C’est une dépêche on ne peut plus officielle de l’agence de presse Reuters relayée par le site Boursorama qui titre « Record en vue à 277 000 milliards de dollars pour les dettes mondiales, selon l’IIF ».
« L’endettement mondial devrait atteindre un niveau sans précédent de 277 000 milliards de dollars (233 400 milliards d’euros) à la fin de l’année en raison des montants colossaux empruntés par les Etats et les entreprises pour faire face à la crise du coronavirus, conclut l’Institute of International Finance (IIF) dans une étude publiée mercredi.
« L’endettement mondial devrait atteindre un niveau sans précédent de 277 000 milliards de dollars (233 400 milliards d’euros) à la fin de l’année en raison des montants colossaux empruntés par les Etats et les entreprises pour faire face à la crise du coronavirus, conclut l’Institute of International Finance (IIF) dans une étude publiée mercredi.
L’IFF, qui regroupe plus de 400 banques et institutions financières du monde entier, estime que la dette globale avait déjà augmenté de 15 000 milliards de dollars fin septembre, à 272 000 milliards, une progression imputable pour près de la moitié aux Etats, principalement développés.
La dette globale des pays développés a ainsi bondi à 432 % du produit intérieur brut (PIB) à la fin du troisième trimestre contre environ 380 % fin 2019.
Pour les pays émergents, ce ratio était proche de 250 % fin septembre, et de 335 % pour la Chine »…
Certains diront que le jeu peut durer encore très longtemps.
D’autres vous diront que c’est bientôt la fin.
A Davos, on vous explique que le « grand reset » ce serait pas mal quand même !
Mais tout le monde devrait s’accorder sur le fait que les arbres ne grimpent pas jusqu’au ciel et que les dettes, dans l’histoire de l’humanité, terminent toujours de la même manière !
Aux oubliettes !!
Sauf pour les épargnants ruinés ce qui est une autre constante de notre histoire économique.
Les dettes ne seront pas payées, alors au risque de passer à côté de quelques rendements et de quelques petits gains, je vous invite à considérer le fait de ne pas détenir des titres de dettes comme un point non négociable de toute stratégie patrimoniale crédible.
Charles SANNAT
La dette globale des pays développés a ainsi bondi à 432 % du produit intérieur brut (PIB) à la fin du troisième trimestre contre environ 380 % fin 2019.
Pour les pays émergents, ce ratio était proche de 250 % fin septembre, et de 335 % pour la Chine »…
Certains diront que le jeu peut durer encore très longtemps.
D’autres vous diront que c’est bientôt la fin.
A Davos, on vous explique que le « grand reset » ce serait pas mal quand même !
Mais tout le monde devrait s’accorder sur le fait que les arbres ne grimpent pas jusqu’au ciel et que les dettes, dans l’histoire de l’humanité, terminent toujours de la même manière !
Aux oubliettes !!
Sauf pour les épargnants ruinés ce qui est une autre constante de notre histoire économique.
Les dettes ne seront pas payées, alors au risque de passer à côté de quelques rendements et de quelques petits gains, je vous invite à considérer le fait de ne pas détenir des titres de dettes comme un point non négociable de toute stratégie patrimoniale crédible.
Charles SANNAT
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