexe-07-12-2012-1546902_23.php
C'est là (la plasticité) que les "genristes" interviennent, sans tenir compte d'une donnée essentielle, une femme est une femme c'est une évidence visible sans microscope, de même pour un homme.
Sous-jacent à cette théorie, se profilent des tentatives de "mélangisme" sexuels qui ostraciseraient le "pauvre hétéro limité" et généraliseraient le refus de procréation au prétexte d'égalité... Non-sens !
La nouvelle génération que je côtoie tous les jours ne semble pas douter des ses attributs naturels et évidents. Une bonne nouvelle !
Belle journée à tous,
Edouard