Megaupload préparait le lancement d’un service de musique et de vidéo considéré comme "révolutionnaire" : il promettait une rémunération de 90% aux artistes grâce à un système appelé Megakey
Voilà une rumeur qui ne va pas manquer d’alimenter les conversations autour de Megaupload. Le site aurait été fermé non pas à cause du piratage de contenus mais au contraire parce qu’il s’apprêtait à lancer une offre légale qui aurait pu bouleverser le schéma classique de l’industrie musicale, en mettant sur la touche les labels et les associations d’ayants-droit.
Le service en question qui se nomme Megabox a été évoqué en décembre dernier par Torrent Freak qui avait interrogé Kim Dotcom, le fondateur de Megaupload. À l’époque, ce dernier était en conflit avec la RIAA et la MPAA qui avaient publié une vidéo antipiratage dans laquelle il était présenté comme un voyou détroussant les ayants-droit.
Kim Dotcom avait décrit Megabox comme un concurrent d’iTunes qui aurait offert aux artistes un modèle économique inédit en leur permettant de vendre leurs œuvres avec un taux de rémunération de 90%. Il affirmait qu’ils auraient même pu offrir leur musique et être payés via un système appelé Megakey.
Diffuser de la musique gratuite et rémunérer les artistes
Il s’agit d’un logiciel qui agit comme un bloqueur de publicités indésirables en remplaçant 10 à 15% des réclames qu’un internaute est amené à voir par des publicités provenant de la régie Megaclick. « De cette manière, nous génèrerons suffisamment de revenus publicitaires pour fournir des services premium gratuits et des contenus sous licence afin que nos utilisateurs puissent les avoir gratuitement », expliquait le fondateur de Megaupload.
De cette façon, Dotcom pensait pouvoir diffuser de la musique gratuite légale via Megabox et des films gratuits via Megamovie, deux services qui devaient être lancés cette année. « Mega pourrait devenir l'un des plus gros clients de l'industrie du contenu et toute cette affaire de "voyou" absurde sera oubliée. Nous voulons que les créateurs de contenu soient payés », assurait-il.
Un beau discours dont il est difficile de vérifier aujourd’hui la véracité. Restent ces rumeurs, qui veulent que la chute de Megaupload soit liée à ce projet qui menaçait directement les intérêts de l’industrie du disque et du cinéma… (Eureka Presse)
Source
Voilà une rumeur qui ne va pas manquer d’alimenter les conversations autour de Megaupload. Le site aurait été fermé non pas à cause du piratage de contenus mais au contraire parce qu’il s’apprêtait à lancer une offre légale qui aurait pu bouleverser le schéma classique de l’industrie musicale, en mettant sur la touche les labels et les associations d’ayants-droit.
Le service en question qui se nomme Megabox a été évoqué en décembre dernier par Torrent Freak qui avait interrogé Kim Dotcom, le fondateur de Megaupload. À l’époque, ce dernier était en conflit avec la RIAA et la MPAA qui avaient publié une vidéo antipiratage dans laquelle il était présenté comme un voyou détroussant les ayants-droit.
Kim Dotcom avait décrit Megabox comme un concurrent d’iTunes qui aurait offert aux artistes un modèle économique inédit en leur permettant de vendre leurs œuvres avec un taux de rémunération de 90%. Il affirmait qu’ils auraient même pu offrir leur musique et être payés via un système appelé Megakey.
Diffuser de la musique gratuite et rémunérer les artistes
Il s’agit d’un logiciel qui agit comme un bloqueur de publicités indésirables en remplaçant 10 à 15% des réclames qu’un internaute est amené à voir par des publicités provenant de la régie Megaclick. « De cette manière, nous génèrerons suffisamment de revenus publicitaires pour fournir des services premium gratuits et des contenus sous licence afin que nos utilisateurs puissent les avoir gratuitement », expliquait le fondateur de Megaupload.
De cette façon, Dotcom pensait pouvoir diffuser de la musique gratuite légale via Megabox et des films gratuits via Megamovie, deux services qui devaient être lancés cette année. « Mega pourrait devenir l'un des plus gros clients de l'industrie du contenu et toute cette affaire de "voyou" absurde sera oubliée. Nous voulons que les créateurs de contenu soient payés », assurait-il.
Un beau discours dont il est difficile de vérifier aujourd’hui la véracité. Restent ces rumeurs, qui veulent que la chute de Megaupload soit liée à ce projet qui menaçait directement les intérêts de l’industrie du disque et du cinéma… (Eureka Presse)
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