04 janvier 2012

Quand la comédie tournera t-elle à la tragédie ?

La France industrielle nous dit-on est toujours là. Un lecteur communique cette information : « En France, près de 900 usines supplémentaires ont disparu en 3 ans et, compte tenu des créations par ailleurs, ce sont au total 100.000 emplois industriels qui ont disparu ». Comment freiner cette tendance ? Les mesurettes gouvernementales traduisent une impuissance totale des autorités qui, enfermées dans le schéma bruxellois et mondialistes (des marchés), s’interdisent toute marge de manœuvre susceptible d’accoucher de mesures sérieuses. Ce gouvernement français va arriver aux élections avec des scandales retentissants. Les casseroles des politiques, mises en évidence par des médias savamment tenus, et une crise bancaire sans égale, opposeront une population écœurée face à des politiciens impuissants et sans crédit pour apporter la moindre solution.Et que dire s’ils décident de déclencher déjà une guerre contre l’Iran ?

Dans ce contexte où les déficits et les mesures d’austérité sont d’actualité, le parti de Marine Le Pen joue sur du velours, surtout avec l’annonce par Contribuables Associés que l’immigration coûte par an environ 40 milliards d’euros. Inutile de tourner autour du pot, tous ces prétendus responsables, formatés par les grandes écoles nationales de l’Administration, sont en train de prendre l’argent des classes moyennes pour soutenir un système social agonisant et sans le moindre avenir.

D’aucuns contestent la perspective d’un effondrement alors que, en réalité, nous avons largement dépassé ce stade : nous en sommes à guetter la rupture du lien unissant la classe politique (les pions des oligarchies) et les populations.

La France a bien évidemment un avenir, mais il n’est certainement pas dans les principes révolutionnaires de 1789, principes mensongers issus des loges maçonniques, qui abusent de la crédulité et du crétinisme. Le pain et les jeux ont fait illusion durant des décennies, mais les grands patrons du Système matérialiste athée n’auront un jour plus rien à offrir au peuple, sinon des petits virus qui décimeront, si l’on prend au sérieux ce qui se dit dans les cercles occultistes et dans certaines lettres confidentielles américaines, plusieurs milliards d’individus. Qui vivra verra, mais ce n’est pas pour autant qu’il faut baisser les bras.

1 commentaire:

  1. Je suis tout à fait d'accord avec cette expression entre parenthèses ("les pions des oligarchies")
    Mais qui de nos jours, accepterait le risque de se faire assassiner (ou de "se faire suicider" - cf P.Bérégovoy, par exemple-) en ne jouant pas le jeu des oligarches ? D'autant plus que, outre de rester en vie, nos politiciens bénéficient de jolies petites sommes d'argent qui leur permettent une vie matérielle assez agréable...
    Oui, je sais : Khaddafi a été assassiné... justement parce qu'il n'acceptait pas de rentrer dans ce petit jeu du mondialisme (et aussi parce qu'il avait pas mal d'argent et de richesses dans son pays et qu'il avait bien envie de les garder.)

    Moi qui ne suis pas cultivée, rien qu'à voir à côté de moi certaines personnes qui n'ont pour but que de s'approprier malhonnêtement des biens matériels, je ne suis pas étonnée du tout qu'au sommet de notre gouvernance, 99% des politiciens ne pensent qu'à ammaser le plus d'argent possible...

    Cependant, je ne désespère pas : l'histoire est un éternel recommencement et il en sera ainsi jusqu'à la fin du temps de cette terre... ou de la vie humaine.

    Et puis je me suis toujours dit que je ferais une clocharde très acceptable, si tel devait être mon devenir ^^
    Ne baissons pas les bras, effectivement !!!!

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