Henri Monfort est-il un mutant ? Préfigure-t-il un saut évolutif de l’espèce humaine ?
Cet homme aurait cessé d’ingérer toute nourriture solide depuis le 23 novembre 2002. Depuis cette date, il ne s’alimenterait que d’eau et de « prana » (souffle vital). Intrigué et perplexe, Ouvertures est allé le voir. Et s’est fait son opinion : cet homme semble sincère. A vous de juger.
Cet homme aurait cessé d’ingérer toute nourriture solide depuis le 23 novembre 2002. Depuis cette date, il ne s’alimenterait que d’eau et de « prana » (souffle vital). Intrigué et perplexe, Ouvertures est allé le voir. Et s’est fait son opinion : cet homme semble sincère. A vous de juger.
Impossible ! C’est ce que tout un chacun se dit à l’énoncé d’une telle affirmation : un homme vit en France depuis près de huit ans en ne s’alimentant que de boissons et de nourriture pranique. Bien sûr, il est impossible de vérifier ses dires. Difficile de surveiller ses faits et gestes 24 h sur 24 et 7 jours sur 7 !
Henri Monfort, âgé de 57 ans, vit à Nantes depuis des années dans un studio de 12m2 en plein centre ville. Beaucoup le connaissent : il a un site internet, fait des conférences dans tout le pays, a écrit un livre (La Nourriture pranique), accompagne à leur demande des personnes intéressées par la possibilité de se nourrir seulement de « lumière » et effectue des « harmonisations énergétiques » pour ceux qui en ont besoin.
Titulaire d´une formation d´assistant de vie, il a passé dix-huit ans comme chargé de clientèle à la Caisse d’épargne avant de se reconvertir radicalement. Il se dit « chamane druidique », spécialité « non reconnue sur le plan socio-professionnel ». Deux fois marié, en instance de divorce pour la deuxième fois (« Ce n’est pas facile de vivre avec un chamane… »), père de quatre enfants (trois grands, un petit), il sait que sa démarche paraît incroyable. Il sait qu’il dérange. Mais il ne cherche ni à faire des adeptes, ni à prouver quoi que ce soit. C’est une affaire personnelle, « le plus haut niveau qu’un chamane puisse viser ».
Mais il pense aussi que cette aptitude à vivre sans nourriture solide est en train de croître dans l’humanité, comme si l’évolution avait trouvé là un moyen de faire avancer l’homme, prisonnier qu’il est d’un matérialisme sclérosant et mortel à terme pour son espèce…
Plusieurs fois contacté par des journalistes, il n’avait jamais été interviewé directement avant qu’Ouvertures n’aille le rencontrer sur son lieu de vie, après un premier article paru en mai 2010.
Nous vous laissons maintenant découvrir cette étonnante personnalité au travers de trois séquences vidéo sans commentaire.
Je le trouve tout à fait crédible, cet homme-là.
RépondreSupprimerWhy not ?
Ne nous dit-on pas que nous ne nous servons que d'une toute petite partie de notre cerveau ?
Merci!
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