26 avril 2022

On ne connaît qu'une infime partie des dommages liés aux vaccins Covid

"Les enfants ont 50 fois plus de probabilité de mourir à cause de vaccin que de mourir du Covid." - Michael Yeadon, ex-vice président de Pfizer. (Vu sur un bus à Brisbane)

« Crampes musculaires, engourdissements, troubles du rythme cardiaque, douleurs névralgiques – ce ne sont que quelques-uns des nombreux symptômes dont certaines personnes souffrent encore de nombreux mois après avoir été vaccinées contre le Covid... Les personnes concernées, surtout les jeunes, se sentent abandonnées par les politiques et les scientifiques. Elles sont absentes du discours officiel. Elles se battent pour la reconnaissance du préjudice subi, mais surtout pour une aide médicale afin de retrouver un niveau de vie normal. Elles demandent un recensement fiable et une recherche sur les effets secondaires, mais aussi des lieux d'accueil concrets pour les victimes de la vaccination... »


C'est avec ces mots que commencent deux émissions de la radio-télévision publique allemande, qui s'est enfin penchée sur ce sujet, jusqu'ici tabou, concernant les dommages liés aux vaccins Covid. Aussi bien dans l'émission « Plusminus » d'ARD du 23 mars 2022 que dans une émission de la « MDR-Umschau » la veille, intitulée « Complications suite à la vaccination : pourquoi les personnes concernées se sentent abandonnées », plusieurs victimes des vaccins Covid ayant subi des effets secondaires parfois graves, ont pris la parole.

Suite à cela, l'infothèque d'ARD a reçu de nombreux commentaires sur l'émission « Plusminus » de la part de personnes souffrant de dommages dus aux vaccins, surtout après la vaccination de rappel. En Israël de nombreuses personnes vaccinées avaient signalé la même chose. Moins d'une semaine plus tard, le 30 mars 2022, l'ARD a fermé la colonne des commentaires, disant que « l'occasion était largement suffisante pour échanger les faits et les arguments sur ce sujet ». En moins de six jours, 69 pages (!) de commentaires s'y étaient accumulées !

Le Dr Erich Freisleben, médecin berlinois qui s'est exprimé dans les deux émissions, a également fait part du fait que les victimes de la vaccination manquent de points de contact. Depuis qu'il a parlé à la télévision du nombre croissant de patients souffrant d'effets indésirables parfois graves, il est « submergé par les patients souffrant d'effets indésirables des vaccins », comme l'écrit le « Berliner Zeitung ». Ces patients racontent souvent une véritable odyssée d'un médecin à l'autre, dont aucun n'est en mesure de leur indiquer les véritables causes de leurs problèmes de santé. « S'ils mentionnent alors ne serait-ce que le mot vaccination ou effets secondaires de la vaccination, de nombreux médecins se détournent d'eux. Les patients racontent presque tous la même histoire : On leur a dit que c'était psychosomatique, ou qu'ils devaient cesser de fabuler, ou que c’était uniquement dans leur imagination. Dans le même temps, j'ai examiné, traité et signalé près de 100 patients », explique le Dr Freisleben.

Sur la base des déclarations des patients du Dr Freisleben, on peut supposer que de nombreux médecins ne signalent pas les effets indésirables des vaccins aux services compétents. On peut donc se demander si les données de l'Institut Paul Ehrlich (PEI), qui est responsable de l'enregistrement des dommages liés aux vaccins, ne sont pas incomplètes.

Le professeur Harald Matthes de la Charité de Berlin, qui a également été interviewé dans les deux émissions d’ARD et MDR, confirme ce doute. Il a lui-même mené une étude sur le recensement des dommages causés par les vaccins Covid, dont les résultats lui permettent de supposer qu'il existe une sous-déclaration au PEI.

Auparavant, l'ancien directeur de la caisse maladie BKK ProVita, Andreas Schöfbeck, avait déjà mis en garde contre le fait que, sur la base des données dont il disposait venant de sa caisse maladie, trop peu d'effets secondaires étaient enregistrés au PEI. Mais au lieu de remédier à cette situation et d'optimiser la saisie des dommages liés aux vaccins, le PEI a tout simplement fermé sa base de données sur les effets secondaires des vaccins. Il a justifié sa décision en expliquant que les cas suspects d'effets secondaires des vaccins seraient de toute façon intégrés dans la base de données européenne sur les effets secondaires des médicaments et y seraient publiés. Le fait que cette décision intervienne à un moment où les dommages massifs causés par les vaccins Covid sont de plus en plus évidents laisse un goût amer. Ce n'est pas la première fois que le PEI est soupçonné de ne pas remplir correctement sa mission de recherche et d'enregistrement des dommages liés aux vaccins. Par exemple, les avertissements du professeur Kuhbandner, expert en statistiques, concernant le lien entre les vaccins Covid et l'augmentation du nombre de décès n'ont pas été pris en compte. De même, les questions répétées des journalistes des chaînes publiques sur la raison pour laquelle le PEI ne demande pas les données des associations de médecins conventionnés pour la surveillance des dommages liés à la vaccination sont restées sans réponse. La fermeture de la base de données nationale n'augmente pas non plus la transparence souhaitée en matière de dommages liés à la vaccination.

Or, à l'heure actuelle, cette transparence serait particulièrement nécessaire. D'une part, pour nos politiciens qui ont besoin d'une base de données pertinente pour décider d'une vaccina-tion obligatoire et d'autres mesures. D'autre part, pour les personnes qui doivent prendre une décision en matière de vaccination, afin qu'elles puissent réellement évaluer leur propre risque.

Si vous avez subi des effets indésirables suite à la vaccination Covid, vous pouvez les signaler sur le site qui correspond à votre pays :

Source : www.kla.tv/22349 - vidéo : "Enregistrement incomplet des dommages causés par les vaccins Covid – Les doutes sur les données du PEI se confirment !"

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.