Remarquez bien qu’il en a profité pour ouvrir sa gueule, petit Collomb! Encore un Socialo qui se met à déplorer la situation épouvantable dans laquelle lui et ses potes ont enfoncé le pays avec leurs conneries de « vivre-ensemble » et de « diversité-enrichissante ». N’ayez pas l’impression que je radote, je n’y peux rien, moi, si ces cochons-là, tout à coup se mettent à suggérer que les « Chances Pour la France », au fond ça n’en était peut être pas une, de chance, plutôt une calamité bien catastrophique… En tout cas il n’a pas mâché ses mots, le vieux Gône! Il nous l’a dit clairement: à force de faire le ministre, d’aller dans les quartiers, de voir les registres, tout ça, il a compris la situation! Vous vous rendez compte, il a compris, mais vraiment compris, pour de bon! Il est vrai que toutes ses années d’avant, passées Place Bellecour, entre les traboules et les bouchons, l’avaient laissé dans l’ignorance des épouvantables réalités suburbaines. Bien sûr, à Lyon aussi existent des endroits un peu narco-islamisés, seulement voilà, en tant que Maire il ne voyait aucune raison d’y aller jeter un coup d’œil, vu que les adjoints idoines s’en chargeaient et lui communiquaient juste le montant des subventions à verser pour assurer la paix sociale et les suffrages y afférents. En revanche, comme big boss des Poulets il a bien fallu qu’il s’y colle. Donc il est venu, il a vu…et bien sûr il n’a pas vaincu, ce trou du c… C’est même, semble-t-il, devant « l’immensité des problèmes », comme il dit, qu’il a morflé un grand coup de vertige et décidé de foutre son camp en vitesse.
Sans vouloir chercher plus que ça à comprendre le raisonnement de cette sorte de gougnafier véreux, je crois en effet qu’il a capté l’essentiel: la Répupu, avec son président visiblement porté sur la beauté bronzée des jeunes mâles exotiques, se révèlera toujours incapable d’appréhender si peu que ce soit les conséquences terribles de quarante-cinq années d’immigration afro-musulmane débridée. Et, soyons justes, voilà bientôt dix ans un Président soi-disant « de droite » nous dispensait un cours magistral de diversité-métissée tel que ne l’eût pas renié le plus gauchiard des progressistes germanopratins. Il faut toutefois rappeler qu’à l’époque le type en question -hétérosexuel indiscutable, lui- faisait une cour assidue à sa future épouse top-model retraitée et chanteuse à voie de garage, dont les opinions la rapprochaient bien plus de Karl Marx que de Jean-Marie Le Pen.
Si l’on en croit, d’ailleurs, Michel Onfray, dont la lettre ouverte à Macron récemment publiée sur son site (mais pas trop ailleurs, et pour cause) apparaît comme un chef d’œuvre absolu de dérision vindicative, met en lumière les petites turpitudes de Présipède et de sa tendre épouse. Il semblerait que certaines de ces vétilles aient pu jouer un rôle majeur dans le désir de fuite éperdue manifesté soudain par l’ami Gnafron. Le vase de nuit pourrait bien avoir débordé à la suite des petites gouttes de Benalla, le coup du coffre fort vidé en catastrophe juste avant la perquisition s’ajoutant fort déplaisamment aux libertés prises par l’intéressé vis à vis des détenteurs officiels de l’autorité. Ministre de l’Intérieur dans de telles conditions ça devient vite inconfortable et même risqué. La baderne choisit carrément de retourner entre Rhône et Saône, finir paisiblement une carrière susceptible, en cas d’obstination belvitellienne (2), de tourner vite fait au mur de pissotière pour cause de contagion présipédale hyper-toxique. C’est peut être déjà trop tard, le birbe n’étant apparemment plus désiré du tout par les électeurs du pays de la Rosette, l’envie de Collomb leur est passée…on peut comprendre…
Il faut bien reconnaître, aussi, qu’un Président de la République de ce calibre relève du jamais vu. Nous avions eu des fous, comme Deschanel, des larmoyants, comme Lebrun, des rouleurs incurables de « r » comme Auriol, des obsédés sexuels comme Giscard, des petits combinards de haut vol comme Mitterrand, des branleurs hypocrites comme Chirac, des excités-brouillons comme Sarko, des comiques de cirque comme Hollandouille, mais des comme celui-ci jamais encore. Un cas unique, vous dis-je! A peine quadra, marié à une dame d’âge insusceptible de lui offrir une progéniture qu’il n’eût manifestement jamais pu, de toute façon, engendrer selon les procédures naturelles; et à l’évidence protégé par on ne sait trop quel type de puissance mais c’est du très lourd, sans quoi, avec les casseroles qu’il trimballe, le Canard Enchaîné lui aurait déjà fait sa fête.
