Comme nous l’apprend la très sérieuse et officielle AFP, l’OMS modifie ses recommandations de vaccination anti-Covid.
Je cite :
« L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que les adultes en bonne santé ne nécessitent pas de dose supplémentaire de vaccins anti-Covid, au-delà de la vaccination primaire et d’un premier booster, les bénéfices pour la santé étant minimes.
Pour ce groupe de personnes de moins de 18 ans dit à risque moyen -auquel s’ajoutent aussi enfants et adolescents avec des comorbidités de 6 mois à 17 ans- il n’y a aucun risque à recevoir des injections supplémentaires mais « les retours en termes de santé sont faibles », ont déclaré les experts en vaccins de l’OMS ».
Mais ce n’est pas tout.
« L’OMS a proposé trois nouvelles catégories de priorité pour la vaccination Covid en fonction du risque de développer une forme grave de la maladie ou de décès : élevé, moyen et faible.
En revanche, les personnes plus âgées, les autres adultes avec des comorbidités, toutes les personnes immunodéprimées, les femmes enceintes et les travailleurs de santé en première ligne sont invités à davantage de vaccination à raison d’une dose de rappel après le régime initial de vaccination et un premier rappel. Le SAGE recommande un intervalle de 6 à 12 mois entre les boosters en fonctions des morbidités.
– Nouveaux vaccins –
En revanche les preuves « manquent de cohérence » en ce qui concerne
l’impact des vaccins anti-Covid sur le Covid long, qui voit la maladie
initiale se développer en symptômes souvent très handicapants comme une
extrême fatigue ou une incapacité à se concentrer ».
Donc en gros, les vaccins ne sont pas très utiles sur les gens jeunes ce que l’on savait depuis longtemps.
En gros, quand on regarde le nombre de malades et de vaccinés, on ne peut pas dire que l’efficacité des vaccins, des boosters et autres rappels semble remarquable.
Les bénéfices vaccinaux sont de plus en plus faibles, ce qui veut dire que quand il n’y a plus de bénéfices, il ne reste plus que les risques et logiquement la balance bénéfice/risque se dégrade considérablement.
En France le dogme de la vaccination obligatoire des soignants perdure et ils sont toujours suspendus dans un déni démocratique, syndical et social ahurissant.
Ne les oublions pas.
Source AFP via Boursorama.com ici
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