16 juin 2021

Le gouvernement lié au Big Pharma veut piquer tous les 12-17 ans

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« La vaccination des adolescents se fera sur la base du volontariat, avec l’accord des deux parents et du mineur concerné. »

Au moment où le Danemark renonce au masque et au pass sanitaire, ces deux marques de la mise en esclavage des populations, la France poursuit son cauchemar sanitaire dicté par le Big Pharma.

Le gouvernement, vendu aux forces mondialistes, veut désormais piquer les 12-17 ans. Rien n’arrêtera ces malades qui font des gens sains des malades criminels et des criminels des modèles de vertu. L’inversion des valeurs, c’est aussi ça, la définition du Diable.

Le site France info, comme d’habitude, sans le moindre doute ni le moindre esprit critique journalistique, relaye la propagande du gouvernement bigpharmatisé. Raoult a raison : après les crimes, viendra le temps de la justice. Voyons voir comment ces relais de l’oligarchie justifient cette injonction scélérate...

La Rédaction d’E&R

 


 

Une nouvelle étape. Annoncée le 2 juin par Emmanuel Macron et déjà mise en place dans plusieurs pays, la vaccination des moins de 18 ans contre le Covid-19 entre en vigueur, mardi 15 juin. Les 12-17 ans pourront recevoir le vaccin Pfizer-BioNTech, premier à avoir obtenu le feu vert pour être utilisé chez les mineurs. Voici les réponses à quatre questions que vous vous posez peut-être sur le sujet.

Quel est l’intérêt, puisque les jeunes sont moins à risque ?

Les données disponibles sur le Covid-19 montrent que les formes graves de la maladie sont rares chez les jeunes. Mais « quand on augmentera la couverture vaccinale des adultes, la transmission aura tendance à se passer plus dans les groupes non vaccinés », a expliqué le 3 juin Élisabeth Bouvet, la présidente de la commission technique des vaccinations à la Haute Autorité de santé (HAS), pour justifier l’élargissement de la vaccination.

Si la vaccination des ados a avant tout un avantage collectif, « nous considérons qu’il y a également un bénéfice individuel », a renchéri la présidente de la Haute Autorité de santé, Dominique Le Guludec. Ce dernier existe particulièrement pour les ados ayant des « comorbidités », mais aussi pour ceux dont les proches sont « immunodéprimés ou vulnérables ». Et la vaccination présente un avantage « sur le plan psychologique et social », insiste la HAS dans sa décision sur le sujet, tant « la rupture des interactions sociales directes et de la scolarité en présentiel a eu des effets délétères ».

Le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) reconnaît de son côté que la capacité à transmettre le virus chez les adolescents est « proche (…) de celle observée chez les jeunes adultes » et qu’il existe des bienfaits, notamment psychologiques, à la vaccination des adolescents. Il se questionne néanmoins sur une telle décision. « Est-il éthique de faire porter aux mineurs la responsabilité, en termes de bénéfice collectif, du refus de la vaccination (ou de la difficulté d’y accéder) d’une partie de la population adulte ? » écrit-il dans le communiqué (PDF) qui accompagne son avis paru le 9 juin.

Surtout, il regrette « que les décisions » concernant la vaccination des adolescents « aient été prises si rapidement ». « Y a-t-il une urgence absolue à commencer la vaccination dès maintenant, alors que plusieurs indicateurs sont au vert et que la rentrée scolaire de septembre pourrait signer le début de la campagne ? » s’interroge l’institution, qui aurait souhaité attendre que de nouvelles données sur le sujet soient disponibles à l’étranger.

[...]

Tous les adolescents sont-ils concernés ?

Oui, sauf exception. La vaccination des adolescents, qui a en réalité déjà commencé pour certains cas précis, se fait par étapes, comme l’a recommandé la HAS. « À ce jour, les personnes de 16 et 17 ans peuvent être vaccinées dans deux cas de figure : si elles souffrent d’une pathologie à très haut risque de forme grave de Covid-19 ; s’il s’agit de proches de personnes immunodéprimées », a rappelé la direction générale de la santé dans sa note envoyée aux professionnels de santé dimanche 13 juin.

« L’accès à la vaccination sera élargi à tous les enfants de 12 à 17 ans inclus à partir du 15 juin 2021, à l’exception des adolescents ayant développé un syndrome inflammatoire multi-systémique pédiatrique (PIMS) à la suite d’une infection par le Sars-CoV-2, pour lesquels la vaccination n’est pas recommandée », détaille la DGS. Pour ces derniers, un avis du 11 juin du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale a conclu qu’il était « raisonnable pour l’instant de ne pas les vacciner (…) afin d’éviter un risque de réponse inflammatoire sévère ».

Lire l’article de propagande entier sur francetvinfo.fr

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