C’est François Lenglet, qui commence sans doute parce que lui aussi finit par être scandalisé par ce que nous devons supporter d’aberrations économiques de la part de ceux qui nous dirigent, qui en parle très bien et avec humour ce qui est toujours très agréable.
Il parle donc du Centre national de la musique, qui coûte un pognon de dingue, ne sert strictement à rien, et nécessite pour se financer, la création d’une nouvelle taxe.
Alors, évidemment, il est de bon ton de se moquer de ce fou argentin, ce nouveau président complètement délirant, outrancier, fasciste, négationniste, qui veut se nourir chaque matin d’un fonctionnaire cru au petit déjeuner dévoré à la petite cuillère en argent, comme il était de bon ton de vomir sur Trump, pour adorer Biden. Biden, si vertueux, avec un fils si aimable, si gentil, si intègre, si honnête…
Pourtant quand le président argentin, dit « dehors », pour tout un tas de dépenses aussi inutiles que délirantes, sachez, que c’est lui.. le fou, qui a raison.
N’imaginez pas que nous échapperons à l’heure de vérité.
Elle viendra.
Quand ?
Je ne sais pas, tant le système fait preuve de résistances dans ces outrances économiques et déficitaires.
Mais elle viendra.
Ce jour-là, il faudra supprimer toutes ces dépenses d’un seul coup pour réduire les coûts.
Alors on dira « dehors » comme le président argentin, que cela vous plaise ou non, ou plus précisément plaise à la bien-pensance médiatique, démocrate et appartenant au camp du bien dont la réussite est si flagrante.
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