L’utilisation de vaccins antitétanique pour inoculer des substances illicites aux citoyens d’Inde, d’Afrique ou d’Amérique Latine est rapporté dans un ouvrage intitulé « l’élimination des pauvres » (2021). Une hormone, la gonadotropine chorionique ou hCG est inoculée à l’insu des femmes pour bloquer leur système reproductif. Ce moyen illicite de limiter la croissance de la population concerne surtout les pauvres, avec la complicité de l’OMS et de la fondation Gates.
Le livre intitulé L’élimination des pauvres (Edition du Bien Commun, 2021) relate des expériences intéressantes sur la mise au point d’un vaccin anti-grossesse depuis les années 80, impliquant notamment l’OMS dans un projet de contrôle démographique des populations dans les pays pauvres. Cette idéologie, portée par l’administration américaine pendant des décennies mais aussi par l’occident et le système des Nations unies, a été conduite par un courant eugéniste et néomalthusien par ailleurs omniprésent dans les sociétés occidentales : politique libérale de l’avortement, légalisation de l’euthanasie ou encore suppression croissante des lits d’hôpitaux qui limite la prise en charge des malades.
Dès 1972, le rapport Meadows commandé par le Club de Rome préconisait la « croissance zéro » et de « geler » les inégalités de richesse, laissant les pays pauvres dans leur état. La décroissance du nombre d’habitants sur la planète était une priorité absolue pour maintenir les (dés)équilibres. Cette analyse basée sur des modélisations démographiques catastrophistes – depuis totalement remise en cause – a conduit à l’inoculation frauduleuse d’une hormone anti-grossesse dans certains vaccins destinés aux pays pauvres. Nous publions ci-dessous un extrait du livre :
Des vaccins antitétaniques contenant du hCG depuis des décennies ?
Dans la ligne du rapport Meadows, l’OMS met en place dès 1974 une équipe (Task Force) pour la recherche d’un vaccin anti-fertilité. Des recherches scientifiques ont été financées et développées pour la mise au point d’un vaccin directement orienté en vue d’inhiber la grossesse. Les recherches de l’OMS pour inhiber la fertilité ont entre autres portées sur les hormones hCG ou gonadotropine chorionique.
« Il s’agit d’une hormone naturelle, responsable du maintien du corps jaune, qui est généré par la femme dès que la fécondation a eu lieu. Or l’action biologique de l’hCG, indispensable à la croissance et au développement de l’ovule fécondé, est inhibée par une anatoxine tétanique ou diphtérique. Celle-ci suscite en effet la production d’anticorps, qui empêchent l’hCG de se lier à son récepteur, pour effectuer son action biologique, avec pour conséquence que la nidation est impossible ». Ainsi, un vaccin dirigé contre l’hCG fait régresser le corps jaune et provoque la rupture de la pré-implantation embryonnaire. Autrement dit, cette méthode est abortive au premier stade de vie de l’embryon.
« L’organisation Human Life International (HLI) a reçu une communication de sa filiale mexicaine, le Comité Pro vida de Mexico, concernant la campagne anti-tétanos dans ce pays. Le vaccin n’a pas été donné aux hommes ni aux garçons. En raison de cette curieuse anomalie, le Comité Pro Vida de Mexico a conservé des échantillons de vaccin. Les tests ont révélé que le vaccin anti-tétanos propagé par l’OMS pour les femmes en âge de procréer contenaient de l’hCG ».
Il est intéressant de constater que les premières recherches sur ce processus ont débuté au tout début des années 1970 et que les recherches sur l’hCG couplé à l’anatoxine tétanique ont été conduites dans les années 80 par le Comité international de la recherche contraceptive du Population Council (CIRC)… que l’on retrouve donc au cœur de cette affaire en lien avec l’OMS. Le CIRC a financé depuis les années 70 des recherches intensives sur ce vaccin anti-fertilité, notamment auprès de l’Institut National d’Immunologie de New Dehli ou encore auprès de l’équipe dédiée de l’OMS à Genève avec pour finalité le contrôle des naissances. Ces organisations ont planifié d’engager des essais cliniques dès 1986.
