« Au sein des populations, les politiciens sont les plus susceptibles d’être des sociopathes. Je pense que vous ne trouverez aucun spécialiste de sociopathie / psychopathie / trouble de la personnalité antisociale qui le contesterait… Il est dur d’avaler que notre société comporte une petite minorité de gens n’ayant littéralement aucune conscience, mais cela explique bien des choses, le comportement politique sans scrupule et trompeur n’étant que l’une d’elles. »
Dr Martha Stout, psychologue clinicienne et ancien professeur à la faculté de médecine de Harvard
Il y a vingt ans, un journal titrait cette question : « Quelle différence y a-t-il entre politicien et psychopathe ? »
La réponse de l’époque est la même qu’aujourd’hui : Aucune.
Il n’y a pas de différence entre les psychopathes et les politiciens
Il n’y a pas non plus de grande différence entre les criminels indifférents, insensibles, égoïstes, irresponsables, parasites qui occasionnent des ravages sur des vies innocentes, et les élus qui mentent à leurs électeurs, échangent des faveurs politiques contre des contributions électorales, ne tiennent pas compte des souhaits des électeurs, escroquent l’argent durement gagné des contribuables, favorisent les grandes entreprises, établissent un complexe industriel militaire, ne pensent pas aux conséquences de leurs actes irréfléchis et adoptent à la hâte des lois pouvant priver de défense les citoyens.
Les psychopathes et les politiciens ont tendance à se servir des autres sans remords, à être égoïstes, insensibles, irresponsables, menteurs pathologiques, désinvoltes, arnaqueurs, dépourvus de remords et superficiels.
Comme les psychopathes criminels, les politiciens charismatiques refusent la responsabilité de leurs actes, se tiennent en haute estime, sont en permanence instables, ont des modes de vie socialement déviants, ont besoin de stimulation constante, ont des styles de vie parasitaires et des objectifs irréalistes.
Qu’ils soient de gauche, du centre ou de droite, c’est pareil
Les psychopathes politiques, tous largement issus du même moule pathologique, débordent d’un charme apparemment facile et vantent les esprits calculateurs. Les dirigeants de ce genre finissent par créer des pathocraties, des sociétés totalitaires qui misent sur le pouvoir, le contrôle et la suppression de la liberté en général, et l’élimination de ceux qui mettent leurs libertés en pratique.
À partir du moment où des psychopathes prennent le pouvoir, il en résulte généralement une forme de régime totalitaire ou une pathocratie. « Dès ce moment-là, le régime agit contre les intérêts de son peuple, sauf pour certains groupes qu’il favorise », note l’auteur James G. Long. « Nous assistons actuellement à la création délibérée de divisions entre les citoyens, à des actes illégaux et à l’endettement énorme et inutile. C’est typique des régimes psychopathiques, et des événements très semblables se sont produits dans l’Union soviétique, alors qu’elle s’étendait et s’effondrait. »
Autrement dit, élire un psychopathe à un poste public, équivaut à pousser la nation au suicide, à ce qu’elle se fasse hara-kiri. C’est le signal de la fin du gouvernement démocratique et ça jette les bases d’un régime totalitaire légaliste, militariste, inflexible, intolérant et inhumain.
De manière incroyable, malgré les preuves évidentes des dommages déjà causés à notre nation et à ses citoyens par un gouvernement psychopathe, les électeurs élisent toujours des psychopathes aux postes de pouvoir et d’influence.
Selon le journaliste d’investigation Zack Beauchamp, « En 2012, un groupe de psychologues a évalué la personnalité de chaque président depuis Washington à Bush II. Il s’est basé sur des évaluations de traits psychopathes dérivées de données de personnalité, complétées par des expertises historiques concernant chaque président. » Ils ont constaté que les présidents avaient tendance à avoir l’intrépidité caractéristique et le faibles niveaux d’anxiété du psychopathe. Ces traits de caractère semblent aider les présidents, mais peuvent aussi les amener à prendre des décisions téméraires, dommageables pour la vie des autres.
