10 février 2018

Assez d'inepties sur le réchauffement climatique

« Les enfants ne connaîtront pas la neige ». Ainsi parlait la « science climatique » au tournant du nouveau millénaire. 

Non, ce n'est pas le pôle nord, c'est juste à l'extérieur de Boston, USA, la semaine dernière...Et puis les vagues de froid sont arrivées si fort et si vite que les « climatologues » ont dû inventer un nouveau terme : le « vortex polaire ».
L'actuel « vortex polaire » placé sur la moitié orientale de l'Amérique du Nord a brisé des records un peu partout sur le continent - et je veux dire, des records centenaires. Il fait si froid sur le mont Washington, dans le New Hampshire, qu'il est pour ainsi dire, hors de ce monde : il fait plus froid là-bas que sur Mars. Et qu'en est-il de cette super puissante tempête dans le nord-est des États-Unis ? Ils ont dû inventer un nouveau nom pour ça aussi.

La météo qu'ils nous ont annoncée comme « n'arrivant bientôt plus jamais », ne se produit pas seulement massivement en Amérique du Nord. Le Royaume-Uni a connu ses plus fortes chutes de neige en quatre ans début décembre. Il fait aussi très froid en Inde, où quelque 70 personnes sont mortes des suites de leur exposition au froid, et le désert du Sahara (oui, l'un des endroits les plus chauds de la planète) vient de recevoir une neige abondante pour le deuxième hiver consécutif.



Mais attendez, dises les « climatologues » et activistes de fauteuils, « la météo ce n'est pas le climat ». Touché ! Rappelons, cependant, que ces mêmes « experts » disaient que ce genre de conditions météorologiques que nous vivons actuellement deviendrait « bientôt une chose du passé »...

Il existe un tout autre point de vue. Des scientifiques plus actuels parlent d'une imminente ère glaciaire. Le professeur Valentina Zharkova de l'Université de Northumbria rapporte que son modèle des champs magnétiques du Soleil indique une « réduction énorme de l'activité solaire pendant trente-trois ans entre 2020 et 2053, provoquant une diminution radicale des températures mondiales ».

Il est bien sûr impossible de prévoir ce qui constitue exactement une « ère glaciaire », mais cela ne sera certainement pas des vagues de chaleur incessantes et des villes côtières inondées par la fonte totale des calottes glaciaires. On pourrait penser que n'importe qui d'assez myope pour mettre en jeu toute sa réputation sur la prédiction de tels évènements serait aujourd'hui honteux, mais non ! Al Gore, comme tous les gens bien entraînés à se mentir à eux-mêmes, estime que la vue de Cape Cod gelant prouve qu'il avait raison depuis le début...



C'est la photo de Cheryl Reilly McSharry de la rue Banks dans Winthrop... en pensant à tous les gens qui se retrouvent coincés le long de la côte en ce moment. #wcvb #WinterStormGrayson

Les joueurs de pipeau du réchauffement climatique

« Fini la neige » disait la version 2009 d'Al Gore, « Beaucoup plus de neige » dit celle d'Al Gore en 2018. Selon ce « lanceur d'alerte climatique » en plein essor, les tempêtes de neige massives sont « exactement ce à quoi l'on devrait s'attendre » du réchauffement climatique anthropique. Sauf s'il n'y en a pas. Alors c'est aussi ce à quoi on pourrait s'attendre. Les menteurs et les vantards sont facilement identifiables quand ils ne peuvent avoir tort quoi qu'ils disent.

Pour prouver son argument, Gore a cité Michael Mann du fameux Climategate - le même « scientifique » qui s'est vu infliger un outrage à la cour par le tribunal pour avoir refusé de fournir des données antérieures qui « prouvaient » le réchauffement climatique. Mais pourquoi révélerait-il ses propres données alors qu'il est clair que le but est d'effacer délibérément l'histoire du climat ? Après tout, il y a encore de l'argent à amasser : pendant la récession de 2008, Mann a gagné un demi-million de dollars (argent facile) grâce au plan de relance « verte » d'Obama.



