28 mars 2020

Réflexions sur les traitements antipaludéens utilisés pour combattre le Covid-19


Suite à l'utilisation généralisée des antipaludéens, afin de traiter les victimes du Covid-19, on parle rarement des effets secondaires importants de ces médicaments, ainsi que d'éventuelles alternatives moins toxiques.
Évidemment, quand les effets secondaires sont inférieurs au service rendu, c'est à dire sauver des vies, il n'y a pas à hésiter.


Comme les molécules antipaludéennes, utilisées à l'origine contre un parasite, fonctionnent aussi contre un virus et peut-être contre d’autres, l'utilisation d'un antipaludéen végétal, reconnu pour avoir une efficacité très nettement supérieure à ces molécules de synthèse, pourrait éventuellement s'envisager.

Il s'agit de la plante Artemisia annua. Les effets secondaires limités dans l'utilisation de cette plante et le fait qu'elle est déjà présente en Afrique, pourrait peut-être répondre aux attentes des soignants de ces pays, qui risquent de ne pas pouvoir disposer de suffisamment de médicaments et surtout des infrastructures nécessaires pour traiter les complications respiratoires des malades, pris en charge tardivement.

Le traitement à l'Artemisia contre le paludisme est répandu et peu onéreux, cette plante pousse partout dans le monde. 
L'utilisation courante des antipaludéens, pourrait peut-être expliquer le faible nombre de cas de Covid-19 en Afrique.
 

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