Peut-on voter des lois sous l’emprise de drogue ? Oui répondent les LFI !

Peut-on voter des lois sous l’emprise de drogue ?

Quel est l’étendue de l’usage de drogues diverses et variées par nos dirigeants au sens large. Dans les ministères, dans les palais de république ? Voilà une question qui doit maintenant se poser et être posée quand on voit la multiplication de ce genre d’affaire et quand on sait ce que je sais et que l’on entend ce que j’entends, je peux vous dire que nous avons tous raison de penser ce que nous pensons.

Non.

Non.

Et non.

La drogue ce n’est pas bien, ce n’est pas récréatif, et ce n’est pas NORMAL !

Je ne me lance pas dans un plaidoyer de moraline. Du haut de mon âge je sais bien que les choses peuvent être compliquées. Les souffrances humaines réelles. Il est souvent difficile de faire face à ses propres démons intérieurs. Je suis conscient de tout cela.

Je n’accablerais donc pas spécifiquement un homme, cela n’aurait aucun sens.

Mais nos représentants doivent donner l’exemple. Ils ne doivent pas banaliser l’usage de drogue. Cela doit rester pénalisé. Mieux, il faut lutter contre la drogue, contre toutes les drogues pied à pied, ou nous deviendrons le premier pays narcotrafiquant d’Europe avec tous les maux qui vont avec. Corruption, violence endémique, délinquance et bien évidemment dégâts humains effroyables.

Je ne pensais pas entendre Marlène Schiappa dire qu’elle était d’accord avec Bruno Retailleau… et encore moins me voir écrire que j’étais également d’accord avec la conclusion de Schiappa !

Député contrôlé en possession de drogue: “Il doit prendre ses responsabilités et démissionner”, estime Marlène Schiappa pic.twitter.com/DMZuoyYxLF

— BFMTV (@BFMTV) October 22, 2024

C’est là que l’on attend la gauche. Dans la libération de l’homme de ses emprises… pas seulement de l’emprise du grand méchant capital ou libérer les femmes de l’emprise de méchants maris… mais aussi libérer la jeunesse de l’emprise des drogues qui affaiblissent et détruisent les esprits et les âmes et obscurcissent les avenirs.

Charles SANNAT