A lire ici, ces quelques pages, pour ceux qui auraient oublié et qui veulent bien se poser quelques questions à propos du curieux rôle de certains emballements médiatiques.
http://www.cairn.info/
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Du reste, la pédophilie est définie comme une culture qui cherche à briser la « tyrannie bourgeoise qui fait de l’amoureux des enfants un monstre de légende » Libération 7-8 mai 1977. ...
[...]
C’est pourquoi le quotidien ouvre ses colonnes à ceux qui, attaqués par la presse bien pensante, tiennent à s’expliquer. Ainsi, les 26 et 27 janvier 1979, Jacques Dugué, mis en cause pour attentat à la pudeur sur mineurs sans violences, évoluant, selon Libération, dans l’univers des « couples échangistes, qui se passent des photos d’enfants » et loué pour « sa franchise quant à la sodomie », publie une lettre écrite depuis sa prison. Sur un mode plus direct, moins élaboré que les écrivains, il défend en réalité les mêmes thèses : les lois actuelles oppriment les enfants qui, dès 12 ou 13 ans, sont dotés d’une sexualité. Décrivant une famille « heureuse et unie » dans laquelle le beau-père « fait l’amour avec sa femme mais aussi avec les garçons et surtout celui de 11 ans et pas en catimini, dans le lit conjugal », il demande instamment qu’on laisse aux parents le soin d’assurer l’éducation sexuelle de leurs enfants. Et il oppose la gentillesse, l’ouverture d’esprit, la gaieté, la tolérance et le pacifisme des jeunes garçons qu’il a aimés et qui sont devenus adultes, à l’égoïsme, la jalousie, la méchanceté, la bêtise, l’hypocrisie et le racisme des couples hétérosexuels qui « souvent croient en Dieu ! » Le seul tabou reconnu par Jacques Dugué reste l’usage de la violence. « Qu’on ne laisse subsister des lois que pour des actes sexuels consommés avec violence qui sont d’ailleurs le plus souvent le fait d’hétérosexuels irascibles sur des petites ou des jeunes filles ». Mais pour les autres, invoquant la « loi naturelle » et les « 4 milliards de spermatozoïdes fabriqués par un homme au cours de sa vie », il interroge : « Pourquoi un homme n’aurait-il pas le droit d’aimer un enfant ? » Libération, 26 et 27 janvier 1979. ...
[...]
Cette position vaut à Libération quelques ennuis. En mars 1979, le journal titre triomphalement sur « les outrages de Libération » et annonce que, depuis 19 mois, il a subi 9 inculpations pour outrages aux bonnes mœurs et incitations à la débauche. Ces poursuites sont présentées par Serge July comme des manœuvres visant à obtenir du journal « qu’il s’autocensure et revienne à une conception plus classique de la presse », c’est-à-dire au respect du partage traditionnel entre politique et sexe. Ce que visent le garde des Sceaux et le Parquet, c’est le dessèchement et la sclérose d’une presse trop innovante, une presse qui, en l’occurrence, « respecte le mouvement, les mouvements contradictoires et multiples de la vie », affirme-t-il. C’est la liberté de la presse qui est ici mise en péril, et Jean-Luc Hennig a cette formule : « on n’a pas eu Libération par la politique on l’aura par le cul » Libération, 1er mars 1979. ...
Petites annonces demandant des mineurs de 12 à 18 ans, témoignages de lecteurs, dessins... En particulier cette œuvre du groupe Bazooka... ainsi qu’un article annonçant la naissance du Front de libération des pédophiles, paru en mai 1977, ont en effet été attaquées par le Parquet, au nom de la protection de l’enfance. Cette rafale judiciaire est interprétée par le quotidien comme la riposte des censeurs, de la société oppressive, de l’ordre moral à sa lutte révolutionnaire, le triomphe de France Soir ou de Minute, journaux bien pensants et réactionnaires.
