05 août 2021

Les pseudovaccins anticovid ne protègent ni les vaccinés, ni leurs contacts

La vaccination Astra Zeneca a été suivie par une augmentation importante des cas et de la mortalité pendant deux mois ; Janvier et février 2021 ont ainsi établi les records mensuels de nouvelles contaminations et de morts depuis le début de l’épidémie. Avec près de 70% de vaccinés les responsables de la politique sanitaire espéraient que la population bénéficierait d’une immunité contre le covid, mais la forte reprise de l’épidémie depuis le 26 mai a mis fin à leur illusion  en démontrant  que les pseudovaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta.

Après la re-publication hier sur ce blog d’un article de la Dr Nicole Delépine, j’ai le plaisir de partager aujourd’hui la dernière livraison de son époux, le Dr Gérard Delépine.

Chirurgien et statisticien médical, celui-ci poursuit également depuis dix-huit mois un travail de longue haleine pour faire connaître la réalité de la situation et des données brutes, c’est-à-dire non trafiquées ou falsifiées par les affidés des mafias pharmacovaccinales.

Dans un éditorial valant son pesant de cacahuètes, l’éditorialiste Serge Michel se plaignait il y a peu dans Le Temps qu’en augmentant le tarif de ses injections géniques, les pharmas donnaient du grain à moudre aux complotistes et autres antivaxx !

Le pauvre homme a raté quelques marches de comprenure au passage, à moins qu’il soit d’un cynisme consommé. Il fait partie en tout cas de ces journalistes qui, apercevant un éléphant, se demandent ce qu’une fourmi peut bien faire là et s’indignent que les « complotissss » osent prétendre qu’il s’agit d’un pachyderme !

Il est évident hélas -et ce monsieur n’en est qu’un triste exemple- que si vous occultez la variable « corruption » et la dimension lourdement criminelle des pratiques de l’industrie pharmacovaccinale sévissant de manière massive et de notoriété publique au coeur des politiques de santé, vous ne pouvez vivre qu’au pays des bisounours avec de gentilles pharmas venant sauver le monde comme un chevalier blanc d’un très vilain virus ! Un peu comme Al Capone protégeait les honnêtes commerçants de Chicago à vrai dire…

Autant pour la pensée adulte hélas ! Qu’un homme se prétendant journaliste (et ayant quelques galons dans ce domaine sinistré) puisse ainsi faire l’impasse d’une réalité aussi solidement documentée et incessamment rappelée laisse pantois, même si cette pathologie de la pensée complexe semble s’être quasi-généralisée (avec dieu merci encore quelques exceptions) dans cette profession. Qui fut noble avant de devenir largement malhonnête et toxique…

Heureusement, il reste les espaces d’expression non-médiés par cette soldatesque inculte – qui s’en plaint d’ailleurs amèrement : comme ils aimeraient que toute voix non-filtrée par leur conflits d’intérêts et préjugés soit même interdite de parole !

Cela viendra peut-être. En attendant, nous continuerons avec bien des camarades de combat à livrer des informations sourcées, documentées et solidement argumentées pour donner à voir et à comprendre ce à quoi nous sommes bel et bien confrontés.

Les légions d’en-face n’ont que l’invective et les mensonges à disposition. Montrez-leur les falsifications des données, montrez-leur les études dignes de ce nom qui confirment des conclusions (évidemment) contraires à la doxa, montrez-leur les absurdités et incohérences de celle-ci et vous n’aurez plus d’oreilles face à vous, que des bouches haineuses éructant des jets de poison et des injures. Avec littéralement une prise en otage des professionnels par les groupes d’influence concernés.

Dans un article publié hier dans L’Impertinent média (accès payant mais qui en vaut largement la peine étant donnée la qualité journalistique presque anachronique de ce site de presse indépendant), Amèle Debey pose le bon diagnostic :

« Les médecins ne sont plus jugés sur leurs compétences, leur palmarès ou leur réputation, mais sur leur propension à suivre, ou non, le narratif officiel. C’est désormais sur cette base que l’on distribue les bonnes ou les mauvaises notes, que l’on établit la crédibilité des uns et des autres et que l’on décide qui aura voix au chapitre. L’heure n’est plus au consensus scientifique, ni même à la discussion. Une défaite du débat particulièrement inquiétante dans un domaine censé se nourrir du doute et des hypothèses. » écrit-elle, ajoutant en conclusion : « Si on ne peut pas vraiment parler d’omerta au sens strict du terme dans notre pays, puisque certains médecins témoignent à visage découvert sans problème, il n’en demeure pas moins que l’idéologie semble avoir remplacé la science et que l’esprit critique et la remise en question sont désormais honnis, au profit d’un mimétisme grégaire. »

Le Dr Philippe Saegesser énonce dans le même article les causes réelles du problème :

«Malheureusement, les médecins qui sont aux commandes, sociétés faitières, références universitaires, médecins cantonaux doivent faire allégeances et accompagner le discours politique et leurs mentors ou sponsors pour pouvoir compter avec les aides économiques qui vont avec leur position et les instituts dans lesquels ils sont engagés et parfois parties prenantes. C’est une vraie gangrène! C’est eux, avec les autorités, qui exercent des pressions, des intimidations auprès de ceux qui pourraient avoir la capacité et l’indépendance théorique de réagir. Ils sont alors menacés de sanctions, ouvertement stigmatisés, parfois censurés ou mis au ban des sociétés médicales auxquels ils appartiennent.»

