08 novembre 2011

Que faire des riches ?

 Que faire des riches ?, nous demandons-nous en guise d'épilogue. A quoi nous répondons, contre toute attente, probablement : suivre leur exemple.
Voilà des gens qui ont une éminente conscience de leur classe, qui sont solidaires quand la mode est à l'individualisme, qui sont organisés et mobilisés, qui défendent énergiquement leurs intérêts. Faisons comme eux. Battons-nous !

Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon

3 commentaires:

  1. Il est notoire que les Oligarques, les Ultra-riches, forment des réseaux, des clubs, et se "serrent les coudes" afin de maintenir leur pouvoir sur les masses et d'accroître leur influence en élaborant des plans et des stratégies, notamment Financières.

    Un exemple en France, ce sont les réunions du Club "Le Siècle", qui sont pour les élites de tout bord politicien et du monde des affaires.

    C'est dans ce sens là, que les 99% doivent ré-apprendre eux aussi, à être solidaires et à se mobiliser - "se battre"- pour défendre leurs intérêts.
    En effet, ne rien faire, c'est laisser le champ libre aux réseaux d'influence des Oligarques. On n'est pas chez les bisounours. La société pré-NWO est une Jungle, et les Oligarques en sont les prédateurs.

    L'ami Pierrot

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  2. Il semblerait que la masse soit prise "d'inertie" malgré les coups qu'on lui donne (financier, social, guerre etc...).
    Mettons nous tous au chômage, ça laissera du temps pour penser et agir!!!!

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  3. Il n'y a pas que les ultra-riches qui forment des réseaux prédateurs, il y a aussi, au niveau moyen, des réseaux de délinquance en col blanc de ce qu'on appelait autrefois "les notables" et qui sont devenus des techniciens très pointus de détournements en tous genres et de dénis de justice persistants. Par le biais des réseaux, ils sont devenus solidaires de francs escrocs. Les dégâts qu'ils font en pourrissant les économies et les relations dans la société sont aussi importants que ceux faits par les spéculateurs et les créances toxiques mais les médias n'abordent jamais le sujet et la brigade financière et les douanes sont trop peu nombreux pour s'intéresser à autre chose qu'aux très grosses sommes. D'où l'apparente inertie de "la masse," piégée dans des situations inextricables où son avocat plaide contre elle, etc.

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