La volonté de privilégier le pouvoir avant tout, même avant le bien-être de leurs semblables, la cruauté, l’impétuosité et le manque total de conscience, font partie des traits caractéristiques du sociopathe.
Quand notre propre gouvernement ne reconnaît plus notre dignité et notre valeur d’êtres humains, qu’il nous prend pour des créatures à manipuler, exploiter, desquelles il peut tirer des données, que la police peut malmener, à qui il peut faire croire qu’il a notre intérêt à cœur, qu’il peut maltraiter, emprisonner si nous osons sortir des clous, puis nous punir injustement sans remords, tout en refusant de reconnaître ses manquements, nous ne sommes plus dans une république constitutionnelle.
Nous vivons plutôt dans une pathocratie : La tyrannie d’un régime psychopathe qui « travaille contre les intérêts de son propre peuple, en épargnant certains groupes qu’il favorise. »
Pire encore, la psychopathologie ne se cantonne pas à ceux qui occupent de hautes fonctions gouvernementales. Elle peut se répandre comme un virus au sein de la population. Une étude académique sur la pathocratie a conclu ceci : « La tyrannie ne s’épanouit pas parce que les auteurs de violences sont mauvais et ne se rendent pas compte de leurs actes. Elle s’épanouit parce qu’ils s’assimilent à ceux qui promeuvent les actes pervers comme s’ils étaient vertueux. »
Les gens ne s’alignent pas simplement. C’est grâce à l’identification personnelle de chacun avec un dirigeant, un parti ou un ordre social donné, qu’ils deviennent des agents du bien ou du mal.
Cela dépend en grande partie de la manière dont les dirigeants « cultivent le sentiment d’identification chez leurs suiveurs », explique le professeur Alex Haslam. « Chose passablement évidente, les dirigeants disent plutôt ‘nous’ que ‘moi ‘. En réalité, le leadership consiste à cultiver le sentiment d’identité partagée à propos du ‘nous’ et d’amener les gens à vouloir agir du point de vue de ce ‘nous’, afin de promouvoir les intérêts collectifs… ‘Nous’ est le seul mot dont l’emploi s’est multiplié dans les discours inauguraux au cours du siècle dernier… le suivant étant ‘Amérique’. »
L’objectif du système étatique moderne est évident : Promouvoir, cultiver et intégrer un sentiment d’identification partagée au sein de ses citoyens. À cette fin, « nous, le peuple, » sommes devenus « nous, l’État policier. »
Nous devenons rapidement esclaves de l’appareil gouvernemental bureaucratique, totalitaire, sans visage, sans nom, qui érode continuellement nos libertés par l’intermédiaire d’innombrables lois, règlements et interdictions.
Toute résistance à ces régimes dépend de la force de conviction de ceux qui choisissent de se défendre. Ce que cela signifie, c’est que nous, les citoyens, devons faire très attention à ne pas nous laisser manipuler par un régime oppressif.
Écrivant pour ThinkProgress, Beauchamp suggère que « l’un des meilleurs remèdes contre les mauvais dirigeants, peut très bien être la démocratie politique. »
Mais qu’est-ce que cela signifie réellement dans la pratique ?
Cela signifie tenir les politiciens et leur personnel responsables de leurs actes, grâce à tous les moyens dont nous disposons : journalisme d’investigation (dit quatrième pouvoir autrefois) qui éclaire et informe, plaintes de lanceurs d’alertes qui dénoncent la corruption, poursuites contre les écarts de conduite, ainsi que par l’intermédiaire de manifestations et d’actions politiques de masse qui rappellent au pouvoir que c’est ‘nous, le peuple’, qui menons la danse.