Ce qui en français si je ne m’abuse s’appelle « intimidation », « aliénation » et in fine « asujettissement ». Une médecine prise en otage et confinée à la pensée unique (et donc une forme de totalitarisme) par ses autorités.

D’une manière qui distord et empêche les bonnes pratiques sanitaires et donc la protection de la population  :

Avec de surcroît un « caviardage » (soit une occultation pour empêcher qu’on en ait connaissance) de certaines données de sécurité, notamment celles relatives aux effets indésirables sur les jeunes et les enfants ! Ce qui, à nouveau, constitue une inconduite sans précédent – que l’on peine à imaginer désintéressée… Et tant pis pour la sécurité des adolescents !

 IMPOSSIBLE d'accéder aux études !  "exactement comme dans les secrets d'État" "et spécialement la partie sur les effets secondaires" #vaccin #COVID19  #vaccination #coronavirus #manif31juillet #PassSanitaire pic.twitter.com/G6ENHEu9O3

— Liberté de Penser (@liberT2penC) July 30, 2021

Voilà en réalité où nous en sommes, mais que ni Serge Michel, ni Le Temps, ni la RTS, ni aucun média mainstream (c’est-à-dire subventionné, donc en réalité une « presse d’état ») ne portera jamais à la connaissance de la population.

Il n’en est que plus précieux évidemment de bénéficier des analyses honnêtes (parce que sans conflit d’intérêts) d’experts comme les Dr Nicole et Gérard Delépine, le Dr Gérard Maudrux ou encore les membres du Conseil scientifique indépendant dont j’ai la responsabilité et l’honneur de faire partie.

Pour celles et ceux qui se doutent que le narratif officiel est perclus de malhonnêteté et de turpitudes, voici une nouvelle démonstration de haut vol du Dr Gérard Delépine sur la « protection » offerte par les « vaccins géniques ». Une autre fiction en vogue hélas, volant en éclat devant les faits et les données non-trafiquées. La réalité est têtue, même quand elle est reléguée au second plan par l’hyper-réalité (cf. Jean Baudrillard) des pseudo-élites au pouvoir.

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Les pseudovaccins anticovid (injections géniques) ne protègent ni les vaccinés, ni leurs contacts

par le Dr G. Delépine chirurgien et statisticien médical

Chaque jour nous sommes harcelés par la propagande vaccinale qui répète « seule la vaccination peut mettre fin à l’épidémie » « les vaccins sont efficaces contre le variant delta » « une fois la population vaccinée il n’y a plus de risque ».

Ces affirmations sont totalement mensongères. Les vaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta, ne protègent ni les vaccinés ni leurs contacts et ne préviennent pas les reprises de l’épidémie. Ils sont incapables de mettre fin à l’épidémie.

Pour s’en convaincre il suffit de regarder les évolutions récentes de l’épidémie dans les pays champions de la vaccination décrites dans les publications de l’OMS (OMS Covid Dashboard) et les courbes de OurWorldinData Covid.

En Grande-Bretagne l’épidémie repart malgré l’Astra Zeneca

La vaccination Astra Zeneca a été suivie par une augmentation importante des cas et de la mortalité pendant deux mois ; Janvier et février 2021 ont ainsi établi les records mensuels de nouvelles contaminations et de morts depuis le début de l’épidémie. Avec près de 70% de vaccinés les responsables de la politique sanitaire espéraient que la population bénéficierait d’une immunité contre le covid, mais la forte reprise de l’épidémie depuis le 26 mai a mis fin à leur illusion  en démontrant  que les pseudovaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta.

L’incapacité des injections anti-covid à protéger les vaccinés et leurs contacts a été récemment illustrée par l’épidémie de plus de 100 cas qui a touché les 1300 marins du HMS Queen Elizabeth, alors qu’ils avaient tous été complètement vaccinés depuis plus de trois mois.

De plus, contrairement aux annonces répétées de nos gouvernants, les injections anti-covid ne protègent ni des formes graves, ni de la mort. Santé Publique Angleterre, faisant le bilan des derniers mois, a constaté que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin 2021, 163 (63,4%) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : les personnes vaccinées meurent plus que les non-vaccinées”.

