Le Journal socialiste Le Monde jubile (source) :
Infliger des amendes pouvant aller jusqu’à 50 millions d’euros aux entreprises et sanctionner personnellement leurs responsables à hauteur de 5 millions d’euros : c’est la principale mesure du projet de loi de lutte contre les messages haineux sur les réseaux sociaux, présenté mardi 14 mars par le ministre de la justice allemand, Heiko Maas.
Cinq millions d’euros pour un simple post sur Facebook : voilà à quel régime la liberté d’expression est en train d’être détruite en Allemagne. Et la phraséologique utilisée par le journal d’état « Le Monde » ne doit pas tromper le lecteur : les journalistes du système, terrorisés par leur perte d’influence à cause des réseaux sociaux, veulent une censure totale de ceux-ci.
Le gouvernement allemand va donc lancer la guerre à la « haine ». Ou disons, au sentiment de révolte du peuple allemand face à la catastrophe engendrée par le choix désastreux d’Angela Merkel d’accueillir des millions de clandestins musulmans.
Car il s’agit de « protéger » les potentiels violeurs et autres djihadistes
Le texte, l’un des plus sévères d’Europe, prévoit que les messages manifestement illicites (incitation à la haine, négationnisme, etc.) devront être supprimés dans les vingt-quatre heures, et dans la semaine pour les contenus dont la légalité est discutable, sous peine d’amende. Les réseaux sociaux devront également faire en sorte que les contenus déjà supprimés ne soient pas republiés en ligne – un sujet au cœur d’un récent procès, en Allemagne, dans lequel le tribunal a finalement donné raison à Facebook après la plainte déposée par un réfugié syrien, victime de harcèlement en ligne.
Les « réfugiés syriens harcelés ».
Oui.
Entre le peuple allemand et sa propre survie, Merkel et ses sbires ont choisi.
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