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Vu ici
oui justement, comme la plupart des parents ont une morale, le gouvernement actuel qui couvre toutes les dégnerescences possibles a supprimé les termes "père et mère" ce qui est plus que suspect. Pas de père, pas de mère pas d'enfance. La voila la raion de ces tordus. Vu que des riches pédophiles il y en a pas mal. Voir l'affaire vandoorf
RépondreSupprimerEvidemment, avec ça :
RépondreSupprimer"Du reste, la pédophilie est définie comme une culture qui cherche à briser la « tyrannie bourgeoise qui fait de l’amoureux des enfants un monstre de légende » Libération 7-8 mai 1977. "
La "Tyrannie Bourgeoise"...c'est tout un programme. Au delà de la fumeuse "lutte des classes" (à l'époque, Libé était de "Gôche", maintenant Libé est encore de Gôche, mais son propriétaire est Edouard de Rothschild, citoyen Israélien), c'est en vérité la "moralité" ou l'éthique qui sont attaquées sournoisement.
La "libération sexuelle", promulguée par une certaine élite de gauche, est pratiquée depuis des siècles par les Elites au pouvoir, notamment (dites) de droite ou conservatrices...la corruption et la dépravation régnait - règne toujours - en particulier dans les "familles royales", de Louis XIV ou Louis XV par ex, à la famille Royale de GB de nos jours (strip poker de Harry, nénés de Kate...).
Evidemment, ça continue, certains "ministres" de la république sont portés sur les enfants...disait Luc Ferry (philosophe et ministre sous Sarko-pathe 1°).
Le simple "gros bon sens" dit, quand on a de l'humanité, que l'on ne doit pas occasionner des souffrances et du tort aux plus faibles, en particulier les enfants et les femmes, incapables de lutter physiquement - et souvent moralement - contre des prédateurs sexuels sans empathie ni compassion.
Jésus (il faut bien citer ce grand philosophe...) avait dit avec son gros bon sens :
Mt 18:5- " Quiconque accueille un petit enfant tel que lui à cause de mon nom, c'est moi qu'il accueille.
Mt 18:6- Mais si quelqu'un doit scandaliser l'un de ces petits qui croient en moi, il serait préférable pour lui de se voir suspendre autour du cou une de ces meules que tournent les ânes et d'être englouti en pleine mer.
Mt 18:7- Malheur au monde à cause des scandales ! Il est fatal, certes, qu'il arrive des scandales, mais malheur à l'homme par qui le scandale arrive !
Continuons donc sur le "libération sexuelle" en lisant Libé :
"..il interroge : « Pourquoi un homme n’aurait-il pas le droit d’aimer un enfant ? » Libération, 26 et 27 janvier 1979. ... "
Hé bien, avec Libération (quel joli nom) la libération de la sexualité des prédateurs risque de se faire aux dépens des faibles...ce n'est pas le gros bon sens qui est promulgué, mais le "bâton merdeux", dont on sait qu'il faut le prendre du bon sens si on ne veut pas s'en mettre partout. Mais les pédophiles des milieux éclairés et du pouvoir tiennent en général le bon bout...la Justice est bienveillante pour eux. Stan Maillaud en sait quelque chose.
L'ami Pierrot
Pourquoi ne pas employer les mots brutaux et explicites :
RépondreSupprimerCeux qui utilisent les enfants pour satisfaire leurs bas instincts sont des ordures perverses.
Doublement orduriers et pervers lorsqu'ils se targuent d'un intellectualisme malsain avec soutien de torchons journalistiques.
Edouard
Bonjour Edouard.
SupprimerSur ce sujet au moins on est en total accord.
Ce sera parfait lorsque tu laisseras tomber la promotion de l'homosexualité. Ce que tu ne vois pas, c'est que les homosexuels ne sont que des outils dont on se débarrassera quand ils n'auront plus aucune utilité.
« Pourquoi un homme n’aurait-il pas le droit d’aimer un enfant ? » Libération, 26 et 27 janvier 1979. ... "
RépondreSupprimerCertaines personnes confondent le verbe "aimer" avec le verbe "copuler". Beurk !
