Pour nous alerter contre la manipulation médiatique et étatique sur « vaccin » covid-19, Robert Francis Kennedy Jr, l'avocat canadien Rocco Galati, le Dr David Martin et la scientifique Judy A. Mikovits se sont réunis.
Le Dr David Martin nous explique dans cette vidéo que ce qui est appelé
vaccin anti-Covid n'est pas un vrai vaccin. Il sait bien de quoi il
parle, puisqu'il a fondé une société internationale d'analyse d'actifs
incorporels — dont font justement partie les brevets. Nous adressons un
grand merci à Jeanne pour sa traduction.
Les vrais vaccins inactivent ou atténuent leurs agents pathogènes
Dans les vaccins vivants atténués, le pouvoir pathogène du virus ou de la bactérie est atténué par différents procédés.
Dans les vaccins inactivés les agents infectieux ont
été tués avec un produit chimique ou par la chaleur. Ils sont donc
totalement inoffensifs, tout en restant capables de susciter une réponse
du système immunitaire.
L'ARNm crée des agents pathogènes
Encapsulé dans une enveloppe de graisse, l'ARNm de la partie très
contagieuse du virus est injecté et livré à une cellule. Ce
dispositif amène la cellule humaine à devenir un créateur d'agents
pathogènes. On vous injecte une substance chimique pour induire une
maladie et non pour provoquer une réponse immunitaire contre la
transmission. En fin de compte votre propre système immunitaire
s'attaquera à votre organisme. Ce sont vos cellules qui vous
rendront malade (80 % des personnes qui se font injecter cette substance
subissent un événement clinique indésirable). La réponse auto-immune
peut provoquer la sclérose en plaques, la maladie d'Alzheimer, un
cancer...
Les vrais vaccins perturbent la transmission du virus
Tout en stimulant une immunité contre l'agent infectieux d'une maladie, les vaccins stoppent la contamination.
L'ARNm n'arrête pas la transmission.
En effet, le brin d'ARNm qui entre dans la cellule n'est pas là pour
arrêter la transmission. C'est un traitement, mais si cela avait été
envisagé comme un traitement, il n'aurait pas reçu l'agrément des
autorités de santé publique en tant que vaccin. Tant qu'il
existe un traitement, les vaccins ne reçoivent pas l'AMM. D'où
l'importance de classer l'Hydroxychloroquine — pourtant utilisée sans
problème durant 70 ans — dans la catégorie des substance vénéneuses.
D'où le black-out sur l'Ivermectine, entre autres. Imaginez, si les
malades du VIH avaient dû attendre trente ans un vaccin (qui n'a
toujours pas été découvert) et que les traitements aient été interdits !
Depuis dix ans, ils ont fait diminuer de 53 % les décès des femmes et
de 41 % ceux des hommes atteints de VIH. Heureusement le Covid-19 est
loin d'être le virus extrêmement dangereux présenté par les médias de
masse.
Une thérapie génique n'est pas un vaccin
Aucun principe de précaution n'a empêché l'Union européenne
d'autoriser les producteurs de vaccins et de traitements anti-Covid19
contenant des OGM de se passer d'étude d'impact environnemental et de
biosécurité avant le démarrage d'essais cliniques.
Ce règlement 2020/1043, adopté le 15 juillet 2020,
« a supprimé toutes les procédures de protection, d'analyse du risque, de contrôle, de suivi, d'étiquetage et d'information du public concernant l'utilisation, le transport, la dissémination dans l'environnement, l'injection aux êtres humains d'organismes et de micro-organismes génétiquement modifiés dès qu'il s'agit de recherches ou essais cliniques sur un vaccin ou un médicament contre la Covid-19. »
Les « vaccins » sont plus rentables que les médicaments
Moderna était à l'origine une entreprise de chimiothérapie contre le
cancer et non un fabricant de vaccins contre le Sras. Si nous disions
que nous allions donner aux gens une chimiothérapie contre le cancer
qu'ils n'ont pas, ils vous riraient au nez. Impossible de convaincre une
personne en bonne santé de prendre un traitement. En revanche, elle
pourra se croire obligée de se faire vacciner. Pour cela le concept de «
porteur asymptomatique » a été créé : 80 % des personnes exposées au
prétendu Sras-CoV2 en feraient partie. Il fallait cet argument,
car les vaccins peuvent rendre malades des personnes en bonne santé. il
est donc nécessaire de les convaincre qu'elles sont malades sans le
savoir. Les laboratoires rendent ainsi hommage au Dr Knock
pour lequel « Tout bien portant est un malade qui s'ignore ». Ils
savent qu'un marché de quelques malades ou de quelques hypochondriaques
n'est pas rentable. En revanche obliger la population de toute la
planète à être vaccinée, c'est ça qui permet d'entrer au classement Forbes des grandes fortunes (neuf nouveaux milliardaires l'ont rejoint cette année, tous actionnaires de laboratoires...). Qu'importe que le nombre de personnes concernées multiplie les risques.
Les
laboratoires ayant terminé les phases I (in vitro) et II (sur les
animaux) [il est même possible que cette phase II n'ait pas été terminée
- NdE] des essais de leurs prétendus vaccins, vous êtes les cobayes de
la phase III. Inutile de vous dire que, en cas d'effets indésirables,
vous n'avez même pas les garanties des cobayes volontaires. Vous êtes
les seuls bénévoles dans un secteur où seul compte l'argent.
Source de l'article : Le Média en 4-4-2
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