Et donc, ce type là, non content de cumuler les petites déclarations assassines, significatives du mépris profond qu’il porte au Franchouille de base -celui qui vote-, se débrouille également pour apparaître dans des situations et des postures parfaitement indignes de la haute fonction à laquelle un processus démocratique particulièrement couillon l’a élevé. Évidemment, la photo sur laquelle il figure blotti contre les poitrines musculeuses de deux jeunes voyous antillais, l’un de ces derniers brandissant ostensiblement un doigt d’honneur tout à fait significatif du respect qu’il porte à la Répupu et à son Président, apparaît comme une sorte de cerise sur un gâteau débordant de crème et de délicatesses de toute nature. Onfray en a fait ses choux gras, certes, mais on peut s’étonner du faible retentissement d’une affaire où le ridicule le dispute à l’indécent et l’insulte à l’indignité. Le prédécesseur de Présipède, lui, s’était malencontreusement fait gauler par les photographes en situation comico-embarrassante, certes il eût été préférable qu’il s’en abstint afin d’éviter le bock que se prit ce jour-là la République Franchouille, mais lui au moins ne l’avait pas fait exprès. L’autre, le successeur, il y va carrément, sans cacher le plaisir qu’il trouve en l’étroite compagnie de ce type de personnage. Même sans le doigt de la petite frappe au joli torse luisant, le cliché était à éviter comme la peste: nous n’avions vraiment pas besoin de faire connaître au monde entier les petites pulsions du Chef de l’État.
Après, bien sûr, dans notre monde d’aujourd’hui ce genre de penchant apparaît tout à fait admis et même encouragé… sauf en Roumanie, où, bravant les foudres de l’Europe, les braves gens s’apprêtent à voter pour l’interdiction du mariage par derrière… Mais l’Europe de l’Est, comprenez vous, c’est nauséabond, voilà! C’est contre tout ce qui constitue les valeurs de nos belles sociétés, valeurs parmi lesquelles la pédérastie figure au niveau le plus élevé, tout à côté de l’invasion musulmane. Sans compter que maintenant, histoire de déprimer un peu plus encore la Bien-Pensance, ce sont les Brésiliens qui s’y mettent! Alors là c’est le bouquet! Des gens si formidables qui avaient la chance de posséder le délicieux Lula da Silva, un homme de gauche, un vrai, tellement bien vu à Saint Germain des Prés! Et ils l’ont foutu en taule! Sous n’importe quel prétexte, corruption, malversations, concussion, prévarication, enfin des broutilles! Et voilà-t-il pas qu’aujourd’hui ces infâmes s’apprêtent à élire triomphalement un nauséabond d »extrême droite! Un militaire, vous réalisez! Un type qu’ils surnomment « le Trump des Tropiques »! Tout ça parce que leur économie part en quenouille et qu’ils enregistrent sept meurtres à l’heure sans parler des agressions, ni des vols, ni des rapts! C’est des raisons, ça? M’enfin! En plus, le jour même où ces salauds de Républicains Amerloques se sont permis d’élire le juge Cavanaugh à la Cour Suprême: un type accusé par une ex-petite camarade de maternelle d’avoir tenté de l’obliger à une partie de touche pipi, vers la fin des années soixante! Une insulte à toutes les femmes et du coup, à la démocratie, c’est pareil!
En conclusion je dirai seulement ceci: nous, au moins nous avons un Président parfaitement en accord avec les Valeurs de fiente qui nous ont conduit là où nous voilà aujourd’hui. Et ce n’est pas ce garçon-là qui risquerait d’agresser si peu que ce soit une personne du sexe, à Lui ne plaise! Et, par dessus le marché, il nous conduit les affaires du pays au doigt et à l’œil…enfin disons plutôt au doigt, n’est-ce pas, au doigt où je pense comme dirait Onfray… parce qu’à l’œil, non, on ne peut pas dire du tout, vraiment!
Bonne semaine à tous.
Et merde pour qui ne me lira pas.
NOURATIN
(1) En tant que maire du Havre, le type a fait de la dépense publique…beaucoup…
(2)Belvitellien: « de Beauveau »; ne cherchez pas, ça vient de sortir.
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