N’oubliez pas que l’étude précède l’action. Les citoyens doivent faire le dur travail de s’informer sur ce que fait le gouvernement et sur la façon de le tenir responsable. Ne vous permettez pas d’exister exclusivement dans une chambre d’écho se limitant aux vues qui vous conviennent. Confrontez-vous à de multiples sources médiatiques, indépendantes et grand public, et pensez par vous-même.
Au demeurant, quelles que soient votre tendance politique, ne laissez pas votre parti pris l’emporter sur les principes qui fondent notre république constitutionnelle. Comme le note Beauchamp, « Un système qui oblige les gens à rendre des comptes devant la conscience plus large de la société, peut être l’un des meilleurs moyens de contrôle des individus dénués de conscience. »
Cela dit, si nous laissons les urnes d’être le seul moyen d’écarter l’État policier, la bataille est perdue d’avance.
La résistance exige des citoyens disposés à agir au niveau local
Comme je le fais remarquer dans mon livre "Battlefield America: The War on the American People", si vous attendez que l’équipe SWAT vous écrase pour agir, que votre nom soit inscrit sur la liste des terroristes à surveiller, que vous soyez signalé pour activité illégale, comme capter l’eau de pluie ou laisser vos enfants jouer dehors sans surveillance, alors il sera trop tard.
Voilà ce que je sais : Nous ne sommes pas des numéros anonymes. Nous ne sommes pas les rouages de la machine. Nous ne sommes pas des esclaves. Nous sommes des êtres humains et, pour le moment, nous avons la possibilité de rester libres – c’est-à-dire, si nous défendons inlassablement nos droits et si nous résistons à toutes les tentatives de nous enchaîner du gouvernement.
Nos libertés ne viennent pas du gouvernement. Elles ne nous ont pas été données uniquement pour qu’elles nous soient retirées par la volonté de l’État. Elles sont intrinsèquement à nous. Sur le même plan, l’objectif fixé au gouvernement n’est pas de menacer ou de saper nos libertés, mais de les protéger.
Tant que nous ne pourrons pas revenir à cette façon de penser, tant que nous ne pourrons pas rappeler à nos compatriotes ce que signifie réellement être libre, et tant que nous ne pourrons pas rester fermes face aux menaces contre nos libertés, nous continuerons à être traités comme des esclaves sous l’emprise d’un État policier bureaucratique, dirigé par des politiciens psychopathes.
The Rutherford Institute, John Whitehead
Vu ici
Source
Traduction : Petrus Lombard
Dr Martha Stout, psychologue clinicienne et ancien professeur à la faculté de médecine de Harvard
Il y a vingt ans, un journal titrait cette question : « Quelle différence y a-t-il entre politicien et psychopathe ? »
La réponse de l’époque est la même qu’aujourd’hui : Aucune.
Il n’y a pas de différence entre les psychopathes et les politiciens
Il n’y a pas non plus de grande différence entre les criminels indifférents, insensibles, égoïstes, irresponsables, parasites qui occasionnent des ravages sur des vies innocentes, et les élus qui mentent à leurs électeurs, échangent des faveurs politiques contre des contributions électorales, ne tiennent pas compte des souhaits des électeurs, escroquent l’argent durement gagné des contribuables, favorisent les grandes entreprises, établissent un complexe industriel militaire, ne pensent pas aux conséquences de leurs actes irréfléchis et adoptent à la hâte des lois pouvant priver de défense les citoyens.
Les psychopathes et les politiciens ont tendance à se servir des autres sans remords, à être égoïstes, insensibles, irresponsables, menteurs pathologiques, désinvoltes, arnaqueurs, dépourvus de remords et superficiels.
Comme les psychopathes criminels, les politiciens charismatiques refusent la responsabilité de leurs actes, se tiennent en haute estime, sont en permanence instables, ont des modes de vie socialement déviants, ont besoin de stimulation constante, ont des styles de vie parasitaires et des objectifs irréalistes.