En réalité, la poursuite de ces recherches a posé de nombreux problèmes, particulièrement éthiques, et la communauté scientifique internationale a soulevé les difficultés en lien notamment avec les conséquences de telles vaccinations pour l’être humain. Vernon évoque, pour les femmes qui recevraient un tel vaccin, « les conséquences de production d’anticorps » qui bloquent le processus de reproduction pour une durée qui reste peu connue à grande échelle. Pour un essai de phase II (sur l’être humain), il préconise de résoudre deux questions : la première est liée au risque de malformation congénitale des femmes déjà porteuses d’un enfant (embryon) si une immunité insuffisante est avérée ou si elles perdent leur immunité avant l’injection du vaccin (anti-grossesse), auquel cas le vaccin représente un danger pour l’enfant dans le sein de sa mère. La seconde question pose le problème de la réversibilité du vaccin : est-ce que l’immunité revient plusieurs mois après la dernière injection du vaccin et permet à une femme de concevoir et de porter un enfant normalement ? L’auteur de rappeler que chaque femme qui testerait ce vaccin devrait être informée du risque d’irréversibilité des effets du vaccin.
Dirnhofer S, Wick G et Berger P, qui sont des scientifiques internationalement reconnus, qui plus est favorables au contrôle des naissances, dénoncent les problèmes de sécurité, d’efficacité et de convenance de l’utilisation du hCG pour un vaccin contraceptif. Cette publication est sortie en 1994, date à laquelle les faits de la vaccination sauvage pratiquée au Mexique par l’OMS ont été rapportés (cf. supra). Outre la remise en cause de l’efficacité du vaccin pour des raisons immunologiques, les auteurs concluent qu’il est préférable de travailler sur des solutions immunologiques bloquant la fertilisation plutôt que d’interrompre la grossesse, confirmant ainsi que le hCG est bien un vaccin abortif.
La responsabilité de l’OMS
L’OMS est donc potentiellement condamnable pour plusieurs faits :
- Pratique illégale d’essai vaccinal à grande échelle sans l’accord des autorités mexicaines, du moins officiellement (il n’y a pas, à notre connaissance, de publication scientifique sur cet essai, ce qui est impensable dans les années 90 et montre que la vaccination contre l’infertilité est non déclarée) ;
- Pratique illégale d’un essai vaccinal à grande échelle, soit dans un processus de phase III, tel que défini par la communauté scientifique internationale et l’OMS elle-même faisant office d’autorité en la matière. Il n’y a pas de garantie que les phases précédentes (I et II) aient été validées et aient donné lieu à une autorisation légale et officielle pour un essai en phase III ;
- Utilisation de cobayes humains et injection d’une substance non indiquée et non autorisée à l’insu des populations cibles ;
- Volonté avérée et acte prémédité de dissimulation auprès des populations auxquelles il est proposé l’injection sous le motif d’un vaccin antitétanique ;
- Mise en danger des mères[1] et surtout des enfants qu’elles pouvaient porter à leur insu (premiers mois de grossesse), notamment le risque de malformation congénitale ou de décès de l’enfant in utéro.
L’OMS n’a cependant jamais été inquiétée, ni ses partenaires en matière de vaccination hCG au Mexique. Cela permet d’évoquer deux autres points qui nous semblent importants :
- Le pouvoir d’influence et de domination d’une organisation privée internationaliste, comme l’OMS et les Nations-Unies en général, ainsi que des Institutions financières internationales. Elles participent et imposent parfois des actions en matière de contrôle des populations.
- La totale immunité qui confère à ces organisations privées des droits que n’ont ni les citoyens, ni les nations au sein de la communauté internationale. Après l’impuissance constatée des autorités péruviennes dans l’affaire Fujimori, il s’agit ici de constater l’impuissance de l’Etat mexicain dans une affaire qui est restée sans suite.
Il est légitime de se poser la question de l’existence d’autres situations similaires qui ne sont pas rendues publiques, notamment en Afrique où la remontée d’informations sur de nombreux projets reste parfois opaque. Si l’association Pro vida du Mexique n’avait pas conservé et fait analyser les vaccins utilisés dans le pays par l’OMS, la présence d’hCG sur le terrain n’aurait jamais été révélée.
L’élimination des pauvres a également fait l’objet d’un article intitulé Les dérives de l’ONU et des philanthropes qui met en cause l’intervention de la fondation Bill Gates dans les pays pauvres, s’il fallait encore montrer le rôle de cette organisation aux côtés de l’OMS et dans les orientations truquées d’une politique sanitaire mondiale visiblement construite pour réduire la population mondiale.
[1] Les auteurs (cf. Dirnhofer S, Wick G et Berger P) précisent que les effets immuno-pathologiques associés au hCG et au hLH restent à être évalués chez l’être humain. D’autres problèmes liés à la sécurité de ces vaccins se posent en raison de réactions auto-immunes et de la perturbation mal connue du système endocrinien.
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