(Si l'acte de pédophilie était un acte naturel, on verrait des enfants en demande de sexualité avec des adultes. Ce qui n'est bien entendu jamais le cas.)
Je suis tout à fait en phase avec les précédents commentaires d'Edouard et d'Antares, et pour moi aussi l'homosexualité n'est mise en exergue de nos jours que dans un but bien précis, qui n'est pas celui du bien de tous, mais bien d'une dérive sociale voulue par l'oligarchie.
homosexuel assumé, homosexualité que je n'ai jamais décidé, et surement pas pédophile, je préfère le préciser pour les gens qui aiment faire des mélanges, je ne peux que te conseiller de te faire ouvrir les chakras du bas... ça te permettra peut être d'ouvrir ceux du haut....
SupprimerVoilà une réponse bien agressive ! Elba n'a rien dit de choquant donc essaie d'ouvrir tes ornières et de dépasser ta sphère égotique.
SupprimerEn parlant de pédophilie, l'un de ses opposants est porté disparu depuis le 22 septembre :
RépondreSupprimerhttp://www.lelibrepenseur.org/2012/10/04/disparition-inquietante-de-stan-maillaud/
http://www.pedopolis.com/pages/qui-ose-en-parler-/stan-maillaud/disparition-stan-maillaud.html
Pour rappel, les révélations des enfants du juge Roche au sujet de certaines pratiques élitistes :
http://illuminati-project.kazeo.com/les-reseaux-pedophiles/les-enfants-du-juge-roche-temoignent,a2227519.html
Et tant qu'on est dans le sujet, l'affaire du Var en cours sur des sacrifices d'enfants, dénoncé entre autre par une gendarme anonyme en poste, qui a probablement mal finit elle aussi :
http://www.pedopolis.com/pages/dossiers-en-cours/amidlisa/
Pour ceux qui doute du lien non avoué homosexualité / pédophilie, petit rappel :
SupprimerL’ancien ministre de la Justice, Robert Badinter, qui, en 1982, a mis en oeuvre avec force et proclamant le droit à l'humanité libéré, la dépénalisation de l’homosexualité en France, est aussi celui qui s'élève contre la peine de sûreté pour les pédophiles, soutient des gens comme Polanski, Miterrand fils...
http://www.lepoint.fr/actualites/2008-01-07/badinter-s-eleve-contre-la-peine-de-surete-pour-les-pedophiles/1037/0/217514
La libération sexuelle a été un combat revendiqué par la gauche (encore aujourd'hui). Cela consiste à dire que tout le monde a droit à sa part de bonheur, et que cette chose si merveilleuse qu'est la rencontre de deux désirs sincères, doit pouvoir être vécu sans la censure du curé ou du juge.
Trente ans plus tard, force est de constater que cette « conquête » a été prise d'assaut, colonisée, confisquée par ceux qui abusent, mentent, et dominent.
Au nom de la liberté, le sexe est sorti de la sphère privée pour s’étaler à toute heure de la journée dans les médias, il est désacralisé, banalisé et, plus grave que tout, en permanence associé à la violence et à la mort. Au nom de la liberté du commerce on tend à légaliser la prostitution et son corollaire, le proxénétisme. Et au nom du droit à la satisfaction des désirs, on justifie n’importe quoi et on fait en sorte que la morale se relâche au maximum... pour qui ? pour quoi ?
Attention maintenant quelqu'un qui dénonçe les pédophiles est catalogué de "dangereux" (et je parle en connaissance de cause...)
RépondreSupprimer"Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille
RépondreSupprimerIl faudra avoir peur pour l'enfant de l'homme
Le poison et le désespoir le guetteront
On ne l'aura désiré que pour soi et non pour lui ou pour le monde
Il sera traqué pour le plaisir et parfois on vendra son corps
Mais même celui qui sera protégé par les siens
Sera menacé d'avoir l'esprit mort
Il vivra dans le jeu et le mirage
Qui le guidera puisqu'il n'y aura plus maître
Personne ne lui aura enseigné à espérer et à agir"
Extrait des prophéties de St Jean de Jérusalem