Il fait un froid glacial dans certaines parties des États-Unis, mais le climatologue Michael Mann explique que c'est exactement ce à quoi nous devrions nous attendre avec la crise climatique. ow.ly/Gdm230hAFv4 Le froid mordant a ses propres négationnistes qui attaquent par l'intermédiaire de leurs libéraux « branchés » préférés. Comme ce récent article du Guardian intitulé « L'imminent "petit âge de glace", le mythe est de retour, et c'est toujours faux ». L'auteur, Dana Nuccitelli, est un « environnementaliste » auto-proclamé qui croit que les démocrates détiennent les clés pour sauver les États-Unis de la « Trumpocalypse ». Selon lui, tous les deux ans, l'opinion mondiale est bombardé d'« alertes d'une arrivée imminente d'une époque glaciaire », qui sont ensuite reprises par les « fausses nouvelles ». Il a également déclaré publiquement qu'il n'existe pas de théorie alternative cohérente et cohésive au réchauffement climatique anthropique, ce qui est drôle parce que le réchauffement climatique anthropique s'est avéré si souvent incorrect que la seule chose qui maintient sa « cohésion » est qu'il s'avère constamment erroné.

« Anciennes » théories d'un âge de glace

Mis à part l'analyse scientifique de Nutticelli, les études sur le refroidissement global sont publiées depuis des décennies. Treize récentes études et leurs résumés sont répertoriés ici. Alors que le concept de retour rapide à une ère glaciaire gagne du terrain, ses potentielles conséquences dévastatrices sont atténuées. Ce rapport apaisant, par exemple, nous rassure sur le fait qu'une période glaciaire « ne sera pas mortelle pour l'humanité » car nous avons la technologie du chauffage ! Certes, l'humanité antique n'avait pas de chauffage électrique, mais les cultures modernes non plus. Les États-Unis viennent d'assister à un nouveau gel de leurs récoltes qui a entraîné une perte de plus d'un milliard de dollars et la Chine a connu des pertes massives de récoltes de fruits et légumes.

Notre période, l'Holocène, est relativement chaude, mais cela ne veut pas dire qu'elle restera ainsi - elle a à peine plus de 10 000 ans. La majeure partie de l'histoire de la Terre a été consacrée aux conditions glaciaires. Anticiper un réchauffement du climat mondial en raison d'une augmentation des « gaz à effet de serre », qui n'est même pas un des principaux moteurs de la température, est historiquement intenable.

Dans cette optique, en 1972, les géologues George Kukla et Robert Matthews, alarmés par le refroidissement des températures plus tôt dans le siècle, ont envoyé une lettre au président Nixon pour l'avertir :

Une détérioration globale du climat mondial, d'un ordre de magnitude plus importante que celle que l'humanité civilisée a connue jusqu'à présent, est une possibilité très réelle et pourrait se produire très prochainement. Cette même année, l'American Association for the Advancement of Science s'est demandé quand la période interglaciaire actuelle prendrait fin, en affirmant ce qui suit :

Sur l'échelle de temps géologique, on a étudié la chaleur générale et le schéma bipartite de base des 10.000 dernières années de l'histoire de la Terre (la partie écoulée de l'Holocène), caractéristiques des interglaciaires. On sait depuis longtemps que l'optimum climatique est passé de 6.000 à 7.000 ans et qu'il a été remplacé par un refroidissement lent et oscillant, interrompu par des épisodes plus doux comme celui des Xe et XIe siècles. Peu de temps après, le mouvement promulguant le réchauffement climatique a véritablement commencé, nous laissant là où nous sommes aujourd'hui avec de grands prêtres du réchauffement climatique qui s'attaquent vigoureusement à toute science qui dénie le réchauffement.

Vers la fin des années 70, le scientifique Hubert Lambe déplorait l'état de la science climatique, se demandant comment les alarmistes du réchauffement climatique pouvaient détourner des sommes massives de financement vers des modèles informatiques qui ne servaient qu'à valider leurs hypothèses initiales. L'idée que le changement climatique pourrait être contenu par un soutien accru du public aux programmes gouvernementaux visant à « résoudre » le « problème » était au cœur de leurs « constatations ». C'est pourquoi l'idée que le climat puisse changer soudainement et de façon chaotique, et que rien de ce que l'on pourra faire n'y changera quoique ce soit, devait être mise sous le tapis.

Et depuis lors, « la science est figée. Il y a 97 % de consensus. Il n'y a pas de théorie alternative cohérente et cohésive au réchauffement climatique anthropique ». Sauf qu'il y en a une qui explique beaucoup plus, et qui implique l'interaction entre le Soleil et la Terre. Et nulle part elle n'est expliquée plus succinctement que dans Les changements terrestres et la connexion anthropocosmique.

Corey Schink
Vu ici 

Paris, le quartier de Montmartre le 7 février 2018.

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