C’est toujours une question de dette. Lorsque les nations acceptent une banque centrale – et toutes les banques centrales sont sous contrôle étranger, celui de la famille Rothschild – leurs institutions s’effondrent, la famille, la religion, leur gouvernement, les tribunaux, leurs médias. Tout y passe.
Nous avons vu cela encore et encore. La raison pour laquelle le 9/11 est critique n’a rien à voir avec la guerre interminable qui a balayé le monde, les armées par procuration, les groupes terroristes bidons et les millions de réfugiés.
Pour l’Amérique, il a annoncé le plus grand cambriolage de l’histoire, 10.000 milliards de dollars d’actifs, assez pour acheter toute l’Europe, ont simplement « disparu ». Quelques jours avant le 9/11, on apprenait que 2.400 milliards de dollars manquaient au budget militaire, selon le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld. Ce que peu de gens savent, c’est que le groupe qui a enquêté sur cette affaire a été tué, dans son intégralité, le 9/11 lors de l’incident au Pentagone.
Nous appelons ça un incident parce que le qualifier d’attaque terroriste ou même d’accident d’avion est insupportable sans abandonner totalement son intelligence.
Ensuite, nous nous interrogeons : qui ferait une telle chose, qui détruirait l’Amérique et son gouvernement, écraserait son économie comme en 2008, et permettrait à une nation d’être dirigée par un leader connu pour être cliniquement fou ? Pourquoi ne nomme-t-on jamais les coupables, qui sont les « suspects habituels » ?
Examinons ce qui s’est passé en Amérique alors que le monde regardait les invasions de l’Afghanistan et de l’Irak, deux guerres que l’Amérique a techniquement perdues, au delà de toute mesure, chacune faisant de la débâcle du Vietnam un parangon de la raison.
À la fin de 2007, les cinq principales banques d’investissement américaines étaient en faillite, ayant « égaré » des milliers de milliards d’actifs. La plupart des grandes entreprises étaient dans le même état, brisées, désespérément, jusqu’au point où l’indice Down Jones Industrial Average avait dû être reconfiguré car les grandes entreprises américaines n’étaient plus viables.
Si vous suivez des choses telles que la dette sur les cartes de crédit ou la valeur de l’immobilier, vous voyez une histoire différente. Entre 2008 et 2010, le chômage en Amérique a augmenté à plus de 10%. L’épargne personnelle s’est effondrée et la dette personnelle a atteint des niveaux inimaginables alors que des industries clés comme les armes, le pétrole et les produits pharmaceutiques, connues officieusement pour avoir un pouvoir immense sur le gouvernement, ont fait des profits records.
Alors que les taux d’intérêt chutaient à presque rien avec Bush junior, des millions de familles américaines cherchant à protéger leurs actifs achetaient imprudemment des maisons trop grandes, inabordables, vendues par les médias sur l’idée d’un marché immobilier en hausse.
En 2008, ces maisons se sont vidées. De nombreuses maisons à un million de dollars ont vu saccager leurs murs, leurs câblages, leur plomberie alors que les propriétaires en colère faisaient leurs valises pour emménager chez des parents ou simplement rejoindre les millions de sans-abri.
La plupart des maisons ont perdu 60% de leur valeur en Amérique et ceux qui ont été obligés de vendre ont contracté une dette à vie. De même, l’épargne-retraite a généralement perdu 72%. Un plan de retraite par capitalisation de un million de dollars, dans le cadre du 401K, qui devait rapporter 5 000 dollars par mois à vie sur la base des taux de l’ère Clinton et de la performance du marché, valait maintenant un peu plus de 200 000 dollars avec un potentiel de revenu de 200 dollars par mois. La classe moyenne des États-Unis aura travaillé entre le milieu et la fin des années 1970, pour voir des retraités, managers et qualifiés, condamnés à une décennie de travail servile par la grâce des banques qui ont organisé le crash.
Ceci, bien sûr, a poussé la jeune génération vers le service militaire. Avec peu d’emplois disponibles, payés bien en dessous du seuil de pauvreté, les salaires militaires étaient plus élevés avec une garantie de déploiement en Irak et en Afghanistan année après année.
Était-ce un plan ? Savait-on que l’armée américaine s’épuiserait, perdant son corps de sous-officiers, ses meilleurs officiers, ses équipements défaillants face à des armes soviétiques de l’époque de la guerre froide, pour lesquels l’Amérique elle-même a dépensé des milliards de dollars et qui sont maintenant entre les mains des terroristes du monde entier ?
L’idée de trahison est encore pire. Quand la guerre syrienne a été mise au point, quelque chose d’incroyable s’est produit. Washington a été forcé d’accepter que non seulement les groupes terroristes al-Qaïda et ISIS soient soutenus par l’Arabie saoudite et la Turquie, mais qu’Israël était peut-être derrière tout cela.
Pire encore, la relation entre l’Arabie saoudite et Israël, supposée être une confrontation haine contre haine, a maintenant été mise en évidence. L’Arabie saoudite et Israël , semble-t-il, ont coopéré non pas depuis les années 1980, mais dés les années 1970.
Ainsi, lorsque l’Arabie saoudite avait organisé l’embargo pétrolier de l’OPEP contre les États-Unis, poussant le prix du pétrole à des niveaux stratosphériques, tout cela basé sur l’aide américaine à Israël durant la guerre de 1973, cela pourrait-il avoir été coordonné aussi ?
Plus récemment, il est apparu que l’Arabie saoudite avait eu un rôle majeur dans le 9/11. S’ils ont toujours été proches d’Israël, depuis le début, et si l’on examine les conséquences du 9/11, comme de connaître qui en a bénéficié, il est clair que tout ce qui s’est passé depuis ce jour n’a pas seulement profité à l’Arabie saoudite mais aussi à Israël.
En fait, il est devenu clair que presque tout le terrorisme mondial, les attentats de Paris, Boko Haram en Afrique, certainement ISIS, tout cela a profité à Israël aussi bien qu’à l’Arabie saoudite.
Alors on peut aussi formuler l’hypothèse selon laquelle les intérêts de l’État israélien bénéficieraient plus à la famille Rothschild qu’à Israël lui-même.
Si les résultats sont un indicateur, Israël fait face à une Syrie unifiée, à l’Irak et à l’Iran avec le puissant Pakistan, la Turquie et la nouvelle quasi-superpuissance, la Russie, qui évolue rapidement vers la formation d’une alliance régionale de pouvoir.
Israël est loin d’être en sécurité, tant s’en faut, mais ce qui reste ce sont des milliards de milliards de dettes, la promesse de guerres pour une autre décennie ou au-delà, le chaos, la méfiance, la balkanisation du monde, la pauvreté et la maladie, les signes sont clairs. C’est le modèle économique du système bancaire mondial. C’est ce que l’on entend par « globalisme ».
Gordon Duff
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