En effet selon la grande banque américaine, les fonds d’actions américaines ont subi les plus importantes sorties depuis 2008, par rapport au déluge d’argent liquide et d’obligations, signale la banque Goldman Sachs à laquelle se réfère Bloomberg.
C’est assez logique en réalité.
En effet souvenez-vous fin 2018, les actions « craquaient » car la FED augmentaient ses taux.
Face aux couinements des marchés, marche arrière de la banque centrale américaine.
Arrêt de la hausse des taux, puis baisse des taux.
Résultat, en période de hausse des taux les investisseurs américains avaient déserté les obligations US pour se mettre à l’abri d’un éventuel crash obligataire en venant notamment en Europe.
Puis, ils se sont remis sur les marchés actions, en partie, mais surtout sur les obligations américaines et notamment celles émises avant le nouveau cycle de baisse de taux, ce qui assurait un gain facile, rapide, et sans trop de risque.
Il est donc logique que l’argent afflux sur l’obligataire US surtout que les obligations du côté des Etats-Unis sont à taux positifs pas comme en Europe donc !
« Une forte incertitude, la peur d’une récession par des investisseurs, et le début des baisses des allocations en espèces limiteront probablement une augmentation considérable dans les allocations en actions» en 2020, estime Goldman Sachs Group Inc.
Tout comme l’année dernière, la demande des entreprises sera la principale source pour l’achat d’actions aux États-Unis, souligne la banque ».
Pourtant, il n’est pas certain qu’il faille tant s’alarmer que cela ! Même sans acheteur les bourses peuvent monter. C’est le cas au Japon où la BoJ, la Banque centrale nippone, est propriétaire de plus de 40 % des actions de la bourse !!
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