Qu’ils soient de gauche, du centre ou de droite, c’est pareil
Les psychopathes politiques, tous largement issus du même moule pathologique, débordent d’un charme apparemment facile et vantent les esprits calculateurs. Les dirigeants de ce genre finissent par créer des pathocraties, des sociétés totalitaires qui misent sur le pouvoir, le contrôle et la suppression de la liberté en général, et l’élimination de ceux qui mettent leurs libertés en pratique.
À partir du moment où des psychopathes prennent le pouvoir, il en résulte généralement une forme de régime totalitaire ou une pathocratie. « Dès ce moment-là, le régime agit contre les intérêts de son peuple, sauf pour certains groupes qu’il favorise », note l’auteur James G. Long. « Nous assistons actuellement à la création délibérée de divisions entre les citoyens, à des actes illégaux et à l’endettement énorme et inutile. C’est typique des régimes psychopathiques, et des événements très semblables se sont produits dans l’Union soviétique, alors qu’elle s’étendait et s’effondrait. »
Autrement dit, élire un psychopathe à un poste public, équivaut à pousser la nation au suicide, à ce qu’elle se fasse hara-kiri. C’est le signal de la fin du gouvernement démocratique et ça jette les bases d’un régime totalitaire légaliste, militariste, inflexible, intolérant et inhumain.
De manière incroyable, malgré les preuves évidentes des dommages déjà causés à notre nation et à ses citoyens par un gouvernement psychopathe, les électeurs élisent toujours des psychopathes aux postes de pouvoir et d’influence.
Selon le journaliste d’investigation Zack Beauchamp, « En 2012, un groupe de psychologues a évalué la personnalité de chaque président depuis Washington à Bush II. Il s’est basé sur des évaluations de traits psychopathes dérivées de données de personnalité, complétées par des expertises historiques concernant chaque président. » Ils ont constaté que les présidents avaient tendance à avoir l’intrépidité caractéristique et le faibles niveaux d’anxiété du psychopathe. Ces traits de caractère semblent aider les présidents, mais peuvent aussi les amener à prendre des décisions téméraires, dommageables pour la vie des autres.
La volonté de privilégier le pouvoir avant tout, même avant le bien-être de leurs semblables, la cruauté, l’impétuosité et le manque total de conscience, font partie des traits caractéristiques du sociopathe.
Quand notre propre gouvernement ne reconnaît plus notre dignité et notre valeur d’êtres humains, qu’il nous prend pour des créatures à manipuler, exploiter, desquelles il peut tirer des données, que la police peut malmener, à qui il peut faire croire qu’il a notre intérêt à cœur, qu’il peut maltraiter, emprisonner si nous osons sortir des clous, puis nous punir injustement sans remords, tout en refusant de reconnaître ses manquements, nous ne sommes plus dans une république constitutionnelle.
Nous vivons plutôt dans une pathocratie : La tyrannie d’un régime psychopathe qui « travaille contre les intérêts de son propre peuple, en épargnant certains groupes qu’il favorise. »
Pire encore, la psychopathologie ne se cantonne pas à ceux qui occupent de hautes fonctions gouvernementales. Elle peut se répandre comme un virus au sein de la population. Une étude académique sur la pathocratie a conclu ceci : « La tyrannie ne s’épanouit pas parce que les auteurs de violences sont mauvais et ne se rendent pas compte de leurs actes. Elle s’épanouit parce qu’ils s’assimilent à ceux qui promeuvent les actes pervers comme s’ils étaient vertueux. »
Les gens ne s’alignent pas simplement. C’est grâce à l’identification personnelle de chacun avec un dirigeant, un parti ou un ordre social donné, qu’ils deviennent des agents du bien ou du mal.