En Israël, les injections Pfizer n’empêchent pas la reprise de l’épidémie

Même phénomène en Israël où la vaccination a été suivie d’une explosion de cas et de morts pendant deux mois. Après une accalmie de 3 mois, une reprise de l’épidémie qui s’accélère depuis début juillet montre que le vaccin Pfizer est inefficace contre le variant delta.

En Israël les vaccinés représentent actuellement près de la moitié des nouveaux cas. Et contrairement aux annonces des labos et des gouvernants, recevoir l’injection Pfizer ne protège pas non plus des formes graves : en Israël les vaccinés sont actuellement plus nombreux en réanimation que les non vaccinés : 71% de ces 118 Israéliens sérieusement atteints (serious, critical) sont totalement vaccinés !

Pire encore, la proportion de malades graves vaccinés est supérieure à la proportion de personnes totalement vaccinées (61%.)

Ces chiffres commencent à faire douter les autorités sanitaires de l’efficacité du vaccin Pfizer. Le gouvernement a réintroduit l’obligation légale de porter des masques dans les lieux publics, deux semaines seulement après son abandon et conseille maintenant une troisième injection aux plus de 60 ans. Lui qui prétendait qu’après deux injections les Israéliens seraient libres et protégés, accuse ses concitoyens d’indiscipline au lieu de reconnaître que le vaccin Pfizer est inefficace. Néanmoins, selon les médias israéliens, le ministère de la Santé a annoncé qu’à partir du 1er août, tout Israélien de plus de 18 ans recevant sa première dose recevra le vaccin Moderna. Aucune explication pour ce changement.

Aux Emirats Arabes Unis, champion arabe des injections, celles-ci ne sont pas  plus efficaces

Aux EAU, la vaccination a débuté en fin décembre 2020 à l’aide de Pfizer et Sinopharm et actuellement plus de 80% de la population a reçu les deux doses de vaccin depuis plus de 3 mois. Mais le nombre de nouvelles contaminations et la mortalité quotidienne restent toujours plus élevés qu’avant la vaccination

Avant la vaccination, en 9 mois d’épidémie, les EAU comptaient 197124 cas et  632 morts. Après 7 mois de vaccination, au 1/8/2021, ces chiffres ont plus que  triplé avec respectivement  682377 cas et 1943 morts. Dans ce pays aussi les injections anticovid ne sont pas efficaces.

Dans ces pays champions des vaccins anti-covid, ceux-ci n’ont pas protégé les vaccinés de la maladie, ni empêché les transmissions, ni prévenu les formes graves, ni évité une nouvelle vague d’infections.

Les campagnes de vaccination ont de plus été suivies à chaque fois pendant deux mois ou plus d’une augmentation forte des contaminations et de la mortalité (hécatombe post vaccinale) établissant les records mensuels de nouveaux cas et de morts depuis le début de l’épidémie.

Catastrophe post vaccinale aux Seychelles

Dans ce petit pays d’environ 100000 habitants les injections anti covid Sinopharm ainsi qu’une version indienne du sérum AstraZeneca ont été administrées à plus de 75% de la population avec des suites franchement délétères.

Avant la vaccination débutée en février 2021 les Seychelles recensaient 1243 cas et 3 morts. Six mois après la vaccination, le 2/8/21 elles comptent 18189 cas et 94 morts malgré le confinement et les autres mesures sanitaires qui leur ont été imposées depuis la campagne d’injections anti-covid.

Catastrophe post vaccinale en Mongolie

Avant la vaccination débutée le 23 février 2021 la Mongolie avait été épargnée par le Covid et ne recensait que 2723 cas et 2 morts. 5 mois après la vaccination, le 2/8/21 malgré une couverture vaccinale très élevée, supérieure à 65% elle comptabilise 164155 cas et 827 morts.


Catastrophe post vaccinale au Cambodge

Avant la vaccination le Cambodge avait été épargné par l’épidémie et ne recensait aucun mort de Covid. La vaccination a commencé le 7 février 2021. Neuf jours plus tard a été observé le premier décès dont le nombre total atteignait 1442 au 2 aout 2021.

Dans ces trois pays, auparavant quasiment indemne de Covid, les injections anti-covid ont exacerbé l’épidémie de manière dramatique.

Pourquoi les injections anti-covid sont-elles aussi inefficaces ?

Contrairement à ce qui est officiellement raconté, les injections actuelles ne sont pas des vaccins (elles ne contiennent pas d’antigènes viral ni de virus inactivé) mais des injections d’ARN messager. Cette technique n’a jamais été utilisée chez l’homme pour lutter contre des infections et les résultats des essais de phase 3 ne seront pas connus avant 2023. Il s‘agit donc d’un traitement totalement expérimental qui n’aurait jamais dû être commercialisé avant la fin et l’analyse des essais cliniques phase 3 (2023). En population réelle, ils se révèlent trop peu efficaces.

