Angleterre : 700 nationalistes encerclent l’hôtel où logeaient les gangs de violeurs

Visiblement, les Anglais qui n’en peuvent plus de l’immigration massive n’écoutent plus les autorités, qui continuent à leur envoyer policiers et menaces.

Depuis la terrible tuerie de Southport, les nationalistes en colère dévastent tout. Il sera difficile au nouveau Premier ministre de faire rentrer la mayonnaise dans le tube. Une partie du peuple a l’air vraiment excédée par l’invasion migratoire.

Les médias mainstream ont beau suivre la ligne immigrationniste du Système, la rue n’obéit plus. Même si cette poussée de colère se résorbe, elle ressemble à un début de révolte. Il y en aura d’autres, si le gouvernement laisse les portes de l’île grandes ouvertes.

Ce dimanche 4 août 2024, les émeutiers ont attaqué un hôtel abritant des demandeurs d’asile à Rotherham (Source : BFM TV). Le ministre de l’Intérieur est une femme, qui s’appelle Yvette. Autant dire que dans ce contexte extrêmement tendu, son autorité est nulle. Idem pour le nouveau Premier ministre Keir Starmer, qui a a beau crier « vous regretterez d’avoir participé à ces désordres », rien n’y fait, c’est même pire.

« Si vous ciblez des gens à cause de la couleur de leur peau ou de leur religion, c’est de l’extrême droite. »

C’est dans cet hôtel que des gangs de violeurs auraient habité pendant l’énorme scandale pédocriminel de Telford, ce qui explique qu’il a été ciblé puis encerclé par la foule. Cela s’appelle de la justice directe ou expéditive et c’est interdit par la loi. Heureusement, personne n’est (encore) mort. À part les pauvres enfants.

Selon la presse mainstream, tout est parti de rumeurs sur la religion supposée du meurtrier, un jeune homme de 17 ans d’origine rwandaise, dont le portrait a été diffusé partout sur les réseaux sociaux. Cependant, la mort des fillettes a été le déclencheur d’un incendie qui couvait depuis des années.

C’est avec des chaises, des bouteilles de bière et autres morceaux de bois que les fachos ont attaqué les migrants. Personne n’est encore armé, mais on a vu des rassemblements d’immigrés avec des machettes et des barres de fer, qui se sont déjà heurtés à des Anglais.

Le mot d’ordre des prolos britanniques est « enough is enough », assez c’est assez. Mais les slogans sont plus violents que ce que la presse, toujours timide et coincée entre l’injonction oligarchique et la réalité de la rue, relate : on en est à « migrants dehors », quand ce n’est pas plus dur.

Si aucun des migrants hébergés dans l’hôtel n’a été blessé, en revanche, ce sont les policiers qui ont le plus morflé, avec des dizaines de blessés depuis quatre jours. Plus de cent émeutiers ont déjà été arrêtés.

Malgré le « name and shame » (nommer et dénoncer les fachos) cher aux gauchistes sur les réseaux sociaux, les émeutiers défilent et narguent la police à visage découvert. Un bouchon a sauté.

Le scandale de Telford et Rotherham (2018)

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