20 mars 2012

Grèce, on se lâche...

Affrontement entre les partisans du Panathinaïkos, lors d'un match de football de la ligue grecque contre l'Olympiakos à Athènes, le 18 Mars 2012. (AFP Photo / Aris Messinis)
Vu sur Incapable de se taire

2 commentaires:

  1. "Du pain ou des jeux." ???
    Les grecs au paroxysme du désespoir ont tout de même du temps et de l'argent pour payer des places dans les stades . Dans certains articles on nous les montre en train de faire la queue aux soupes populaires ou de fouiller les poubelles pour survivre. A priori ils ont fait leur choix et préfèrent les jeux au pain. Les suppos de la mondialisation ont le champ libre, qu'ils soient rassurés . Une baballe ,deux équipes d'illettrés , un troupeau de blaireaux et le tour est joué : la plèbe s'autodétruit .

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  2. Les stades de foot m'ont toujours fait penser aux arènes romaines...

    Réflexion pertinente, anonyme. Cependant, je pense que ceux qui ont vraiment faim (c'est pas tout le monde, en Grèce) ne sont pas spectateurs de ces stupides matchs.
    Mais je suis tout à fait d'accord avec vous : "une baballe etc..."

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