Cela dépend en grande partie de la manière dont les dirigeants « cultivent le sentiment d’identification chez leurs suiveurs », explique le professeur Alex Haslam. « Chose passablement évidente, les dirigeants disent plutôt ‘nous’ que ‘moi ‘. En réalité, le leadership consiste à cultiver le sentiment d’identité partagée à propos du ‘nous’ et d’amener les gens à vouloir agir du point de vue de ce ‘nous’, afin de promouvoir les intérêts collectifs… ‘Nous’ est le seul mot dont l’emploi s’est multiplié dans les discours inauguraux au cours du siècle dernier… le suivant étant ‘Amérique’. »
Nous devenons rapidement esclaves de l’appareil gouvernemental bureaucratique, totalitaire, sans visage, sans nom, qui érode continuellement nos libertés par l’intermédiaire d’innombrables lois, règlements et interdictions.
Toute résistance à ces régimes dépend de la force de conviction de ceux qui choisissent de se défendre. Ce que cela signifie, c’est que nous, les citoyens, devons faire très attention à ne pas nous laisser manipuler par un régime oppressif.
Écrivant pour ThinkProgress, Beauchamp suggère que « l’un des meilleurs remèdes contre les mauvais dirigeants, peut très bien être la démocratie politique. »
Mais qu’est-ce que cela signifie réellement dans la pratique ?
Cela signifie tenir les politiciens et leur personnel responsables de leurs actes, grâce à tous les moyens dont nous disposons : journalisme d’investigation (dit quatrième pouvoir autrefois) qui éclaire et informe, plaintes de lanceurs d’alertes qui dénoncent la corruption, poursuites contre les écarts de conduite, ainsi que par l’intermédiaire de manifestations et d’actions politiques de masse qui rappellent au pouvoir que c’est ‘nous, le peuple’, qui menons la danse.
N’oubliez pas que l’étude précède l’action. Les citoyens doivent faire le dur travail de s’informer sur ce que fait le gouvernement et sur la façon de le tenir responsable. Ne vous permettez pas d’exister exclusivement dans une chambre d’écho se limitant aux vues qui vous conviennent. Confrontez-vous à de multiples sources médiatiques, indépendantes et grand public, et pensez par vous-même.
Au demeurant, quelles que soient votre tendance politique, ne laissez pas votre parti pris l’emporter sur les principes qui fondent notre république constitutionnelle. Comme le note Beauchamp, « Un système qui oblige les gens à rendre des comptes devant la conscience plus large de la société, peut être l’un des meilleurs moyens de contrôle des individus dénués de conscience. »
Cela dit, si nous laissons les urnes d’être le seul moyen d’écarter l’État policier, la bataille est perdue d’avance.
La résistance exige des citoyens disposés à agir au niveau local
Comme je le fais remarquer dans mon livre "Battlefield America: The War on the American People", si vous attendez que l’équipe SWAT vous écrase pour agir, que votre nom soit inscrit sur la liste des terroristes à surveiller, que vous soyez signalé pour activité illégale, comme capter l’eau de pluie ou laisser vos enfants jouer dehors sans surveillance, alors il sera trop tard.
Voilà ce que je sais : Nous ne sommes pas des numéros anonymes. Nous ne sommes pas les rouages de la machine. Nous ne sommes pas des esclaves. Nous sommes des êtres humains et, pour le moment, nous avons la possibilité de rester libres – c’est-à-dire, si nous défendons inlassablement nos droits et si nous résistons à toutes les tentatives de nous enchaîner du gouvernement.
Nos libertés ne viennent pas du gouvernement. Elles ne nous ont pas été données uniquement pour qu’elles nous soient retirées par la volonté de l’État. Elles sont intrinsèquement à nous. Sur le même plan, l’objectif fixé au gouvernement n’est pas de menacer ou de saper nos libertés, mais de les protéger.
Tant que nous ne pourrons pas revenir à cette façon de penser, tant que nous ne pourrons pas rappeler à nos compatriotes ce que signifie réellement être libre, et tant que nous ne pourrons pas rester fermes face aux menaces contre nos libertés, nous continuerons à être traités comme des esclaves sous l’emprise d’un État policier bureaucratique, dirigé par des politiciens psychopathes.
The Rutherford Institute, John Whitehead
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Traduction : Petrus Lombard
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