Hier seulement, d’aucuns se réjouissaient et commençaient à dénigrer les analyses très objectives de « certains » :
une tendance très baissière sur les marchés financiers avec quelques reprises techniques. La plupart des lecteurs de ce blog ont compris que le scénario qui se déroule n’a rien à voir avec ce qui se faisait jusqu’ici : la baisse des indices et les politiciens sauveurs nous sortent de cette situation. Non ! Cette fois, le scénario n’est autre que cette banqueroute souhaitée par les mondialistes pour construire quelque chose d’autre sur les cendres du capitalisme. Ce quelque chose qui n’est autre que le COMMUNISME, comme nous avons pu l’aborder dans les deux derniers numéros de LIESI. Hier donc, le président Sarkozy se présentait comme le sauveur, l’homme de la vérité, celui qui avec Angela Merkel avait sauvé l’euro et l’Europe. Dans la foulée, les gogos cassaient la tire-lire pour prendre encore un peu de papier « pas cher » sur les valeurs bancaires. Hier, Nicolas Sarkozy annonçait avec une joie dissimulée la dictature de Bruxelles sur les Etats-nations. Et puis, depuis quelques heures, rien ne va plus ! Comble de tout, le Premier ministre grec Papandréou propose une autre salade grecque non programmée au menu : un REFERENDUM.
La presse parisienne s’interroge à juste titre : Les Grecs « veulent-ils l’adoption du nouvel accord (de la zone euro sur la dette grecque) ou le rejettent-ils ? Si les Grecs n’en veulent pas, il ne sera pas adopté », a déclaré Georges Papandréou devant le groupe parlementaire de son parti, le Pasok, lundi soir en laissant entendre que le référendum était attendu pour le début 2012. D’ici là, il va demander un vote de confiance sur ce fameux accord au Parlement, où il dispose d’une majorité qui s’est effritée à 153 députés sur 300 sièges. Ce vote devrait intervenir vendredi. Ce que le Premier ministre grec a du mal a digérer, c’est la perte de souveraineté de son pays, la transmission du pouvoir exécutif à une poignée (non négligeable) de commissaires de Bruxelles, ces nouveaux commissaires du peuple de sinistre mémoire. Nous verrons alors donc bien si les Grecs sont satisfaits de voir ces sbires du cartel bancaire s’installer de façon permanente à Athènes pour vérifier l’application des mesures d’austérité.
Dans le cul, Lulu...
RépondreSupprimerSi j'ose dire. Je sais pas ce que ça vaut réellement comme décision, mais au moins ça clou le bec aux perroquets de l'élite.
Salutations,
RépondreSupprimerJe bois de la conspiration au petit dej' depuis maintenant des années, mais, après une bonne prise de recul, associée à une analyse pluridisciplinaire, je constate que l'on oublie de dire, voir même de penser, qu'un Nouvel Ordre Mondial peut aussi être une Nouvelle Ere Fraternelle et Unitaire. Alors oui, les manipulateurs/exploiteurs/profiteurs ont eu la main pendant bien longtemps, et leurs outils de domination sont légions, mais nous sommes aussi légions, et de toute façon pas uniquement le corps d'esclave que l'on nous fait croire comme unique identité.
Ceci, non pas pour critiquer ni même juger, mais peut-être semer une graine énergétique, spirituelle, dans un terreau cartésianiste, athée, duel, séparatiste, qui est un excellent germoir de conscience, soit dit en passant.
Pour revenir au N.O.M., que penser des lois universelles qui régissent la course des planètes, des étoiles, des galaxies, et même très certainement les petites affaires des terriens?
Que les banques tombent ne veut pas dire que le peuple, aussi endormi soit-il à ce jour, acceptera le joug d'une fédération coco mondiale. Même si le mouvement des indignés semble être ramifié dans les hauts lieux de la finance, il n'est pas exclu que certains humanistes, sous des airs de requins, aient utilisé les armes de ces derniers afin de financer des desseins éthiques.
De toute façon, au rythme où vont les choses, nous seront très bientôt fixés (sans pour autant oublier qu'un accouchement passe par la douloureuse épreuve du travail).
Recentrez et intériorisez-vous au coeur de la tourmente...
En toute amitié
Bravo Séb.
RépondreSupprimerLe Communisme, c'était une caricature de socialisme et une véritable dictature. Même avec l'inculture généralisée, il me semble que le souvenir dans les tripes de la réalité du communisme suffit à le rendre répugnant pour les "masses laborieuses" lesquelles ne sont plus guère de la "classe ouvrière" en Occident (les usines étant délocalisées...).
Les Indignés, certes infiltrés et manipulés, et le contraire eût été étonnant ! ont jusqu'ici fait preuve de sang froid et d'une maturité politique étonnante (apolitisme).
La véritable Politique, ce n'est pas le jeu dualiste politicien, mais bien "l'art de bien gouverner la cité", et comme nous sommes devenus un "village planétaire", au fond un véritable gouvernement éthique au service du peuple peut très bien être planétaire.
L'art de gouverner en considérant l'intérêt suprême et le bien commun par delà les clivages et divisions qui ont fait le jeu millénaire des Oligarques. Rien n'est impossible si les hommes sont de bonne volonté.
L'ami Pierrot
Je ne crois pas trop personnellement, qu'un gouvernement planétaire puisse être une bonne chose, à moins que nous parlions tous un jour la même langue, que nous ayons la même monnaie d'échange... et que tout le monde ait le désir de respecter le voisin.
RépondreSupprimerMais j'aspire à tout cela, cependant.
Je rejoins seb : "Recentrez et intériorisez-vous au coeur de la tourmente..." et l'ami Pierrot : "
Rien n'est impossible si les hommes sont de bonne volonté."
En attendant de voir ce qui se passe, j'essaie au maximum d'appliquer ce que vous avez dit tous les deux et qui est cité ci-dessus.
Amitié d'une terrienne tout comme vous.