Le Parlement roumain vient d’adopter une loi sur le rapatriement de l’or de la Roumanie.
En effet, le 24 Avril dernier la Chambre des députés a adopté le projet de loi imposant à la Banque nationale de Roumanie (la BNR) de rapatrier ses réserves d’or détenues à la Banque d’Angleterre.
En effet, pour le moment environ 65% des réserves d’or roumaine sont conservés à Londres.
Pour les initiateurs de cette nouvelle loi, « rien dans la situation économique de la Roumanie ne justifie de conserver une telle quantité d’or en tant que réserve à l’étranger, avec les coûts associés à ne pas négliger, lorsque cette réserve peut être conservée et complétée, en conséquence, en dépôts dans le pays »…
Voilà qui est assez clair, nous les « Roumains sommes parfaitement capables de nous occuper de nos propres réserves d’or et de leur gestion ». La Roumanie est un grand pays, avec une population très cultivée et très bien éduquée.
Les Roumains construisent leur indépendance et leur souveraineté, et cela passe aussi… par la gestion de l’or national.
Il convient également de noter que pour entrer en vigueur, le projet doit être promulgué par le président Klaus Iohannis, ce qui pourrait être une étape susceptible de donner lieu à quelques amicales pressions…
A voir dans le contexte actuel de Brexit.
Charles SANNAT
Source ici
En effet, le 24 Avril dernier la Chambre des députés a adopté le projet de loi imposant à la Banque nationale de Roumanie (la BNR) de rapatrier ses réserves d’or détenues à la Banque d’Angleterre.
En effet, pour le moment environ 65% des réserves d’or roumaine sont conservés à Londres.
Voilà qui est assez clair, nous les « Roumains sommes parfaitement capables de nous occuper de nos propres réserves d’or et de leur gestion ». La Roumanie est un grand pays, avec une population très cultivée et très bien éduquée.
Les Roumains construisent leur indépendance et leur souveraineté, et cela passe aussi… par la gestion de l’or national.
Il convient également de noter que pour entrer en vigueur, le projet doit être promulgué par le président Klaus Iohannis, ce qui pourrait être une étape susceptible de donner lieu à quelques amicales pressions…
A voir dans le contexte actuel de Brexit.
Charles SANNAT
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