L’aggravation dépendante des anticorps[1] [2] [3] [4] peut expliquer les hécatombes post injections

L’explosion précoce des cas et de la mortalité après les campagnes d’injections anti-covid traduit vraisemblablement un phénomène d’anticorps facilitants (aggravation dépendante des anticorps ADE) déjà observé dans plusieurs infections virales, notamment le virus de la dengue, et les infections précédentes à coronavirus le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS). Sa nocivité a été tristement démontrée par la mort de plusieurs centaines d’enfants lors de la catastrophe sanitaire du vaccin Dengvaxia aux Philippines.

L’aggravation dépendante des anticorps (ADEantibody-dependent enhancement) est un large concept qui survient en lien avec certaines infections virales, lors de réinfection ou de primo-infection, en dépit d’une vaccination. Il peut s’agir : d’une « maladie aggravée associée à l’infection (initiale) » (IAEDinfection-associated enhanced disease) ou d’une « maladie aggravée associée à la vaccination » (VAEDvaccine-associated enhanced disease). Le plus souvent, l’ADE survient lorsque la personne présente des taux circulants d’anticorps neutralisants faibles (vaccination insuffisante ou ancienne, personnes âgées, infection peu symptomatique) ou une faible spécificité de ces anticorps, par exemple lors d’immunité croisée entre deux infections virales.
Ce risque avait été évoqué par l’académie de médecine en janvier 2021[5] : « le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants ».

La fuite immunitaire avec l’apparition des variants explique l’incapacité à prévenir les futures rechutes

L’Académie avait averti que la généralisation d’un traitement insuffisamment efficace facilite l’apparition des variants ainsi « au plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Le Pr Delfraissy et quatre autres membres du comité scientifique dans un article [6] en anglais malheureusement non relayé en France avaient averti : « la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variantes ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue… Au niveau de la population…, ils pourraient induire une sélection virale et une fuite, rendant de plus en plus éloignée la perspective d’obtenir une immunité collective. »

Conclusions

L’examen des faits avérés publiés par l’OMS montrent que les injections anti-covid actuelles sont incapables de protéger ceux qui les reçoivent de la maladie, ni des formes graves, ni d’en mourir.

Elles n’empêchent pas non plus la transmission aux contacts. Elles sont inefficaces contre le variant delta et donc incapables de prévenir les récidives des épidémies.

Les campagnes d’injection sont presque constamment suivies par une recrudescence de cas et de morts pendant plus de deux mois.

Comme elles exposent de plus à des complications graves, parfois mortelles comme le montre (entre autres) le site européen chargé de la surveillance des effets secondaires des médicaments dépendant de l’agence européenne, il n’existe aucune justification médicale à les conseiller et encore moins de les imposer directement ou indirectement par l’artifice d’un pass discriminatoire.

Les irresponsables ne sont pas ceux qui doutent des injections anti-covid expérimentales, mais bien ceux qui veulent les imposer sans attendre les résultats définitifs des essais phase 3 et refusent de recommander les traitements précoces qui ont fait leurs preuves dans de nombreux pays dont l’Inde.

[1] Stéphane KORSIA-MEFFRE VACCINS CONTRE LA COVID-19 : DOIT-ON S’INQUIÉTER DU RISQUE DE MALADIE AGGRAVÉE CHEZ LES PERSONNES VACCINÉES ? 03 novembre 2020

[2] Lee, W.S., Wheatley, A.K., Kent, S.J. et al. Antibody-dependent enhancement and SARS-CoV-2 vaccines and therapies. Nat Microbiol 5, 1185–1191 (2020). https://doi.org/10.1038/s41564-020-00789-5

[3] Eroshenko, N., Gill, T., Keaveney, MK et al. Implications de l’amélioration de l’infection dépendante des anticorps pour les contre-mesures du SRAS-CoV-2. Nat Biotechnol 38, 789-791 (2020). https://doi.org/10.1038/s41587-020-0577-1

[4] Ricke DO. Two Different Antibody-Dependent Enhancement (ADE) Risks for SARS-CoV-2 Antibodies. Front Immunol. 2021 Feb 24 ;12 :640093. doi : 10.3389/fimmu.2021.640093. PMID : 33717193 ; PMID : PMC7943455.

[5] Communiqué de l’Académie de médecine : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ? 11/1/21

[6]Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract the Lancet public health 18 février 2021 DOI VOLUME 6, NUMÉRO 4, E199-E200,1 AVRIL 2021 : https://doi.org/10.1016/S2468 2667(21)00036-0

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