Tout d’abord, le virus naît en Chine. L’ancien empire du milieu cumule tous les vices de l’idéologie communiste et du capitalisme irresponsable : l’immense majorité des habitants y est privée des libertés les plus élémentaires, quand quelques-uns sont pourvus de libertés illimitées, sans aucune responsabilité correspondante.
Ce n’est d’ailleurs sans doute pas pour rien que nos oligarques anti-français (politiciens, médias ou financiers) nous chantent régulièrement les louanges de ce régime monstrueux : ils rêvent d’appliquer ce totalitarisme chez nous et s’étonnent de notre manque d’enthousiasme.
Il est possible que le coronavirus provienne des expérimentations des médecins criminels qui pullulent toujours dans les pays totalitaires (le Dr Mengele ne fut ni le premier, ni le dernier de son espèce). Mais il est, en tout cas, certain que le système totalitaire porte une lourde responsabilité dans l’occultation du danger et des réactions erratiques au début de l’épidémie, quand il était encore temps de la juguler. Le Dr Li Wenliang, qui a lancé l’alerte (avant de mourir à son tour de l’épidémie), avait même été réprimandé par l’appareil répressif communiste.
La propagation du virus doit ensuite beaucoup à l’idéologie mondialiste – comme l’a rappelé l’essayiste Arnaud Upinsky (reprenant les principes du grand économiste Maurice Allais, à la fois anti-socialiste et anti-mondialiste) dans une vidéo que nous avons mise en ligne sur le site des « 4 Vérités ».
Le mondialisme est, en effet, cette idéologie qui consiste à préférer le lointain au prochain et à piétiner le principe de subsidiarité (pourtant à la fois moralement plus sain et économiquement plus efficace).
Ce mondialisme a conduit à ruiner l’industrie française pour profiter de la main-d’œuvre esclave chinoise. Il saute aux yeux que ce calcul est monstrueux et absurde. Monstrueux parce qu’il encourage les bourreaux communistes et parce qu’il prive de leur dignité les travailleurs français. Absurde parce que la petite économie que nous faisons sur l’achat de produits « made in China » ne compense pas une hausse illimitée de nos impôts et de nos déficits publics.
En d’autres termes, pour que certains financiers occidentaux puissent faire des affaires avec la nomenklatura maoïste, nous condamnons des millions de Français au chômage, des dizaines de millions de Chinois à l’esclavage et, en plus, nous payons cette absurdité de nos deniers publics !
Rappelons qu’en bonne logique, le consommateur devrait être moins important pour l’État que le producteur qui devrait lui-même être moins important que le citoyen, lui-même subordonné à la personne humaine. C’est exactement l’inverse qui se fait dans notre merveilleuse « société de consommation ».
Notre dépendance au marché chinois se paie donc désormais, non plus seulement de notre désindustrialisation, mais aussi d’une épidémie menaçante.
Et, cerise sur le gâteau, l’épidémie sert à tester la résistance de la population aux contraintes autoritaires en Europe même.
Ainsi, depuis quelques jours, une dizaine de villes italiennes sont-elles en quarantaine.
Là aussi, c’est une admirable parabole : le nouveau gouvernement de gauche venait tout juste d’annoncer sa répudiation des mesures anti-immigration prises par Matteo Salvini.
Si nous revenions au bon sens, aux frontières, aux circuits économiques et politiques aussi courts que possible, au principe de subsidiarité, au rejet de l’internationalisme militant, nous serions en bonne voie pour sortir de la crise du coronavirus !
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