22 mars 2020

Ils sont devenus fous : cloisonnement total de la population pour ce soir ou lundi ?


Sollicité par plusieurs syndicats de jeunes médecins, qui estiment que l'exécutif ne se donnerait pas entièrement les moyens de lutter contre l'épidémie de Covid-19, le Conseil d'Etat examinera à partir de dimanche un ensemble de mesures, comme l'arrêt total des transports en commun, qui permettraient de renforcer le confinement des Français.

L'Assemblée nationale a voté dans la nuit de samedi à dimanche un "état d'urgence sanitaire", qui donne un cadre législatif aux mesures de confinement mise en place mardi pour lutter contre la propagation du coronavirus en France. Mais pour certains médecins, il faut aller plus vite, et plus fort. Raison pour laquelle ces praticiens ont d’ores et déjà saisi le Conseil d’Etat pour demander un renforcement drastique des mesures de confinement.

L'arrêt des transports en commun

À l’examen : une interdiction des déplacements sauf autorisation médicale, l’arrêt des transports en commun et de toute activité professionnelle non vitale, et la mise en place d’un ravitaillement pour éviter que chacun aille faire ses courses. En un mot : un cloisonnement total de la population.

Cet appel a déjà été lancé il y a trois jours par "l’Intersyndicale nationale des internes" et par le "Syndicat jeunes médecins". Mais ils estiment ne pas avoir été entendus.

Des "contradictions" selon les médecins internes

Or, le Code de justice administrative stipule que l’Etat doit prendre toutes les mesures pour éviter les atteintes à la vie humaine sur son territoire. C’est sur ce point que s’appuient les arguments de Léonard Corti, secrétaire général de l’intersyndicale nationale des internes. "Le président parle d’une guerre sanitaire sans évoquer un confinement total, et jeudi la ministre du Travail demandait aux entreprises de continuer à maintenir leur activité, même non essentielle. Pour nous, ce sont des contradictions qu’il va falloir éclaircir", pointe-t-il auprès d’Europe 1.

Lundi, le conseil scientifique doit de nouveau se réunir pour faire le point sur le confinement. Il se peut que le Conseil d’Etat attende des annonces éventuelles de ce dernier avant de rendre sa décision.
 
Source : https://www.europe1.fr/politique/deplacements-transports-ravitaillement-le-conseil-detat-examine-un-renforcement-drastique-du-confinement-3957069
 
En plus des amateurs qui nous gouvernent, on ajoute maintenant les jeunots du bistouri. A ce régime, le gouvernement va bientôt consulter des cartomanciennes pour trouver des bouc-émissaires, afin de justifier de son incompétence dans la gestion de cette crise, avec la pénurie de personnel médical, de masques, de gel hydroalcoolique, de respirateurs, de tests et bien-sur de chloroquine !
Historiquement, aucun confinement n'a jamais arrêté une épidémie, il permettra peut-être de limiter un peu le pic mais augmentera la durée  de l'épidémie.
En Corée, il n'y a eu aucun confinement, sauf pour les testés positifs qui ont été traités à la chloroquine. Des tests de grande envergure ont été pratiqués. L'épidémie est enrayée !
En Chine, le modèle à mis du temps à se mettre en place, mais seulement plusieurs zones à risque ont été confinées, des tests ont été pratiqués à grande échelle et le traitement à la chloroquine appliqué, comme en Corée. L'épidémie se termine.
Nous avons pourtant une sommité, le Professeur Raoult, qui n'arrête pas de prêcher dans le vide et qui prône une méthode efficace et avérée dans les épidémies : tester la population à grande échelle et ne traiter que les contaminés à la chloroquine, plus un antibiotique spécifique.
Souhaitons que l'épidémie cesse naturellement avec les beaux jours.
On marche sur la tête et nous n'avons encore rien vu !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.