04 septembre 2011

B.I.S


Hier, la planche à billets servait essentiellement au maintien des marchés financiers internationaux, vitrine (à tort) de l’économie occidentale.
Désormais, les canons des banques centrales occidentales sont employés sur le champ de bataille des devises monétaires, et les marchés boursiers sont désormais au-dessus du vide, totalement dépendants du sort que la Main anonyme va réserver aux valeurs bancaires. Suivre les points importants que Trader Noé a donnés sur les principales banques françaises. Ces points qui risquent d’être accrochés de très près avec l’attaque américaine contre la Société Générale ce week-end. Reste à voir comment les Traders de la Main anonyme vont agir dans les prochains jours…
Un David Rockefeller nous dit en septembre 1994, qu’une bonne crise majeure est nécessaire pour faire avancer le programme mondialiste du Nouvel Ordre monétaire. Une institution pourrait y jouer un rôle majeur… une institution dont on ne parle jamais et pourtant… la BIS.
 
En 1994, Alan Greenspan, Président de la Réserve Fédérale, déclarait que la BIS assumerait probablement « un rôle important dans le futur ». La BIS est la Banque des Règlements Internationaux (BIS) à Bâle en Suisse, à la Direction de laquelle les USA ont délégué quelques membres après de nombreuses décennies de négligence. En 1995, à la suite de la signature du Traité de Maastricht, les Américains se rapprochèrent des Canadiens et des Japonais, modifiant ainsi radicalement la composition de la BIS. L’importance de ce changement n’est pas des moindres parce que le Traité supprimait en majeure partie la raison d’être de la banque. Elle avait été précédemment utilisée pour l’établissement d’accords inter-bancaires en Europe. Elle était également le bureau central de l’ECU, précurseur de l’euro ! Voilà qui devient intéressant.

Avec l’avènement de la monnaie unique, sa fonction n’avait plus de signification. De plus, le 11 septembre 2000, la BIS se débarrassa de ses actionnaires privés par une offre obligatoire de rachat. Cela eut pour effet de clore les livres de la banque à l’examen public.
Un initié, que nous avions connu dans les années 80, nous avait mis au parfum sur les raisons pour lesquelles on ne souhaitait pas que le public regarde d’un peu trop près, à l’avenir, dans les livres de comptes de la BIS, aussi appelée la Banque des banques centrales. Il avait seulement précisé que les choses deviendraient plus claires lorsque l’or commencerait une montée exponentielle et que les monnaies s’effondreraient. N’y sommes-nous pas ?

En tout cas, on ne peut que s’interroger sur le choix de ce 11 septembre 2000… un an avant un autre 11 septembre… Coïncidence ?

Rappelons que depuis le 23 décembre 1913, la banque centrale américaine est dirigée par un cartel PRIVE et que l’échéance du bail se termine le 22 décembre 2012… Encore une coïncidence…

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